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Vincent et ses salopes

Chapitre 7

Didier

SM / Fétichisme
Vincent et ses salopes 7

Didier
Vincent avait pu assouvir un de ses plus anciens fantasmes, il avait enfin pu baiser avec sa femme et sa sœur, et il avait bien l‘intention de mêler prochainement la cousine à leur partouze familiale. Mais avec la mission un peu spéciale que son chef lui avait confié, il avait d’autres chattes à s’occuper.Après avoir baisé et enculé la femme de son chef, Vincent avait ainsi pu dépuceler la belle Laureen, en présence de sa sœur, et grâce aux caméras qu’il avait pu installer dans la maison, il pouvait suivre leurs faits et gestes, à n’importe quel moment.Il en avait profité pour demander à Laureen d’aller nettoyer le cul de sa sœur après que le fils du voisin, lui ait giclé dedans.
Vincent avait ainsi regardé Laureen bouffer le cul de sa sœur, derrière son bureau, et Bao, très intéressée par sa nouvelle mission, avait également pu suivre la scène, et se découvrant une toute nouvelle autorité sur sa femme, il lui avait dit :
— Suce-moi, salope.
Bao lui avait aussitôt obéi, elle s’était agenouillée devant lui, et tout en regardant la jeune Laureen bouffer le cul de sa sœur, elle avait pompé la bite de son mari, comme-ci sa vie en dépendait.
Alors qu’il bandait en regardant le visage de Laureen enfoui entre les fesses de sa sœur, il grognait de plaisir sous les coups de langue de Bao, il tenta alors quelque chose qu’il n’avait osé faire avec sa femme.Il posa ses mains derrière sa tête, et tenta d’enfoncer sa bite de plus en plus loin dans sa bouche.C’était la première fois que son mari tentait de forcer sa gorge, mais heureusement pour Bao, depuis son aventure avec les jeunes qui l’avait baisé par tous les trous, elle appelait régulièrement Nicolas pour qu’il vienne avec ses potes pour qu’ils la défoncent, elle avait ainsi acquis une certaine aptitude à avaler entièrement leur bite.Si bien que lorsque Vincent tenta, à son tour, de lui faire avaler sa bite tout entière, Bao l’avala sans broncher, et tout comme avec les potes de Nicolas, elle se retrouva le nez dans les poils pubiens de son mari, et son gland planté dans la gorge.Elle entendit alors Vincent lui grogner :
— Putain, tu es devenue une sacrée suceuse de bite, ma chérie.
Elle attendit que son mari relâche la pression, et après avoir vomi une impressionnante quantité de salive sur sa queue, elle lui répondit :

— C’est grâce à Nicolas et à ses amis, ils viennent souvent me baiser.— Je me doutais que tu ne pourrais plus te passer de leur bite, grosse salope.
Bao ne put lui répondre, car Vincent lui avait, de nouveau, enfoncer toute sa bite dans la bouche.Vincent regarda alors Laureen, le visage toujours enfoui entre les fesses de sa sœur, et demanda alors à sa femme :
— Tu crois que ces deux salopes, aimeraient se faire prendre par tous les trous ?
Bao dut encore attendre que son mari libère sa bouche, pour lui répondre :
— Christine, sans aucun doute, mais pour la petite Laureen, tu viens de la dépuceler, alors faudra peut-être attendre un peu, pour qu’elle accepte de s’en prendre plusieurs.
Vincent laissa sa femme le sucer plus tranquillement, et repensa à toutes les salopes qu’il avait pu baiser depuis quelques semaines.Il y avait d’abord eu ses collègues : Valérie et Camille, il se dit que ça faisait un moment qu’il n’avait pas été les baiser, et se demandait comment elles s’en sortaient sans lui.Il éteint alors son ordinateur, délaissant un moment Christine et sa sœur, pour baiser sa femme, tout en pensant déjà retrouver ses deux salopes de collègues, le lendemain.
Cela faisait maintenant presque deux semaines que Vincent n’était plus au bureau, trop occupé avec sa mission spéciale.Même s’il avait pris son pied avec Christine et Laureen, il s’en voulait un peu d’avoir délaissé Valérie et Camille, ses deux premières salopes.Lorsqu’il revint à son bureau, il fut accueilli à bras ouvert, ou plutôt, à décolleté ouvert, par ses deux superbes collègues, comme à leur habitude, elles le laissèrent les peloter avec plaisir, mais alors qu’il allait les emmener aux archives pour les baiser, Valérie lui dit :
— Tu sais, il y a eu quelque petits changements, là-haut.
Intrigué, Vincent lui demanda :
— Quels changements ?
Les deux superbes salopes se regardèrent et convinrent qu’elles pouvaient tout dire à Vincent, Camille lui dit :
— Eh bien, en fait, on a un peu aménagé la salle des archives.
De plus en plus intrigué, Vincent pris la clé de la salle et les emmenèrent à l’étage, lorsqu’il ouvrit la porte, il fut totalement déconcerté.La salle des archives s’était transformée en salle SM, il y avait un croix de Saint André accrochée à un mur, un grand lit avec des menottes à chaque coin, et une sorte de piloris, en plus des divers accessoires étalé sur les étagères, à la place des dossiers.La surprise passée, Vincent leur demanda :
— Qu’est-ce qu’il s’est passé, vous vous êtes mises au SM ?
Camille sourit et lui dit :
— Eh bien, disons qu’on y a été un peu forcées.— Comment ça ?
Valérie, lassée de faire trainer les choses, lui avoua :
— C’est pour Didier, tout ça.
Vincent fut de nouveau abasourdi, et lui demanda :
— Comment ça ?— Bon ok, alors installe-toi, je vais te raconter.
Et voici ce que racontèrent Valérie et Camille à leur amant :
Quelques jours après le début de la mission de Vincent, Valérie remarqua que Didier avait tendance à venir fréquemment à son bureau, et comme celle-ci continuait à porter des décolletés assez ouvert, elle ne mit pas très longtemps à surprendre son regard plongé entre ses deux superbes seins.
Elle fut d’abord un peu surprise de l’intérêt de son chef pour elle et en particulier pour sa poitrine, mais elle ressentit ensuite une étrange fierté, à exciter ce dernier.Didier savait que Valérie était mariée, mais depuis qu’il l’avait vu rouler une pelle à Vincent, il n’avait cessé de l’avoir à l’œil, peut-être parce qu’il soupçonnait sa femme de le tromper, ou peut-être simplement par jalousie d’être à la place de Vincent.
C’est ainsi que dans les premiers jours où Vincent venait de temps en temps au bureau pour baiser ses deux superbes salopes, il l’avait même surpris en train de se faire sucer par Valérie sous son bureau.
Même si ce genre de pratique était totalement interdite au bureau, Didier n’avait pas osé les interrompre, et s’était contenté de regarder en se branlant discrètement, imaginant sa bite à la place de celle de Vincent.
Au moment où Vincent avait joui dans la bouche de Valérie, Didier s’était rapidement éclipsé et était retourné dans son bureau, toute la journée, il n’avait cessé de réfléchir au moyen d’abuser du corps de Valérie.
Il était son chef, il avait bien un rôle de supérieur vis-à-vis d’elle, dont il pourrait sans doute se servir, mais il fallait qu’il éloigne Vincent pour avoir les mains libres, et c’est ce jour-là, qu’il l’avait appelé pour lui dire qu’il devait se consacrer totalement à son enquête et qu’il n’était pas obligé de passer au bureau pour lui faire son rapport tous les jours.
Dès le lendemain, Vincent cessa donc de passer à son bureau, et Didier attendit encore deux autres jours pour mettre son plan à exécution, espérant que l’absence de Vincent génèrerait un certain manque chez Valérie.
Il l’avait mis sur un dossier bourré de paperasse redondante, et c’est donc en fin d’après-midi, tandis que la plupart des autres collègues étaient déjà rentrés chez eux, et qu’elle était toujours en train de comprendre les tenants et aboutissants du dossier, qu’il l’appela dans son bureau.
Sans se douter de quoique ce soit, Valérie entra dans le bureau de son chef et s’assit sur le fauteuil devant son bureau, Didier fut de nouveau hypnotisé par le magnifique sillon que formait les seins de Valérie, il mit un moment à reprendre une attitude plus formelle, et afin d’éviter d’avoir le regard attiré par cette superbe poitrine, il se leva et lui dit :
— Bon alors, Valérie, comment avance le dossier ?— Euh, ça fait seulement deux jours que je suis dessus, j’essaie encore de rentrer dedans.
Ces deux derniers mots troublèrent énormément Didier, qui eut des images de sa bite enfoncée dans la bouche pulpeuse de sa subordonnée.Il fixa un moment ses lèvres si tentantes, et dut faire un effort colossal pour ne pas se jeter dessus, en continuant de faire le tour de son bureau, tout en essayant de garder le contrôle de ses pulsions.Il lui dit alors :
— Arf, ça m’ennuie, si ça n’avance pas assez vite, je vais devoir le confier à quelqu’un de plus compétent.
Valérie fut surprise et outrée que son chef la traite presque d’incompétente, elle sentit son sang commencer à bouillir, et lui répondit d’un ton sec :
— Je ne fais de miracle, c’est un sac de nœud ce dossier, ce n’est pas en deux jours qu’on peut, ne serait-ce, y fourrer un doigt.
Sans le vouloir Valérie avait employé une image plutôt grivoise, et cela troubla encore une fois, Didier, il était dans son dos, avait les yeux rivés sur son décolleté plongeant, et se mordait la lèvre inférieur pour se retenir de se jeter sur ses seins si appétissants.Il prit une profonde inspiration pour essayer de conserver un semblant de calme, et posa ses mains sur les épaules de Valérie en lui disant :
— Ne t’inquiète pas, je ne te reproche rien, je connais le dossier, je me demandais juste si tu n’avais pas de problème personnel qui t’empêcherait de te concentrer.
C’était la première fois que Valérie avait un contact physique avec son chef, elle fut un peu confuse de sentir sa colère, laisser place à une étrange excitation, et comme son petit haut n’avait que de fine bretelle, elle pouvait sentir les mains de Didier particulièrement chaudes et douces, contre sa peau.Tandis que ses émotions étaient en pleine contradiction, elle sentit son corps et surtout son entrecuisse, réclamer un peu plus de cette douce chaleur, alors elle prit appui sur le dossier de son fauteuil, faisant ainsi glisser un peu plus bas les mains de son chef vers sa poitrine, et lui dit d’un ton suave :
— Oh tu sais, ce n’est plus le grand amour avec mon mari, il me délaisse un peu trop, et j’ai besoin qu’on s’occupe de moi, tu comprends.
C’était la première fois que Valérie parlait de choses personnelles et intimes à son chef, mais alors qu’elle sentait ses mains glisser doucement vers son décolleté, elle pressentait qu’il serait bientôt plus que cela.Didier était totalement hypnotisé par les seins de Valérie, et maintenant qu’elle les lui livrait presque sur un plateau d’argent, il ne put retenir ses mains de caresser cette peau si douce et si chaude.Quand ses doigts effleurèrent les coutures du petit haut de Valérie, il eut un petit pincement de remords envers sa femme, et hésita à glisser ses doigts sous ce petit bout de tissu.Il dit alors à Valérie :
— Je te comprends, moi-même, je passe trop de temps au bureau, et j’ai maintenant l’impression que ma femme me trompe.
Sentant que son chef hésitait à plonger ses mains sous son haut, Valérie prit les choses en main, elle souleva son décolleté, dévoilant complètement ses seins nus à son chef, et lui dit :
— Alors si elle prend du bon temps sans toi, il ne faut pas hésiter à en prendre à ton tour, sans elle.
Didier avait maintenant les seins nus de Valérie sous les yeux, même s’il avait déjà pu distinguer les tétons qui pointaient durement sous le tissu, il pouvait désormais voir à quel point ils attendaient ses caresses, alors comme Valérie les lui offrait si généreusement, il ne put se retenir de glisser ses mains sur cette magnifique poitrine.Tandis qu’il commençait à être à l’étroit dans son pantalon, il entendit Valérie soupirer de plaisir lorsque ses doigts effleurèrent ses tétons, il se mit alors à empoigner cette magnifique paire de seins, il les pétrit doucement, joua avec les tétons bien durs, il mourrait d’envie d’aller les lécher, et lorsque Valérie abaissa ses bretelles pour libérer totalement ses seins, elle lui gémit :
— Mmmm, ouiiii, continue, c’est booonnnn, viens me les bouffer mon salaud.
Didier ne se fit pas prier, il contourna le fauteuil et s’agenouilla devant Valérie, pour venir enfin lécher, sucer et téter ses tétons qui n’attendaient que sa langue et sa bouche gourmande.Valérie se mit alors à geindre doucement, elle laissa son chef lui bouffer les seins, mais même si elle prenait beaucoup de plaisir avec sa langue gloutonne, elle savait que son corps allait avoir besoin de bien plus, pour jouir, et depuis qu’elle baisait avec Vincent, elle ne ressentait plus aucun remords à aller chercher la bite de ses amants.Alors en bonne salope, elle glissa sa main sur la braguette de son chef, et sentit à quel point, il bandait, elle le branla doucement par-dessus son pantalon, et tandis qu’il continuait à se goinfrer de ses seins, elle lui dit :
— Oh, mais tu as l’air à l’étroit là-dedans, il faudrait libérer la bête.
Didier n’était plus tellement en état de raisonner, ça faisait des semaines qu’il n’avait pas couché avec sa femme, et avec Valérie qui s’offrait à lui, sans retenue, il sentait sa bite palpiter sous ses doigts, alors il abandonna ses seins et la laissa sortir sa queue en pleine érection.Ses couilles étaient tellement pleines, qu’il faillit jouir sous les douces caresses de Valérie, il finit de se débarrasser de son pantalon et de son caleçon, et se retrouva à moitié nue devant sa subordonnée.Pressée de sentir cette bite bien dure entre ses cuisses, Valérie n’hésita pas une seule seconde, elle souleva les cuisses et les posa sur les accoudoirs du fauteuil, avant de dire à Didier :
— Allez, viens me la mettre, mon salaud, baise-moi, maintenant.
Malheureusement, ce dernier, se rendant compte que Valérie, en plus de ne pas porter de soutien-gorge, ne portait pas non plus de culotte, et savoir que cette superbe salope se promenait la chatte à l’air dans les bureaux, finit de le faire jouir, alors, avant même qu’il lui ait fourré la chatte avec sa bite, il lui éjacula entre les cuisses.
Bien qu’un peu frustrée de ne pas recevoir ce sperme au fond de sa chatte, Didier lui gicla une telle quantité de sperme entre les cuisses, et même jusqu’à ses seins, que Valérie prit beaucoup plaisir à faire gicler son chef, aussi fort.
Lorsque les giclées finirent par se calmer, elle avait du sperme partout, sur les seins, sur le ventre, et sa chatte en était complètement recouverte.Tandis que Didier reprenait doucement son souffle, Valérie sentit que sa bite ramollissait progressivement sous ses doigts, mais elle ne comptait pas s’arrêter là, elle aussi voulait jouir, alors prise d’une envie lubrique, elle commença à étaler le sperme de son chef sur ses seins, en lui disant :
— La vache, mon salaud, tu m’en mis partout.
Didier, un peu honteux, d’avoir joui si fort et si vite, regarda Valérie commencer à se caresser les tétons avec son sperme, sa poitrine luisait grâce à son sperme, il sentit sa bite tressaillir devant ce spectacle particulièrement indécent.Jamais sa femme ne s’était comportée ainsi, telle une salope, un chienne en chaleur, et lorsque Valérie se mit à caresser sa chatte couverte de son sperme, il sentit sa bite se redresser de nouveau.Il se surprit à trouver ce spectacle à la fois répugnant et terriblement excitant, que lorsque Valérie glissa sa main derrière son cou, et l’attira contre ses seins en lui disant :
— Allez, mon salaud, tu me bouffais tellement bien les seins tout à l’heure, il faut les nettoyer maintenant que tu les as souillé de ton sperme.
Sans pouvoir se retenir, Didier se mit de nouveau à lui lécher les seins, il sentit un gout étrange sous sa langue, il devina aisément que c’était son sperme qu’il goutait pour la première fois de sa vie, et curieusement, au lieu de l’écœurer, il trouva cela étrangement enivrant, il se mit alors à lécher et sucer de nouveau les seins de Valérie avec un furieux appétit.Lorsque celle-ci se mit à pousser sa tête plus bas, il ne résista pas et se retrouva rapidement à lécher tout le sperme qu’il avait giclé entre ses cuisses, il se mit alors à lécher et à suçoter son clitoris gonflé, provoquant chez Valérie, des petites convulsions de plaisir.Elle gémissait sous ses coups de langue, en l’encourageant à continuer :
— Ouiiii, encoooreee, continuuueee, salaaauuudddd, bouffe-mooiiii laaa chaaatteeee.
Valérie jouissait sous les coups de langue de Didier, mais elle voulait sentir sa bite en elle, elle voulait se faire baiser par son chef, et qu’il jouisse cette fois au fond de sa chatte.Alors ivre de jouissance, elle lui attrapa le visage, le fit remonter jusqu’à ses seins, et lui gémit :
— Fourre-moi la chatte, défonce-moi avec ta bite, baise-moi comme une grosse salope.
La chatte de Valérie était tellement trempée, et la bite de Didier était redevenue tellement dure, qu’elle trouva l’entrée toute seule, et c’est dans un puissant coup de rien, elle se retrouva plongée dans une antre brulante et humide.
Ils poussèrent alors, simultanément un long râle de plaisir, et se roulèrent une pelle passionnée, Didier se mit à faire coulisser sa bite, et tandis qu’il grognait, Valérie se mit à gémir de plaisir.Les va-et-vient ne tardèrent pas à s’accélérer, Didier se redressa pour mieux défoncer la chatte de cette salope, et Valérie se mit à crier de plaisir sous les coups de queue de son chef.Mais tandis que ses fesses commençaient à claquer dans le bureau de son chef, de l’autre coté de la cloison, Camille l’attendait, elles avaient pris l’habitude de partir ensemble, et cette dernière avait été surprise de ne pas la trouver à son bureau.
Elle avait d’abord cru que Valérie était partie sans la prévenir, mais alors qu’il n’y avait plus personne dans les bureaux, elle entendit les cris de jouissance de sa collègue.Dans leur précipitation et leur excitation, ni Didier, ni Valérie n’avait pensé à verrouiller la porte ou même à fermer les stores, si bien que Valérie n’eut aucun mal à découvrir sa collègue, pratiquement à poil dans le bureau du chef, les cuisses en l’air, en train de se faire défoncer sur le fauteuil.
Didier et Valérie était tellement ivre de plaisir, qu’ils ne remarquèrent pas Camille qui approchait doucement, en sentant son entrecuisse frétiller.En voyant sa collègue jouir sous les coups de queue de leur chef, Camille se dit que cette salope avait vite trouvé de quoi compenser l’absence de Vincent, et une fois suffisamment proche de la paroi du bureau, elle put découvrir la bite de leur chef, qui coulissait de plus en plus fort dans la chatte de Valérie.
Elle ne put résister à l’envie de glisser une main sous sa jupe, et tout en les regardant baiser, elle se mit à se caresser la chatte, elle avait très envie de les rejoindre, mais elle craignait son chef, elle n’avait jamais eu une très bonne relation avec lui.
Elle eut alors une idée, elle sortit son téléphone et se mit à filmer, elle s’approcha doucement de la porte et l’ouvrit délicatement.Alors que Didier continuait à besogner sauvagement la chatte de Valérie, celle-ci, en pleine orgasme, remarqua Camille qui entrait discrètement, tout en continuant de les filmer.Pourtant même si Didier venait de jouir quelques instants auparavant, les contractions du vagin, que sa bite défonçait depuis un moment, eurent de nouveau raison de lui, il se cramponna aux cuisses de Valérie et jouit une seconde fois, et c’est en se vidant les couilles au fond de la chatte brulante de sa subordonnée, tout en grognant de jouissance, qu’il remarqua, à son tour, la présence de Camille.
Il était si bien au fond de cette chatte brulante, qu’il ne trouva pas la force de la quitter, et finit d’éjaculer à l’intérieur, mais alors que ses couilles finirent de se vider, il reprit son souffle et réalisa que Camille avait tout filmé.
Il ne sut quoi faire, Valérie ne semblait pas tellement offusquée de s’être fait surprendre, elle restait, sans bouger, les seins à l’air, et la chatte fourrée par la bite de son chef.Après un long silence, Camille stoppa la vidéo, et leur dit :
— Eh bien, comme ça on baise pendant les heures de bureau.
Didier restait toujours sans voix, immobile entre les cuisses de Valérie, et alors que sa bite débandait doucement dans la chatte de Valérie, son sperme commença à suinter.Il resta hébété lorsque Camille lui dit :
— Tu lui en as mis une sacrée dose, mon salaud, va falloir nettoyer tout ça.
Alors comme il l’avait fait quelques minutes auparavant, il libéra la chatte de Valérie et se pencha entre ses cuisses pour se mettre à lécher son sperme qui s’écoulait doucement, malgré la présence de Camille, il sentit un étrange plaisir monté en lui, et c’est avec un certain appétit qu’il se mit à lécher et avaler tout son sperme.Camille fut très surprise que son chef lui obéisse, ainsi sans rechigner à gouter à son propre sperme, alors prise d’un désir soudain, elle commença à lui caresser les fesses en lui disant :
— C’est ça, mon salaud, nettoie bien la chatte que tu as souillé de ton sperme, et avale tout, n’en laisse pas échapper une seule goutte.
Mais lorsqu’il sentit les doigts de Camille glisser entre ses fesses, et commencer à lui titiller l’anus, il ressentit alors un étrange trouble, c’était comme s’il avait attendu cela toute sa vie, il eut du mal à continuer à lécher son sperme, et quelques gouttes tombèrent sur le sol.Prise d’un puissant sentiment de domination, Camille lui assena une violente gifle sur les fesses, en lui disant :
— Espèce de gros porc, tu en as laissé tomber.
Didier fut alors tellement surpris par la claque sur ses fesses et par le ton autoritaire de sa subordonnée, qu’il replongea sa langue dans la chatte de Valérie.Mais de nouveau, Camille vint lui titiller l’anus et alors qu’il mourrait d’envie de lui demander de lui mettre un doigt dans le cul, il n’osa pas bouger et continua de lécher et d’avaler son sperme.Lorsqu’enfin, Camille se décida à lui glisser un doigt dans le cul, Didier ne put se retenir de pousser un long grognement de plaisir et laissa de nouveau tomber quelques gouttes de sperme.Cette fois, Camille laissa son doigt enfoncer dans le cul de son chef et lui envoya une nouvelle gifle sur l’autre fesse, Didier se surprit à ressentir un plaisir fantastique.Pour la première fois, depuis longtemps, il était à la merci des femmes et cela lui procurait une intense jouissance, alors que sa subordonnée lui doigtait le cul et lui giflait les fesses, il sentit sa bite durcir de nouveau et éjaculer à chaque fessée.
C’était plus fort que lui, il jouissait à chaque fois que la main de Camille claquait sur son cul, il avait cessé de lécher la chatte de Valérie et se contentait de grogner et de jouir à chaque fessée.
Comprenant rapidement que son chef prenait son pied à se faire gifler le cul, Camille sut qu’elle avait le pouvoir de prendre le contrôle sur lui, alors elle lui enfonça entièrement son doigt dans le cul, et se pencha à son oreille pour lui dire :
— A partir d’aujourd’hui, tu seras mon petit esclave, et tu m’obéiras comme un bon petit toutou.
En pleine extase, Didier ne put que lui grogner un :
— Ouiiiii.
Se prenant au jeu, Camille fit coulisser son doigt dans le cul de son chef, et rajouta :
— Oui, Maitresse.
Didier répondit aussitôt :
— Ouiiii, Maitresssssseeeee.
Elle libéra alors son cul et lui dit :
— Rhabillez-vous, il ne faudrait pas que la sécurité nous tombe dessus.
Réalisant doucement ce qu’il venait de se passer, Didier se dépêcha de se rhabiller, tandis que Valérie en faisait autant et s’en allait en compagnie de Camille.Mais alors qu’elle venait de réaliser que les jours à venir allaient être très intéressant, elle lui dit, avant de le quitter :
— Je veux que tu sois en forme demain, donc laisse ta femme tranquille.
Didier se dit qu’il n’aurait aucun mal, vu que sa femme ne voulait même plus baiser, mais alors qu’il finissait de se rhabiller, il se demanda quelles seraient désormais ses relations avec Camille et Valérie.Il se surprit à ne ressentir aucun remords d’avoir trompé sa femme, mais s’il ne se trompait pas celle-ci, en faisait autant de son côté.Il rentra donc chez lui, en étant presque impatient d’être déjà le lendemain.Depuis ce jour, Valérie et Camille jouèrent les parfaites maitresses de Didier, et ce dernier jouit de nombreuses fois à être leur soumis, avec son accord et le budget du service, elles installèrent divers accessoires dans la salle des archives qui devint rapidement le lieu des sévices du chef.
Etrangement, Vincent n’eut aucun mal à croire ce qu’elles venaient de lui raconter, il voyait parfaitement Didier dans son rôle de soumis.Mais cette petite histoire et voir tous ces accessoires de soumission, avait beaucoup excité Vincent, il leur dit alors :
— Et si on les essayait sur vous mes petites salopes ?
Ça faisait un moment qu’elles y pensaient toutes les deux, et elles avaient hâte d’essayer leur nouveau jouet avec Vincent.Même si elles prenaient beaucoup de plaisir à jouer les maitresses avec Didier, elles avaient également un coté soumise, qui ne demandait qu’à être assouvi.Vincent leur demanda alors de se déshabiller, il attacha ensuite Camille à la croix de Saint André, tandis qu’il demandait à Valérie de s’installer à genou dans le piloris.Elles étaient totalement à sa merci, et cela excita énormément Vincent, il chercha par quoi commencer, il tomba alors sur le petit martinet en cuir, il le prit et s’approcha des superbes fesses de Camille.
Il commença par lui envoyer un petit coup, qui loin de lui faire mal, la surprit et la fit pousser un petit cri.Comme ses deux salopes étaient pratiquement l’une à coté de l’autre, il passa des fesses de Camille à celles de Valérie, leur envoyant des coups de martinet de plus en plus rapide, sur leurs ravissants postérieurs.
Elles se mirent à pousser des petits cris de surprise, mêlé d’un étrange plaisir, et même si leurs fesses devenaient de plus en plus rouges, à aucun moment, elles ne demandèrent à Vincent d’arrêter et continuèrent de jouir intensément sous ses coups de martinet.
Il alla alors chercher d’autres accessoires, et bientôt ses deux superbes salopes se retrouvèrent avec un baillon en forme de boule dans la bouche, des pinces accrocher à leur tétons, et un plug dans le cul.
Vincent savait qu’elles adoraient de faire enculer, alors il ne prenait pas un grand risque à leur fourrer le cul.Mais alors qu’il pouvait voir leur cyprine couler le long de leurs cuisses, il ne put résister plus longtemps à les baiser toutes les deux, il sortit sa bite et la position de Valérie était vraiment trop bandante, alors il s’agenouilla derrière elle et commença à la défoncer.
Le bâillon l’empêchait d’exprimer pleinement son plaisir, mais à la façon dont elle bavait et dont elle criait, Vincent savait qu’elle prenait son pied, il réussit à résister à l’envie de jouir lorsqu’elle eut un orgasme et qu’il sentit son vagin se contracter autour de sa queue.
Il attendit que les muscles de son vagin se décontractent, pour ressortir sa bite et aller s’occuper de Camille.Il s’approcha dans son dos, et comme il avait un grand faible pour son petit cul, il retira le plug et lui dit :
— Ton cul est vraiment trop bandant, salope, et comme je t’ai déjà engrossé, tu auras droit à ma bite dans le cul.
La bâillon empêchait Camille de lui répondre, mais à la voir se cambrer pour lui offrir son cul, Vincent sut qu’elle était impatiente de se faire enculer.Mais contrairement à son habitude, il ne lui appliqua pas de lubrifiant, il plaça sa bite contre son anus et s’enfonça à l’intérieur d’un puissant coup de rein, en lui disant :
— Tiens, sale pute, prends-toi ça dans le cul.
Camille écarquilla les yeux, même si elle avait l’habitude de se faire enculer, elle ne le faisait jamais sans préparatifs, alors même si elle souffrit un peu de cette violente enculade, elle jouit également de se sentir totalement soumise à son maitre.
Tout comme Valérie, avant elle, elle se mit à crier de plaisir sous les coups de queue de Vincent, qui lui défonça le cul avec une violence inouïe, et après un orgasme tout aussi violent, elle sentit Vincent bloquer sa bite au fond de son cul, et grogner en lui jouissant dans les intestins.
Cela ne fit que prolonger son orgasme, et elle finit par s’évanouir de plaisir, accrochée à la croix.Vincent libéra son cul et après avoir libéré Valérie du piloris, celle-ci l’aida à détacher Camille et à l’allonger sur le lit, tandis qu’elle reprenait doucement ses esprits.Vincent s’allongea entre elles, et tout en leur caressant tendrement leurs superbes poitrines, il leur raconta, ses aventures avec la femme de Didier et sa belle-sœur.Bien entendu, elles furent de nouveau toutes excitées, par cette histoire, et ils baisèrent de nouveau, tous les trois.Cette fois, ce fut Valérie qui se prit la bite de Vincent dans le cul, tandis que Camille se faisait bouffer la chatte par Vincent.Ils jouirent de nouveau, tous les trois, et alors qu’ils étaient encore allongés, complètement nus sur le lit, Vincent pensa à leurs maris et leur demanda :
— Je suppose que vos maris ne savent pas qu’ils sont cocus ?
Valérie répondit la première :
— Non, et vu comment je l’intéresse, je pense qu’il n’en a rien à foutre, si je couche avec d’autres hommes.
Camille, qui était maintenant enceinte de Vincent, répondit :
— Le mien rentre de mission la semaine prochaine, je vais devoir attendre pour lui annoncer que je suis enceinte, et je pense que je suis morte s’il apprend que ce n’est pas de lui.
Vincent compatis à leur malheur et leur dit :
— Mes pauvres chéries, vous n’avez pas de chances avec vos hommes.
Mais Vincent réfléchit un peu et leur demanda :
— Vous pensez que s’ils vous trompaient, ça pourrait vous permettre de baiser plus librement ?
Intriguées, mais particulièrement intéressées, elles répondirent en chœur :
— Comment ça ?— Eh bien, admettons que vous les surpreniez avec une autre femme, est-ce qu’ils s’en voudraient assez pour vous laisser, à votre tour, coucher avec un autre homme ?
Elles parurent réfléchir un moment à cette éventualité et Valérie répondit encore en premier :
— Je pense que mon mari n’est plus du tout intéressé par le sexe, il ne me regarde même plus lorsque je me promène en string dans la chambre.— Peut-être qu’une autre femme pourrait réveiller ses ardeurs ?— Moui, peut-être, mais franchement j’ai de gros doutes sur le fait que sa libido ne soit pas complètement morte et enterrée.— Tu penses que si tu baisais devant lui, il ne réagirait même pas ?— Oh si probablement, il irait dans son fauteuil et regarderait un match.— Intéressant, et toi Camille ?
Camille était encore perdue dans ses pensées, mais répondit :
— Eh bien, en fait, vu le temps qu’il passe en mission, je l’ai souvent soupçonné d’avoir quelques aventures, ici ou là, il m’a toujours rétorqué le contraire, mais depuis que je couche avec toi, je m’en contrefiche, il peut coucher avec qui il veut.— Ok, mais s’il couchait avec une femme, chez vous par exemple ?— Je ne pense pas qu’il serait capable de me tromper, s’il y a un risque que je le surprenne.— Ok, très bien.
Mais Valérie et Camille ne comprenaient pas pourquoi Vincent leur posait ce genre de question, alors elles lui demandèrent :
— Pourquoi tu nous demandes tout ça ?— Tu prépares quelque chose ?
Vincent avait effectivement une idée derrière la tête, mais il voulait en savoir plus avant de lancer les préparatifs, alors il leur répondit :
— Comme je ne peux rien vous cacher, je prépare un petit évènement, un peu spécial, mais ce n’est encore qu’un projet, j’aimerais connaitre vos maris, les rencontrer, leur parler, et voir si je peux …
Mais il ne put finir sa phrase, ils entendirent des bruits de pas dans les escaliers et se doutant que c’était Didier qui était à la recherche de ses deux maitresses, Vincent se dépêcha de récupérer ses affaires et cacha derrière une étagère.Comme prévu, ce fut Didier qui ouvrit la porte et lorsqu’il découvrit Camille et Valérie à poil sur le lit, elles se mirent à 4 pattes sur le lit et lui dirent :
— Allez, approche, petit esclave, viens nettoyer notre cul.
Toujours aussi soumis à ces deux salopes, Didier s’agenouilla derrière elles et se pencha sur leurs superbes fesses, il reconnut aussitôt le gout du sperme, et bien qu’il savait que ce n’était pas le sien, il continua à leur lécher le trou de bal et leur nettoya parfaitement le cul.Vincent se rhabilla discrètement en regardant son chef et ami lécher le cul de ses deux salopes, et ressentit une certaine jubilation, à savoir que Didier était en train de lécher son sperme.
Il les laissa tous les trois et partit s’occuper de Christine et Laureen.

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