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Le Village en folie

Chapitre 20

'Qui m'encule?'

Lesbienne
« Quoi ? demanda, surpris, Jérôme. Vous faites un party chez Sophie, et Alicia voudrait à cette occasion avoir une nouvelle relation anale avec moi ?— Tout à fait, répondit sa femme Jasmine. C’est à penser qu’elle a finalement pris goût à sa dernière expérience avec toi !— Mais pas devant tout le monde, j’imagine !— Si, devant tout le monde ! Tu seras vraiment surpris cette fois-là !— Oh alors, c’est avec joie que j’accepte votre invitation ! Merci beaucoup d’avoir pensé à moi ! s’adressa l’homme en embrassant sa femme.— Nous nous présenterons chez les filles à 18h30. »
La maison avait gaiement été décorée par Catherine et Sophie qui n’avaient pas gardé la chose secrète pour Alicia qui était présente parmi elles, faisant même de cette dernière leur coquine complice dans la planification de la soirée.
« Maman m’a dit que Papa acceptait avec joie ta demande pour un nouvel acte de sodomie avec lui ce soir, chérie, annonça Sophie à la future fêtée.— Chouette alors ! répondit Alicia, anticipant déjà avec grand plaisir les moments que réservait la soirée. »
Puis, se tournant vers Catherine :
« Crois-tu que l’autre sera là ?— Oui, sans problème. J’ai reçu sa réponse ce matin. Cet homme est tellement charmant. J’ai vraiment hâte de voir sa grosse bite pour la première fois ! répondit la blonde. »
La soirée avait débuté. Cocktail en l’honneur d’Alicia, petit mot d’éloge de chacun à son intention, dégustation de petites bouchées au four accompagnées d’une coupe de champagne, tous semblaient apprécier le moment. Jasmine amena discrètement par la suite son mari dans la chambre à coucher des tourterelles :
« Tu vas te préparer ici, mon gros nounours. Mets-toi à poil et attends. On va toutes rester ici avec toi en attendant qu’Alicia fasse son entrée. »
Toutes les femmes, sans Alicia, se présentèrent dans la chambre uniquement vêtues d’un peignoir bien serré autour de leur taille. Jasmine, Sonia, Sophie et Catherine se tenaient groupées dans un coin de la pièce alors que Jérôme, nu et tout sourire, attendait silencieusement près du lit que la fêtée du jour fasse son apparition. À un signal donné, les femmes s’approchèrent toutes de l’homme et lui saisirent chacune un membre, le forçant à prendre place sur le lit, en position de levrette :
« Eh, qu’est-ce que vous faites, vous autres ? Mais lâchez-moi !— Prépare-toi à accueillir ta belle-fille, beau nounours ! répondit alors une Jasmine espiègle et enjouée. »

« Bonsoir, Monsieur Durocher ! Êtes-vous prêt pour votre examen médical annuel ? »
La doc venait d’apparaître dans la chambre, uniquement vêtue de son peignoir turquoise qu’elle entrouvrit devant l’homme, lui laissant voir le long gode-ceinture qu’elle portait fixé à sa taille.
« Alicia ! s’étonna l’homme. C’était pas... c’était pas plutôt... »
La fille lui coupa la parole :
« Une relation anale que j’avais demandée ? Mais si ! Par contre, j’avais oublié de spécifier qui enculerait l’autre. J’espère que vous me pardonnerez ce petit détail !»
Devant la tentative de son mari de se défaire de l’emprise des huit mains qui le retenaient, Jasmine emprunta un ton plus ferme :
« Oh, tu as intérêt à te laisser faire, mon grand ! Sinon, tu sais ce qui t’attend ?— Ben, qu’est-ce qui peut m’arriver de pire si je refuse ?— Si tu refuses, Sonia et moi on fait la grève du sexe pendant trois mois ! Penserais-tu patienter si longtemps sans pouvoir bouffer nos chattes ? Tu sais très bien que Soso et moi on aurait de quoi s’amuser pendant tout ce temps, elle et moi dans le même lit !— Allez Papa, laisse-toi faire ! ajouta Sophie. Ali ne sera pas méchante avec toi. Et puis, sache que j’ai préparé ton thé glacé avec de l’eau contaminée que nous avions conservée avec nous. Tu vas voir : dans quelques instants tu seras tout à fait docile !— Vous n’êtes rien qu’une bande de garces, toute la gang ! grogna Jérôme qui dut se résoudre à la soumission. »
« On m’a dit, Monsieur Durocher, reprit l’omnipraticienne, que votre prostate n’avait pas été examinée depuis un certain temps. Et apparemment, vous auriez les hémorroïdes un peu trop serrées. Il est vraiment temps que quelqu’un voie à tout ça ! »
S’approchant de l’homme dont le cul était ouvert et offert à la vue de toutes, Alicia se ganta et allait saisir une noisette de lubrifiant lorsqu’elle se ravisa :
« Hum, trop de poils ici. J’aime pas les trous de cul d’homme poilus de même. Un petit coup de rasoir vous fera sûrement du bien. »
Ayant enduit le derrière de sa victime de mousse à raser, la fille eut tôt fait de libérer la région périnéale de toute pilosité, lui rendant le pourtour de la rondelle aussi doux qu’une peau de bébé et donnant à cette partie de son anatomie un aspect tout à fait ridicule aux yeux des autres. Toujours gantée, elle lubrifia l’anus de l’homme :
« Attention, toucher rectal. Prenez une bonne respiration et poussez comme si vous alliez à la selle ! »
Les doigts de la doc tournèrent dans tous les sens dans le rectum de Jérôme, assouplissant le sphincter à chaque nouveau mouvement de rotation.
« Votre prostate est en santé, Monsieur Durocher, annonça-t-elle à son nouveau patient. Croyez-vous qu’on peut maintenant vous libérer, si vous promettez d’être sage ?— Oui, docteur, faites-moi libérer. Je crois que... je crois que je serai un bon patient, à présent. »
Sur ce, les quatre femmes lâchèrent leur emprise sur l’homme qui se faisait maintenant plus soumis, sous l’influence du virus qui l’avait à présent contaminé.
« On va maintenant s’occuper de vos hémorroïdes, Monsieur Durocher, fit une Alicia de plus en plus amusée en approchant son faux pénis de l’anus en partie relâché de l’homme. Vous allez prendre une autre grande respiration et recommencer à pousser très fort ! »
Sur ce, le gode se fit enfoncer profondément dans le rectum de l’homme qui poussa un léger gémissement de douleur. Alicia amorça alors ses mouvements de va-et-vient dans les entrailles qu’elle dominait à présent.
« Et alors, c’est pas si pire, hein ? fit la doc. Juste une bonne préparation et c’est parti ! C’est un très bon traitement pour les hémorroïdes qui sont trop rapprochées, vous savez ! Et comment vous trouvez ça ?— Euh... pas si mal, finalement, une fois accoutumé, c’est pas trop désagréable.— C’est ce que vous faites ressentir à vos femmes quand vous les enculez. Ben certain que c’est agréable ! Et vous allez sûrement apprécier le petit jeu qui s’en vient, conclut-elle en se retirant.— Un petit jeu ? demanda Jérôme, perplexe.— Oui, oui, enchaîna Jasmine. On va te bander les yeux et on va jouer à ‘Qui m’encule ?’ ajouta-t-elle alors que l’homme voyait chacune des femmes se défaire de son peignoir respectif, laissant clairement voir le gode-ceinture fixé à sa taille. »
Une première participante prit place derrière l’homme toujours en levrette et à qui on avait bandé les yeux, et introduisit facilement son instrument dans son trou de cul encore molasse.
« Hum... fit Jérôme alors qu’il se faisait labourer le rectum. Ce sont les mêmes mouvements que ceux que je fais à Jasmine. Même fréquence, même profondeur.— Hey, t’es pas mal doué, chéri ! répondit sa femme en lui flattant le dos et en poursuivant son langoureux va-et-vient dans le derrière de son mari. »
Le changement de partenaire se fit. L’homme sentit alors de timides mouvements dans ses entrailles complètement excitées par les stimulations qu’il venait de recevoir :
« Oh ça, c’est une petite nouvelle, ça ! Tu serais pas encore un peu gênée avec moi, Catherine ?— Ben vous savez, répondit la blonde qui hésitait à explorer le fion de l’homme en profondeur, c’est la toute première fois que je sodomise un homme ! J’ai jamais fait ça avant !— Allez, pousse à fond, petite ! N’aie pas peur ! Je ne suis pas une poupée Barbie ! »
Sonia y alla aussi joyeusement de ses stimulations ano-rectales auxquelles Jérôme semblait de plus en plus prendre plaisir. Il n’était cependant pas au bout de ses surprises.
« Tu as apprécié, gros nounours au cul rasé ? lui demanda sa femme Jasmine sur un petit ton de moquerie. Attends : ce n’est pas fini. Ne bouge pas, une belle surprise t’attend ! »
Sonia resserra le bandeau sur les yeux de l’homme. Immédiatement après, celui-ci sentit une chaude présence derrière lui, accompagné d’un souffle tiède qui lui balayait le dos. Pris du désir de tourner la tête vers l’arrière malgré ses yeux bandés, il fut vite rappelé à l’ordre par Jasmine qui la redressa vers l’avant. Quelque chose de doux, de chaud, de mou mais malgré tout de ferme se présenta à l’anus de l’homme qui sentit immédiatement sa rondelle se faire ouvrir et forcer, au passage d’une imposante hampe masculine.
« Oh la la ! s’étonna Jérôme. Jamais senti ça avant ! C’est gros et drôlement vivant cette affaire-là !— Ne bouge pas, chéri, susurra Jasmine à son mari. Abandonne-toi à ces sensations, à ce plaisir. Sois le gros nounours cochon que tu as peut-être toujours souhaité être ! »
De voluptueux va-et-vient se firent sentir dans le rectum de Jérôme qui sentait en même temps tout son corps se détendre dans ce plaisir et ces sensations aussi nouvelles qu’interdites. Le pénis de l’inconnu frétillait allègrement dans ses entrailles, faisant sentir son imposante masse jusqu’à la courbure du sigmoïde, procurant à celui qui faisait sa première expérience gay de sublimes sensations qui comblaient son bas-ventre tout entier. Au bout de quelques secondes, il sentit de puissantes secousses l’agiter intérieurement alors que d’abondantes vagues de sperme remplissaient ses intestins maintenant légèrement douloureux. Libéré du phallus qui venait de le dépuceler en tant que gay, il ne put s’empêcher de laisser couler hors de lui une partie du foutre qu’il venait de recevoir.Sonia et Jasmine l’aidèrent à se relever du lit.
« Comment t’as trouvé, ça, chéri ? lui demanda Jasmine.— Cétait... c’était... tout simplement sublime ! Je ne m’y attendais vraiment pas, je te jure ! »
Libéré de son bandeau qui l’avait toujours empêché de savoir qui l’avait sodomisé de façon si magistrale, Sophie lui fit les présentations :
« Papa, je te présente Jean-Moïse St-Louis. C’est l’agent de sécurité qui nous a aidées à fuir loin des griffes d’Evnika, dans l’histoire du Resort.— Très heureux, Monsieur, fit d’emblée Jérôme à l’homme qui se tenait debout devant lui.— Tout le plaisir est pour moi, Jérôme, répondit l’Haïtien. Je me suis senti très honoré de répondre à l’invitation de votre fille à l’occasion de cette petite fête. Permettez-moi de vous dire que vous avez des fesses très poilues, mais combien accueillantes !— Ça me fait tout drôle d’avoir serré votre grosse bite avec ma rondelle avant de vous serrer la main, mais je dois avouer que la surprise était vraiment agréable !— On peut maintenant se serrer la main ! répondit l’autre en s’exécutant et en accompagnant son geste d’un baiser sur la bouche. Vous me plaisez beaucoup, vous savez !— Bon, tout ça, c’est bien beau, intervint Jasmine à l’adresse de son mari, mais maintenant tu as une job à finir ! »
Les femmes placèrent Jérôme à genoux devant le colosse de deux mètres et Jasmine reprit :
« Allez, lèche maintenant ! Tu vas quand même pas permettre à notre invité spécial de laisser dégouliner son foutre par terre comme ça ! Nettoie bien et si tu fais bien ça, il en aura peut-être d’autre pour toi ! »
Jérôme s’exécuta prestement, léchant l’énorme pénis du Noir qui recommença à bander aussitôt.
« Allez, dans la bouche, maintenant ! Un dépucelage, ça se fait dans les deux sens ! Suce bien et tu vas goûter comme c’est bon du sperme d’origine africaine ! »
Sous les regards amusés de toute l’assistance féminine, l’homme obtempéra sans hésiter. D’une vigueur exceptionnelle, Jean-Moïse eut tôt fait de faire gicler de nouveau sa purée dans la bouche de l’homme qui le suçait goulûment depuis une minute, faisant couler le blanc liquide entre les commissures de ses lèvres.
« Avale tout maintenant, ordonna Jasmine, c’est très nourrissant.— Oui, renchérit Sonia en caressant les fesses de Jasmine. On en sait quelque chose ! »
Les deux hommes se firent une douce accolade. Jérôme prit ensuite la parole :
« Vous m’avez bien pris par surprise, mesdames. Je crois maintenant que nous sommes tous quittes des derniers événements. »
Saisissant la main de Jean-Moïse, il ajouta :
« JM et moi aimerions faire plus ample connaissance. Alors on va se retirer dans l’autre chambre, si vous ne voyez pas d’inconvénient !— Allez-y sans crainte ! approuva Jasmine. Il y a même une boîte de condoms sur la table de chevet. »
Cela dit, l’homme se dirigea vers la porte, accompagné de son nouvel amant qui l’embrassait, la main sur le pénis érigé de l’autre.
« Merci encore, mesdames, pour l’invitation ! dit un Jean-Moïse ravi.— Aucun problème, fit Jasmine. C’est Simon Simpson qui a transmis vos coordonnées aux jeunes filles. Et, oh ! s’adressa-t-elle à Jérôme...— Quoi encore, ma Mimine ? demanda Jérôme en se retournant.— Bienvenue dans le Club des bi ! »
Éclatant de rire, les cinq femmes se sautèrent dans les bras les uns des autres.
« On veut pas mettre fin au party, annonça Alicia en désignant du menton Sophie qui, toujours nue et s’étant défaite de sa ceinture, attendait l’autre sur le lit défait, mais il y a ici un petit trou du cul qui est impatient de me revoir le chatouiller de nouveau.— C’est pas juste mon petit trou du cul, la corrigea la petite rouquine, c’est tout moi au complet ! »
« Bon, alors, fit Jasmine en s’adressant à Sonia et à Catherine, il reste nous trois. Qu’est-ce qu’on fait ?— J’ai une idée, moi, intervint Sonia. Tu te souviens de notre petite discussion quand Catherine était venue nous consulter pour ses problèmes de masochisme ?— Attends un peu que j’y pense... fit Jasmine, quelque peu songeuse. Non, je vois pas. »
Sur l’entrefaite, Jasmine se fit positionner en levrette par Sonia, alors que Catherine lui écartait très grand les fesses. Jasmine sentit ensuite un gel lubrifiant lui chatouiller le pourtour de l’anus.
« Tu te rappelles pas ce qu’on disait au sujet du gode gonflable et de ton incapacité à supporter plus que huit centimètres de dilatation ? reprit la mère d’Alicia. »
Tout en entendant ces paroles, la mère de Sophie sentit soudain lui passer entre les fesses le gode en question, dirigé par sa Sonia chérie alors que Catherine maintenait des foufounes complètement ouvertes.
« Laisse-toi faire, ma belle, on fait des expériences, tout simplement, reprit Sonia en saisissant la poire servant à gonfler l’instrument maintenant bien enfiché dans le cul de son amante.— Hey, Sonia, qu’est-ce que tu fais ? Qu’est-ce que tu... Soniaaaaaaaa !!!! »
FIN
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