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La ville naturiste

Chapitre 1

L'initiation

Voyeur / Exhibition
Caroline avait choisi le lieu idéal pour passer des vacances réussies : un centre naturiste en pleine nature où elle pouvait tout à loisir se prélasser au bord d’un lac ou se baigner sans porter de maillot, et même faire quelques rencontres amoureuses. Elle était venue au naturisme il y a peu, et complètement par hasard, après avoir reçu pour mission de gérer un projet de ville naturiste dans le département où elle était employée. La jeune fonctionnaire de 25 ans avait alors décidé de se renseigner sur les différents lieux naturistes à travers le monde, en lisant les descriptions des sites Internet, ainsi que les avis des vacanciers. Puis elle s’était rendue dans un camping naturiste proche de son domicile.
Caroline était un peu intimidée au moment où elle visitait un lieu naturiste pour la première fois. Se dirigeant vers l’accueil, elle demanda à rencontrer le directeur pour échanger avec lui. Olivier avait la quarantaine, il était de taille moyenne, avec un peu d’embonpoint. Pendant l’entretien, Caroline était très gênée de parler avec un homme totalement dénudé, elle avait du mal à se concentrer. Pour ne rien arranger, d’autres naturistes apparaissaient de temps à autre à l’accueil pour se renseigner. Caroline parvint à aller au bout de l’entretien malgré son trouble, puis elle retourna à son bureau. Ce jour-là, elle pensait encore qu’elle n’arriverait jamais à s’habituer à la nudité des autres, et encore moins à se mettre nue elle-même.
Petit à petit, elle se rendit compte qu’elle pouvait réussir ce défi : d’abord fréquenter des naturistes puis devenir naturiste, et enfin gérer elle-même une ville naturiste. Quelques semaines plus tard, Caroline retourna au camping où elle avait loué un bungalow. Elle s’installa sur une chaise longue sur la terrasse du logement. Vêtue d’un short et de rien d’autre, elle commençait à ressentir les bienfaits du soleil sur son corps à moitié nu.Caroline mit également à profit ce premier séjour pour mieux connaître la philosophie naturiste. En observant les habitués du camping, elle comprit qu’ils avaient pour seul objectif de passer des vacances en liberté, sans contrainte, tout en restant proches de la nature. Au bout de quelques jours, Caroline prit plus de distance avec sa pudeur naturelle : elle était vêtue d’un simple paréo enroulé autour des hanches, ainsi elle déambulait dans les allées en exposant sa poitrine nue aux yeux de tous.
Caroline s’habituait petit à petit à la nudité intégrale des occupants du camping. En se rendant à la piscine, elle voyait plus de paires de seins et de sexes masculins que durant toute son existence passée, et cependant elle n’était plus aussi choquée qu’avant. Lorsqu’elle s’allongeait sur un transat, à la piscine, Caroline jetait un œil autour d’elle, et s’amusait des formes diverses des poitrines féminines. Elle appréciait les petits seins comme les gros nichons, mais un peu moins les poitrines tombantes. Puis elle passait à l’analyse des appendices masculins : elle admirait les queues fines et longues autant que les grosses merguez, mais elle se désolait en apercevant de petites nouilles riquiqui. Malgré elle, la vision de tous ces attributs l’excitait légèrement. De plus, Caroline sentait le regard des autres sur son propre corps, et cela lui procurait une légère sensation de plaisir.
Caroline rentra à son bureau la tête pleine d’idées pour la future ville naturiste. Elle tenait à donner une large part à la nature, en ménageant des espaces pour des parcs et des jardins, des lacs et des canaux. Elle commença à travailler sur le projet avec un cabinet d’architecture spécialisé.Chaque fois qu’elle le pouvait, Caroline se rendait dans un lieu naturiste en France ou à l’étranger. Un camping lui plaisait davantage que les autres, situé au milieu d’une forêt de pins ; des bungalows y étaient disséminés, intégrés dans le paysage. L’ambiance était particulièrement détendue, les campeurs discutaient entre eux sans se soucier des différences d’âge ou de condition sociale. Caroline aimait se détendre au bord du lac, et lorsqu’elle était allongée sur sa serviette, elle essayait d’épier discrètement les autres vacanciers.
Mais c’est lorsqu’elle se levait pour se diriger vers le lac qu’elle éprouvait le plus de plaisir : dès qu’elle sentait les regards des campeurs sur son joli derrière, Caroline ressentait une légère excitation. Après la baignade, en remontant vers sa serviette, Caroline avait encore l’impression que tous les regards se focalisaient sur son pubis parfaitement épilé, et cela l’excitait davantage. Allongée sur sa serviette, elle écartait alors légèrement les cuisses, dévoilant son mille-feuille, et son excitation atteignait son paroxysme. En regagnant son bungalow, Caroline éprouvait l’envie irrépressible de se caresser sur son lit, pour se soulager.
Caroline faisait aussi de belles rencontres : elle discutait avec tout le monde, les vacanciers comme les employés. C’est ainsi qu’elle fit la connaissance de Stéphane, un jeune saisonnier, toujours souriant, et très musclé. Il travaillait au bar, et Caroline pensait le séduire rien qu’en s’approchant du comptoir. En voyant ses jolis tétons de près, le jeune homme sembla troublé, mais il n’en dit pas un mot. Caroline revint plusieurs jours de suite, répétant son manège, et finit par inviter Stéphane à boire un verre dans son bungalow.
Lorsque Stéphane aperçut Caroline, elle était allongée sur son lit, exhalant un parfum aphrodisiaque, dévoilant sa féminité la plus intime, et le jeune homme ne résista pas longtemps. Ils devinrent vite un couple d’amants fougueux. Tous les soirs, elle l’attendait, allongée sur la terrasse du bungalow. Elle fermait les yeux, pour mieux sentir le jeune homme palper ses seins, pincer ses tétons, et caresser son bas-ventre. Elle soupirait d’aise quand la langue du jeune homme venait doucement s’introduire dans son antre d’amour.
Dès la tombée de la nuit, Caroline adorait faire l’amour sur la terrasse du bungalow, où tout le monde aurait pu les surprendre. Stéphane était très attentionné, il commençait toujours par des caresses poussées et il titillait son bouton de rose avec tact. Alors Caroline venait en douceur lécher le gland de Stéphane avant que ses lèvres ne viennent enserrer son chibre, et elle remontait le long de la tige, lui donnant un plaisir évident. Caroline laissait alors le jeune homme s’allonger au-dessus d’elle, elle fermait les yeux pour mieux sentir le dard de Stéphane qui s’immisçait dans son jardin secret.
Quand Caroline pensait à son projet de ville naturiste, elle voyait une place immense peuplée de centaines de naturistes, un lac énorme où ils se baignaient, des parcs étendus où ils s’amusaient, mais aussi des rues commerçantes, des restaurants. Parfois elle voyait aussi des couples en pleine étreinte sur les pelouses ou dans les bars. Quand Stéphane lui donnait l’estocade et qu’elle ressentait un puissant orgasme, qu’elle hurlait de plaisir, elle entendait aussi les cris de jouissance des habitants de la future ville ! Elle en éprouvait un plaisir décuplé et elle avait hâte de découvrir la ville naturiste qui commençait à se dessiner.
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