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Vincent et ses salopes

Chapitre 2

la cousine

Avec plusieurs femmes
Vincent et ses salopes 2
La cousine
Voilà maintenant 5 jours que Vincent baisait tous les jours avec ses collègues Valérie et Camille, qu’il avait d’ailleurs mise enceinte, elles lui vidaient tellement les couilles qu’il rentrait chez lui sans désir de coucher avec sa propre femme.
Même si Bao avait un certain appétit sexuel, elle ne préta pas tellement attention au manque d’enthousiasme de son mari, lorsqu’elle essayait de l’exciter un peu.Ce week-end, ils devaient encore se rendre chez ses parents à cause de l’état de santé de sa mère et Vincent, si prévenant, accompagnerait aimablement sa cousine Zhang pour ses essayages en préparation de son mariage.
Bao ne vit rien d’inhabituel dans le comportement de son mari, si ce n’est un certain manque de vigueur lorsqu’ils étaient au lit, mais elle fut légèrement troublée, lorsque Zhang vint chercher Vincent pour qu’il l’accompagne au magasin d’essayage.
Celle-ci portait une minijupe souple, qui lui arrivait tout juste sous les fesses, avec un petit haut qui moulait parfaitement sa poitrine de 90C, tout en lui faisant un profond décolleté, pour parfaire le tout, elle portait des cuissardes qui lui arrivait au-dessus du genou, et qui la rendait outrageusement sexy.
Bao se dit qu’avec une telle tenue, elle aurait pu faire la pute sur le trottoir, et sans savoir qu’elle visait juste, elle lui dit :
— Eh bien, Zhang, tu veux exciter mon mari avec une telle tenue.
Zhang devint rouge de honte, depuis l’évènement de la semaine passée, elle n’avait cessé de repenser au regard vicieux de Vincent qui l’avait surpris nue dans la cabine, elle avait rêvé de lui, en train de la baiser dans la cabine.Alors, aujourd’hui, elle s’était habillée en petite salope, en espérant que cela ne se remarque pas trop, mais apparemment c’était raté.Elle tenta tout de même de garder son sang-froid, et répondit :
— Tu as un mari fidèle, et je serais bientôt mariée, moi aussi.
Mais même si elle avait confiance en son mari, Bao n’était pas dupe, Zhang était une superbe jeune femme de 25 ans, avec tous les atouts pour séduire un homme, alors quand Vincent arriva et découvrit la belle Zhang dans sa tenue de salope, elle sut qu’il n’allait pas résister longtemps.Alors avant qu’il ne parte avec cette jeune garce, elle le prit à parti, elle tenait à son mariage et connaissait parfaitement les faiblesses des hommes, alors elle prit sur elle et comme elle n’appréciait guère Zhang avec sa poitrine aussi grosse que la sienne, elle dit à Vincent :

— Mon chéri, je sais que tu risques d’être tenté par Zhang, et vu sa tenue, je pense qu’elle cherche à te séduire.
Faisant l’innocent, Vincent tenta de répondre :
— Ah bon, tu crois ? …— Ne t’inquiète pas, je comprendrais parfaitement que tu sois faible devant l’appel de la chaire, surtout celle d’une aussi ravissante jeune fille.
Vincent était stupéfait par la phrase de sa femme, mais il hésitait encore sur ses intentions, allait-elle vraiment l’autoriser à baiser avec Zhang ou le menaçait-elle s’il succombait, il la laissa alors continuer.
— Mais si tu comptes baiser cette petite garce, je te saurais gré de lui faire subir tout ce que je t’ai refusé et ne sois pas tendre avec cette petite salope, il faut bien qu’elle comprenne que si elle s’attaque aux maris des autres, il faut qu’elle en paye le prix.
Vincent en resta bouche bée, Bao venait de l’autoriser à baiser avec Zhang, il ne sut quoi répondre, alors quand Zhang l’appela pour partir, il prit la direction de la sortie sans quitter sa femme des yeux, au cas où elle change d’avis, mais celle-ci ne fit que bouger les lèvres et lui sourit, il comprit parfaitement ce qu’elle lui dit :
— Défonce-la.
Il accompagna Zhang dans sa tenue de salope jusqu’à sa voiture, encore abasourdi par ce que sa femme venait de lui dire.Ils prirent donc la route, et tout en conduisant, Vincent se rendit compte que le genou de Zhang avait tendance à être très proche du levier de vitesse, alors comme il avait la mauvaise habitude de laisser sa main dessus, ses doigts effleurèrent souvent la cuissarde de Zhang.Elle n’avait pas parlé depuis un petit moment et alors que le regard de Vincent remontait le long de la cuisse de cette superbe salope, il se rendit compte qu’il pouvait même apercevoir son petit string noir.
Bien décidée à coucher avec Vincent, elle avait glissé volontairement sur son siège et écarté les cuisses afin de lui offrir une vue directe sur son petit string, mais afin que cela semble involontaire, elle fit semblant de s’être assoupie, attendant innocemment que son chauffeur abuse d’elle.
Vincent avait du mal à se concentrer sur sa conduite, ses yeux ne cessaient de passer de la route au string noir de Zhang, il avait remarqué qu’elle s’était assoupie, et sa posture si indécente l’excita au plus haut point, alors profitant qu’ils soient sur une autoroute et qu’il n’ait plus de changement de vitesse à faire avant un moment, il glissa doucement sa main du pommeau de vitesse au genou de Zhang.
Celle-ci commençait à s’impatienter, alors quand elle sentit enfin les doigts de Vincent se poser sur son genou, elle sentit sa petite chatte se mettre à frétiller.Vincent eut rapidement la main entière sur le genou de sa passagère, sans que celle-ci ne réagisse, alors le cœur battant la chamade, il entreprit de remonter sa main sur sa cuisse nue, lorsque son petit doigt passa du contact froid de la cuissarde à la peau douce et chaude de la peau de Zhang, il y eut comme une décharge électrique qui remonta de son doigt jusqu’à son cerveau.
Le contact de la peau de Zhang était si doux et si agréable, qu’il cessa d’y aller avec précaution, en moins de 10 secondes, il avait toute la main sur la cuisse de la jeune cousine de sa femme, et celle-ci ne semblait toujours pas bouger.
Il entreprit alors de lui caresser doucement la cuisse, en remontant doucement vers son string, il lui sembla que plus sa main approchait de son entrecuisse et plus il sentait une chaleur humide à cet endroit.
Lorsqu’enfin son petit doigt effleura le string de cette superbe jeune femme, il l’entendit pousser un léger soupir, il stoppa immédiatement sa main, mais il lui sembla qu’elle avançait encore ses fesses sur le siège, en écartant davantage les cuisses, alors dans une posture plus qu’obscène, elle lui attrapa la main, et tout en écartant son string, elle la posa sur sa chatte trempée, en lui disant :
— Vas-y, mets-moi tes doigts.
Après ses deux collègues, c’était la cousine de sa femme qui se transformait en grosse salope, mais Vincent ne se fit pas prier et enfonça directement deux doigts dans la chatte complètement moite de Zhang, elle poussa alors un long râle de plaisir en sentant enfin les doigts de Vincent lui fouiller la chatte.Elle en rêvait depuis plusieurs jours, elle les sentait enfin en elle, alors n’y tenant plus, elle envoya sa main sur la braguette de son pantalon et alla lui branler la bite qu’elle sentait déjà bien dure à l’intérieur.Vincent avait de plus en plus de mal à se concentrer sur la route, et comme ils sortaient de l’autoroute, il dut abandonner la chatte gluante de sa jeune salope, il recula légèrement son siège et lui dit :
— Viens me sucer, salope.
Zhang ne se fit pas prier, elle se mit à genou sur son siège et s’attaqua aussitôt à la braguette de Vincent, avec une dextérité qui l’étonna elle-même, elle libéra l’objet de ses désirs, et plongea dessus comme une affamée, elle se mit alors à lécher et à sucer cette bite dont elle rêvait depuis des jours.Après tant d’attente, elle n’était pas déçue, la bite de Vincent était bien dure et palpitait sous sa langue, alors elle se mit à la pomper comme une bonne salope.Mais avec ses salopes du bureau, Vincent avait pris gout au gorge profonde, même Valérie avait fini par réussir à avaler toute sa bite, alors suivant les consignes de sa femme, Vincent appuya sur la tête de la jeune salope pour qu’elle avale toute sa queue, en lui disant :
— Allez, salope, avale toute ma bite.
Même si Zhang n’était plus une novice de la pipe, elle n’avait jamais prise une bite jusque dans la gorge, alors quand le gland cogna contre sa luette, elle eut un haut le cœur et tenta de recracher cette queue trop envahissante, mais conformément à la demande de sa femme, Vincent ne fut pas tendre avec sa jeune salope, il lui maintint la tête sur sa queue et continua d’appuyer pour qu’elle avale enfin toute sa bite.
Zhang avait les larmes aux yeux, mais elle ne pouvait s’échapper, elle ne put faire autrement que de tenter une nouvelle fois d’avaler cette bite devenue incommodante, elle sentit une nouvelle fois le gland percuter sa luette, et eut un nouveau haut-le-cœur, mais Vincent continuait d’appuyer sur sa tête, elle ne put faire autrement que de continuer à avaler cette bite, et alors que le gland déflorait sa gorge et que son nez était enfoui dans les poils pubiens de Vincent, elle sentit un puissant orgasme lui traverser le corps.
Alors qu’elle maudissait Vincent de l’avoir forcer à avaler sa bite, voici qu’elle jouissait comme une folle, maintenant qu’elle sentait son gland glisser jusque dans sa gorge, elle était complètement perdue, elle cessa de lutter et même si elle avait un mal fou à respirer, elle resta sans bouger avec la bite tout entière de Vincent jusque dans la gorge.
Sentant qu’elle avait cessé de résister, Vincent repris le volant à deux mains, et lui dit :
— C’est ça, petite salope, maintenant pompe moi la bite tout entière.
Zhang se mit alors à faire coulisser la bite de Vincent jusque dans sa gorge, et même si les haut-le-cœur étaient encore présents, ils n’étaient rien comparé au plaisir qu’elle ressentait lorsque le gland glissait dans sa gorge.
Mais la posture de Zhang, à genou sur le siège passager, le cul en l’air, sa minijupe s’était retroussée, laissait apparaitre une magnifique paire de fesses séparées par un tout petit string, Vincent ne résista pas à l’envie d’aller les caresser et comme il était devenue très friand de la sodomie avec ses salopes du bureau, il n’hésita pas à aller titiller le ravissant petit cul de Zhang.
Pourtant tout comme sa gorge, son cul n’avait encore jamais été visité, ne serait-ce que par un doigt, alors quand elle sentit que Vincent commençait à lui titiller l’anus, elle sut qu’il allait le lui enfoncer, elle connaissait la sodomie, ou du moins en théorie, elle savait que certaines femmes et les hommes gays la pratiquaient régulièrement, et alors qu’elle avait la bite de Vincent jusque dans la gorge, elle le laissa jouer avec son anus.
Même si sa femme ne voulait pas qu’il soit tendre avec elle, il ne voulait pas non plus lui faire mal, alors il alla plusieurs fois humidifier son doigt avec la mouille qui suintait de sa chatte et revint vers son cul pour bien lui lubrifier.
Zhang fut surprise d’être excitée par ce va-et-vient du doigt de Vincent et fut encore plus déconcertée d’être impatiente qu’il lui enfonce son doigt dans le cul.Quand elle sentit enfin qu’il lui appuyait sur l’anus, elle recracha la bite de Vincent et lui grogna :
— Ouiii, vas-y, enfonce-le dans mon cul.
Mais ils approchaient de plus en plus de leur destination et même s’ils traversaient les petits villages, le plus rapidement possible, il arrivait que Vincent doive s’arrêter à un feu, il faisait son possible pour repartir rapidement, mais il devint fréquent que les jolies petites fesses de Zhang soit l’attraction principale des piétons.
Cependant Vincent n’était pas prêt à partager, ou du moins pas encore, alors il les laissa se branler en continuant à fouiller le mignon petit cul de Zhang, en l’entendant gémir de plaisir.Mais ils arrivaient en ville, ils allaient devoir mettre un terme à leur petit jeu lubrique, néanmoins depuis qu’il baisait et enculait ses collègues, Vincent avait acheté quelques petits sextoys pour elles, et comme il espérait secrètement baiser avec la belle Zhang, il en avait ramené quelques-uns, il attrapa donc l’un d’eux et le glissa entre ses fesses, elle fut surprise de sentir un objet froid autour de son cul, mais il faisait tellement chaud entre ses superbes fesses, qu’il ne mit pas longtemps à se réchauffer, et lorsque Vincent commença à le lui enfoncer dans le cul, elle le laissa faire en geignant de plaisir.
Elle se retrouva rapidement avec cet objet étrange planté dans son cul, et Vincent lui dit :
— Assis-toi, salope, on arrive en ville.
Elle réalisa d’un seul coup qu’elle avait traversé plusieurs villages avec le cul à l’air, en train de pomper la bite de Vincent, elle eut la honte de sa vie, mais curieusement, elle ressentit également une intense jouissance, elle reprit, tout de même, une posture plus convenable sur son siège, et constata que l’objet que Vincent lui avait mis dans le cul, l’excitait énormément, alors lorsqu’il lui tendit deux nouveaux objets tout aussi étrange, elle ne sut quoi en faire, jusqu’à ce qu’il lui dise :
— Accroche-les à tes tétons, je suis sûr qu’une salope comme toi, va adorer ça.
Elle regarda plus attentivement les deux objets et remarqua une petite pince sur chacun d’entre eux, elle devina qu’elle devait se pincer les tétons avec, elle admit que lorsque Steeve, son futur mari, faisait rouler ses tétons entre ses doigts et les pinçait légèrement, cela avait tendance à l’exciter fabuleusement, mais de là à s’accrocher des pinces dessus.Mais Vincent insista :
— Qu’est-ce que tu attends, salope, allez, accroche-les à tes nibars.
Elle avait remarqué qu’à chaque fois que Vincent la traitait de salope, elle avait tendance à être encore plus excitée, et à chaque fois, elle satisfaisait ses moindres désirs.Alors encore une fois, elle lui obéit, elle souleva son petit haut, dévoilant ses superbes seins, et approcha la première pince d’un de ses tétons, elle la relâcha doucement, et au fur et à mesure que son téton fut écrasé par cette petite pince, elle sentit son entrecuisse fondre de plus en plus.
Elle la lâcha complètement et laissa pendre le petit pendentif accroché à la pince, en poussant un profond soupir de plaisir, elle ne perdit pas de temps et approcha la seconde pince de son téton encore libre, mais elle y alla peut-être un peu trop rapidement cette fois, elle ressentit une légère douleur, qui fut rapidement effacé par le plaisir qu’elle ressentit à avoir ses deux tétons comprimés par ces deux objets incroyables.
Alors que Vincent s’était arrêté à un feu rouge, et que sa magnifique poitrine était visible de tous les piétons, elle mit un certain temps à recouvrir ses seins avec son petit haut, laissant tout le loisir aux inconnus de les admirer avec soin.
Elle ne put qu’admettre que tous les regards des hommes sur ses seins, l’excitait incroyablement, et elle ne les recouvrit que lorsque Vincent redémarra, mais son top était si moulant, qu’on voyait parfaitement ses tétons écrasés par les pinces et le fin tissu qui frottait dessus ne faisait que rajouter à son excitation.
Ils arrivèrent enfin à la boutique, se garèrent, mais lorsque Zhang voulut descendre de la voiture, elle constata qu’elle mouillait tellement, qu’elle avait les cuisses complètement trempées, même sa minijupe était imprégnée de sa mouille, elle avait terriblement honte, et hésita à sortir, mais Vincent vint lui ouvrir la portière et lui dit :
— Allez, ma petite salope, montre à tout le monde quelle petite pute, tu es.
Vincent avait trouvé le mot juste, elle était une véritable petite pute, et encore une fois, cela ne faisait que l’exciter davantage, elle obéit à son bourreau, et sortit de la voiture, dans sa tenue de salope, avec un plug dans le cul et des pinces sur les tétons.
Elle sentit sa mouille couler à flot sur ses cuisses, et atteindre ses cuissardes, tout le monde la regardait dans la rue, elle avait l’impression que tout le monde savait qu’elle avait la chatte complètement trempée, les hommes la dévoraient des yeux, tandis que les femmes la méprisaient.
Vincent lui donna son bras pour l’accompagner jusqu’au magasin, elle se rendit compte qu’elle avait un mal fou à mettre un pied devant l’autre, elle avait l’impression que sa chatte perdait trois litres de cyprine à chaque pas.
Ce n’était pas tout à fait le cas, mais elle mouillait suffisamment, pour que des gouttes de cyprine tombent de sa chatte sur le sol et qu’on puisse la suivre à la trace.Ils étaient d’ailleurs en train de monter les marches pour accéder au magasin, lorsque d’un seul coup, un chien que son maitre tenait avec une laisse extensible tomba sur ses gouttes de cyprine, il renifla d’abord les traces tombées au sol, et ne mit pas longtemps à trouver l’origine de cette odeur de chienne en chaleur.
Tandis que son maitre était en train de discuter avec un de ses amis, qu’il venait de croiser, le chien suivit les traces de cyprine, et avant que Zhang et Vincent ne soient arrivés à la porte du magasin, le museau du chien se glissa sous sa minijupe.
Cette dernière avait les sens tellement à fleur de peau, que sentir une chose froide et humide entre ses cuisses ne fit que l’exciter davantage, elle n’osa pas regarder ce que c’était, elle ne fit que s’immobiliser et laissa cette chose explorer son entrecuisse.
Quand d’un seul coup, le chien se mit à laper ses cuisses et sa chatte, elle poussa un puissant gémissement de plaisir, Vincent se demanda pourquoi cette petite salope prenait son pied, il regarda ce qu’il se passait derrière elle, et découvrit le chien en train de lui lécher la chatte.
Il ne fit rien pour l’arrêter et dit à Zhang :
— Tu es vraiment une grosse pute en chaleur, tu laisses même les chiens te bouffer la chatte.
Elle tourna la tête et découvrit à son tour, le chien qui la faisait jouir intensément, mais même si elle avait terriblement honte, elle n’arrivait pas à l’arrêter, elle prenait un plaisir fou avec la langue du chien, et elle ne voulait pas que ça s’arrête.
Mais heureusement pour elle, ou peut-être malheureusement, son propriétaire sentit que son chien tirait sur la laisse, alors il tira dessus pour le ramener à lui, libérant Zhang de cette langue tellement jouissive.Zhang était au bord de l’orgasme, elle fut presque frustrée qu’on retire cette langue de sa chatte en feu, Vincent put enfin la faire rentrer dans le magasin, et Marie, la vendeuse qui s’était occupée d’elle, la semaine passée, la reconnut et s’approcha d’elle.Elle remarqua aisément que Zhang n’était pas dans son état normal, alors elle lui demanda :
— Tout va bien, Mlle ?— Non, pas très bien…— Vous voulez vous assoir ?— Oui, je veux bien.— Suivez-moi, je vais vous emmener dans le salon VIP, vous pourrez reprendre des forces.
Elle emmena Zhang et Vincent dans un petit salon privé, avec un grand canapé, et de grandes glaces pour que les clientes aisées puissent s’admirer, pendant que leurs amies patientaient.Marie plaisait beaucoup à Vincent et depuis qu’il baisait régulièrement avec deux salopes au bureau, il se dit que la petite Zhang pourrait peut-être l’aider à séduire la vendeuse.Marie était une superbe guadeloupéenne, de 26 ans, assez grande et très fine, 1,75m pour 57 kg, la peau ébène, elle avait une petite poitrine que Vincent estima à du 85B, et elle possédait un cul de black magnifiquement bombé.
Elle avait accompagné Zhang dans le salon privé, et tout en l’aidant à s’assoir sur le canapé, elle remarqua les pinces que sa cliente avait sur les tétons, elle comprit alors pourquoi elle était si troublée, et loin de la choquer, Marie fut un peu émoustillée, elle avait, elle-même, les tétons très sensibles et les sentit durcir par cette découverte.
Mais Vincent bandait déjà bien dure, alors lorsque la ravissante Marie se pencha sur Zhang, il ne put résister à ce ravissant petit cul bien bombé, et profita qu’elle soit penchée en avant, pour approcher sa bite au raz de ses fesses, si bien que lorsqu’elle se redressa, elle sentit la belle bosse bien dure contre son cul.
Elle mit une longue seconde à remarquer la présence de Vincent dans son dos, et même si elle reconnut rapidement ce qu’elle avait contre les fesses, elle mit plusieurs secondes à se décider si elle devait mettre fin à ce contact excitant ou si elle désirait encore sentir cette virilité masculine contre son cul.
Ce n’est que lorsque Vincent tenta de lui caresser les fesses, qu’elle se dit que ça allait trop loin, surtout devant sa cliente, alors presque à contrecœur, elle se déroba, en s’excusant auprès du client.
Afin de retrouver ses esprits et d’échapper aux caresses de Vincent, elle dit à Zhang qu’elle devait aller chercher sa robe pour les derniers essayages, et à peine avait-elle franchi la porte du salon privé, que Vincent dit à Zhang :
— Tu vas m’aider à la baiser.
Encore troublée de s’être fait lécher la chatte par un chien, Zhang lui demanda :
— Tu veux faire ça ici ?— C’est parfait, tu ne trouves pas, personne ne viendra nous déranger, et une salope comme toi, serait capable de baiser même en pleine rue, n’est-ce pas ?
Zhang ne sut quoi répondre, Vincent avait raison, si le chien avait continué à lui lécher la chatte, elle aurait été capable de se faire baiser, en pleine rue, et peut-être même par le chien, elle en avait terriblement honte, mais c’était également terriblement excitant.
De l’autre côté de la porte, Marie était à peine mieux, il lui arrivait souvent de sentir le regard lubrique des hommes qui accompagnaient la mariée sur elle, et cela l’excitait beaucoup, mais jamais elle n’avait senti le sexe bien dure d’un client contre son cul, elle avait honte d’avoir fait durer ce contact bien trop longtemps pour que le client puisse se dire qu’elle ne l’avait pas senti, surtout qu’il avait même tenter de lui peloter le cul.
Elle avait été à deux doigts de le laisser faire, il fallait qu’elle se reprenne, si elle ne voulait pas d’ennui, elle attrapa la robe de sa cliente et se dit qu’elle devait éviter tout nouveau contact avec le client, qui était en plus, beaucoup plus vieux qu’elle.
Mais même si Marie était ravissante, elle était célibataire depuis plusieurs semaines, il faut dire qu’elle n’aimait pas s’attacher, elle préférait garder sa liberté, et profiter de la vie, lorsqu’elle sortait avec ses amies, il lui arrivait de ramener un homme dans son appartement, afin de satisfaire ses besoins sexuels, mais le dernier en date avait été le plus mauvais amant qu’elle ait rencontré, alors quand elle avait senti la bite bien dure de Vincent contre ses fesses, ses sens s’étaient aussitôt mis en éveil, et son corps avait réclamé davantage de caresse.
Elle mit un moment à revenir dans le salon privé avec la robe, attendant d’avoir pleinement repris le contrôle de ses sens, et lorsqu’elle franchit de nouveau la porte du salon, elle vit que Zhang semblait aller un peu mieux, alors elle lui demanda de passer derrière le paravent pour se changer, et d’enfiler la robe.
Mais l’homme qui l’accompagnait, répondit :
— Pas besoin, de se cacher, elle peut se changer devant nous, n’est-ce pas, ma petite salope ?
L’une comme l’autre, furent troublées par la phrase de Vincent, même si Zhang avait totalement admis être une salope, c’était la première fois qu’elle se faisait traiter ainsi en public, et devant une inconnue.Quant à Marie, cette phrase leva tous les doutes qu’elle avait pu encore avoir, concernant la relation que sa cliente entretenait avec cet homme qui avait pratiquement le double de son âge, mais curieusement, cela ne la choqua pas, elle ressentit même une étrange jalousie.Quand Zhang commença à se déshabiller devant elle, que Marie aperçut les pendentifs accrochés à ses tétons, et sentit son entrecuisse frétiller d’envie, jamais elle n’avait porté ce genre d’objet, et était très curieuse de savoir si c’était douloureux ou non.Elle fixait tellement les tétons de Zhang, que celle-ci lut dans ses pensées et lui répondit :
— Ce n’est pas du tout douloureux, c’est même très excitant, tout comme ce qu’il m’a mis dans le cul tout à l’heure.
Joignant le geste à la parole, Zhang lui tourna le dos et se pencha en écartant ses fesses pour montrer le plug qu’elle avait dans le cul.Cette fois, Marie sentit son entrecuisse se mettre à fondre complètement, même si elle avait peu de doutes sur le sujet, elle se rendit compte qu’elle venait de tomber sur deux pervers, mais curieusement elle n’était pas gênée, et en matant les fesses de Zhang dont l’anus était obstrué par un plug anal, elle se dit qu’elle avait bien fait de les emmener dans le salon privé.Mais elle était tellement fascinée par les pinces sur les seins de sa cliente et le plug dans son cul, qu’elle n’avait pas fait attention à Vincent, qui s’était doucement rapproché derrière elle, et alors qu’elle avait les yeux rivés sur les fesses de Zhang, elle l’entendit lui susurrer :
— Vous pouvez toucher, si vous voulez, cette salope n’attends que ça.
Marie sembla encore indécise, alors Zhang se retourna et tout en bombant la poitrine, elle lui dit :
— Vous préférez peut-être toucher mes seins, ne soyez pas timide.
Marie laissa alors tomber la robe de mariée sur le sol et posa ses mains sur les seins de sa cliente, en l’entendant pousser de légers soupirs de plaisir lorsqu’elle effleura ses tétons.Vincent sut que c’était gagné, il se glissa alors derrière la belle black, et tandis qu’elle caressait les seins de Zhang et jouait avec les pendentifs de ses tétons, il vint de nouveau plaquer sa bite bien dure entre ses fesses.Bien qu’elle le sentît se plaquer contre son cul, Marie ne bougea pas d’un pouce et le laissa faire, elle ne tourna la tête que pour voir ce qu’il faisait lorsqu’il s’attaqua à la fermeture éclair de la jupe de son tailleur, mais encore une fois, elle ne fit rien pour l’arrêter, et se retrouva rapidement en string devant ses clients, et tandis qu’elle le voyait commencer à se défroquer, elle l’entendit dire à sa complice :
— Occupe-toi du haut, je vais m’occuper du bas.
Elle sentit alors les mains de sa cliente lui retirer sa veste de tailleur, et en voyant la belle bite, bien dure, que l’homme s’apprêtait à lui enfoncer, elle aida sa nouvelle partenaire à la déshabiller, elle se retrouva en sous-vêtement en moins de 10 secondes, et tandis que la femme lui dégrafait son soutien-gorge, Marie regardait l’homme lui retirer son string, elle l’envoya valser dès qu’il se retrouva à ses chevilles, elle mourrait d’impatience de sentir cette belle bite s’enfoncer en elle.
Alors dès qu’elle fut complètement nue entre ses clients, elle regarda l’homme lui fourrer sa bite dans sa chatte trempée, tandis que la femme venait lui peloter les seins, Marie poussa alors un profond gémissement de plaisir, elle tourna la tête vers Zhang et elles se roulèrent une pelle langoureuse en se pelotant les seins mutuellement.
Elle se faisait baiser par ses clients, et elle adorait ça, la bite de Vincent la faisait jouir comme une folle, elle joua avec les pinces de Zhang la faisant pousser des petits cris de plaisirs, alors celle-ci se vengea en lui pinçant ses tétons, Marie se mit alors à crier de plaisir, à son tour.
Ivre de plaisir, elle se mit à envoyer sa chatte sur la queue de Vincent, accélérant les va-et-vient, elle-même, et quand ce dernier tenta de lui enfoncer un doigt dans le cul, elle sut qu’elle se prendrait bientôt sa bite par-là, également, mais Marie n’était pas une novice de la sodomie.
Le jour même de son dépucelage, elle avait également eu droit à sa première bite dans le cul, depuis elle avait pris l’habitude de se faire enculer par ses partenaires, et comme tous les hommes, avec qui elle baisait, étaient attirés par son cul bien bombé, c’était presque devenu normal pour Marie qu’ils lui fourrent leur bite dans le cul.
Alors quand Vincent se rendit compte de la souplesse de son orifice, habituellement moins enclin aux visites extérieures, il lui dit :
— Tu m’as l’air d’avoir l’habitude de te prendre des bites dans le cul, ma salope.
Mais Marie avait la bouche pleine de la langue de Zhang pour pouvoir lui répondre, elle se contenta de le laisser jouer avec son trou de bal, en continuant d’accélérer les va-et-vient de sa bite au fond de sa chatte.
Vincent prenait un plaisir fou à voir sa bite blanche disparaitre dans la chatte de cette superbe black, mais son magnifique petit cul, lui faisait vraiment trop envie, et comme il paraissait très accueillant, il n’hésita pas longtemps avant de changer d’orifice, il sortit alors sa bite de la chatte brulante de Marie et lui enfonça d’une traite sa bite dans le cul.
Heureusement qu’elle avait l’habitude de se faire enculer, sinon elle aurait énormément souffert avec une pénétration aussi brutale, mais malgré tout, elle abandonna la bouche de Zhang pour crier à la fois de surprise et de plaisir en sentant cette bite bien dure s’enfoncer dans son cul.
Elle laissa Vincent commencer les va-et vient dans son cul, et reprit la bouche baveuse de Zhang, Vincent était tellement ivre de plaisir en regardant sa bite coulisser dans ce superbe cul noir, qu’il sentit l’éjaculation approchée, alors il se mit à tenter quelque chose qu’il n’avait encore jamais fait.
Il attrapa sa bite et se mit à changer d’orifice à chaque fois, une fois dans le cul de Marie et une fois dans sa chatte, cela lui permit de retarder un peu l’éjaculation, tout en prenant un plaisir fou à baiser cette superbe salope par les deux trous.
Ce fut également une première pour Marie, elle eut l’impression qu’elle se prenait deux bites alternativement, ça la fit tellement jouir, qu’elle abandonna de nouveau la bouche de Zhang et se mit à crier :
— OUIIIII, ENCOORREEEE, C’ESSSTT TROOOPPP BOOONNNN, DEFONCCEEEE-MOIIIII PAAARRRR TOUUUSSSSS LLEESSSS TROOOUUUSSSS.
Mais le moment fatidique finit par arriver, et dans un ultime coup de rein au fond du cul de la superbe black, Vincent se cramponna à ses fines hanches et lui gicla tout son sperme dans le cul.
Marie eut un puissant orgasme au même moment et finit par s’effondrer sur le sol, laissant Vincent finir de lui gicler sur le dos.Zhang regarda Marie jouir intensément, elle en fut terriblement jalouse, elle aurait aimé être à sa place, mais dû se contenter de regarder Vincent maculer le dos noir de la belle black, avec son sperme blanchâtre.Quand il eut fini de gicler sur Marie, elle fut de nouveau confuse de l’entendre lui dire :
— Nettoie-moi ça, sale pute.
Elle allait venir lui sucer la queue, mais il précisa :
— D’abord ce que j’ai mis sur ta copine et aussi celui dans son cul, il me reste un orifice à visiter à cette salope.
Il vint se placer à genou devant Marie et lui releva la tête en lui disant :
— Allez, ma petite pute, goute un peu à ça.
Marie était encore étourdie de son dernier orgasme, elle se laissa faire et ouvrit la bouche pour avaler la bite gluante de sperme de Vincent, tandis que Zhang commençait à lécher les multiples traces de sperme qu’elle avait dans le dos, et descendait doucement vers ses fesses.Ce n’était pas la première fois que Zhang goutait au sperme d’un homme, mais c’était bien la première fois qu’elle le léchait sur le dos d’une femme, et tandis que Marie se remettait de son orgasme et se mettait à pomper plus activement la bite de Vincent, Zhang arrivait doucement à son anus.Elle vit le sperme de Vincent suinté doucement de cet orifice écœurant, et sembla hésiter sur le fait de lécher cet endroit si dégoûtant, mais alors que Marie avalait maintenant la bite tout entière de Vincent, lui pompant jusqu’à la dernière goutte de sperme, et lui procurant un plaisir incroyable, il vit que Zhang hésitait à lécher le cul de la belle black, alors il lui grogna :
— Allez, sale pute, bouffe-lui le cul, comme elle me bouffe la bite, cette salope.
Zhang posa timidement sa langue sur l’anus de Marie et commença à lécher le sperme qui en sortait doucement, elle avait craint que le sperme de Vincent ne soit mélangé aux excréments, mais le gout ne semblait pas différent de celui qu’elle avait léché sur le dos de cette salope.
En sentant l’anus palpiter sous ses coups de langue, et en entendant Marie gémir plus fort à chaque fois qu’elle enfonçait sa langue dans son cul, elle se mit l’enfoncer de plus en plus loin, et même si un gout âpre commençait à se faire sentir sur sa langue, elle continua à l’enfoncer jusqu’à l’avoir entièrement dans le cul de Marie.
C’était la première fois pour celle-ci qu’elle se faisait littéralement bouffer le cul, et cela lui procurait un plaisir phénoménal, elle faisait son possible pour continuer à pomper la bite de Vincent, mais la langue de sa cliente la faisait vraiment trop jouir pour qu’elle continue à sucer avec ferveur.
Alors Vincent libéra sa bouche, comme sa bite avait gardé toute sa vigueur grâce à ces deux salopes, et qu’il avait le ravissant petit cul de Zhang sous les yeux avec le plug planté entre ses fesses, il se dit qu’il était temps de baiser cette petite salope.
Il s’agenouilla derrière, et tandis qu’elle avait toujours le visage enfoui entre les superbes fesses noires de Marie, il fourra sa bite dans le chatte trempée de Zhang.Ça faisait maintenant une semaine, qu’elle attendait de sentir cette bite en elle, elle ne cessait de rêver de ce moment, alors quand elle sentit enfin la queue de Vincent s’enfoncer dans sa chatte en feu, elle se redressa et poussa un long râle de plaisir et lorsqu’il lui eut enfoncé toute sa queue, elle lui grogna :
— Ouiiii, vas-y, baise-moi, défonce-moi comme cette salope.
Vincent ne se fit pas prier, et il avait des consignes claires de la part de sa femme, alors il se cramponna aux fines hanches de Zhang et commença à lui défoncer la chatte.Les fesses de Zhang se mirent aussitôt à claquer à chacun de ses coups de queue, elle se mit à crier de plaisir à chaque fois que la bite de Vincent percutait son utérus, même si elle prenait beaucoup de plaisir avec Steeve, son futur mari, il ne l’avait jamais baisé aussi brutalement et aussi sauvagement, et vu le plaisir qu’elle y prenait, elle se dit qu’elle aurait du mal à s’en passer.
Tandis que Zhang gueulait de jouissance, Marie s’était retournée et les regardait baiser comme deux bêtes sauvages, en se caressant la chatte, les cuisses grandes ouvertes.Quand d’un seul coup, Zhang eut son premier orgasme, Vincent sentit son vagin se contracter fermement autour de sa bite, et heureusement pour lui, il venait de jouir dans le cul de Marie, car vu comment la chatte de cette salope lui comprimait la bite, il aurait sans doute tout lâché au fond.
Sa bite était tellement serrée à l’intérieur, qu’il ne pouvait pratiquement plus bouger, il se contenta d’attendre qu’elle se remette de son orgasme et voyant Marie en train de se caresser le clito, il lui dit :
— Approche, salope, et donne lui ta chatte à bouffer, maintenant qu’elle a joui de la chatte, je vais lui mettre dans le cul.
Alors que Zhang reprenait doucement son souffle et qu’elle sentait son vagin relâcher la pression autour de la bite de Vincent, elle lui répondit :
— Doucement, quand même, je suis encore vierge du cul.
Vincent hésita entre sortir le lubrifiant qu’il utilisait de temps en temps avec ses collègues pour les enculer, mais sa femme lui avait demandé de ne pas être tendre avec sa cousine, alors il retira le plug du cul de Zhang et maintenant qu’il pouvait sortir sa bite de sa chatte, il vint la placer contre son anus et commença à l’enfoncer à l’intérieurC’était la première bite que Zhang se prenait dans le cul et même si le plug lui avait permis de s’habituer à avoir un visiteur par cet orifice, il n’était pas de la taille de la queue de Vincent, elle grimaça de douleur, mais après avoir vu la vendeuse jouir comme une folle en se faisant enculer par Vincent, elle voulait, elle aussi, tenter de se la prendre dans le cul.
Même s’il avait décidé d’y aller en force, lorsque son gland réussit à passer les sphincters de Zhang, il resta sans bouger, et lui dit :
— Ça y est, salope, le plus dur est fait, je te laisse faire coulisser ton cul, quand tu seras prête.
Voyant que Zhang avait les larmes aux yeux, dû à la douleur qu’elle ressentait entre ses fesses, Marie se rapprocha d’elle et plutôt que de lui donner sa chatte à lécher, elle vint la consoler et lui dit :
— C’est votre première fois, alors détendez-vous, il n’a pas tort, vous avez fait le plus dur, le reste passera plus facilement, mais il faut vraiment vous détendre.
Zhang essaya de suivre les conseils de Marie, elle se mit à inspirer et expirer profondément, et commença à se détendre, faisant lentement diminuer la douleur, mais elle avait du mal à croire qu’on puisse jouir en se faisant enculer, alors profitant que Vincent reste encore immobile, elle demanda à Marie :
— Comment tu fais pour jouir avec ça dans le cul ?
Marie sourit et répondit :
— A la première sodo, c’est rare qu’on jouisse, mais tu verras, tu vas y prendre gout.
Sentant encore une douleur lancinante autour de son anus, Zhang répondit :
— J’ai du mal à croire.
Marie glissa alors sa main entre les cuisses de Zhang et alla lui caresser le clito, en lui disant :
— Je vais vous donner un coup de main.
Ce fut comme-ci la foudre lui tombait dessus, la douleur disparut instantanément, elle sentit une vague de plaisir monter en elle lentement, et elle sut qu’elle allait jouir comme jamais.Alors elle vint rouler une pelle à sa partenaire, et sans pouvoir se retenir plus longtemps, elle commença à faire reculer son cul sur la bite de Vincent, en entendant ce dernier lui dire :
— Eh bien, ça y est, salope, tu es prête pour te faire défoncer le cul.
Zhang sentit les poils pubiens de Vincent lui chatouiller les fesses, et sut qu’elle avait réussi à se prendre toute sa bite dans le cul, elle ressentit alors une intense allégresse, mais sous la caresse conjointe de Marie sur son clito, elle ne s’arrêta pas là, elle commença à faire aller et venir son cul sur la bite de Vincent et se mit à jouir de plus en plus fort, elle dut bientôt abandonner la bouche et la langue délicieuse de sa partenaire pour pouvoir crier son plaisir.Et alors qu’elle se mettait à geindre de plaisir, Marie lui dit :
— Ça y est, salope, tu vois que c’est le pied, une bite dans le cul.
Zhang ne put se retenir et lui cria :
— OUUIIIII, C’EST TROOOPPPP BOONNNN, OUIIII, EENNNCCCOORREEEE, C’EST BOOONNN, UNNNEEEE BIIITEEEE DANS LE CUUULLL.
Elle sentit alors Vincent s’agripper à ses hanches et envoyer de puissants coups de queue dans son cul, la faisant hurler de jouissance.Marie finit par se mettre devant elle, les cuisses grandes ouvertes et lui dit :
— Allez, salope, maintenant bouffe-moi la chatte, fais-moi jouir.
Zhang plongea sur la chatte de Marie et essaya de lui lécher la chatte du mieux qu’elle pouvait, suivant comment Vincent lui défonçait le cul.Mais à présent, toute douleur avait disparu et il ne restait plus qu’un intense plaisir, et elle eut plusieurs orgasmes avant que Vincent, à bout de force, finisse par jouir une seconde fois, mais cette fois-ci entre ses fesses.Ils étaient, tous les trois en sueur et à bout de souffle, sur le sol, ils venaient de jouir tous les trois comme rarement ils n’avaient joui, même Vincent qui avait maintenant l’habitude d’enculer ses collègues au bureau, avait pris un plaisir fou à débaucher et à enculer la superbe Zhang.Et lorsqu’elle vint se dorloter contre lui, en lui avouant :
— Merci, j’avais envie de toi, depuis la semaine dernière, quand tu m’as surpris toute nue dans la cabine, mais je ne pensais jouir autant, c’était vraiment incroyable.
Vincent avait un peu honte de l’avoir un peu maltraité, il l’enlaça et lui répondit :
— Désolé si j’ai été un peu brutal…— Non, non, ne soit pas désolé, j’ai aimé ça, Steeve est trop doux avec moi, j’ai adoré que tu me maltraite un peu, j’ai joui comme une folle depuis que tu m’as dit de mettre les pinces à mes tétons, c’est vraiment génial le sexe avec toi.
Pressentant qu’elle ne demandait que ça, Vincent lui demanda :
— Tu voudrais recommencer ?— Oh oui, j’espère qu’on pourra encore baiser en secret, tous les deux, même après mon mariage avec Steeve.— Et pourquoi pas pendant ?
L’idée surprit Zhang, mais l’excita énormément, alors elle répondit :
— Ce serait génial, mais ce serait peut-être un peu risqué, non ?— Il suffit de faire attention, et salope comme tu es, je suis sûr que tu ne pourras pas t’en empêcher, alors autant tout prévoir.
Zhang admit que Vincent n’avait pas tort, maintenant qu’elle avait gouté à sa bite par tous les trous, il pourrait la baiser où il voulait, elle dirait toujours oui.Alors quand Vincent lui dit :
— Déjà, on va modifier ta robe et faire en sorte qu’elle soit plus facile à enlever et à remettre.
Marie fut donc mise à contribution et elle nota toutes les modifications qu’elle devait apporter à la robe, comme abandonner les arceaux et les jupons, mettre une longue fente sur le bas de la robe, approfondir le décolleté, et laisser le dos nu, en mettant une fermeture éclair rapide pour retirer et remettre la robe en un rien de temps.Alors qu’une doublure était normalement prévue au niveau de la poitrine pour cacher les seins de la mariée, Marie demanda si on devait la retirer.Vincent était pour, mais même si Zhang était très tentée, également, elle lui dit qu’il y aurait toute sa famille et celle de Steeve, il ne fallait pas aller trop loin, ils décidèrent donc de mettre en place une doublure amovible, Vincent, ayant déjà l’idée de la retirer quand les invités seront un peu éméchés.
Marie nota donc toutes les modifications à apporter, et après leur séance de baise intensive, ils se rendirent compte qu’il était déjà tard, ils avaient passé leur temps à baiser, et la robe que Zhang devait essayer, était au sol avec quelques taches de sperme.Ils se rhabillèrent tous, et Marie rapporta la robe dans la réserve, ils prirent rdv dans deux semaines, le temps que les modifications soient apportées et de faire un nouvel essayage, et Vincent vint caresser discrètement les fesses de Marie, en lui chuchotant :
— J’espère que tu seras là, ma petite salope.— Je ne manquerais ça, pour rien au monde.
Ils allèrent reprendre la route, quand Vincent eut une idée, en voyant les pinces toujours accrochées aux tétons de Zhang, elle le vit chercher quelque chose sur son téléphone, et lui demanda :
— Tu ne te souviens plus de la route ?— Si, si, mais on va passer à une autre boutique avant de rentrer.
Zhang fut intriguée, et lui demanda :
— Ah bon, où est-ce que tu veux aller ?— Tu verras, mais tu t’en souviendras.
Après tout ce qu’elle avait vécu aujourd’hui, Zhang s’attendait à tout de la part de Vincent, mais elle le laissa l’emmener dans un quartier un peu glauque, et le vit s’arrêter devant une boutique de piercing et tattoo, elle lui demanda alors :
— Tu veux me tatouer ?— Ce serait une bonne idée, pour une petite chienne comme toi, mais ce sera pour une autre fois.
Il emmena Zhang dans la boutique un peu inquiétante, et lui demanda de l’attendre à l’entrée, il n’y avait personne dans la boutique, Zhang vit Vincent se diriger vers l’homme très gras au comptoir.Elle ne réussit pas à entendre ce qu’ils se disaient, mais aux regards que l’homme lui jetait, elle devina aisément qu’ils parlaient d’elle, elle commença un peu à paniquer, se demandant ce qu’elle faisait ici, mais les deux hommes semblèrent tomber d’accord et Vincent lui demanda de le suivre dans une pièce dans l’arrière-boutique.Zhang était inquiète, mais elle suivit Vincent et cet homme obèse, dans une petite salle où se trouvait une sorte de fauteuil de dentiste.L’homme lui dit alors :
— Mettez-vous à l’aise ma petite dame, installez-vous confortablement.
Zhang était encore méfiante et le fut encore plus lorsque Vincent lui dit :
— Déshabille-toi, tu seras une toute nouvelle femme en repartant d’ici.
Elle trouva que la journée avait déjà été bien riche en évènement, et elle se trouvait déjà bien changée, elle n’avait pas besoin de se déshabiller devant cet inconnu, pour continuer à se transformer.Mais voyant qu’elle était réticente, Vincent s’approcha d’elle et commença à défaire la fermeture éclair de sa minijupe, en lui disant :
— Ne t’inquiète pas, tu ne feras rien avec le monsieur, sauf si tu en as envie, nous sommes ici pour te faire poser des piercings sur tes tétons, j’ai très envie que tu gardes une marque de cette journée très spéciale.
Avant qu’elle ait eu le temps de répondre, sa minijupe était à ses pieds, Zhang se retrouva alors en string, devant celui qui devait s’occuper de ses tétons, et curieusement elle ne se demanda même pas pourquoi, Vincent lui retirait sa minijupe, alors que l’autre homme devait s’occuper de ses seins.
Elle avait d’abord été surprise par la proposition de Vincent, mais elle fut séduite à l’idée de se faire percer les tétons, elle y avait pensé quelques mois auparavant, alors après ce qu’elle venait de vivre aujourd’hui, elle se dit que ça la rendrait encore plus salope, et c’est tout ce qu’elle voulait être, alors elle laissa Vincent lui retirer son petit haut et se retrouva pratiquement à poil devant l’obèse inconnu.
Etonnamment, elle ne ressentait plus aucune difficulté à se retrouver en string devant lui, elle s’installa confortablement dans son grand fauteuil, tandis qu’il enfilait des gants et un masque chirurgical, elle l’attendit impatiente, qu’il vienne faire son office sur son corps.
Elle le laissa retirer les pinces qu’elle portait depuis plusieurs heures maintenant, et lui désinfecter les mamelons, avant d’en approcher une étrange machine équipée d’une très longue aiguille, même si Zhang était un peu effrayée par l’instrument, elle était également toute excitée à l’idée de se faire percer les tétons, alors quand l’aiguille traversa son téton, elle poussa un petit cri de douleur, et laissa le gros bonhomme lui placer la petite barre à garder le temps de la cicatrisation, ressentant une étrange excitation de se faire tripoter le téton par ce gros inconnu.
La douleur s’estompa rapidement et Zhang laissa son bourreau s’occuper de son deuxième téton, refaisant les mêmes manipulations très professionnelles.Zhang était si excitée lorsqu’il équipa son second téton de la petite barre, qu’elle fut presque frustrée de ne percevoir aucun trouble chez ce ventripotent, elle l’entendit demander à Vincent :
— Cela vous convient ?— Parfait.
Il allait remballer son matériel lorsque, prise d’une envie lubrique, Zhang lui dit :
— Attendez, j’aimerais en avoir un troisième.
L’homme la regarda attentivement, il avait l’habitude de ce genre de salope, et il savait très bien où elle le voulait, alors il lui demanda :
— Vous êtes certaine ?
Excitée comme une puce, Zhang retira son string, écarta les cuisses et offrit sa petite chatte, toute épilée, au regard de cet inconnu, en lui disant :
— Allez-y.
Vincent fut un peu surpris que Zhang désire un piercing sur le clitoris, mais il savait qu’avec ce genre de salope, il fallait s’attendre à tout, il regarda l’homme commencer par lui désinfecter la vulve, puis il entendit gémir Zhang lorsque l’homme attrapa son clitoris entre les doigts, tout approchant son instrument, il lui demanda une dernière fois :
— Certaine ?
D’où il était, Vincent pouvait voir à quel point la chatte de Zhang était trempée, il l’entendit répondre dans un long gémissement :
— Oui, allez-y, je suis une grosse salope et je veux que ça se voit.
L’homme perça alors son clito, faisant à peine crier de douleur la belle Zhang, elle fut un peu surprise, lorsqu’elle regarda sa chatte, elle vit un petit anneau accroché dessus, et ressentit alors une intense satisfaction.Le gros bonhomme partit ranger et nettoyer ses outils, pendant que Zhang admirait ses nouveaux bijoux accrochés à son corps.Vincent se rapprocha d’elle et voulut lui peloter les seins, mais le vendeur lui dit :
— Doucement, il faut le temps que ça cicatrise, avant de pouvoir jouer avec.
Il s’adressa ensuite à Zhang :
— Il faut que vous passiez à la pharmacie pour acheter de la pommade cicatrisante.
Vincent lui répondit :
— Très bien, nous y passerons en rentrant.
Et il s’adressa à Zhang :
— Eh bien, avec ça tu es vraiment une belle salope.— Merci, j’en avais envie depuis longtemps, mais je n’ai jamais osé le faire, j’avais peur de choquer Steeve.— Il va forcément les remarquer, tu n’as plus peur de le choquer ?— Non, et s’il me dit quelque chose, je dirais que c’est une amie qui me les a offerts.— J’aimerai une dernière chose pour toi, mais je ne veux pas que ça t’attire des ennuis quelques semaines avant ton mariage.— Tu veux quoi ?— Eh bien, dis-moi déjà, toi et Steeve, vous baisez toujours dans la même position ou vous êtes plus imaginatif ?— Rhooo, non, Steeve est trop chiant là-dessus, c’est missionnaire, tout le temps.— Très bien, alors voici ce que je te propose…
Vincent lui dévoila son idée, et au regard que lui lançait Zhang, il comprit que l’idée lui plaisait énormément, il dit alors au vendeur, que c’était ok pour la dernière partie.
Une heure plus tard, Vincent et Zhang ressortait de la boutique, après tout ce qu’elle avait vécu aujourd’hui, et ce qu’elle venait de faire dans cette boutique, celle-ci se sentait terriblement salope.
Ils reprirent la route et sans pouvoir attendre d’être sorti de la ville, Zhang envoya sa main ouvrir la braguette de Vincent et lui sortit sa queue pour la branler.Elle fut rapidement bien raide, Zhang la sentait vibrer sous ses doigts, elle ne put alors se retenir très longtemps, tandis qu’ils étaient arrêtés à un feu, et que tous les piétons pouvaient la voir, elle se pencha sur la bite de Vincent et se mit à la pomper comme elle l’avait pompé à l’aller.
Comme à l’aller, sa jupe se retroussa et tous les piétons purent voir son nouveau tatouage sur ses superbes fesses, qui disait : FUCK MEIls rentrèrent sans encombre, et comme Vincent avait joui déjà deux fois avec Marie et Zhang, il mit un moment à se vider une nouvelle fois les couilles dans la bouche vorace de sa nouvelle salope, ce qui permit à tous les piétons d’admirer le superbe cul de Zhang, enjolivé d’un superbe tatouage qui ne laissait aucun doute sur sa profonde nature de salope.
Lorsqu’ils arrivèrent chez les parents de Bao, elle avait encore le gout du sperme de Vincent dans la bouche, et celui-ci lui avait remis le plug dans le cul, continuant à exciter tous ses sens.En voyant son visage, particulièrement rayonnant, Bao devina facilement qu’il s’était passé quelque chose entre elle et son mari, elle avait demandé à son mari de la malmener et elle la voyait revenir toute guillerette, elle en fut donc plutôt contrariée, alors elle profita que Vincent soit isolé pour aller lui demander :
— Alors, tu l’as baisé ?
Vincent avait de nouveau du mal à bien cerner les intentions de sa femme, il y avait un peu réfléchi sur la route, en se faisant pomper la bite par Zhang, alors il se dit qu’il devait tenter sa chance, et lui répondit :
— Regarde sa poitrine.
Vincent n’avait pas fini sa phrase que les yeux jaloux de Bao étaient naturellement descendus sur cette poitrine qui concurrençait directement la sienne, et elle remarqua quelque chose d’étrange au niveau des tétons, le petit top que portait Zhang était si moulant, que Bao n’eut aucun mal à distinguer ses tout nouveaux piercings aux tétons.
Elle fut d’abord stupéfaite de voir ce genre de choses sur les tétons de sa cousine, qui semblait discuter avec la mère de Bao sans se soucier que tout le monde puisse remarquer ce genre de bijou si odieux, mais la stupeur passée, Bao fut surprise de ressentir une vive jalousie.
Était-ce de voir que cette garce, qui allait pourtant se marier prochainement, assumait pleinement être une grosse salope, ou le fait que ce soit son propre mari qui lui ait fait faire ce genre de chose ?
Elle ne sut répondre à cette question, tout ce qu’elle savait, c’est qu’elle avait très envie d’avoir les mêmes, alors, à la fois pour elle-même et pour savoir si sa salope de cousine avait souffert, elle demanda à Vincent :
— Elle a eu mal ?— Légèrement, mais elle en a voulu un autre plus bas, après.— Au nombril ?— Encore plus bas.
Cette fois, Bao enviait profondément sa cousine, alors elle demanda à Vincent :
— Ça t’exciterait que j’en fasse autant ?
Vincent fut, de nouveau, très surpris par la proposition de sa femme, mais l’idée l’excita beaucoup, mais après tout ce qu’il venait de vivre aujourd’hui, et avec ses collègues dans la semaine, il commençait à se dire que toutes les femmes avaient un côté salope caché en elles, et qu’il suffisait de savoir comment le faire éclore pour qu’elles deviennent de véritables chiennes en chaleur.Curieusement, il avait très envie de savoir jusqu’où sa femme serait prête à aller, alors il lui répondit :
— Pourquoi pas, mais tu sais, Zhang a fait des choses bien pire que ça.
Bao ne put dissimuler son intérêt grandissant pour la dépravation de sa cousine, et demanda :
— Ah bon !? qu’est-ce qu’elle a fait ?
Vincent fantasmait souvent sur le fait de baiser sa femme avec ses cousines ou même carrément avec sa propre sœur, et jusqu’à aujourd’hui, il avait toujours cru cela relevait du pur fantasme, mais une petite voix emplie de luxure lui laissait envisager que son fantasme pouvait devenir réalité, alors il dit à Bao :
— Si tu veux, elle pourra te raconter et te montrer ses piercings.— Euh…— Ne t’inquiète pas, pas devant tes parents, on n’a qu’à aller dans ta chambre, on sera plus tranquille.
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