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Le Village en folie

Chapitre 13

Gestion de crise pour Alicia

Lesbienne
Début de semaine. Les deux tourterelles reprirent le boulot au CLSC. Catherine, maintenant complètement remise physiquement de son affection et libérée de tous ses tourments d’esprit, avait dorénavant élu domicile chez le couple qui l’avait officiellement accueillie dans son cercle amoureux. Filant le parfait bonheur, elle profitait d’une dernière journée de repos avant de reprendre le travail à son bureau du point de service où elle travaillait.La charge de travail s’avérait relativement lourde pour Alicia. Mandatée d’enquêter sur les bizarres manifestations d’inconduites sexuelles observées dans le secteur où elle et Sophie étaient maintenant affectées, elle devait néanmoins poursuivre ses activités médicales habituelles auprès de sa clientèle régulière. L’apport de Sophie et de sa mère Jasmine qui avaient été appelées en renfort en tant que psychologues afin de traiter les dossiers relatifs à cette situation particulière encourageait toutefois l’omnipraticienne aux cheveux noirs et à la silhouette athlétique dans ses activités. Le fait d’avoir sa conjointe et sa belle-mère comme collègues de travail favorisait les communications, la répartition des tâches, bref, une atmosphère de travail conviviale et productive.À la suite de ses consultations du matin au bureau, la femme médecin prit la voiture et alla en après-midi rendre visite à un client résidant le quatrième rang. Le fermier, âgé dans la quarantaine, venait de terminer un séjour à l’hôpital suite à une chirurgie ayant connu des complications dont une infection postopératoire. L’homme l’accueillit dans sa maison entourée de vastes champs de cultures.
« Monsieur Gascon, je viens pour un simple contrôle de votre état. Soyez sans crainte, c’est comme une petite visite amicale que je vous fais aujourd’hui, annonça-t-elle.— Oh, très bien, docteure LeBel ! Je suis très content de vous revoir. Et je vous dis merci encore une fois de m’avoir envoyé à l’hôpital, le mois dernier. Sans votre intervention, Dieu sait où je serais aujourd’hui ! »
La femme observa son patient. Malgré le temps frais, il n’était vêtu que d’un boxer carotté.
« Vous n’avez pas froid, habillé comme ça, Monsieur Gascon ? C’est plutôt frais ici.— Oh non, je suis bien comme ça, doc. Depuis mon retour de l’hôpital, je suis toujours de même, fit l’homme souffrant un peu d’embonpoint. Autrement, dès que je m’habille un peu plus, j’ai chaud, je transpire, c’est très inconfortable. J’enfile une salopette quand je travaille à l’extérieur, mais c’est tout. »
Assise à la table de cuisine, Alicia avait déballé son attirail et ses dossiers. Elle observa alors l’homme qui, installé au fauteuil berçant près d’elle, avait ouvert son vêtement en étirant l’élastique de la taille vers le bas. Le chien qui, jusque-là, semblait sommeiller dans son coin, se leva alors précipitamment et rejoignit tout en couinant son maître dont il se mit à lécher l’organe viril. Sous le regard ébahi de la femme, le cabot, un mélange de golden retriever et de labrador, passait et repassait goulûment la langue sur le pénis de son maître qui se retrouva rapidement en érection.
« Euh, Monsieur Gascon, fit la doc quelque peu mal à l’aise devant ce spectacle inattendu de zoophilie, c’est pas très propre, une langue de chien. Vous savez comme moi dans quoi ils peuvent fourrer leur museau. C’est pas toujours très joli !— Oh, ça me fait tellement de bien, doc, répondit l’homme qui ne cachait pas son plaisir devant les minouchages de son animal. Depuis la mort de ma femme, je me sens tellement en manque, quelquefois ! Et Lover est très affectueux, comme vous allez le voir ! »
Sur ce, le fermier caressa la tête du chien et :
« Allez, Lover, va voir la belle dame à côté ! Vas-y, elle t’attend ! »
Filant comme l’éclair, Lover se précipita, la queue frétillant d’excitation, vers Alicia qui, n’ayant aucunement eu le temps de réagir, vit la tête du canin disparaître sous sa jupe pour sentir une grosse langue lui lécher avidement le conin au travers de sa culotte. Avant même de pouvoir le réaliser, la femme sentit la langue fraîche de l’animal lui chatouiller les petites lèvres, le museau s’étant habilement infiltré sous le slip.
« Arrêtez-le immédiatement ! intima à l’homme la doc à la fois surprise et indignée qui tentait de repousser le quadrupède qui avait posé ses deux pattes avant sur le siège où elle se trouvait. »

L’animal, qui, en gémissant, effectuait maintenant sur le parquet de déshonorables mouvements de bassin simulant une copulation, fut rappelé à l’ordre par son maître et regagna son coussin sur lequel il se recoucha sans plus bouger.La femme réajustait ses vêtements alors que l’homme contenait difficilement ses ricanements.
« Ce n’est pas drôle, Monsieur Gascon. Je ne vous connaissais pas comme ça !— Je m’excuse ! glissa entre deux gloussements de rire l’homme. Des fois, j’sais pas ce qui me prend ! Mais comprenez que ma femme me manque et que je ne peux pas renoncer facilement à ces petites choses.— Ce n’est pas un comportement normal ni de votre part, ni de la part de votre animal !— Je sais, doc, mais c’est comme ça chez moi. Et vous, vous avez sûrement des désirs sexuels, quelquefois ? »
Alicia fit une pause, devinant la suite de la conversation.
« Comme tout le monde, je suppose ? laissa-t-elle tomber, en rédigeant ses notes d’observation au dossier.— Au fait, reprit le patient à l’étonnement de la femme médecin, on m’a dit qu’apparemment vous seriez lèse-bienne. Est-ce exact ? »
Nouvelle pause, alors que la femme jeta un regard sur l’homme par-dessus ses lunettes.
« C’est tout à fait exact. Y voyez-vous un problème ?— Oh non, pas du tout ! c’est juste que... on a pas toujours l’occasion d’avoir devant soi une vraie homosexuelle qui s’affirme en tant que telle et à qui on peut parler pour de vrai. »
Nouvelle pause. Nouvelles annotations manuscrites au dossier par la doc.
« Êtes-vous mariée ? Je veux dire : avez-vous une autre femme avec qui... vous faites des affaires... de sexe ?— J’ai une conjointe, en effet, répondit Alicia sur un ton neutre, poursuivant ses écritures.— Dites-moi donc, docteure, quand deux lèse-biennes font l’amour, qui fait l’homme et qui fait la femme ?— C’est une question stéréotypée et qu’on ne pose pas, Monsieur Gascon. Deux femmes qui font l’amour, c’est comme un couple de gays ou un couple d’hétéro : le but est d’avoir du plaisir ensemble. Pour ce qui est de savoir qui fait quoi, c’est l’affaire du couple de décider. Tout est permis en autant que c’est d’accord entre les partenaires.— Je veux ben croire, poursuivit hardiment l’autre qui s’était assis face à la professionnelle, mais chez l’homme, il y a une bite et un trou de cul alors que chez la femme la bite est remplacée par une plotte. Qu’est-ce que vous faites dans ce temps-là pour... je veux dire... les pénétrations ? Est-ce que les lèse-biennes se font fourrer comme avec des hommes ? »
Alicia devenait de plus en plus mal à l’aise. Des chaleurs commençaient à l’envahir. Était-ce la conversation ou la présence dans l’air d’un agresseur microscopique qui lui causait cette sensation ? Désirant renforcer le dépistage qu’elle était en train d’opérer chez l’homme, elle décida de ne pas mettre fin immédiatement à cette conversation incongrue :
« Il n’y a pas nécessairement de pénétration dans une activité sexuelle entre lesbiennes. Le but est de se donner du plaisir. Stimuler le clitoris de la partenaire peut s’avérer suffisant dans bien des occasions.— Oh ! Vous le stimulez comment alors, le clite aux risques de l’autre ? fit candidement l’interlocuteur.— Ben, avec les doigts, la langue, un vibrateur, ou son propre clito, soupira la doc, quelque peu découragée.— Donc, contrairement aux gays, le trou de cul, c’est pas important ? »
Alicia soupira longuement une nouvelle fois.
« Oui, on peut ajouter des relations anales à tout ça. Si cela stimule les hommes, ça stimule aussi les femmes. Là, je pense que je vous apprends rien !— Et votre femme, elle aime-tu ça quand vous lui enfoncez des affaires dans le trou de cul ?-...— J’ai vu ça sur l’internet, des femmes qui se rentrent des pénis artificiels dans le derrière de l’autre et ça les fait jouir beaucoup. C’est-y des choses qu’on voit dans la vraie vie ?— Bon, ça fera, je crois, répondit une Alicia excédée et de plus en plus indisposée par la conversation. Toute l’information demandée, vous la trouverez aussi sur internet. Maintenant, je suis un peu pressée. Je vais compléter ma visite chez vous. »
Alicia prit rapidement congé du patient inconvenant. Ayant identifié chez ce dernier un comportement compatible avec ceux déjà rapportés dans le secteur, elle ajouta son cas à la liste des clients à être vus par Sophie pour une évaluation plus complète. Au moment d’entrer dans sa voiture pour reprendre la route, elle jeta un coup d’œil aux effluves polluantes que laissaient échapper dans l’atmosphère les immenses cheminées de l’usine de traitement de carcasses d’animaux remise en service il y avait maintenant un mois.
« Quel boucan ! s’accorda-t-elle comme réflexion. On dirait les fours crématoires de la deuxième guerre mondiale. Et toutes ces microparticules qui retombent sur nos terres agricoles ! »
En route vers l’ancien domicile de Catherine pour y récupérer certains de ses effets personnels, elle se rendit compte que, dans son départ hâtif de chez son patient, elle y avait oublié sa bouteille d’eau commerciale.
« Tant pis, se dit-elle. De toute façon, je rentre à la maison après mon détour par le bureau. »
De passage pour une dernière fois de la journée au CLSC afin d’y laisser ses dossiers aux archives, elle remarqua l’installation sur place d’un nouveau distributeur d’eau froide.
« Tiens donc, fit-elle en s’adressant à une réceptionniste, on s’est décidé à améliorer nos conditions de travail ?— Tout à fait, répondit l’autre. L’eau de l’aqueduc est d’un goût affreux. De la vraie soupe ! Avec ça, on va pouvoir se désaltérer et se rafraîchir le gorgoton d’une façon plus agréable !— Et l’eau que contient le réservoir, ça vient d’où ?— On m’a dit que ça vient du puits d’un fermier dans le rang 6. Il dit qu’il en boit lui-même et que son eau est sans danger. »
Nullement convaincue, la femme médecin vérifia rapidement à partir de son poste informatique l’identité et l’adresse du fournisseur. Le type en question n’ayant jamais fait l’objet de rapport concernant un quelconque comportement bizarroïde, elle se trouva relativement peu rassurée, l’homme habitant au cœur du secteur visé par l’alerte sanitaire.À la vue de cette fontaine aux eaux cristallines, Alicia, assoiffée, s’en versa tout de même un verre qu’elle avala d’une traite avant de reprendre la route pour la maison.
***************
Le repas du soir fut plus qu’apprécié, les tourterelles s’étant attablées pour déguster le délicieux plat que leur avait amoureusement préparé Catherine : rôti de bœuf au jus avec légumes assortis, le tout arrosé d’un excellent Cabernet Sauvignon.À l’occasion de leurs ‘retrouvailles’ conjugales, ayant mis fin à l’accompagnement nocturne à laquelle elle s’était consacrée pour Catherine dans la semaine précédente, Sophie, qui brûlait du désir d’offrir à nouveau son corps à son minet chéri, s’était préparée en conséquence : après un bain de mousse, elle se parfuma le corps de talc, rendant sa peau capiteuse. Le plug anal offert par Alicia à l’occasion de leur union (Nda : lire ‘L’Envol des tourterelles’, chap. 22) fut ressorti de son écrin et réinséré dans l’anus de la fille, laissant briller de tous ses feux le diamant dont il était serti. La fille revêtit ensuite l’ensemble de nuit que sa mère lui avait fait porter lors de l’initiation sexuelle précédant son mariage (Nda : lire ‘L’Envol des tourterelles’, chap. 2), affriolant petit deux pièces de dentelle bleue et transparente.Sortant de la douche, Alicia retrouva avec plaisir sa biche qui l’attendait, debout, dans la chambre nuptiale.
« Allô, bébé ! fit coquinement Sophie en posant aguichamment devant son amoureuse.— Oh là là ! s’exclama l’autre. Tu m’attendais, on dirait, ma chérie !— Oh Ali ! J’ai tellement envie de toi ce soir, mon amour ! Tu m’as manqué, tu sais ! Je mouille tellement, déjà, que je crois que ma culotte va de nouveau me coller au derrière lorsque tu la détacheras ! »
Les deux s’approchèrent. Alicia entrouvrit son peignoir, laissant Sophie admirer son anatomie de nageuse olympique avec ses seins pointant agressivement et sa chatte noire aux poils drus. S’enlaçant rageusement, les deux gouines offrirent leur bouche l’une à l’autre. S’ensuivit un baiser au cours duquel des langues se nouèrent puis se dénouèrent avant d’aller explorer, chez l’une comme chez l’autre, un cou dégageant un parfum capiteux, puis des épaules soyeuses. Alicia défit sa conjointe de son soutif, laissant par la suite ses mains malaxer doucement la poitrine de celle qui, soupirant silencieusement, s’abandonnait de plus en plus aux caresses de sa copine de toujours. La bouche avide de la grande engloutit de petits tétons érigés et chatouilleux dont la stimulation électrisa le bas-ventre de la rouquine.Les mains abandonnant les seins pour se poser sur les hanches, Alicia s’abaissa devant sa biche chérie, déposa la bouche sur son ventre, chatouillant de la langue le nombril au passage, et multiplia les baisers saphiques sur ce corps envoûtant dont l’odeur de mouille se faisait de plus en plus sentir. Elle fit par la suite pivoter sa conjointe devant elle afin d’avoir accès à ses fesses légèrement humides et combien brûlantes du désir de se faire exposer complètement.Tirant doucement du côté droit un des minces cordons latéraux reliant les pans arrière et avant de la petite culotte de dentelle, Alicia refit connaissance avec le menu papillon tatoué sur la fesse droite en son honneur avant le jour de leurs noces. Sophie multipliait les soupirs de désir, sentant la pièce de vêtement ainsi à moitié détachée de son corps en chaleur.
« Oh, ma biche, comme tu es désirable ! chuchota une Alicia de plus en plus obnubilée dans ce moment de grâce. »
Saisissant le plug anal avec deux doigts, Alicia le fit pivoter sur place, admirant les facettes brillantes de la pierre, le tira puis le repoussa dans le sphincter, stimulant la rouquine qui mouillait de plus en plus.Après quelques mouvements de ce massage érotique, le plug fut brusquement retiré du sphincter, à la surprise de Sophie qui fléchit alors légèrement les genoux. Toujours accroupie derrière sa compagne qui recommençait, la tête au plafond, à gémir de plaisir, Alicia passa et repassa ses doigts sur le petit tatouage rouge et vert.C’est à ce moment qu’à sa grande surprise, Sophie sentit une cuisante douleur à la fesse droite alors qu’une violente claque atterrissait sur la gauche.
« Hé, minet ! Tu m’as mordue. Ça fait mal !— Tu es à moi, petite salope ! répondit l’autre d’un ton agressif, les deux mains agrippant sauvagement le derrière qui s’offrait à elles. Ton papillon, je vais le bouffer entièrement ! Je vais te bouffer le cul et tout ce qui vient avec ! fit-elle avant de mordre à nouveau à pleines dents dans la fesse portant déjà la marque de deux arcades dentaires. »
« Aïe ! Arrête ! »
Sophie se retourna rapidement devant sa compagne. Le regard d’Alicia avait pris des allures diaboliques. Effrayée par l’aspect de sa compagne et l’agression dont elle était l’objet, elle s’efforça de repousser l’autre :
« Non, Ali, arrête ! Ce n’est pas toi ! Qu’est-ce qui t’arrive ???— Tu es ma salope, tu entends ? répondit l’autre en la brusquant. Tu vas te soumettre complètement à moi et te laisser prendre comme une chienne ! »
Réussissant à se dégager des bras et des mains qui tentaient maintenant de la retenir, Sophie sortit prestement de la chambre à coucher, retenant sa culotte qui pendouillait d’un côté, et se précipita dans la chambre de Catherine que les cris venaient de réveiller. Aussitôt la porte fermée et verrouillée derrière elle, elle éclata en sanglots en rejoignant Catherine dans le lit.
« Alicia est en crise ! annonça-t-elle en pleurs à l’autre. Je ne la reconnais plus ! Ce n’est plus elle ! »
« Bamm, bamm, bamm ! » À grands coups de poing, Alicia frappait la porte de la chambre de Catherine.« Ouvre, espèce de pute ! Ouvre ! Tu es à moi, criss de chienne ! Je vais te prendre et te faire bouffer ce qu’Evnika faisait bouffer à ses filles ! »
« N’ouvre pas ! demandait Sophie, paniquée, à leur nouvelle amante. Prends-moi dans tes bras, Catherine. J’ai tellement peur ! Oh mon Dieu, qu’est-ce qu’il lui arrive ??— Viens, répondit sans attendre la blonde. Reste avec moi dans le lit. Il ne nous arrivera rien ici. La porte est solide. »
Puis elle ajouta, comme pour la rassurer :
« Cela va passer, tu vas voir. Elle finira par se calmer. Reste avec moi, chérie. »
Quelques coups frappés à la porte se firent de nouveau entendre. Des bruits de frottement furent perçus au travers de la cloison, puis un autre comme un bruit de chute, après quoi le silence s’installa dans la maison.
« On n’entend plus rien, chuchota la rouquine à l’autre, sur un ton interrogateur.— Attendons encore un peu, répondit Catherine. Calme-toi, maintenant. Ça va aller. »
Enlacée dans les bras de Catherine, dans le lit de laquelle elle s’était réfugiée, Sophie parvint difficilement à s’endormir. Durant cette nuit de cauchemars, elle se revit marchant seule dans les longs couloirs du repaire sous-terrain d’Evnika. Durant cette scène, Alicia lui apparaissait à tous les dix mètres. L’embrassant à chaque rencontre, cette dernière lui retirait à chaque occasion une pièce de vêtement. Au bout de cinq ou six arrêts ainsi ponctués d’un baiser et d’un déshabillage progressif, Sophie se retrouva, complètement nue, devant deux grandes portes de métal qui s’ouvrirent devant elle.Evnika et Alicia l’attendaient de l’autre côté de l’entrée, se tenant par la main.
« Te voilà donc, 457 ! fit la Grande aux cheveux glauques et aux multiples piercings. Bienvenue dans mon harem ! Approche, à présent : Alicia va maintenant te préparer pour ton premier fisting anal ! »
S’avança silencieusement vers sa conjointe, Sophie lui offrit sa bouche pour un baiser d’accueil alors qu’Alicia, agrippant solidement les fesses de la rouquine complètement dénudée, les écarta au maximum afin de permettre à Evnika d’introduire sa langue dans l’anus chaud qui s’offrait maintenant à elle. La fille sentit la perle noire portée sur la langue de la Grande Scato aller et venir au travers de son sphincter.
« Non !! s’écria longuement la fille en se réveillant brusquement et se redressant assise dans le lit. »
Reprenant ses esprits, Sophie revint à la triste réalité. Sa gorge se noua de nouveau. Portant la main à sa fesse endolorie, elle jeta un coup d’œil à côté d’elle, se rendant compte qu’elle était maintenant seule dans la chambre de Catherine. Elle constata de plus que la porte de la chambre était maintenant ouverte, laissant passer la lumière provenant du couloir.
(À venir : Une visite risquée pour Sophie)
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