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Vincent et ses salopes

Chapitre 3

Avec plusieurs femmes
Vincent et ses salopes 3
En Famille
Vincent et Zhang venaient de rentrer de leur petite aventure, où ils avaient baisé avec Marie, la belle vendeuse black, et où Zhang avait même laissé un chien lui lécher l’entrecuisse.Vincent les avait baisé et enculé toutes les deux, et était passé par une boutique de piercing, avant de rentrer, afin que Zhang se fasse percer les tétons et celle-ci en avait profiter pour percer également son clitoris.Vincent avait fini par lui faire tatouer : FUCK ME sur les fesses, avant de reprendre la route.Bao, sa femme, avait remarqué les piercings sur les tétons de sa cousine et avait ressenti une profonde jalousie, alors voyant l’intérêt qu’avait sa femme pour les piercings de sa cousine, et ayant toujours rêvé de baiser sa femme avec une de ses cousines, Vincent lui avait proposé de l’emmener dans leur chambre afin qu’elle les lui montre.
Bao était curieuse de savoir comment sa cousine en était venue à accepter de se faire percer les tétons et le clitoris, et surtout Vincent ne lui avait pas vraiment répondu lorsqu’elle lui avait demandé s’il l’avait baisé.
Même si elle sentait déjà ses sens s’échauffer, et qu’elle se doutait de la tournure que ça risquait de prendre, lorsque Vincent lui proposa d’emmener Zhang dans leur chambre pour qu’elle lui raconte sa journée, elle n’hésita pas longtemps et accepta.
Afin de ne pas affoler Zhang, Vincent proposa à sa femme d’aller dans la chambre en premier, afin qu’il la rejoigne ensuite en compagnie de sa cousine, Bao approuva ce plan et monta à l’étage, en ayant l’étrange pressentiment que ce qui allait se passer dans cette chambre, allait changer sa vie.
Elle alla s’assoir sur un canapé, caché par l’ouverture de la porte, afin que Zhang ne s’enfuît pas, si elle se rendait compte qu’elle tombait dans un traquenard.Bao n’eut pas à attendre longtemps, elle entendit des gloussements dans le couloir, elle se douta que Vincent n’avait pas prévenu sa cousine qu’elle allait passer un interrogatoire, et fut à peine choquée de voir la porte s’ouvrir, avec Zhang, lui tournant le dos, accrochée au cou de son mari, en train de lui rouler une pelle langoureuse.
Elle fut surprise de ne ressentir aucune rancœur vis-à-vis de sa cousine, alors qu’elle se faisait peloter les fesses et les seins par son mari et que leurs langues tournoyaient l’une contre l’autre.Elle laissa Vincent verrouiller la porte et alors que Zhang allait s’accrocher de nouveau au cou de son mari, Bao toussota pour que sa cousine remarque enfin sa présence.Zhang bondit brusquement et devint blanche comme un linge, en découvrant la présence de sa cousine, elle ne savait pas où se mettre, elle aurait voulu devenir une petite souris et s’enfuir par un petit trou, mais tandis que Vincent allait s’assoir sur le canapé à coté de sa femme, il lui dit :
— Bao voudrait que tu lui montres tes nouveaux bijoux sur tes seins.
Zhang était tellement terrifiée qu’elle ne comprit pas ce que lui demandait Vincent, alors Bao, sentant une intense sensation de domination l’envahir, se leva et vint tirer sur le petit top moulant de sa cousine, pour le lui retirer, en lui disant :

— Montre-moi tes nichons, petite salope.
Zhang tremblait de tous ses membres, elle laissa Bao lui retirer son petit top et leva même les bras pour se retrouver les seins à l’air devant sa cousine.Bao examina avec envie les tétons de Zhang, transpercés de part et d’autre par une petite tige dorée, elle ne put s’empêcher d’aller les toucher, faisant frissonnée sa cousine.Zhang était complètement perdue, son esprit était incapable de raisonner correctement, elle ne savait pas comment réagir dans une telle situation, alors elle se mit en mode obéissance totale, elle laissa sa cousine lui retirer son haut, se retrouvant les seins nus devant elle et Vincent.Mais lorsque Bao effleura ses tétons, elle ne put retenir un étrange frisson lui remonter le long de l’échine, et poussa un léger soupir de plaisir, en sentant ses tétons commencer à durcir rapidement sous les délicates caresses de sa cousine.Lorsque Bao commença à jouer avec un de ses piercings, en lui demandant :
— Ça t’a fait mal ?
Zhang lui répondit dans un souffle, qui ne laissait aucun doute sur son plaisir :
— Un petit peu.
Bao sentait son entrecuisse devenir dangereusement moite, elle n’avait pas couché avec une fille depuis son adolescence, curieusement, le fait de caresser les seins de sa cousine ne la dérangeait pas du tout, et l’excitait même énormément.Alors tout en continuant de caresser doucement les seins de Zhang, elle lui dit :
— Il parait que tu en as un autre, plus bas ?
Sous les caresses de sa cousine, Zhang avait repris des couleurs et son visage était passé du blanc au rouge pivoine, toujours incapable de raisonner correctement, elle se mit à défaire la fermeture éclair de sa minijupe et la laissa tomber sur le sol.Mais au moment, où elle allait se baisser pour retirer son string, Bao lui dit :
— Reste debout, je vais aller voir, moi-même.
Totalement obéissante, elle laissa Bao s’agenouiller devant elle, et commencer à lui retirer son string, elle l’aida à le faire passer ses pieds, se retrouvant complètement nue devant sa cousine et son mari.Alors qu’elle sentait les douces mains de Bao l’intimer d’écarter les cuisses, elle obéit, offrant la vue de son clitoris percé à sa cousine, en sentant le souffle chaud de Bao sur sa vulve humide, elle découvrit que Vincent s’était déshabillé et se branlait doucement en les regardant.La situation était particulièrement incroyable, mais également fabuleusement érotique pour les trois protagonistes.Alors quand Bao se rapprocha de sa chatte, en lui disant :
— C’est ravissant.
Zhang mourrait d’envie que sa cousine lui lèche le clitoris, mais Vincent interrompit ce moment magique et lui dit :
— Montre-lui aussi ton cul, petite salope.
Zhang se rendit compte qu’elle leur était totalement soumise et sans opposer la moindre résistance, elle se retourna pour exhiber son postérieur à sa cousine.Cette fois, elle sentit les mains de Bao lui caresser les fesses, celle-ci suivit les marques du tatouage avec ses doigts, et vint jouer avec le plug qu’elle avait toujours planté dans le cul, la faisant gémir de plaisir.Tout en continuant à la faire jouir avec le plug, elle finit par lui dire :
— Eh bien, il n’y a plus aucun doute possible, tu es vraiment une belle salope, ma chère cousine, Vincent a souvent essayer de m’enculer, mais j’ai toujours refusé, pourtant vu comment tu jouis, je me dis que j’aurais peut-être dû essayer, tu ne crois pas, ma petite salope de cousine ?— …
Zhang ne put répondre, elle était en pleine jouissance, Bao faisait entrer et sortir le plug de son cul, la faisant jouir comme une folle.Bao se redressa en continuant à l’enculer avec le plug, puis elle retira complètement le plug du cul de sa cousine et lui dit :
— Tu veux bien me montrer comment tu aimes te faire enculer par mon salaud de mari ?
Zhang reprit doucement son souffle, se dirigea vers le canapé, où était toujours assis Vincent, elle se mit à 4 pattes dessus, posa ses épaules dessus, et vint écarter ses fesses, en lui disant :
— Allez, viens me la mettre dans le cul.
Vincent ne se fit pas prier, il posa sa bite bien dure contre l’anus de Zhang et s’enfonça dans son cul sans aucune difficulté.Bao fut impressionnée de ne voir aucune grimace de douleur sur le visage de sa cousine, elle n’entendit qu’un long râle de jouissance et ne lut que du plaisir sur son visage.Elle avait déjà essayé de se faire enculer par ses petits copains avant de rencontrer Vincent, mais elle avait toujours eu très mal, et avait tout de suite mis fin à la tentative, mais en voyant sa cousine jouir si fort avec la bite de son mari dans le cul, elle regrettait presque de ne pas avoir laissé sa chance à Vincent.
Alors, en regardant cette petite salope jouir, tandis que son mari commençait à faire coulisser sa bite dans son cul, elle se dit qu’elle devait essayer encore une fois, elle s’attaqua aux boutons de sa robe et se retrouva rapidement en sous-vêtement, sans attendre, elle fit glisser son string à ses pieds et s’en débarrassa.
Comme elle avait toujours le plug de sa cousine dans la main, elle l’amena entre ses fesses et le fit glisser jusqu’à son rectum, elle tenta de se l’enfoncer mais son anus semblait beaucoup moins flexible que celui de sa cousine, elle grimaça alors qu’elle n’avait même pas enfoncer un seul centimètre.
Mais en voyant ce qu’était en train de faire sa femme, Vincent interrompit ses enculades, et lui dit :
— Attends, ma chérie, tu n’es pas encore aussi ouverte que cette petite pute, si tu veux te le mettre, il faut lubrifier ton anus, ça passera beaucoup mieux, approche, je vais m’occuper de toi.
Vincent attrapa son pantalon et en sortit un petit tube de lubrifiant de sa poche, curieusement, Bao ne se demanda pas pourquoi il avait ce genre de chose dans sa poche, elle le regarda ouvrir le petit tube et déposer une bonne dose de produit au bout des doigts.
Il la fit se coller contre lui, et tout en reprenant les enculades dans le cul de Zhang, il roula une pelle à sa femme, et glissa ses doigts entre ses fesses, il trouva rapidement son anus et commença à lui enduire cet orifice encore inexploré.
Bao fut surprise de ressentir du plaisir avec les doigts de son mari qui lui titillaient l’anus, mais elle le fut encore plus lorsqu’il tenta de lui enfoncer un doigt à l’intérieur, et contrairement au plug, son doigt semblait comme aspirer par son cul, il rentra à l’intérieur aussi facilement que dans son vagin.
Sans pouvoir se retenir, elle poussa un long gémissement de plaisir, et laissa son mari lui fouiller le cul, mais elle sentit bientôt un deuxième doigt tenter de rejoindre le premier dans son fondement, et elle fut, encore une fois, troublée de le sentir s’enfoncer dans son cul avec une facilité déconcertante, mais alors qu’elle avait maintenant deux doigts dans le cul, et qu’elle y prenait un plaisir incroyable, Vincent se mit à faire claquer les fesses de Zhang en lui défonçant le cul.
Tandis que sa cousine se mettait à crier de plaisir, n’y tenant plus, Bao voulut retenter le plug, alors elle le tendit à son mari et lui dit :
— Mets-le-moi, tu as l’air d’avoir l’habitude, mon cochon.
Vincent dut ralentir encore une fois les enculades avec Zhang, il prit le plug pour le glisser entre les fesses de sa femme, et le lui enfonça sans aucune difficulté, Bao fut étrangement ravie de sentir enfin cet objet étrange entre ses fesses, elle finit par retirer son soutien-gorge pour se retrouver complètement nue, comme l’était Zhang, et prise d’un irrésistible désir de débauche, elle partit s’allonger sur le lit, elle écarta en grand ses cuisses, et c’est dans une posture des plus obscène, la main en train de se caresser la clitoris, qu’elle dit à Vincent :
— Amène-moi cette petite salope, je veux qu’elle me fasse jouir, autant qu’elle t’a fait jouir.
Zhang avait parfaitement entendu, et en sentant la bite de Vincent libérer son cul, elle sut ce qu’elle devait faire, elle monta sur le lit, mais lorsque son regard croisa celui de sa cousine, elle lut dans celui-ci qu’elles s’apprêtaient à explorer le tabou de l’inceste, et un court instant, elles semblèrent hésiter toutes les deux, à continuer.Mais, Vincent avait rêvé de ce moment depuis tant d’années, alors quand Zhang et Bao semblèrent hésiter sur ce qu’il convenait de faire ou non, il leur dit :
— Mettez-vous en 69, vous vous boufferez la chatte, pendant que je vous baiserai ou vous enculerai à tour de rôle.
Zhang, totalement soumise aux désirs de Vincent, s’allongea sur le lit et attendit que sa cousine vienne sur elle, Bao était très excitée, mais elle se rendait compte que ce qu’elle s’apprêtait à faire, était totalement immoral, pourtant, en voyant briller le piercing du clito de sa cousine, elle avait l’impression qu’il l’attirait, alors comme hypnotisée par ce petit bijou, elle s’avança et plaça la tête de sa cousine entre ses cuisses, tandis qu’elle plaçait la sienne au-dessus de ce petit bijou.
Lorsqu’elle sentit la langue chaude et humide de sa cousine commencer à lui lécher la chatte, elle poussa un soupir de plaisir, et consentit à franchir ce tabou à son tour, alors elle se pencha doucement entre les cuisses de Zhang pour commencer à lui rendre la pareille.
Elles se mirent à geindre de plaisir toutes les deux, en se bouffant la chatte mutuellement, et Vincent avait rêvé tellement souvent de cet instant, qu’il resta à les regarder sans oser perturber leur moment de pure débauche.
En consentant à baiser avec sa cousine, il se dit que sa femme venait de franchir une étape importante, qu’à partir de maintenant elle ne pourrait plus rien lui refuser, et avec un peu de chance et de persuasion, ce serait bientôt la ravissante Mei-Li, sa propre sœur, qui lui boufferait la chatte pendant qu’il la baiserait.
Il vit que les superbes salopes commençaient à se fourrer la chatte avec leurs doigts, alors comme il avait le cul de Bao, juste sous les yeux, et que le plug planté à l’intérieur lui rappelait qu’elle avait manifestement très envie de se faire enculer, il vint s’agenouiller derrière elle et donna sa bite à sucer à Zhang, le temps de retirer cet objet encombrant.
Lorsqu’elle sentit que Vincent lui retirait doucement le plug du cul, Bao devina qu’elle allait bientôt se prendre sa bite dans le cul, elle releva la tête d’entre les cuisses de sa cousine et regarda ce qu’il lui faisait.
Elle vit le plug sortir doucement de son cul, elle eut l’impression que son anus restait étonnamment bien ouvert et comme il était de nouveau libre, elle vit son mari poser sa bite entre ses fesses et lui demander :
— Tu la veux dans le cul, ma petite salope ?
Depuis qu’ils étaient ensemble, c’était la première fois, que Vincent la traitait de salope, et curieusement elle ne prit pas ce qualificatif comme une insulte, dans la situation où elle se trouvait, elle ne pouvait qu’admettre qu’elle était incontestablement une belle salope, et cela l’excita profondément, alors elle lui répondit d’un ton suave :
— Oui, vas-y, mon cochon, encule ta salope de femme.
Vincent avait cru que Bao prendrait mal de se faire insulter, mais en entendant sa réponse, il comprit que ça l’excitait, alors tout en poussant sa bite dans son cul, il lui dit :
— Très bien, ma petite pute, prends ma bite dans ton cul encore vierge.
Bao sentit la bite de son mari repousser encore les limites que son cul pouvait accepter, mais contrairement à ce qu’elle s’était toujours attendu, elle ne ressentit aucune douleur, elle ne fit que pousser un long râle de plaisir en sentant cette bite bien dure s’enfoncer doucement dans son cul.Elle vit la bite de son mari disparaitre complètement entre ses fesses et ressentit une intense extase à avoir réussi à se prendre cet engin entièrement, elle sentait la bite de Vincent palpiter dans son cul, et cette nouvelle sensation la faisait jouir énormément, alors prise dans une sorte de tourbillon de plaisir, elle se retourna vers la chatte de sa cousine en disant à son mari :
— Vas-y, mon salaud, encule-moi, défonce-moi le cul, comme cette petite salope.
Vincent se cramponna aux hanches de sa femme et commença à faire coulisser sa bite entre ses fesses, Bao replongea sa langue sur le clito de sa cousine et Zhang se mit à lécher la chatte de Bao, ainsi que les couilles de Vincent.Ils se mirent à gémir tous les trois de plaisir et bientôt les fesses de Bao se mirent à claquer sous les coups de bite de son mari, la faisant jouir encore plus fort, mais même si Vincent rêvait de fourrer le cul de sa femme avec son sperme, il avait prévu une autre épreuve pour elle.Alors profitant qu’elle vienne d’avoir son premier orgasme anal, et avant de jouir dans ses intestins, il libéra doucement son cul, et se déplaça entre les cuisses grandes ouvertes de Zhang.Bao était encore en train de reprendre son souffle, jamais elle n’avait joui par le cul, et c’était plutôt invraisemblable, alors lorsqu’elle vit son mari venir se placer devant elle, et placer sa bite à l’entrée de la chatte de sa cousine, elle abandonna toute moralité et lui dit :
— Attends, c’est moi qui vais lui fourrer ta bite, à cette salope.
Bao attrapa alors la queue de Vincent et fit glisser le gland pour ouvrir la chatte de sa cousine, quand il fut bien en place, elle lui dit :
— Vas-y, mon chéri, défonce cette petite pute.
Avec l’approbation de sa femme, Vincent enfonça sa bite dans la chatte brulante de Zhang et il en avait rêvé tellement souvent, qu’il faillit jouir lorsque son gland cogna au fond du vagin.Bao reprit son bouffage de clito, en étant aux premières loges, pour voir la bite de son mari coulisser dans la chatte de sa cousine, et curieusement elle ne ressentit aucune jalousie en l’entendant jouir sous les coups de bite de son mari, elle eut même une idée particulièrement vicieuse.Elle se redressa et se retourna pour venir peloter les seins de sa cousine, elle joua un peu avec ses piercings, tandis que Vincent envoyait maintenant de puissants coups de queue au fond de la chatte de Zhang, celle-ci criait de plaisir, alors Bao se colla à elle et lui dit à l’oreille :
— Tu aurais envie que mon mari t’engrosse, ma petite salope ?
Alors qu’elle était en plein orgasme, Zhang n’était pas en mesure de raisonner correctement, elle ne fit que crier :
— OUIIIII, JEEEEE VEUXXXX TOUUUUTTTT SSSOOONNNNN SPERMMEEEEEE.
Vincent sentit le vagin de Zhang se contracter tellement fort autour de sa bite, qu’il ne put résister plus longtemps, il se vida les couilles au fond de son vagin en feu, et lui gicla tout son sperme à l’intérieur avant de pouvoir enfin ressortir sa queue de cette prison de chair.Bao lui fit une place entre elle et sa cousine et Vincent s’allongea entre ses deux salopes, en se sentant l’homme le plus chanceux sur Terre, avec une superbe salope dans chaque bras, après avoir repris son souffle et ses esprits, Zhang réfléchit à la proposition de sa cousine, et que Vincent la mette enceinte.Elle avait honte de l’admettre, mais depuis qu’elle avait tout fait pour que Vincent lui caresse la chatte dans la voiture, elle n’avait pratiquement pas arrêté de jouir, elle ne se souvenait pas avoir pris autant de plaisir avec Mike, son futur mari.Alors elle se tourna vers Bao, et lui dit :
— Au fait, je serais très heureuse de porter l’enfant de Vincent.
Celui-ci fut estomaqué par cette déclaration, mais apparemment sa femme était au courant, et répondit :
— Tu sais, Vincent a déjà deux grands enfants, je ne suis pas sûr qu’il en veuille un autre.
Ce dernier fut contrarié que l’on parle de lui, comme s’il n’était pas là, alors il les interrompit et leur dit :
— Eh oh, je suis là, depuis quand il est question de tomber enceinte ?
Zhang lui expliqua alors la raison de cette discussion :
— C’est Bao, qui m’a demandé, quand tu me baisais, si j’avais envie que tu m’engrosses, et je lui ai simplement répondu, que j’en serais ravie.
Vincent prit un moment pour digérer cette information et demanda :
— Et Mike, dans tout ça ?
Zhang lui dit :
— Il ne doit pas savoir ce qu’on fait ensemble, alors il ne saura pas que cet enfant n’est pas de lui.— Ok, donc si je résume, tu préfères tomber enceinte de moi, plutôt que de ton futur mari ?— Ce n’est pas vraiment ça, mais je n’avais jamais joui autant avant aujourd’hui, et j’espère vraiment qu’on recommencera, tous les trois.
Bao ressentait pratiquement la même chose, même si elle n’avait pas baisé toute l’après-midi comme l’avait fait Zhang, elle venait de découvrir qu’elle pouvait jouir avec son cul, et ce moment, si particulier, qu’elle avait échangé avec sa cousine lorsqu’elles se léchaient la chatte mutuellement, lui avait tellement plu, qu’elle se sentait prête à recommencer autant de fois qu’elle le pouvait, alors elle lui répondit :
— Ne t’inquiète pas, j’avoue que j’ai pris aussi beaucoup de plaisir avec toi, et je viens de découvrir que je pouvais jouir par le cul, alors je pense que Vincent sera ravi de pouvoir nous baiser ou nous enculer toutes les deux, et il vaudrait mieux, effectivement, que tu tombes enceinte de Mike, plutôt que de mon mari.
Vincent en avait rêvé depuis si longtemps qu’il leur dit :
— Beaucoup d’hommes rêverait d’être à ma place et de pouvoir coucher avec deux superbes femmes telles que vous, mais il y a Mike et il ne faudrait pas qu’il découvre notre petit secret.— Oui, sinon c’est le scandale assuré, rajouta Zhang.— Et avec nos familles, si quelqu’un découvre ce qu’on vient de faire, il va y avoir des crises cardiaques à la chaine, renchérit Bao.
Mais maintenant que sa femme avait évincé le tabou de l’inceste, Vincent avait un nouvel objectif, alors il répondit :
— Peut-être pas toute la famille, …
Bao et Zhang se regardèrent, un peu perplexe, et comme sa femme le connaissait bien, elle lui demanda :
— A qui tu penses, gros cochon ?
Vincent n’osa pas avouer à sa femme qu’il désirait baiser sa sœur et surtout les voir baiser toutes les deux, alors il répondit :
— Tu verras, au moment voulu, mais j’aurais sans doute besoin de votre aide pour la convaincre.
Ne sachant pas trop à qui pensait son mari, Bao lui dit :
— Espèce de gros pervers, tu ne comptes tout de même pas baiser toutes les femmes de la famille.— Certainement pas toutes, mais les plus jolies, pourquoi pas.
Zhang intervint et lui demanda :
— Quelle sera ta prochaine victime, alors ?— Bon ok, je vais vous le dire, j’aimerais beaucoup baiser avec Mei-Li, elle est très mignonne, et je fantasme sur elle depuis longtemps.
Etonnamment, Bao fut à peine surprise que son mari désire coucher avec sa sœur, à 23 ans, Mei-Li était vraiment ravissante avec ses longs cheveux noirs, elle mesurait 1,55m pour 46 kg, et même si elle possédait une toute petite poitrine de 80B, elle avait un visage très séduisant et elle avait souvent remarqué que beaucoup d’hommes, même les plus vieux, avaient tendance à loucher sur son petit cul très attirant.Alors, sans ressentir la moindre honte, elle demanda à Vincent :
— Et tu voudrais aussi que je couche avec ma propre sœur ?
Encore une fois, le ton neutre de sa femme laissa Vincent dans le doute le plus total, il ne savait pas si elle était partante ou plutôt réticente, mais Bao n’était guère mieux, même si elle avait pris beaucoup de plaisir avec sa cousine, elle était encore troublée d’avoir couché avec, alors l’idée même de coucher avec sa propre sœur, Mei-Li, encore plus jeune que Zhang, avait tendance à l’angoisser un peu.Même si elle avait un petit copain, Bao supposait que sa sœur n’avait pas une grande expérience sexuelle, alors elle était hésitante à aider son mari à coucher avec elle et surtout à participer à un nouvel inceste.Mais Zhang décida pour elle, et leur dit :
— Ce serait une bonne idée, et ça ferait les pieds à son petit copain, j’ai vu ce salaud embrasser une autre fille, l’autre jour, mais Mei-Li est très amoureuse, elle ne le quittera pas comme ça.
Bao lui demanda alors :
— Et tu penses qu’en couchant avec Vincent, elle ne risque pas de tomber amoureuse, car on est bien d’accord, entre toi et mon mari, il n’y a que du sexe, et rien d’autre ?— Oui, oui, ne t’inquiète pas, j’aime mon mari, c’est juste qu’il ne me fait pas jouir comme le tien, lui dit Zhang en riant.— Ok, et donc tu penses que Mei-Li verra les choses comme toi ?— Je pense que justement, on doit être là pour qu’elle ne s’attache pas, et qu’elle comprenne bien que Vincent est ton mari et le restera, même si elle couche avec.
Vincent tenta de mettre un terme à leur discussion immorale et leur dit :
— De toute manière, rien ne dit qu’elle acceptera de coucher avec moi.
Mais Zhang renchérit :
— Oh tu sais, depuis que nous sommes toutes petites, nous sommes très proches Mei-Li et moi, et je peux te dire que je suis certaine qu’elle acceptera de coucher avec toi.— Ah oui ? demanda Bao, soudainement intéressée par la vie sexuelle de sa sœur.— Euh, oui, je lui avais promis de garder ça secret, mais après ce qu’on vient de faire tous les trois, je peux vous le dire, en fait c’est un peu à cause de vous, si Mei-Li et moi avons envie de coucher avec Vincent.
Bao et Vincent furent, tous les deux, très étonnés et très envieux d’en savoir plus, et ce fut Bao qui demanda à Zhang :
— Ah bon et pourquoi ?
Voici ce que leur raconta Zhang :
Il y avait de cela quelques années, Mei-Li avait encore des doutes sur sa sexualité, je n’avais pas encore rencontré Mike, mais j’avais un petit ami avec lequel, je n’avais pas encore couché, même si je sentais que mon corps réclamait de plus en plus un profond désir charnel.
Mei-Li et moi nous nous entendions à merveille, nous avions l’habitude de venir passer quelques jours l’une chez l’autre, et un jour, lors d’un nouvel an asiatique, alors qu’il y avait du monde chez les parents de Mei-Li, dont vous deux, nous dument dormir dans le même lit.
Bien que nous eussions l’habitude de dormir ensemble chez mes parents, il se passa lors de cette soirée-là, quelque chose qui allait troubler notre sommeil et bouleverser nos vies, car la chambre de Mei-li était mitoyenne à la vôtre.
Lorsque la fête fut terminée, tout le monde partit se coucher et alors que Mei-Li et moi papotions discrètement, nous entendîmes des bruits étranges de l’autre côté de la cloison.C’est Mei-Li qui s’est levé en premier pour voir ce qu’il se passait, bien qu’aux gémissements qu’on entendait, on se doutait de ce que vous étiez en train de faire, mais Mei-Li m’avait un jour confié qu’elle était un peu jalouse de sa sœur, car elle réussit à trouver un mari charmant et très gentil.
Je pense qu’à partir du moment où on a entendu gémir Bao, Mei-Li ne pensait plus qu’à aller voir comment sa sœur et son beau-frère faisaient l’amour, elle s’est donc levée discrètement et est sorti de sa chambre pour essayer de vous voir en pleine baise.
Désireuse également d’en savoir un peu plus, je me suis levé et je l’ai suivi, quand j’ai vu que Mei-Li avait entrouvert votre porte et avait glissé sa main sous sa nuisette, pour commencer à se caresser entre les cuisses.
Je n’ai pas osé regarder ce que vous étiez en train de faire, je lui ai simplement chuchoté :
Arrête ça, laisse-les, et reviens te coucher.
Mais elle a ouvert un peu plus la porte et m’a chuchoté :
Regarde, comment ma sœur jouit avec la bite de Vincent.
Depuis cet instant précis, Mei-Li et moi avons souvent rêver de baiser avec Vincent, on te voyait, Bao, à 4 pattes, tandis que Vincent te baisait en levrette, et tu avais beau t’être mis la tête dans l’oreiller, on entendait tes fesses claquées sous ses coups de queue, et surtout on t’entendait jouir comme une folle.
Je n’ai pas mis longtemps à faire la même chose que Mei-Li et nous nous sommes caressées toutes les deux, en vous regardant baiser.Et j’avoue que j’ai joui pour la première fois, lorsque j’ai vu Vincent éjaculer sur tes fesses, c’était la première fois que je voyais du sperme pour de vrai, et ça m’a fait un sacré effet, mais j’ai attrapé Mei-Li, et on est vite retourné au lit avant que vous nous surpreniez.
On était toutes les deux essoufflées, j’ai vu que Mei-Li avait également joui, et on s’est avoué qu’on mourrait d’envie de coucher avec Vincent, mais on était encore toutes excitées par ce qu’on venait de voir, alors quand j’ai senti la main de Mei-Li sur ma cuisse, je les ai aussitôt écartés et sans rien dire, je l’ai laissé glisser sa main sur ma chatte trempée.
Elle a commencé à me caresser et a attrapé ma main pour la poser sur sa chatte, j’ai aussitôt imité ses caresses et comme par pur instinct, nos lèvres se sont nouées, nos langues se sont enfoncées dans la bouche de l’autre et nous nous sommes données du plaisir l’une contre l’autre.
Depuis ce jour, nous avons couché ensemble très souvent, et j’ai remarqué que Mei-Li était encore plus excitée et demandeuse de caresse lorsque vous étiez présents, c’est pour ça que je suis certaine qu’elle sera ravie de coucher avec Vincent.
Même si, depuis qu’elle sait que je vais me marier avec Mike, nos petits jeux entre fille se sont beaucoup calmés, je suis certaine qu’elle est comme moi, à la moindre occasion, elle ouvrira ses cuisses à Vincent.
Avant la semaine dernière, je ne pensais plus à ça, j’allais me marier et tout allait bien avec Mike, mais lorsque j’ai surpris Vincent me dévorer des yeux, alors que j’étais nue dans la cabine d’essayage, j’ai senti que je basculais, et j’ai rêvé de nouveau de sa queue, toute la semaine.
Alors, en arrivant ce matin, je n’avais qu’une chose en tête : baiser avec Vincent.
Bao l’interrompit :
— Je l’ai vu au premier instant, et j’étais certaine qu’en vous laissant partir tous les deux, vous alliez coucher ensemble.
Vincent rajouta :
— Je dois avouer que depuis la semaine dernière, j’y ai souvent pensé aussi.
Mais Zhang conclut :
— C’est simplement pour vous dire, qu’il a suffi d’un petit incident pour déclencher ce qui s’est passé aujourd’hui, il suffit de provoquer ce genre d’incident avec Mei-Li, et elle ne sera pas difficile à convaincre.
Très intéressé, Vincent lui demanda :
— J’ai l’impression que tu as déjà une idée de comment on peut s’y prendre ?— Eh bien, je la connais bien, je me disais que si elle nous surprenait en pleine baise, ça la rendrait jalouse et ça la tenterait beaucoup.
Bao intervint :
— Probablement, mais il faudra surement qu’il n’y ait que toi et Vincent, si elle me voit, elle risque de craindre ma réaction.— Effectivement, et il faut trouver un endroit où il y a peu de risque de se faire surprendre par la famille.
Mais la discussion commençait à bien exciter Vincent, avec deux superbes salopes à poil, à ses côtés, il ne mit pas longtemps à rebander, alors Bao et Zhang, en voyant que sa bite reprenait de la vigueur, commencèrent à la branler doucement, et alors qu’elles se glissaient toutes les deux pour lui sucer la bite, ensemble, il leur dit :
— J’aimerais quand même essayer de la baiser seul, et si je vois que Mei-Li est trop indécise, je ferais appel à vous, mes petites salopes.
Bao laissa Zhang avaler la bite de son mari, et lui répondit :
— Gros cochon, tu veux faire de ma petite sœur, une salope comme ta femme et sa cousine.
Elle se mit ensuite à lui lécher les couilles et Vincent ne put que grogner de plaisir avec les langues de ces deux salopes autour de sa bite.Néanmoins, ils n’eurent pas le loisir de pouvoir baiser de nouveau tous les trois, car il était l’heure du diner et ils durent rejoindre toute la famille dans la grande salle à manger.Mais avec tout ce qu’il venait d’entendre sur sa belle-sœur, Vincent eut envie de tenter quelque chose, il laissa les filles descendre et passa par la chambre de Mei-Li, pour lui préparer une petite surprise.
Lorsqu’il rejoignit les autres, Steeve venait d’arriver, il trouva sa future femme un peu différente, même s’il ne sut dire ce qui avait changé chez elle.Vincent n’osa pas aller jusqu’à tripoter les fesses de Zhang en sa présence, mais comme Mei-Li était également là, il n’avait d’yeux que pour elle, et celle-ci remarqua l’étrange attention que lui portait son beau-frère, elle le surprit souvent en train de mater son petit cul, et bien qu’un peu gênée, elle trouva cela très émoustillant.
De plus, aujourd’hui, il y avait cependant quelque chose de nouveau dans le regard de son beau-frère, il ne l’avait jamais regardé comme ça, elle avait l’impression d’être la proie qu’un prédateur s’apprêtait à dévorer et curieusement, elle trouva cela particulièrement excitant.
Mais même après tout ce qu’il venait d’apprendre sur sa belle-sœur, et qu’il mourrait d’envie de lui sauter dessus, Vincent ne tenta rien, il y avait trop de monde autour d’eux pour tenter quoique ce soit, il se contenta de mater son ravissant petit cul, en cherchant le meilleur moyen d’arriver à y fourrer sa queue.
Alors, tout concentré qu’il était sur le magnifique postérieur de Mei-Li, il fut surpris d’entendre Bao lui murmurer à l’oreille :
— Si tu veux vraiment baiser ma petite sœur, tu peux tenter ta chance en l’emmenant au golf, elle m’a dit qu’elle aimerait bien essayer quand elle a su que tu en faisais.
Vincent trouva l’idée excellente, il suffisait d’y aller à une heure peu fréquentée pour être certain de ne pas être dérangé sur le parcours.Il passa le repas à planifier les moindres détails, tout en dévorant des yeux la belle Mei-Li, et à la fin du repas, il profita qu’elle se soit un peu isolée dans le salon, pour aller discuter avec elle et l’inviter à faire un petit parcours de golf avec lui.Elle fut enchantée par l’invitation mais le prévint qu’elle n’avait jamais tapé dans une balle de golf, il la rassura en lui disant qu’il serait ravi de l’initier, tout en s’imaginant déjà lui fourrer sa bite dans le cul, contre un arbre.Ils prirent donc rdv pour le mercredi après-midi et finirent la soirée avec les autres invités.
A la fin de la soirée, Vincent rentra chez lui avec Bao, et l’informa du rdv qu’il avait pris avec sa sœur et de son intention de la baiser à ce moment-là.Depuis qu’elle avait couché avec sa cousine et Vincent, ainsi que de leur discussion lubrique, Bao s’était fait une raison de laisser son mari baiser avec sa petite sœur, mais elle tenait à lui , elle ne voulait pas que cela crée des problèmes dans sa famille et dans son couple, alors elle lui dit :
— Tu as suivi mon conseil, soit quand même prudent avec elle, même si ce que Zhang nous a raconté, est vrai, il ne faudrait pas qu’elle s’attache.— Ne t’inquiète pas, si tout se passe bien au golf, je la ramènerais à la maison, tu n’auras qu’à nous surprendre en train de baiser et nous rejoindre.— Tu veux vraiment que je baise avec ma petite sœur ?— Avoue que ça t’a plu avec Zhang.— Oui, ça m’a beaucoup plu, mais Mei-Li est ma sœur, elle n’est peut-être pas aussi ouverte à l’inceste que moi et ma cousine.— Oh d’après Zhang, Mei-Li ne semble pas très réticente à coucher avec sa cousine, donc je suppose qu’elle ne sera pas dure à convaincre pour le faire avec sa sœur.— Arrête de parler de ça, salaud, ça m’excite.
Bao écarta les cuisses et attrapa la main de son mari pour la poser sur sa chatte humide, pour lui montrer à quel point, elle était trempée.Vincent et Bao avaient l’impression d’avoir remonté des années en arrière, où ils passaient leur temps à baiser, alors pris d’une envie lubrique, Vincent ouvrit sa braguette et sortit sa queue en disant :
— Viens me sucer, comme ta salope de cousine, elle m’a pompé la bite tout le long de la route, cette petite pute.
Depuis qu’elle avait baisé avec Zhang, Bao avait la libido aussi enflammée qu’à ses 20 ans, alors elle n’hésita pas une seule seconde, elle s’agenouilla sur son siège et vint sucer la bite de son mari.
Tout comme avec Zhang, Vincent releva la jupe de Bao et écarta son string pour commencer à lui fouiller la chatte et le cul, elle se mit aussitôt à geindre de plaisir en lui suçant la bite.Mais alors qu’il s’arrêta à un feu, et que Bao continuait à lui pomper la bite, il remarqua que dans cette nuit sans lune, et malgré le faible éclairage intérieur de la voiture, les superbes fesses nues de sa femme étaient bien visibles de l’extérieur.
Heureusement pour elle, il n’y avait personne au feu, mais Vincent eut une idée particulièrement lubrique, il prit la direction d’une petite ville, non loin de chez eux, qu’il savait un peu animée le samedi soir, et dès le premier feu où il s’arrêta, il eut le résultat qu’il souhaitait.
Deux jeunes qui devaient être en train de rentrer chez eux, virent parfaitement les fesses nues de Bao à travers la vitre passager.Très intéressés, ils se rapprochèrent, et découvrirent que cette salope était en train de sucer le conducteur, tandis que celui-ci lui fouillait la chatte et le cul.En voyant qu’ils avaient des spectateurs, Vincent coupa la radio pour qu’ils puissent entendre sa femme grogner de plaisir, puis lorsque le feu passa au vert, il ne redémarra pas, et décida de baisser la vitre de la portière de sa femme.
Bao sentit l’air frais nocturne lui rafraichir les fesses, et abandonna la bite de son mari pour lui dire :
— Qu’est-ce que tu fais, je vais attraper froid.
Vincent lui répondit assez fort pour que les deux jeunes l’entendent bien :
— Oh, une salope comme toi, ça a toujours le feu au cul.
Les deux jeunes s’étaient rapprochés de la voiture, Vincent abandonna les fesses de sa femme et leur fit comprendre qu’ils pouvaient les caresser.Lorsque les deux premières mains des jeunes se posèrent sur ses fesses, Bao ne remarqua rien de particulier, ce n’est que lorsqu’une troisième main vint lui caresser le clitoris qu’elle perçut une incohérence.Elle tourna alors la tête pour voir ce qu’il se passait du coté de ses fesses et découvrit les deux jeunes en train de lui peloter le cul, et alors que l’un d’eux lui enfonçait deux doigts dans sa chatte trempée, l’autre lui fourra un doigt dans le cul, elle se mordit les lèvres de plaisir et entendit l’un d’eux dire :
— Regarde, elle aime ça, cette salope.
Elle ne pouvait nier qu’elle prenait un plaisir fou à se faire fouiller le cul et la chatte par ces deux jeunes qu’elle ne connaissait même pas, ils la faisaient tellement jouir qu’elle ne trouva pas le courage de retirer leurs doigts de ses orifices, et vu comment la bite de Vincent s’était encore raffermie, elle présuma que cette situation l’excitait également, alors elle s’abandonna aux caresses des jeunes et replongea sur la bite de son mari.Elle se mit à gémir de plaisir en pompant la queue de Vincent, celui-ci posa une main sur sa tête et appuya dessus pour qu’elle avale sa bite entièrement, son gland ne mit pas longtemps à heurter sa glotte.Mais depuis la première fois où Vincent avait tenté de forcer sa gorge, Bao s’était vite habituée aux vices de son mari, et au fil des années de mariage, elle était devenue une spécialiste des gorges profondes, elle avala donc sans sourciller, toute la bite de son mari, en l’entendant grogner de plaisir et lui dire :
— Tu es vraiment une sacrée bonne suceuse, ma chérie.
Mais avec les doigts qui fouillaient ses autres orifices, Bao prenait autant de plaisir que son mari, elle sentit les mains de ses visiteurs faire glisser son string le long de ses cuisses, et elle les aida même à le lui retirer en les entendant dire :
— Elle mouille grave, cette salope, regarde son string est trempé.— Son jus sent bon en plus.— J’ai envie de lui bouffer la chatte.
Mais la voiture était toujours sur la route, arrêtée au feu, alors Vincent sentit qu’il était temps de passer à l’étape suivante, il dit aux deux jeunes :
— Montez à l’arrière, on va trouver un coin plus tranquille.
Les deux jeunes ne se le firent pas répéter et grimpèrent à l’arrière de la voiture, et tandis que Vincent cherchait un endroit à l’abri des regards, l’un des jeunes, que nous appellerons Boris, dit à son ami, Nicolas :
— La vache, regarde, la salope, elle avale toute sa bite.
Tandis que Vincent conduisait, Boris glissa ses mains entre les sièges et dans le décolleté de Bao, et celle-ci se redressa légèrement pour lui donner libre accès à ses seins, tandis que Nicolas avait passé une main par-dessus son siège et lui avait remis ses doigts dans la chatte.
Elle sentit qu’un des jeunes s’attaquait aux boutons de sa robe, alors prise d’un intense désir, pour ces trois males qu’elle n’avait rien que pour elle, elle l’aida à la lui retirer avec son soutien-gorge, elle se retrouva rapidement, complètement nue dans la voiture, en train de sucer son mari, tandis que deux inconnus lui pelotaient les seins ou lui fouillait la chatte et le cul.
Mais quand elle sentit que Vincent prenait un chemin de terre, elle sut qu’elle allait bientôt sentir leurs bites en elle, donc maintenant que son cul avait été dépucelé, elle allait pouvoir se prendre leurs trois bites en même temps, et cette vision de pure débauche l’excitait au plus haut point.
Une fois la voiture arrêtée, elle entendit Vincent demander à un des jeunes de prendre le plaid dans le coffre et de les rejoindre dehors.Bao abandonna la bite de Vincent et découvrit qu’ils étaient au milieu d’un petit bois, sans aucune pudeur, elle sortit de la voiture, complètement nue, et tandis que Vincent et un des jeunes installaient le plaid sur le sol, le deuxième vint se coller à elle, lui dit :
— Putain, ce que t’es bonne.
Il lui roula ensuite une pelle passionnée, en lui pelotant les seins, Bao n’eut aucun remords, à envoyer sa langue dans la bouche de son jeune inconnu, et le laissa jouer avec ses tétons bien durs, tandis que leurs langues virevoltaient l’une contre l’autre.Dès que le plaid fut installé, elle entendit Vincent demander aux jeunes :
— Vous avez des capotes ?— Bien sûr, m’sieur.— Très bien, alors déshabillez-vous et mettez-les.
Tandis que Boris se préparait, Nicolas qui était toujours collé aux lèvres de Bao, sortit une capote de sa poche et arrêta de l’embrasser, lui tendit la petite pochette, en lui disant :
— Tu me la mets, salope ?
Totalement soumise à ce jeune male, Bao prit la capote, et s’accroupit devant Nicolas, tandis qu’il libérait une très belle bite, juste devant ses yeux, du même diamètre que celle de Vincent, mais en plus longue, elle sortit la capote de l’étui, et commença à la dérouler sur ce superbe engin.Mais il l’arrêta et lui dit :
— Avec ta bouche de petite chienne en chaleur.
Encore une fois, Bao obéit et se mit à sucer cette bite, en faisant de son mieux pour dérouler la capote, qui ne réussit à couvrir que deux tiers de cette belle bite.Excitée et gourmande, elle continua à se l’enfoncer, et la sentit bientôt cogner le gland contre sa glotte, grâce à son expérience, elle réussit à l’avaler tout entière, sentant le gland explorer une région encore vierge de sa gorge.Elle avait le nez dans les poils pubiens de Nicolas, et entendit celui-ci grogner :
— Oh, putain, c’est trop bon, tu m’avales toute la bite, grosse salope.
Mais il n’eut pas tellement le temps d’apprécier, que Boris qui était allongé sur le plaid, lui dit :
— Eh, ramène-la par ici, ma bite a envie de visiter sa chatte.
Vincent se rendit compte que de voir des inconnus se servir de sa femme comme d’un vulgaire trou à bite, l’excitait comme un fou. Mais voyant Bao approcher, telle une louve en chaleur, enjamber la bite de Boris, plus petite mais plus épaisse que la sienne, pour se l’enfoncer au fond de la chatte, en poussant un long râle de plaisir.Il sut qu’elle était excitée autant que lui, il n’avait jamais pratiqué l’échangisme ou tout autre pratique libertine, et ça ne leur était même jamais venu à l’esprit, mais après ce qu’ils avaient vécu avec Zhang, et alors que Nicolas s’approchait d’elle, elle vint s’écarter les fesses et lui dit :
— Mets-la moi dans le cul.
Alors que sa femme se faisait maintenant prendre la chatte et le cul, par deux jeunes inconnus, il vint lui donner sa bite à sucer, Vincent supposa, à juste titre, que ce genre de trio lubrique allait devenir courant avec sa femme.Bao avait trois bites qui coulissaient dans chacun de ses orifices, et elle jouit intensément, elle eut plusieurs orgasmes avant que les bites ne rendent grâce, et ne jouissent au fond des capotes.Même Vincent qui avait pourtant joui de nombreuses fois aujourd’hui, puisa dans ses dernières réserves et lui gicla au fond de la gorge.Elle fut un peu frustrée de ne pas sentir le jus des deux jeunes dans son cul et dans sa chatte, mais rien que de sentir leurs bites palpiter en elle, la fit jouir intensément.Ils libérèrent ses orifices, et prise d’un désir incontrôlable, elle leur dit :
— Donnez-moi votre sperme.
Un peu surpris, mais prêt à tout pour assouvir les vices de cette salope, Nicolas et Boris s’approchèrent de son visage et vinrent vider le contenu des capotes sur le visage de Bao, elle jouit incroyablement en étalant tout ce sperme encore chaud sur son visage et sur ses seins, et une fois les capotes vidées sur elle, elle attrapa leurs bites et se mit à les sucer pour les nettoyer parfaitement.Mais malgré les talents incroyables de suceuse de Bao, les bites de Nicolas et Boris finirent par ramollir dans sa bouche et elle dut les abandonner avec regret.Tous les garçons remballèrent leur bite, ils rangèrent le plaid et repartirent en direction de la ville, restant complètement nue, Bao monta à l’arrière avec les garçons, et les laissa jouer avec ses seins ou sa chatte en leur roulant une pelle à tour de rôle.Mais alors que Nicolas vit la ville approchée, il lui demanda :
— On te reverra ?
Même si elle y avait un peu songé, Bao n’avait pas encore pu en discuter avec son mari, mais elle avait tellement joui avec la bite de ces deux garçons, qu’elle se dit qu’elle serait ravie de recommencer, alors sans même demander l’avis de Vincent, elle lui donna son numéro de téléphone en lui disant :
— N’en abuses pas.
Ce dernier les déposa là où il les avait récupérés et rentra chez lui avec Bao, qui s’endormit à l’arrière de la voiture, il la couvrit pour la porter jusqu’à leur chambre, où elle dormit profondément, jusqu’au lendemain.
Leur petite vie reprit son cours dès le lendemain, et ils n’eurent pas tellement le temps de discuter de cette étrange journée lubrique, qu’ils durent aller récupérer leurs enfants chez des amis qui les avait gardé chez eux.Dans les jours qui suivirent, les horaires décalés du travail d’infirmière de Bao, ne leur permirent toujours pas de vraiment discuter de ce qu’il s’était passé, à chaque fois que l’un ou l’autre arrivait à trouver un moment pour lancer le sujet, ils étaient dérangés par leurs enfants, et le sujet resta clos.

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