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Le Village en folie

Chapitre 15

La biche et la bête

Zoophilie
Fin d’après-midi. Catherine et Sophie rentraient simultanément à la maison, la première en provenance du bureau, l’autre arrivant de sa visite chez Monsieur Gascon, habitant le quatrième rang. Alicia, quant à elle, était encore au CLSC, retenue par son travail. La blonde exprima sa surprise à la vue de la rouquine qui semblait en état de choc :
« Sophie, qu’est-ce qui t’est arrivé ? s’exclama-t-elle à l’adresse de l’autre. On dirait qu’un bulldozer t’est passé sur le corps ! Ton linge est sale et fripé. Tes cheveux sont tout croches !— C’est le chien de Monsieur Gascon, dans le rang 4. Il m’a sauté dessus ! répondit Sophie tremblotante et en larmes, en allant à la rencontre de sa nouvelle amante. »
Les deux gouines s’enlacèrent. Catherine ne put s’empêcher d’exprimer une pensée de dégoût.
« C’est vrai. Tu pues le chien à plein nez. Tu as le dos tout sale. Il t’a attaquée ?— Si on veut, fit la rouquine toujours en pleurs. »
L’infirmière passa la main dans la chevelure de l’autre.
« Tes cheveux sont tout collés, ma belle.— C’est sa foutue bave ! Oh, Cathy, j’ai besoin de toi ! Je veux m’arranger tout de suite avant qu’Alicia revienne. Je ne veux pas qu’elle me voie comme ça.— Ben oui, chère ! Qu’est-ce que je peux faire pour toi ?— Je vais me rafraîchir. Mais avant peux-tu me préparer une douche vaginale ?— Une douche vaginale ? pourqu... Quoi, Sophie ! C’est pas vrai ?!— Oui ! fit l’autre en éclatant de nouveau en sanglots. J’ai tellement honte, si tu savais !— Il t’a... il t’a... vous avez fait ça ?? »
Sophie ne répondit pas, la voix étouffée par des sanglots incontrôlables. Catherine la prit dans ses bras.
« C’était plus fort que moi, Catherine, j’étais seule avec l’animal. J’étais complètement sans défense quand je me suis retrouvée avec lui. Je me suis sentie toute drôle, puis j’ai complètement perdu le contrôle de mes actes !— Oh mon Dieu ! se désola Catherine. Alicia venait justement de nous dire au CLSC qu’il fallait éviter tout contact avec les bêtes qui se comportent de façon bizarre. »
Sophie s’enferma dans la salle de bain, accompagnée de la blonde. Elle se déshabilla, s’installa au fond de la baignoire et se rinça à plusieurs reprises le vagin à l’aide d’une solution iodée que lui avait préparée l’infirmière.
« Va dans ma chambre, s’il te plaît, et apporte-moi des vêtements propres. »
Catherine s’exécuta et revint vers Sophie qui lui demanda encore :
« Reste à l’extérieur et garde la porte. Je ne veux pas qu’Ali me voie comme ça. Empêche-la d’entrer mais ne lui dis rien. Je l’informerai moi-même de ce qui s’est passé. »
Alicia rentrait sur l’entrefaite. Visiblement préoccupée par les découvertes effectuées l’après-midi au CLSC, elle se dirigea nerveusement vers Catherine qui s’était postée à la porte des toilettes.
« Où est Sophie ? T’as de ses nouvelles ?— Elle est là, répondit l’autre en désignant la porte qu’elle était chargée de garder. »
Comme Alicia s’apprêtait à ouvrir la porte, Catherine l’arrêta :
« Elle est occupée et préfère être seule pour le moment.— Elle est aux toilettes ?— Non... hygiène personnelle. Elle prend sa douche.— Bon ben, rien n’empêche que... »
Catherine la coupa :
« Non, Ali. Elle veut être seule ! C’est pour ça que je suis ici. Je garde la porte pour elle. »
L’expression de la femme médecin changea alors. Portant la main à la bouche :
« Il lui est arrivé quelque chose ! Le chien de Monsieur Gascon ! Oh, mon Dieu ! »
Sortant de la salle de bain, Sophie apparut à Alicia, complètement rafraîchie de la tête au pied, parfumée et convenablement vêtue. Sa mine déconfite, ses yeux bouffis de chagrin et ses joues de nouveau mouillées de larmes contrastaient cependant avec cette apparence qu’elle avait voulue la plus soignée possible.
« Oh, Ali ! fit-elle en se jetant dans ses bras, je me sens si mal ! J’ai tellement honte ! »
L’autre la reçut dans ses bras en apposant des baisers sur sa tête alors que de nouveaux sanglots éclataient chez la petite rouquine.
« Allons dans la chambre, lui répondit doucement Alicia, si tu veux m’en parler. »
Les conjointes s’enfermèrent dans leur intimité. Assises l’une contre l’autre sur le bord du lit, Alicia prit la parole :
« Tu veux me raconter ce qui s’est passé chez Monsieur Gascon, demanda la doc ?— Dis-moi d’abord que tu ne me jugeras pas, Ali. Et surtout, dis-moi que tu vas quand même continuer de m’aimer ! l’implora Sophie en reniflant bruyamment.— Tu seras toujours ma biche adorée, la rassura l’autre en la serrant contre elle. »
Quelque peu rassurée et calmée, la malheureuse entreprit son récit :
« Monsieur Gascon avait dû me laisser pour retourner travailler auprès de son bétail. Je me suis donc retrouvée seule avec le chien, dans la maison. Jusque-là, la bête avait été très tranquille, bien que j’avais sûrement beaucoup mouillé en présence du patient qui s’était auparavant mis à parler de façon très obscène de notre relation de couple, toi et moi. Mon odeur l’a probablement excité car, dès que son maître nous a laissés, il est venu sous la table pour me fourrer son museau sous ma jupe. Me relevant rapidement, complètement surprise, je suis tombée à la renverse et me suis assommée, me retrouvant sur le sol presqu’inconsciente. Avant même que j’aie pu faire un seul mouvement, il s’était déjà mis à me lécher le conin sous ma petite culotte. En reprenant mes esprits, je croyais presque faire un rêve érotique mais c’était l’animal qui me chatouillait le clito.« Je me suis alors défendue à coups de pieds et il m’a laissée. Mais c’est après quinze ou vingt minutes, alors que je rédigeais tranquillement mes notes d’observation que tout s’est déclenché. J’ai eu très chaud, soudainement, et j’ai commencé à déboutonner mon chemisier. Puis ma tête s’est tournée vers le cabot qui semblait sommeiller sur son coussin. »
Sophie s’alloua une pause, avala difficilement, puis reprit :
« Tu vas probablement te dire que j’ai pensé et agi comme une véritable salope : je trouvais le mâle de plus en plus beau ! Sans pouvoir dire pourquoi, il m’attirait de plus en plus ! Peut-être parce que je voyais en lui un superbe reproducteur, je désirais de plus en plus me faire dominer par cette bête débordante d’énergie et de caractère ! Une petite voix intérieure me disait encore ‘Non, Sophie, ne va pas vers lui, c’est un animal !’ mais la tentation devenait trop forte jusqu’à devenir impérieuse. Un instinct bestial s’était installé en moi et je DEVAIS aller vers ce mâle qui me désirait, j’en étais sûre.« Je me suis alors levée et l’ai appelé. Comme j’étais debout, il a agrippé ma petite culotte qui était complètement mouillée, la tirant vers le bas sous ma jupe pendant que je détachais mon ceinturon. Le mâle couinait sans arrêt pendant ce temps en effectuant des mouvements de bassin comme pour faire une copulation. Ne portant plus que mon chemisier ouvert, je me suis alors installée, les fesses sur le bord de ma chaise, les jambes ouvertes, les pieds par terre, en m’appuyant le dos au fond du siège. Comme un animal fou, le chien s’est rué sur mon sexe qu’il s’est alors mis à chatouiller avec sa grosse langue, passant et repassant sur mes lèvres et mon clito. De plus en plus excitée, j’ai remonté et déposé mes deux pieds légèrement écartés sur le bord du siège, pliant mes genoux, et je lui ai présenté mon deuxième orifice. C’est en me donnant des coups de pattes avant sur les fesses et l’arrière des cuisses qu’il me balaya alors frénétiquement l’anus de sa langue.« Je désirais de plus en plus me faire prendre par l’animal. J’étais complètement obnubilée par sa présence et ses stimulations. Je voulais qu’il me domine complètement. C’était pour moi un honneur à lui faire car je constatais qu’il m’avait choisie comme femelle. Je me suis donc laissé descendre de ma chaise et, me retournant dos à lui, les genoux par terre, je pris appui sur le siège devant moi en lui présentant ce qu’il attendait de ma part : mon sexe et mes fesses. Je ne voyais plus l’animal qui était maintenant dans mon dos, mais je devinais parfaitement ses mouvements. Il fourra de nouveau son museau entre mes fesses ouvertes et reprit ses mouvements de léchage sur mes lèvres et mon anus. Ce faisant, il m’appliquait, tout en continuant de couiner, des coups de pattes sales dans le dos. Il me tapait successivement avec la gauche, puis la droite. Je l’entendais haleter de plus en plus fort près de moi. J’entendais ses griffes arrière glisser sur le plancher de bois comme il se balançait sans arrêt le bassin, sur le point d’entrer en coït avec moi.« La bête me sentait mouiller de plus en plus, mon sexe dégoulinant sur mes cuisses. J’avais si chaud, maintenant, que j’avais retiré mon chemisier, exposant ma nudité complète à l’animal. C’est alors que je le sentis monter sur mon dos. Il s’y prit à trois reprises pour réussir à rester sur moi. Tout mon corps lui appartenait dorénavant. Son souffle était dans mon cou, fétide. Je sentais la douceur et la chaleur de ses longs poils sur mon dos et entre mes fesses. En même temps, je commençais à sentir son gros pénis, décalotté, chaud et dur me donner des coups à répétition en cherchant une voie d’entrée dans mon corps. Je pouvais sentir les coups de butoir se répéter sans arrêt sur mon anus. Je suis presque sûre que, si j’avais été pré-dilatée et bien lubrifiée, le cabot m’aurait sodomisée. Alors j’ai moi aussi amorcé des mouvements de bassin, me cambrant le plus possible pour qu’il rencontre l’entrée de ma grotte. C’était maintenant sur mon clito que je sentais son organe. En me redressant légèrement le bassin, c’est là qu’il m’a trouvée : j’ai alors senti son outil de reproduction écarter, en glissant, mes petites lèvres et s’enfoncer en moi. Sur le coup, il s’est presque immobilisé, comme surpris, puis il a repris de plus légers mouvements en moi. De nouveau, il s’est arrêté.« C’est à ce moment que j’ai senti que son organe finissait de grossir dans mon vagin. Je sentais de plus en plus sa lourdeur dans mon tunnel. Pendant ce temps, l’animal bavait dans mes cheveux, me soufflant son haleine autour de la figure. Je l’entendais danser sur place, sur ses pattes arrière. Nerveusement, il recommença son va-et-vient, en se rendant compte qu’il était maintenant prisonnier de moi : nous étions en nouage, le mâle possédant complètement sa femelle que j’étais. »
Sophie s’alloua une pause. Alicia était demeurée silencieuse. L’autre reprit :
« Pendant tout ce temps, je jouissais, Ali ! J’en suis tellement honteuse, maintenant ! J’étais la femelle du plus beau mâle qui soit et je me serais sentie fière de pouvoir lui donner de la progéniture ! Je vivais ces moments comme si je rêvais les yeux ouverts ! J’étais complètement déconnectée de la réalité. Le coït dura au moins quinze minutes. Le mâle faisait frénétiquement ses va-et-vient, puis s’arrêtait, comme s’il cherchait à deviner toute la procédure qu’il avait à suivre, comme un novice qui n’a pas eu de formation. À une ou deux reprises, il a quitté mon dos pour déposer ses pattes avant à côté de moi. Mais il demeurait prisonnier de mon corps, attaché à mon sexe. Puis il me remontait sur le dos, ses pattes avant pendant sur mes côtés. De temps en temps, il me couinait dans les oreilles, me mordillant la peau du dos à l’occasion ou me léchant un sein quand il était à mes côtés.« Finalement, comme s’il avait soudainement trouvé comment faire, il amorça de nouveau ses va-et-vient mais de façon plus déterminée. Au bout de quelques secondes, je sentis les secousses de son éjaculation dans mon vagin. Il y en avait tellement, ça débordait de mon sexe. Puis il se retira dès que le dégonflement de son organe le lui permit. Il redescendit de sur mon dos. Il semblait fatigué, la tête basse, du sperme pendouillant encore de son pénis qui se rétractait lentement. Il regagna finalement son coussin sur lequel il se recoucha. Je sentais mon vagin dégouliner de sa semence abondante et visqueuse. J’avais été la chienne de ce fougueux mâle.« J’ai repris mes esprits presqu’au même moment. Je me suis mise soudainement à frissonner. Je me suis donc rhabillée en vitesse. Ma culotte était dégueulasse, toute mâchouillée telle une vulgaire poupée de chiffon. Je pris alors mon slip dans la main, réalisant qu’il était devenu pour moi un miroir, me faisant constater dans quel état physique je me trouvais maintenant moi-même. »
Ne pouvant plus se retenir, Sophie éclata de nouveau en sanglots :
« Ali, oh Ali ! Dis-moi que tu vas continuer de m’aimer quand même ! fit-elle en se jetant de nouveau dans les bras de sa conjointe. Dis-moi que cette histoire ne changera rien entre nous ! »
Alicia la serra très fort contre elle, songeuse et triste. Le coup était très dur à encaisser pour les deux filles. Sophie en éprouvait une immense honte. Alicia, de son côté, ne pouvait cacher sa grande déception face à cet événement vécu par sa conjointe.
« Bien sûr que je vais continuer de t’aimer, chérie, répondit-elle d’une voix basse. »
Elle fit une pause.
« Mais...— Mais quoi ? reprit l’autre, un peu inquiète.— C’est... très grave, ce qui est arrivé, Sophie. Te rends-tu compte que c’est avec un animal que tu as copulé ?— Je ne le réalisais pas vraiment sur le coup, mais maintenant oui. Et ça m’attriste énormément. J’espère que ça ne changera rien entre nous ? Dis-moi, mon amour ?— Je... je devrai me faire à l’idée, ma biche, tu comprends ? C’est... ce n’est pas à un homme ou à une autre femme que tu t’es donnée, c’est à un animal. C’est de la bestialité, cette chose-là. Je ne me sens donc plus prête, pour le moment, à... à... tu comprends ? Toi et moi, dans le même lit, après cette histoire ??— Tu veux dire que tu ne peux plus me toucher, ou ne veux plus me toucher ??— Je devrai surmonter mes tabous d’abord. Pour le moment, je crains de connaître un blocage face à ça. Mais c’est une question de temps, je suis presque sûre.— Oh chérie ! Ne m’abandonne pas, je t’en supplie ! Je suis déjà assez malheureuse comme ça, s’il te plaît !— Je vais te demander de me laisser un peu de temps, ma biche. Je dois assimiler tout ça. Je suis déjà très affectée par le stress généré par mon travail. Je sens que j’approche de mes limites, de ce que je suis capable de supporter. »
Puis, serrant très fort sa bien-aimée contre elle :
« Il serait peut-être préférable que je me retire pour un certain temps. Je dois réfléchir à beaucoup de choses.— Tu veux dire ? demanda Sophie, inquiète de la tournure de sa relation de couple.— Tu as besoin de repos après ce qui s’est passé, chérie. Je te laisse notre lit. Je pense, de mon côté, préférable que l’on digère chacune de son côté ce qui vient d’arriver. Laisse-moi un peu de temps, veux-tu ?— Tu veux t’en aller ? Tu veux me quitter ?— Ce ne sera que temporaire, Sophie. Je réfléchis mieux lorsque je suis seule. Je vais me louer une chambre d’hôtel. Je te laisserai savoir où.— Non, mon amour ! Ne me laisse pas ! Plus que jamais, j’ai besoin de toi !— Catherine te tiendra compagnie. Moi, je ne me sens plus à la hauteur. Je regrette ! ajouta-t-elle, les larmes aux yeux. »
Le cœur gros, Alicia fit lever sa conjointe et l’embrassa sur la joue. Son vase venant de déborder, elle se sentait craquer. S’étaient ajoutées à la lourdeur de son mandat la tristesse de voir sa copine être tombée dans cette ignoble situation et la frustration de ne pas avoir pu l’avertir à temps au sujet de la nouvelle consigne de sécurité. Ses forces morales n’en pouvaient plus. Ce repli mental s’avérait nécessaire pour elle afin de lui permettre de faire adéquatement le point et de repartir sur une nouvelle lancée.En début de soirée, Alicia avait pris quelques affaires personnelles et gagné le petit hôtel du village, laissant Sophie et Catherine seules à la maison.
(À venir : Solitude et désespoir)
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