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La ville naturiste

Chapitre 3

la discothèque

Lesbienne
Au cours des semaines suivantes, de nombreuses familles choisissent de venir s’établir dans la ville, occupant des pavillons non loin de la place principale. La ville fait beaucoup parler dans la région, même la presse s’y intéresse : ainsi Mélanie, une jeune journaliste est envoyée par sa rédaction pour effectuer un reportage.
Accueillie par Caroline à l’entrée, elle fait un court passage au vestiaire pour y laisser ses vêtements. Par une légère entorse au règlement, Caroline l’a autorisée à mettre un paréo et Mélanie ressort du vestiaire avec le paréo enroulé autour de son buste et des hanches, cachant ainsi ses principaux atours.Caroline joue alors le rôle de guide, elle fait visiter la ville à la journaliste tout en lui donnant un bref historique. Mélanie fait mine de s’étonner en croisant des habitants qui vaquent à leurs occupations habituelles sans porter le moindre vêtement : ces gens travaillent, font leurs emplettes, tout cela en restant nus !
Elle voudrait pouvoir leur poser plein de questions, Caroline n’y voit pas d’inconvénient. Mélanie se présente à plusieurs passants, demande à les interroger, mais ils refusent. Elle aperçoit alors une mère de famille d’environ 45 ans qui sort du supermarché, portant des sacs volumineux. La journaliste interpelle la jeune femme qui répond volontiers à ses questions. Stéphanie explique pourquoi elle s’est installée dans la ville :
— Nous sommes une famille de naturistes depuis longtemps et nous rêvions de pouvoir rester nus toute la journée, sans jamais s’habiller. Ce rêve est enfin devenu réalité !
Stéphanie propose alors à la journaliste de la suivre dans le pavillon qu’elle occupe avec ses filles. Mélanie la suit, avide de pouvoir observer de près le mode de vie d’une famille naturiste.
En entrant dans la maison, Mélanie aperçoit la fille cadette de Stéphanie, Sandra, 18 ans, qui semble offusquée qu’une étrangère la voie toute nue. Mélanie note que Sandra a pourtant un physique très affriolant, de jolis seins en forme de poire et un charmant popotin ! Rapidement, Sandra saisit un paréo sur une chaise et elle s’en entoure le torse avant de daigner répondre aux questions de Mélanie sur ses premières impressions :
— Je ne suis pas très à l’aise dans cette ville. Je ne sors pas de la maison, je suis des cours à distance. Du coup, je ne vois plus mes amies. Je suis un peu frustrée de vivre ici enfermée !
Mélanie affiche un air de compassion avant de se diriger vers le jardin où elle découvre une autre jeune fille alanguie sur une chaise longue. Noémie, 20 ans, affiche un large sourire et de jolis tétons roses. Mélanie ne peut s’empêcher de jeter un œil curieux sur sa fente intime, bien visible entre ses cuisses. D’emblée, elle comprend que Noémie est la plus exhibitionniste de la famille. Elle pose alors quelques questions à Noémie sur ses motivations et celle-ci répond :
— J’ai beaucoup hésité au début, sachant que mes amies ne pourraient sans doute pas venir ici. Mais maintenant, après quelques semaines dans cette ville, je dois dire que la vie est très agréable. Je suis nue toute la journée et j’adore cette façon de vivre !
Mélanie demande à Noémie si elle s’est fait de nouvelles amies depuis qu’elle est arrivée. Voici sa réponse :
— J’ai beaucoup d’amies en effet. Je dois dire que je suis très attirée par les femmes, et dès que j’en aperçois une qui me plaît, je la suis, et parfois c’est le début d’une belle relation.
Mélanie enregistre ses paroles sur son téléphone, elle en sait beaucoup plus sur la jeune femme maintenant.

Mélanie décide alors de retourner en ville, elle se dirige vers le supermarché où la plupart des clients et des membres du personnel sont totalement dénudés. Mélanie décide d’aller interroger la caissière, Fiona, 25 ans, qui a pour particularité d’être nantie d’une poitrine assez opulente. A la question de savoir si la tenue naturiste ne la gêne pas, Fiona répond :
— Je dois dire que j’ai eu du mal à m’habituer à ma tenue de travail au début ! Je n’avais pas vraiment l’habitude de travailler les seins à l’air. Mais je m’y suis faite progressivement. Je ne m’offusque même plus quand des clients regardent d’un peu trop près mes gros nibards !— Vous arrivez à vous concentrer sur votre travail ? Face à des clients tout nus, j’aurais du mal pour ma part...— C’est vrai, je l’avoue, je suis parfois distraite par les clients, surtout quand j’aperçois une bite en érection ou une foufoune béante ! plaisante-t-elle.
Mélanie prend note de ses déclarations, puis elle va rejoindre Caroline dans son bureau. Mélanie voudrait rentrer à son journal, mais Caroline lui conseille de rester pour se divertir à la discothèque. Mélanie décide de suivre ses conseils, elle se pose sur un canapé et défait son paréo pour être plus à son aise, et elle commence à rédiger son article.
Le soir venu, Mélanie se dirige vers la boîte de nuit. Elle hésite encore à exposer ses seins et sa touffe, mais décide tout de même de garder son paréo à la main, en cas de mauvaise rencontre. Une fois entrée, elle s’assied sur un tabouret au bar, tout en observant ce qui s’y passe. Elle aperçoit Noémie qui se trémousse sur la piste avec d’autres jeunes de son âge, rejointe peu après par Caroline et Fiona. Les jeunes femmes semblent bien s’amuser, elles dansent au rythme de la musique pop. Mélanie les regarde, persuadée qu’elles préparent quelque chose d’un peu louche.De plus en plus de jeunes envahissent la piste, et l’atmosphère est enfiévrée, Noémie et Fiona sont déchaînées, Caroline n’est pas en reste. Soudain, Noémie fait un signe à ses amies, et discrètement, elle se dirige vers le fond de la discothèque, suivie par Caroline et Fiona. Mélanie se demande si elle doit les suivre, mais comme elle est curieuse de nature, elle n’hésite pas longtemps.

En poussant une porte, elle découvre plusieurs jeunes femmes allongées sur des divans dans un petit salon. Mélanie s’aperçoit avec étonnement que Noémie et Fiona sont en train de se caresser très doucement la poitrine. La journaliste est à deux doigts de quitter l’endroit, elle pense que ce n’est pas pour elle, mais Caroline la retient et lui chuchote à l’oreille :
— Ici, il n’y a aucune obligation : tu peux tout simplement regarder. Mais tu peux aussi laisser libre cours à tes envies du moment.
Alors que Caroline se pavane devant elle, Mélanie la trouve vraiment sublime : elle admire ses tétons roses, son postérieur bien galbé et sa fente bien taillée. Mélanie pense alors à son homme adoré, et elle hésite quant à la conduite à tenir. Elle tient là une occasion unique, elle côtoie de superbes jeunes femmes qu’elle connaît bien maintenant. Elle leur a même donné des surnoms, Noémie est la furie, Fiona la tigresse, Caroline la sage. Une atmosphère enivrante se dégage de ces beautés enlacées, qui laissent libre cours à leurs pulsions les plus basiques. Mélanie se remémore ses expériences passées, ses premières relations féminines, bien avant de connaître son homme, et des souvenirs plaisants lui reviennent à l’esprit. Elle se sent prête à réitérer...
Caroline la regarde, admirative :
— Tu es vraiment magnifique, Mélanie, et tes seins sont admirables ! Tu m’autorises à les toucher ?
En guise de réponse, Mélanie s’affale sur un divan et ferme les yeux, s’abandonnant à la volonté de Caroline. La main délicate de Caroline vient lui toucher l’épaule, descend entre ses seins, atteint son nombril, puis elle vient effleurer ses nichons et redescend à nouveau, très lentement, enfin elle atteint son entrecuisse, qu’elle masse avec tact. Mélanie en frémit de plaisir, Caroline vient s’enlacer avec elle, tandis qu’elle peut apercevoir Noémie et Fiona se gamahucher sans limites. Mélanie se dirige alors vers Noémie et s’allonge contre elle. Les deux femmes s’embrassent, s’entremêlent, leurs sexes se frottent l’un avec l’autre ! Mélanie ressent un plaisir jamais éprouvé, si intense. Caroline s’approche à nouveau d’elle et Mélanie vient lécher son délicat capuchon : immédiatement, Caroline part dans un orgasme dément.
Mélanie ne sait plus où elle en est ni avec qui elle est. Elle goûte à tous les plaisirs, elle change de partenaire plusieurs fois : elle lèche les tétons de Fiona, elle dévore la chatte de Caroline, elle enfonce son index dans la rondelle de Noémie. Puis alors que la langue de Caroline fait des merveilles sur son bouton de rose, Mélanie en éprouve une jouissance intense ; parfois un jet de cyprine monte de ses entrailles, et un spasme violent la secoue. Mélanie retourne fourrer sa langue dans l’antre de Noémie, puis elle va oser fister Caroline. En fermant les yeux, elle sent des doigts profondément insérés dans son puits d’amour, et elle va jouir encore et encore.
Elle s’enlace encore avec Fiona, se love contre sa large poitrine, se frotte contre elle, elle ressent un violent orgasme suivi d’un autre avec Noémie ou Caroline, elle ne sait plus. Au petit matin, Mélanie rentre chez elle, et elle fait le bilan de sa journée : elle a la matière d’un très bon article, et surtout elle a fait de belles rencontres. Sa vie ne sera plus jamais comme avant.
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