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Le Village en folie

Chapitre 4

"À qui les fesses?"

Avec plusieurs femmes
À la suite de la séance de consultation en sexologie tenue, à la demande de Sophie, à l’intention de Catherine, cette dernière, accompagnée des mères des deux tourterelles, alla se joindre à la petite fête donnée en l’honneur de Jérôme, l’homme de la maison. Celui-ci, dont on célébrait l’anniversaire de naissance, était donc entouré de Jasmine sa femme et de leur amante commune Sonia qui habitait avec eux, de même que de Sophie, sa fille, Alicia, sa belle-fille ainsi que leur nouvelle amie Catherine.Prenant la parole, Jasmine, qui présidait l’événement, annonça l’activité suivante, fort attendue de toutes :
« C’est maintenant l’heure de notre petit jeu ‘À qui les fesses ?’. Tout le monde est prêt ? Alors Jérôme, tu vas t’asseoir sur le canapé. Et nous, les filles, on te fait d’abord notre petit chant d’anniversaire. »
Les cinq femmes se regroupèrent devant Jérôme qui avait pris place sur le canapé dans le salon, puis le chant fut entamé :
« Bonne fête, Jérôme !
Bonne fête, Jérôme !
Nos bobettes sont à toi... aaa...
Bonne fête, Jérôme ! »

Sur ces dernières paroles, chacune se déculotta en glissant ses mains sous sa mini-robe et les cinq femmes lancèrent simultanément leur pièce de vêtement respective à l’homme qui faisait alors mine de se défendre d’un bombardement armé. Toutes riaient ce faisant, sauf Alicia qui trouvait l’exercice d’un goût plutôt douteux.
« Maintenant, reprit Jasmine, nous allons toutes voir si Jérôme a de bons yeux au bout des doigts. Alors qu’il aura les yeux bandés, il devra deviner à qui appartiennent les foufounes et les autres parties intimes qui se présenteront devant lui. Il aura le droit de nous toucher avec toutes les parties du corps qu’il désirera, mais il lui sera interdit de regarder ! Après quoi il nous remettra de façon aléatoire à chacune une des petites culottes qu’il vient de se faire garrocher. Sauf pour la dernière, évidemment, qui nous reviendra cul nu sous sa robe !— Je suis prêt ! lança joyeusement son mari, dont Sonia venait de couvrir les yeux d’un large mouchoir noir.— Très bien, alors c’est parti ! conclut l’animatrice. »
Toutes reçurent la consigne stricte de garder le silence pendant le jeu, surtout pour la fille dont c’était le tour à se présenter devant l’homme, afin d’éviter d’influencer son jugement.La première fille quitta le petit groupe et se dirigea vers Jérôme. Elle s’approcha silencieusement de l’homme et lui tourna le dos, faisant face à l’assistance.
« OK, commença le fêté en portant ses deux mains sur la chaude et mystérieuse anatomie qui s’offrait à lui. Voici la première. Voyons voir... »
Descendant les deux mains sur les hanches qui se présentaient à lui, Jérôme apprécia, à travers la pièce de vêtement, le gabarit de la femme qui était de taille moyenne. Soulevant par la suite très haut la petite robe dont elle était seulement vêtue, les mains se posèrent, à la vue de toutes, sur deux fesses tièdes et potelées, centrées d’une raie chaude et légèrement humide.
« Hum, à qui c’est, ça ? Attends... je tâte en avant... Oh ! Pas de poil au minou, ça c’est intéressant ! Je crois reconnaître ce petit derrière. »
Ayant lubrifié un index, il introduisit doucement ce dernier dans l’anus de l’inconnue. D’agréables frétillements internes se firent sentir par la fille qui souriait silencieusement en direction des spectatrices amusées.

« Ça y est : je frappe une poche d’air ! fit l’homme en agitant le doigt dans le rectum féminin qu’il était en train d’explorer. Ce sont bien les fesses de ma petite péteuse de Sophie ! »
Ce disant, le doigt fut rapidement retiré du petit trou de la rouquine, accompagné d’une discrète émission gazeuse.
« Tiens, ma grande, prends ça, fit-il en tendant à sa fille une petite culotte semblant avoir été prise au hasard, et va péter tranquille dans ton coin ! »
Ce faisant, connaissant parfaitement l’anatomie de Sophie, il apposa à l’aveugle un baiser sur le papillon tatoué sur sa fesse droite.
« Oh Papa ! réprimanda la jeune, arrête d’alimenter ma réputation ! Tout le monde va penser que je passe mon temps à péter partout ! »
Le groupe à l’autre bout de la pièce s’esclaffa de rire à ces mots. Sophie examina discrètement le sous-vêtement : bikini à rebord de dentelles, couleur fuschia, décidément d’une taille un peu trop grande pour elle. Elle l’enfila discrètement, faisant en sorte que personne ne la voit.La deuxième femme se présenta à son tour devant Jérôme. Sourire aux lèvres, elle adressa discrètement un clin d’œil à l’assistance.
« Hum ! Ces fesses-là, je les reconnaîtrais entre mille, ou plutôt deux mille ! C’est ma belle Mimine ! Approche-toi de moi un peu plus, ma belle. »
Gardant sa petite robe bien relevée tout en offrant à la vue de chacune l’aguichante anatomie de sa femme, l’homme saisit par les hanches cette dernière qui, toute souriante, se penchait doucement en avant, puis approcha son sexe à la toison rousse de son visage et lui fourra une langue affectueuse dans le conin, après quoi il lui tendit une pièce de vêtement alors qu’elle se trémoussait encore le derrière sous les yeux de son mâle excité. Jasmine observa discrètement à son tour cette petite culotte qui n’était pas non plus à elle : un string bleu ciel, extrêmement affriolant, coiffé d’une petite boucle blanche à l’avant et à l’arrière. Elle l’enfila sans attendre, à l’abri des regards, et retourna vers le petit attroupement de femelles qui se trouvait à trois mètres de là.
« Un peu trop serrée pour moi. Je sens sa fourche se presser contre mon anus d’une façon presqu’inconfortable, se dit-elle. »
Se dandinant comme si elle traînait un éléphant derrière elle, elle rejoignit le groupe qui se tordait presque de rire, sauf Alicia qui se contentait de sourire silencieusement à côté de Catherine qui, pour sa part, semblait apprécier ces moments qui lui faisaient momentanément oublier ses soucis.La suivante se posta devant Jérôme et lui tourna le dos, gardant évidemment le silence mais exprimant toutefois des soupirs de nervosité.
« OK, fit l’homme en remontant également très haut la robe de la fille qui, les yeux fermés, se sentait rougir de honte, tout en posant ses mains velues sur les fesses légèrement bronzées qui s’offraient maintenant à lui. Oh ! ça c’est du muscle, Madame ! C’est dur et c’est ferme. Une belle petite touffe de poils drus en avant, ajouta-t-il en portant une main entre les fesses jusque sous le sexe de la fille qui semblait manifester des signes d’impatience. C’est sûr que c’est ma belle sportive d’Alicia !— Dix sur dix, lui répondit discrètement Ali, qui voulait écourter la scène. Puis-je avoir mon petit morceau, maintenant ?— Tiens, prends, fit l’homme en remettant une pièce de tissu à la fille qui ne se fit pas prier pour s’éloigner de son beau-père, non sans avoir reçu de sa part une taloche effrontée sur la fesse droite. »
La doc constata que la culotte-bikini rose qu’elle tenait dégageait une forte odeur de cyprine. Elle l’enfila sans tarder, éprouvant la froide sensation de porter une petite culotte complètement mouillée.
« Quel jeu stupide ! s’accorda-t-elle comme réflexion. C’est pas hygiénique pour cinq cennes ! »
L’avant-dernière se présenta à son tour, tournant le dos à l’homme dont les yeux étaient toujours bandés. Ne restant plus que Sonia et Catherine, la partie lui devenait de plus en plus aisée. Il saisit fermement les deux fesses à deux mains :
« Oh ! quel intéressant popotin ! Des fesses qui se tiennent très bien encore mais qui n’ont plus vingt ans ! Approche-toi de mon nez, demanda-t-il. »
Il prit une grande respiration, le visage enfoui dans le chaud derrière de la femme qui, la bouche fendue jusqu’aux oreilles, s’était penchée à son tour :
« Sonia, ton beau petit cul aura toujours un parfum que je saurai reconnaître ! »
Ce disant, il enfouit profondément sa langue charnue dans l’anus de la femme qui se trémoussait de plaisir, sous les rires étouffés de l’assistance qui observait silencieusement. Elle enfila à son tour rapidement le bikini dont l’odeur de mouille séchée et d’huiles périnéales lui était parfaitement familière et qui, bien qu’elle ne lui appartenait pas, lui faisait particulièrement bien.Après avoir reçu quelques encouragements de Sophie, c’est une Catherine quelque peu hésitante mais éprouvant toutefois une certaine expectative perverse qui accepta d’aller se faire tripoter par un homme qu’elle connaissait à peine. Doté d’une vive perspicacité, Jérôme, les yeux toujours bandés, interpella la jeune fille :
« Approche, ma belle Catherine, n’aie pas peur ! »
La fille, d’abord à l’expression mi-figue mi-raisin, sentit un frisson la parcourir alors qu’elle sentait sa mini-robe se faire relever pour exposer à tous ses charmes féminins, et se laissa docilement caresser par des mains velues qui exploraient pour la première fois son innocente anatomie. Des doigts audacieux explorèrent la vulve de la blonde, appréciant sa fine pilosité pubienne, avant de s’aventurer entre les lèvres et de finalement s’enfouir dans un vagin chaud et extrêmement glissant. Un doigt lubrifié de cyprine fut par la suite introduit en explorateur dans l’anus de la fille qui s’était légèrement cambrée sous les agréables stimulations qu’elle ressentait. Un sourire de béatitude avait maintenant pris place sur le visage de Cathy dont les yeux étaient clos.
« Catherine, s’exprima Jérôme, ton corps est extrêmement sexy, et je ne l’ai même pas entièrement exploré. Tu me fais bander, tu ne peux savoir comment ! »
Il lui ajouta ensuite tout bas, en terminant de caresser ses fesses chaudes et soyeuses :
« Si tu as envie d’une expérience hors du commun avec Jasmine et moi-même, n’hésite pas ! La soirée est encore jeune. »
Comme convenu dans le jeu pour la dernière fille, Catherine revint à sa place sans culotte, n’étant revêtue que de sa petite robe qu’elle rabaissa devant toutes si lentement qu’on eût cru qu’elle l’avait fait intentionnellement, n’exprimant plus aucune pudeur devant les gens qui l’observaient en souriant.En fonction de leur point de vue respectif, cette activité ludique avait été appréciée d’une façon extrêmement variable par les cinq participantes :Étant les instigatrices de cette séance de jeu, Jasmine et Sonia y avaient évidemment trouvé beaucoup de plaisir, n’étant nullement gênées d’exposer devant, qui son mari, qui son amant, leurs charmes féminins et surtout de recevoir de lui ses marques particulières d’affection.Sophie, quant à elle, avait éprouvé des sensations mitigées. Ayant déjà été sodomisée par son père dans le passé, elle n’avait évidemment plus rien à cacher à ce dernier. Ce qu’elle appréhendait dans la tenue de cette activité était plutôt l’impression qu’elle laisserait à Catherine concernant son comportement au sein de sa famille. Notre rouquine allait-elle passer pour une véritable dévergondée aux yeux de sa nouvelle amie ?Catherine, pour sa part, ne put nier qu’elle avait aimé l’exercice. Cette activité qui mêlait sexe à plusieurs et exhibitionnisme l’avait grandement stimulée, à tel point qu’elle regrettait presque de ne pas porter de sous-vêtement qui aurait absorbé la mouille abondante qui s’écoulait d’elle et dégoulinait maintenant sur ses cuisses qu’elle devait essuyer à intervalles réguliers. De peur de mouiller sa robe, elle n’osait même plus prendre place sur un siège. Ce qui sera cependant déterminant pour elle est l’invitation à peine voilée que venait de lui adresser Jérôme, invitation qui se transformera, au cours de la soirée, en véritable obsession.Alicia qui, finalement, aurait très bien pu se passer de ce cirque, tentait désespérément d’oublier la honte éprouvée alors que toute l’assistance avait pu voir et découvrir ses parties intimes. Tout ce qu’elle désirait maintenant était récupérer sa petite culotte au plus sacrant et mettre un terme à cette soirée débile.
« Très bien, annonça Sonia, avant de passer à la danse, nous demandons à tous de passer de l’autre côté : le gâteau d’anniversaire nous attend ! Après quoi, c’est sur des slows que chacune devra récupérer sa petite culotte. Celle qui restera cul nu sous sa robe sera alors désignée pour recevoir de Jérôme le foutre aromatisé qui sera alors servi directement du derrière de l’heureuse élue ! Nous saurons donc dans peu de temps qui se fera enculer par notre homme et se fera lécher la rosette par tous ! »
À ces mots, tous se dirigèrent en bavardant gaiement vers la salle à manger où un délicieux dessert les attendait : un gâteau à trois étages sur lequel la phrase classique Bon anniversaire Jérôme ! était inscrite.Jérôme fut le dernier à se lever pour suivre le groupe. Exprimant un grand sourire de satisfaction, il jeta un coup d’œil à la culotte-bikini turquoise qu’il tenait dans la main. En pensant à sa propriétaire, il sentit son membre viril durcir dans son pantalon.
« Cette fois-ci, ma grande noire, je te tiens ! » se dit-il à ce moment, serrant dans sa main la délicate pièce de vêtement.
La culotte était imprimée, à l’avant comme à l’arrière, de jolis petits papillons multicolores.
(À venir : L’étrange agonie d’Alicia)
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