Nous sommes à quelques heures de l’inauguration de la nouvelle ville naturiste. Caroline en a pris la direction, secondée par Charles, le chef de la sécurité, âgé d’une trentaine d’années ; c’est un grand brun, plutôt costaud qui pratique le naturisme depuis toujours. De leur bureau qui donne sur la grand-place, Charles et Caroline aperçoivent les préparatifs du spectacle qui sera donné le soir même. Dès le matin, ils se rendent à l’entrée de la ville, où les premiers naturistes attendent l’ouverture des portes. Caroline vérifie que les hôtesses d’accueil ont bien respecté les consignes : les cheveux longs doivent être attachés, et le maquillage doit rester léger. Elle remarque au passage que leurs poitrines sont assez semblables, rondes comme des pastèques ! Un jeune homme tout habillé se présente à l’entrée et demande à rencontrer Charles. Jérémie a 20 ans, et Charles l’a embauché comme adjoint ; mais quand il comprend qu’il doit laisser ses vêtements dans un casier à l’entrée, Jérémie semble un peu gêné. Malgré tout, il obéit aux ordres et se déshabille intégralement. Il se met à rougir quand Caroline le scrute des pieds à la tête, et elle en sourit. Quelques minutes plus tard, c’est déjà l’ouverture des portes, et les premiers visiteurs passent le portail en présentant leur invitation aux hôtesses d’accueil, admirant leur plastique irréprochable au passage. C’est un véritable déferlement de naturistes dans les rues de la ville, un premier succès pour Caroline. Charles et Jérémie suivent attentivement la foule pour contrôler les éventuels débordements. Charles a l’habitude de fréquenter des centres naturistes, mais pas Jérémie. Il est mal à l’aise, nu comme un ver, mais quand il regarde autour de lui, il reprend du moral en détaillant un à un les corps dénudés. Il admire de beaux fessiers féminins, des tétons pointus, de belles foufounes bien taillées, il se demande s’il ne vit pas un rêve éveillé. Charles lui a remis une casquette, un tee-shirt siglé, une ceinture avec des poches pour le portable et le porte-feuille. Mais Jérémie n’a toujours rien en bas, il trouve cela étrange. Il a pourtant demandé un short, mais Charles a refusé en prétendant que ce n’était pas grave s’il avait une petite érection. Dans le courant de l’après-midi, Charles et Jérémie doivent accueillir les protagonistes du spectacle et les installer dans leur loge. Dans la première loge, Charles a placé Richard et Aline, deux chanteurs d’opéra. Dans la deuxième loge, Aurélie la danseuse s’installe et commence à s’échauffer. Jérémie est subjugué par son allure, sa souplesse, il mate ses tétons exquis, son postérieur délicat.Tout à coup, elle se met à se déhancher, à sautiller. Jérémie ne peut détacher ses yeux de ses attributs féminins, il en éprouve une légère érection. Aurélie s’en amuse, et Jérémie apprécie qu’elle ne lui en veuille pas. Le soir vient, le spectacle va commencer ; la foule a envahi la place centrale et l’orchestre joue des airs bien connus du répertoire. Richard entre en scène, suivi par Aline. Il chante différents airs d’opéra, vêtu d’un costume strict, et Aline enchaîne par un répertoire de soprano, revêtue d’une robe de soirée. Les spectateurs sont enthousiasmés par leur performance, mais très vite, le spectacle va prendre une autre tournure. Aline continue son tour de chant, et soudain, elle laisse tomber sa robe pour apparaître dans une nudité totale. Le public est conquis par sa voix cristalline tout autant que par son corps dévoilé. Quelques instants plus tard, Richard le ténor revient sur scène, totalement dévêtu, et il poursuit son récital. La foule est en liesse devant ce revirement inattendu. Caroline est ravie du succès rencontré par ces deux chanteurs naturistes. Tandis que l’orchestre continue à jouer, la danseuse Aurélie prend place sur la scène. Sans le moindre costume de scène, elle enchante le public par des entrechats et des pirouettes. Sa formation de danseuse classique lui permet de virevolter avec adresse sous les yeux ébahis du public. Jérémie et Charles surveillent la foule, postés aux angles de la scène, et de temps à autre, Jérémie jette un œil sur la danseuse et ses mouvements acrobatiques. Dès la fin du spectacle, Jérémie rejoint la danseuse dans sa loge. Il ne tarit pas d’éloge sur sa prestation. — Avoue que c’est surtout mes seins que tu as regardés !— Non, pas seulement !— Alors quoi ? Ma chatte et mon clito !
Jérémie rougit en entendant ces paroles. — Je plaisantais ! Car moi, de mon côté, je regardais ton petit cul et ta carotte toute fine ! Alors que Jérémie cherche une répartie, elle poursuit : — Désolée, je te charrie un peu. La vérité m’oblige à dire que tu as une vraie bite de taureau ! Pendant que Jérémie et Aurélie font ainsi plus ample connaissance, Caroline emmène le ténor et la chanteuse dans un restaurant à deux pas de là, en compagnie de Charles. Caroline leur demande s’ils font souvent des spectacles en étant nus, et Aline répond : — J’avoue que j’ai souvent chanté les seins nus, certains metteurs en scène trouvent que c’est plus crédible pour des personnages mythologiques. Mais je n’ai jamais chanté entièrement nue, et Richard non plus, je crois.— Et ça vous a plu ?— Bien sûr, surtout devant un public de naturistes, c’était parfait. Charles entame alors une conversation passionnée avec Aline, sur des sujets divers comme l’opéra, le naturisme, ou l’art en général. Dès la fin du repas, Charles emmène Aline se promener sur la place centrale alors que le feu d’artifice de clôture est sur le point d’être tiré. Charles se dirige vers la fontaine, il enjambe le muret et se retrouve les pieds dans l’eau avec Aline, enchantée. Ils apprécient l’ambiance chaude de la foule naturiste autour d’eux. Aline trouve Charles vraiment sympa, elle voudrait bien qu’il l’embrasse. Charles est vraiment subjugué par la chanteuse, pas seulement sa voix, sa plastique, mais aussi sa gentillesse, son charme. Il se rapproche d’elle et leurs lèvres se collent, le baiser est langoureux. Aline ne cherche pas à se dégager de son étreinte, même lorsqu’il caresse ses seins.
L’obscurité règne sur la place, le feu d’artifice va commencer. Aline croit reconnaître Caroline et Richard non loin d’eux, elle est surprise de voir Caroline masser l’entrejambe de Richard. Aline se retourne alors vers Charles qui veut lui toucher les fesses. Totalement subjuguée, elle se met alors à palper le membre de Charles, à sa grande joie. Et quand Aline s’agenouille à ses pieds, et qu’elle comprime son bâton entre ses deux grosses mamelles, Charles ne sait plus à quel sein se vouer. Il savoure son plaisir, les yeux fermés. Aline regarde alors en direction de Richard, qui est maintenant aux petits soins pour Caroline, et elle espère que Charles va faire de même avec elle. Peu après, Charles est à genoux devant elle, il lèche son entrecuisse comme un bon toutou. Les premières fusées du feu d’artifice se déclenchent et tous les regards sont pointés vers le ciel. Caroline s’allonge dans l’eau de la fontaine et Richard au-dessus d’elle la caresse tant et plus. Charles aperçoit alors deux jeunes amoureux enlacés dans les bras l’un de l’autre. Il reconnaît Jérémie et Aurélie, qui profitent aussi de l’obscurité pour se caresser. Caroline les voit au même moment, elle s’étonne que Jérémie, le jeune homme timide qu’elle a connu le matin, soit maintenant si entreprenant avec Aurélie. Sous les yeux éberlués de Caroline et de Charles, Jérémie s’accroupit et lèche assidûment l’abricot de la jeune danseuse qui pousse des cris stridents, mais couverts par le bruit du feu d’artifice. Aurélie est maintenant agenouillée dans l’eau, et laisse Jérémie la prendre par l’arrière. Caroline et Charles sont tous deux étonnés de la fougue du jeune Jérémie qui pilonne la jeune danseuse avec entrain. Elle hurle de bonheur sous les coups de boutoir de son partenaire déchaîné. Caroline et Charles, sidérés, continuent de regarder le spectacle qui s’offre à eux : le dard épais de Jérémie s’introduit maintenant dans la rondelle de la danseuse qui en éprouve un plaisir très intense. Elle se contorsionne dans de mouvements très différents de sa danse habituelle, et Jérémie semble ne plus pouvoir s’arrêter. Mais soudain, les lumières se rallument, et tout le monde se relève, comme si rien ne s’était passé. Caroline emmène sa troupe prendre un dernier verre, et ils passent en revue leur journée, mais sans jamais mentionner l’épisode de la fontaine, pourtant le moment le plus intense et le plus inoubliable.
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