Vincent et ses salopes 8 Nathalie Laureen et Christine Après avoir baisé avec la femme de son chef et sa belle-sœur, Vincent avait voulu retourner voir ses salopes du bureau, il avait alors découvert que Didier entretenait des relations plutôt troublantes avec elles.Il avait ainsi pu constater que l’étage des archives était maintenant devenu un petit salon SM, où son chef se faisait malmener par ses deux premières salopes : Valérie et Camille. Vincent avait pu essayer quelques accessoires sur elles, et ils avaient joui tous les trois intensément, avant que Didier ne vienne les rejoindre à l’étage, afin que les filles s’occupent de lui. Vincent devait maintenant retourner voir Christine et Laureen, pour préparer la prochaine étape de son projet. Il avait préféré suivre derrière son écran la réaction de Laureen, après qu’il l’ait baisée, et lorsqu’il l’avait envoyée bouffer le cul de sa sœur, alors que celle-ci se faisait enculer par le fils du voisin, il fut presque surpris de voir Laureen se cacher et attendre que Maxime s’en aille pour aller s’occuper du cul de sa sœur. Il la vit alors se mettre à genoux et plonger sa langue entre les fesses de Christine, pour aller lécher le sperme que Maxime avait éjaculé à l’intérieur. Elle venait à peine d’être dépucelée, et la voilà qui bouffait le cul de sa sœur avec un certain appétit, il était certain qu’il allait pouvoir faire d’elle l’une de ses plus grosses salopes. Les deux salopes de frangines prirent ensuite un bain ensemble, et lorsque Didier rentra chez lui, peu de temps après, Vincent observa leurs réactions : elles jouèrent parfaitement la comédie et firent comme si rien de spécial ne s’était passé aujourd’hui. Même s’il avait très envie de la faire plonger encore plus loin dans la débauche, Vincent estima qu’elle avait déjà vécu pas mal d’émotions pour aujourd’hui, il préféra la laisser tranquille pour la soirée, et rentra donc chez lui. Mais après ce qu’il venait de découvrir à l’étage des archives, et après avoir baisé avec Camille et Valérie, il se sentait prêt à faire plonger les deux sœurs salopes dans la débauche la plus totale. Comme à son habitude, il se gara dans une petite ruelle isolée, à quelques mètres de la maison, et regarda, grâce aux caméras, ce qu’il se passait à l’intérieur. Tout semblait avoir repris la routine quotidienne, mais alors que Laureen s’apprêtait à partir en cours, et que Christine devait l’accompagner à la gare, Vincent lui envoya un message :[SMS]> Ne va pas en cours aujourd’hui, j’ai encore envie de te voir te faire baiser. Laureen avait déjà ouvert la porte d’entrée, pour partir, lorsqu’elle reçut le message, Vincent crut apercevoir un petit sourire sur le coin de ses lèvres, et sans donner une quelconque raison à sa sœur, elle referma la porte et lui dit : — Je ne vais pas aller en cours, aujourd’hui, je ne me sens pas très bien. Christine fut un peu surprise, mais se doutant que Vincent manipulait sa sœur à distance, elle reposa les clés de sa voiture, et lui demanda : — Qu’est-ce qui ne va pas ?— Rien de grave, mais je me sens un peu ballonnée.
Vincent envoya alors un autre message à Laureen :[SMS]> Toi et ta sœur, habillez-vous en bonnes petites putes, que vous êtes. Laureen reçut le message quelques secondes après, elle hésita à le montrer à sa sœur, et préféra se coller à elle et tout en lui pelotant doucement les seins, elle lui dit : — Et si on s’habillait en petites salopes, toutes les deux ? Après ce qu’elles avaient vécu ensemble, Christine laissa sa sœur lui caresser les seins, sans rien dire, et commença même à sentir ses tétons durcir sous ses doigts, elle prit alors le visage de sa petite sœur entre ses mains, et lui roula une pelle langoureuse, en lui disant : — Très bien, si Vincent revient nous voir, on sera prête à l’accueillir. Mais ce dernier avait une tout autre idée derrière la tête, et tandis que les deux frangines allaient enfiler minijupe et crop-top moulant, Vincent partit frapper à la porte de la maison de Maxime. Le destin semblait être avec lui, car la porte s’ouvrit presque aussitôt et il fut accueilli par le jeune amant de Christine. Ce dernier connaissait un peu Vincent, mais il fut surpris de le trouver devant sa porte et lui dit : — Bonjour, vous voulez quelque chose ? Vincent sourit à sa bonne fortune et tout en sortant son téléphone, lui répondit : — Eh bien, mon jeune garçon, figure-toi que j’ai découvert quelque chose... Il lança alors la vidéo, où Maxime était en train de défoncer le cul de Christine, ce dernier devint rouge écarlate, et voulut attraper le téléphone avant que sa mère n’entende les gémissements de leur voisine, mais Vincent esquiva et laissa la vidéo se poursuivre.Maxime lui dit alors : — Arrêtez, ma mère va finir par l’entendre.— Très bien, mais alors tu dois me rendre un petit service.— Oui, tout ce que vous voulez, mais arrêtez, vite !! Vincent mit la vidéo sur pause, et lui demanda : — Tu baises avec Christine depuis combien de temps ?— Quelques semaines, pourquoi ?— Tu n’aurais pas envie de baiser Laureen, elle est plus de ton âge, non ?— Oui, mais je ne l’intéresse pas, et à mon avis, elle est encore vierge. Vincent sourit et répondit un peu trop rapidement : — Plus maintenant.— Comment ça ? Vincent ouvrit la vidéo où Laureen était en train de bouffer le cul de sa grande sœur, et la montra à Maxime, en lui disant : — Je l’ai dépucelée, le même jour où tu as joui dans le cul de sa sœur, et regarde comment elle a aimé le goût de ton sperme. Cette fois, Maxime n’essaya pas de stopper le vidéo, il se rapprocha, très intéressé, et sentit sa bite durcir, en regardant la jeune salope nettoyer le cul de sa grande sœur, il ne put se retenir de dire : — La vache, elles baisent ensemble, les salopes. On entendait de nouveau les gémissements de plaisir de Christine, mais Maxime était trop excité par ce qu’il voyait, alors malgré la présence de sa mère à quelques mètres, il continua de regarder la vidéo sur le téléphone de Vincent, en se sentant de plus en plus à l’étroit dans son caleçon. Vincent entendit des bruits de pas derrière son futur complice et stoppa la vidéo, comme prévu, c’était la mère de Maxime, qui fut, elle aussi, très surprise de trouver Vincent devant chez elle, et leur demanda : — Qu’est-ce que vous regardez ? J’ai cru entendre des bruits bizarres. Ne sachant quoi dire, Maxime devint blanc comme un linge, et Vincent dut venir à son secours : — Eh bien, en fait, j’ai reçu une vidéo bizarre sur mon téléphone, et comme je sais que ton fils est doué en informatique, j’étais passé le voir pour qu’il m’aide à trouver l’origine du message. Nathalie, la mère de Maxime, sembla se satisfaire de cette explication bidon, mais alors que son fils reprenait doucement des couleurs, celle-ci l’invita à rentrer. Vincent accepta l’invitation, et tandis que Maxime allait partir en cours, il lui dit discrètement : — Si tu préfères aller les baiser qu’aller en cours, elles n’attendent que ça, mais appelle au moins deux de tes potes, parce qu’elles sont très gourmandes. Maxime resta encore une fois, sans voix, et tandis que Vincent entrait chez lui et refermait la porte, il se retrouva alors empli de doutes, devant sa porte d’entrée. Il devait faire un choix. Certes, il adorait baiser avec Christine, mais si maintenant il pouvait également profiter de la belle Laureen, il ne devait pas hésiter. Il n’eut pas tellement le temps de tergiverser, Laurent et Franck, ses deux meilleurs amis arrivèrent devant chez lui, pour l’accompagner en cours.Mais alors que Maxime semblait encore hésitant à la conduite à tenir, Laurent lui dit : — Eh bien, qu’est-ce que tu fous, dépêche-toi, on va être en retard. Le cœur battant, Maxime les rejoignit, et leur dit discrètement : — Les gars, j’ai un autre plan. Intrigués, ils lui demandèrent : — Quoi, de quoi tu parles, c’est quoi ton plan ? Maxime hésitait à révéler son secret à ses amis, mais il s’imaginait déjà baiser la belle Laureen, alors il leur dit : — Je connais deux bonnes salopes, pas très loin d’ici. Ses deux amis furent tout à coup, très intéressés, et lui demandèrent : — OK, et c’est quoi ton plan ?— Eh bien, je suis sûr qu’elles attendent qu’on vienne les baiser, toutes les deux. De plus en plus intéressé, Laurent lui dit : — Tu es sûr de ton coup ? Parce que si on tombe sur un plan foireux, on va se faire éclater par Mr Dupont, parce qu’on aura raté son cours.— Oui je sais, mais attendez ... Sans donner plus d’explication, à ses amis, Maxime rentra chez lui et fut surpris de trouver Vincent et sa mère, seuls, dans la cuisine, il avait des images de Laureen et Christine, complètement nues, plein la tête, alors tout en demandant à Vincent de lui envoyer la vidéo, pour qu’il cherche l’origine, il se demanda si ce vieux salaud n’allait pas essayer de se taper sa mère. Alors de nouveau, empli d’hésitation, il attendit d’avoir reçu la vidéo pour les laisser seuls. Mais dans son trouble, il voulut vérifier que c’était le bon fichier, où Laureen était en train de bouffer le cul de sa sœur, et alors que les gémissements de Christine emplissaient toute la maison, Maxime devint, de nouveau, rouge écarlate, et s’enfuit rapidement. Nathalie fut très troublée d’entendre de tels gémissements, et la présence de Vincent n’arrangeait rien à son trouble. Elle n’avait pas couché avec son mari depuis des semaines, et même si, tous les matins, elle sentait son entrecuisse frétiller d’envie, elle se caressait seule dans son lit pour arriver à contenir ses pulsions. Mais ces gémissements n’avaient fait que réveiller ses désirs, alors, sans vraiment réfléchir à ce qu’elle disait, elle demanda à Vincent : — Eh bien, ça m’a l’air chaud, cette vidéo. Vincent eut un sourire coquin, son plan se déroulait mieux que prévu, il avait souvent eu l’occasion de rencontrer Nathalie, lorsqu’il rendait visite à Didier, et qu’ils invitaient également leurs voisins.Comme Nathalie lui plaisait beaucoup, il avait souvent fantasmé sur elle, et l’avait souvent intégrée à ses histoires. Il faut dire que Nathalie était une superbe femme de 42 ans, brune, les cheveux longs, souvent tenus en queue-de-cheval, elle était plutôt petite et fine, mesurait 1,58m pour 49 kilos, mais elle possédait une ravissante poitrine de 85D, et un cul magnifiquement bombé qui plaisait beaucoup à Vincent et aux autres hommes.Alors aujourd’hui, il avait bien l’intention de passer du fantasme à la réalité, il lui répondit donc : — Effectivement, mais je n’oserai pas te la montrer. Comme si sa fierté avait été froissée, et comme pour prouver qu’elle n’était pas une femme si prude que cela, Nathalie répondit, un peu trop rapidement : — Oh tu sais, je ne suis plus une jeune fille effarouchée, j’en ai déjà vu d’autres. Vincent jubilait intérieurement, mais il fit son possible pour ne rien laisser paraître et lui répondit : — Je me doute, mais quand même, cette vidéo est assez spéciale. Mais la curiosité de Nathalie avait été piquée au vif, alors elle insista : — Allez, montre-moi ça, promis, je ne crierais pas au scandale. Vincent sortit alors son téléphone et lui dit : — OK, mais rappelle-toi bien ce que tu viens de me promettre. Il avait tout préparé, cette vidéo montrait son fils en train de jouir dans le cul de sa voisine et quelques secondes après, on voyait Laureen s’agenouiller derrière sa sœur pour lui bouffer le cul.Déjà très surprise de voir son fils accroché aux hanches d’une femme, en train de jouir dans son cul, Nathalie avait été complètement abasourdie de reconnaître le visage, ivre de jouissance, de sa voisine. Distinguant aisément le trouble chez son hôte, Vincent s’était doucement collé à elle, et avait délicatement posé sa main sur ses fesses. Il avait commencé à lui peloter le cul tranquillement, tandis que Nathalie était de plus en plus perdue, elle avait beau sentir les mains de Vincent commencer à lui pétrir les fesses et à remonter sa jupe, elle n’arrivait pas à détacher ses yeux de l’écran de son téléphone, elle sentait monter en elle un désir terriblement pernicieux. Et lorsqu’elle vit son fils retirer sa bite du cul de sa voisine, elle cessa de lutter contre cette envie irrépressible, elle se cambra doucement et offrit son cul aux mains vicieuses de Vincent. Mais alors qu’elle se croyait au bout de ses surprises, et tandis qu’elle sentait que Vincent avait retroussé sa jupe sur ses hanches, pour dévoiler sa culotte, elle vit une autre fille s’agenouiller derrière sa voisine. Elle avait le visage tellement enfoui entre les fesses de Christine, que Nathalie mit un moment à la reconnaître, et bien qu’elle fût partagée entre la honte et le désir, elle sentit sa culotte glisser doucement sur ses cuisses, celle-ci tomba rapidement à ses chevilles, et au moment où elle reconnut la jeune fille qui bouffait le cul de Christine, c’est comme par automatisme qu’elle souleva les pieds pour aider Vincent à lui retirer sa culotte, et s’entendit dire à voix haute : — Quelle salope ! Elle se fait même bouffer le cul par sa petite sœur. Après lui avoir retiré sa culotte, Vincent avait sorti sa bite bien dure, et comme Nathalie semblait lui offrir gentiment sa croupe en chaleur, il plaça son gland contre sa chatte et lui dit, en lui enfonçant sa bite : — Laureen est aussi salope que sa sœur, elles adorent le sperme, toutes les deux. Cela faisait tellement longtemps que sa chatte n’avait pas été si bien remplie que Nathalie ne put répondre à Vincent que par un long geignement de plaisir. C’était la première fois qu’elle trompait son mari, mais même si elle en avait terriblement honte, cela lui faisait tellement de bien qu’elle ne fit rien pour arrêter cet accouplement illicite. Elle aida même Vincent à lui retirer son chemisier, et à dégrafer son soutien-gorge. Elle se mit à gémir de concert avec la vidéo où Christine jouissait sous les coups de langue de sa sœur. Vincent se cramponna à ses superbes seins et commença à lui besogner de plus en plus fort sa chatte en chaleur. Nathalie se mit à jouir sous ses coups de queue, elle abandonna la vidéo, et s’offrit corps et âme à son amant. Elle fut même surprise de pousser un puissant cri de plaisir lorsque Vincent tira sur sa queue-de-cheval, la faisant se cambrer davantage, et l’attrapa par le cou pour lui rouler une pelle sauvage. Sans aucune retenue, Nathalie envoya sa langue dans la bouche de son amant, tandis qu’elle accueillait la sienne avec délice. Sous ses puissants coups de queue, elle eut droit à son premier orgasme, qu’elle attendait depuis des mois, et poussa un profond cri de jouissance. Et alors qu’il sentait le vagin de Nathalie se contracter autour de sa bite, Vincent ralentit et la laissa doucement reprendre son souffle et ses esprits. Nathalie s’était alors affalée sur le plan de travail de la cuisine, et tandis qu’elle reprenait doucement pied, après son dernier orgasme, elle sentait toujours la bite bien dure de Vincent plantée en elle, alors désirant profiter à fond de son récent adultère, elle se redressa et lui soupira : — Baise-moi encore. Vincent s’agrippa de nouveau à ses superbes nichons, et reprit ses puissants va-et-vient, Nathalie ne ressentait plus aucune honte à se faire baiser par un autre homme que son mari, dans la cuisine, et alors qu’elle jouissait comme une folle avec la bite de Vincent qui cognait au fond de son vagin, elle regarda de nouveau l’écran du téléphone. Toutefois ce dernier s’était éteint, alors complètement ivre de jouissance, elle prit le téléphone et gémit à son amant : — Montre-moi encore comment cette salope se fait baiser par mon fils. Cela faisait presque trente minutes que Nathalie et Vincent baisaient ensemble, alors ce dernier estima que Maxime et ses potes devaient déjà être en pleine action, il prit le téléphone et se connecta directement aux caméras chez Christine. Il ne s’était pas trompé, et vit Christine occupée à sucer les deux potes de Maxime, tandis que celui-ci se faisait pomper la bite par Laureen. Il repassa le téléphone à Nathalie et reprit ses va-et-vient au fond de sa chatte, mais alors qu’elle jouissait comme une folle, sous ses coups de queue, elle reconnut la tenue que son fils avait mise aujourd’hui, elle sut alors que la scène qui se déroulait à l’écran était en direct. Mais même si elle prenait un plaisir fou avec la bite de Vincent, elle ressentit une profonde jalousie en voyant sa salope de voisine se faire prendre le cul et la chatte simultanément par les amis de son fils. Elle n’avait jamais osé tenter la sodomie, mais en voyant jouir Christine avec la bite de son fils et maintenant celle de Laurent dans son cul, Nathalie semblait beaucoup moins hésitante à se prendre une bite dans le cul. Alors tout en gémissant, elle dit à haute voix : — Quelle pute, celle-là, elle se les prend même dans le cul. Voyant que Nathalie semblait intéressée, Vincent glissa un doigt entre ses superbes fesses, et lui dit, en lui titillant l’anus : — C’est moi qui lui ai dépucelé le cul, je vais m’occuper de celui de Laureen, bientôt. Nathalie voyait maintenant Laureen en train de chevaucher la bite de son fils, et alors qu’elle sentait le doigt de Vincent tenter de s’enfoncer dans son cul, elle se laissa faire et sentit bientôt son cul et sa chatte se faire visiter. Ce n’était pas le premier doigt qu’elle se prenait dans le cul, mais cette fois, elle avait la ferme intention de se prendre une bite par-là, alors tout en sentant le doigt de Vincent s’enfoncer de plus en plus loin dans son cul, elle se mit à lui gémir : — Ouiiii, encooooreeee, continuuueee, tu seraaasss aussssiiii le premier à m’enculeeeerrrrrrr. Vincent avait ramené tout son attirail pour la baise, et prévoyant déjà de fourrer sa bite dans le superbe cul de Nathalie, il sortit son tube de lubrifiant et commença à en étaler sur son anus et sur son doigt. Nathalie fut d’abord surprise de sentir une étrange substance froide autour de son cul, mais en sentant le doigt de Vincent coulisser de plus en plus facilement dans son cul, elle fut presque impatiente qu’il lui en mette un autre. Ce qui ne tarda pas à arriver, et alors qu’elle avait maintenant deux doigts dans le cul et la bonne bite de Vincent dans la chatte, elle se mit à crier de plaisir, elle fut presque surprise de ne ressentir aucune douleur lorsque Vincent lui fourra un troisième doigt dans le cul. Elle se mit alors à envoyer son cul au-devant des doigts de Vincent, accélérant de plus en plus les enculades, et tandis que Christine se faisait sauvagement ramoner le cul et la chatte par deux bonnes queues, elle fut jalouse d’elle. Elle se tourna alors vers Vincent et lui dit : — Vas-y, mets-la-moi dans le cul, encule-moi comme cette grosse salope. Vincent sourit, il retira ses doigts de son cul et sortit sa bite de sa chatte, pour placer le gland contre son anus, c’était la première fois que Nathalie sentait une bite se poser à cet endroit, mais ivre de désir, elle se mit elle-même à reculer son cul sur la queue de Vincent. Elle sentit ses sphincters s’ouvrir doucement, mais le lubrifiant et les doigts de Vincent avaient bien préparé le terrain, et elle se retrouva rapidement avec le gland planté dans le cul. Elle resta un moment immobile à déguster cette toute nouvelle sensation, son cul venait de recevoir sa première bite, et sentant un étrange plaisir monté en elle, elle sut que ce ne serait pas la dernière fois qu’elle se ferait enculer. Alors, sans attendre plus longtemps, elle se mit à reculer encore ses fesses, en geignant de plaisir, et lorsqu’elle sentit les poils pubiens de Vincent lui chatouiller les fesses, elle sut qu’elle avait réussi à se prendre toute sa queue dans le cul. Elle poussa alors un long râle de satisfaction, et resta de nouveau immobile, savourant l’intense allégresse de sentir cette bite bien dure, palpiter dans son cul.Elle s’entendit alors dire une phrase qu’elle n’aurait jamais imaginé prononcer un jour : — Putain, c’est trop bon, ta bite dans mon cul. Vincent commença alors à faire doucement coulisser sa queue, et lui répondit : — Apparemment, vous êtes toutes de sacrées salopes dans le quartier, faudrait peut-être que je rende visite aux autres voisines. Nathalie ne put lui répondre, les va-et-vient de la bite de Vincent dans son cul la rendaient complètement folle, elle posa ses épaules sur le plan de travail et vint s’écarter les fesses avec ses mains comme pour qu’il aille encore plus loin dans son cul. Vincent accéléra de plus en plus les enculades, et les fesses de Nathalie se mirent rapidement à claquer sous ses coups de queue, elle-même se mit à crier de plaisir et jouit intensément de sa première sodomie. Mais le cul de Nathalie était si serré et Vincent prenait un tel plaisir à lui défoncer le cul, qu’il commençait à être à bout de ses résistances, il se mit alors à envoyer sa queue de plus en plus fort, et dans une dernière et puissante poussée, il s’agrippa aux hanches de Nathalie et s’immobilisa au fond de son cul pour lui gicler tout son sperme dans les intestins. C’était la première fois que Nathalie sentait ce liquide chaud ailleurs que dans sa chatte, et la sensation fut particulièrement enivrante. Tout en entendant grogner Vincent de plaisir, elle poussa un long râle de jouissance. Les giclées de sperme lui remplissaient de plus en plus le cul et elle fut étrangement fière d’avoir réussi à faire jouir Vincent avec son cul. Lorsqu’il libéra enfin son cul, elle ressentit un étrange manque, elle sentait le sperme suinter doucement de son anus et s’écouler sur ses cuisses. Mais alors qu’elle allait se relever pour trouver quelque chose pour se nettoyer, Vincent la maintint contre le plan de travail et lui dit : — Ne bouge pas, salope, laisse mon sperme couler sur tes cuisses, et garde-le sur toi, jusqu’à ce soir. Je veux que tu te rappelles à quel point tu as joui avec ma bite dans ton cul, lorsque ton mari rentrera. Etrangement, même si Nathalie avait honte d’avoir trompé son mari, elle accepta d’assouvir le désir de Vincent, et laissa donc son sperme s’écouler doucement de son cul, pour glisser jusqu’à ses mollets et finir par sécher. Elle se sentait profondément salie et souillée par ce sperme qui coulait sur elle, mais curieusement elle ressentait également un plaisir malsain, et garda donc le sperme de son amant sur elle, jusqu’au soir.Voyant qu’elle avait accepté sa requête, Vincent la laissa se redresser, et tandis qu’elle jetait un œil à son téléphone, elle vit qu’il n’y avait pas qu’elle qui avait reçu le sperme de son amant. Christine semblait en avoir pris plein le cul et la chatte, tandis que Maxime s’était vidé les couilles dans la chatte de Laureen.Les trois jeunes salauds avaient fini par abandonner les deux salopes et étaient partis en cours. En voyant cela, Nathalie ne put se retenir de dire : — Les salauds, ils les ont baisées, ils se sont vidé les couilles, et les ont abandonnées.— C’est ce qu’on fait avec les salopes, non ? Nathalie fut choquée, elle venait, elle-même de se comporter en salope, elle se demanda si Vincent n’allait pas l’abandonner comme l’avait fait les trois jeunes avec ses voisines, alors elle lui demanda : — Maintenant que tu m’as baisée, et même enculée, tu vas te sauver ?— Oh non, moi, je n’ai pas encore goûté à ta bouche, et j’aimerais bien voir comment tu suces. Tout en disant cela, il lui mit son majeur sur les lèvres, et par pur automatisme, Nathalie ouvrit la bouche et se mit à le sucer comme s’il s’agissait d’une bite, elle se rendit compte qu’elle avait encore envie de se faire baiser, son corps réclamait encore sa dose de jouissance, et même lorsque Vincent lui dit : — Tu sais, c’est le premier doigt que je t’ai mis dans le cul, tu veux goûter au deuxième ? Sans attendre sa réponse, Vincent posa son annulaire sur les lèvres de Nathalie et, se rendant compte qu’elle était en train de sucer le doigt qui lui avait fouillé le cul, sous le regard vicieux de Vincent, elle prit le second doigt et se mit à le sucer avec autant de désir. Elle se surprit à ne ressentir aucune sorte de dégoût ou de répugnance pour ce qu’elle était en train de faire, seule l’envie de faire plaisir à son premier amant comptait à présent. Vincent, les yeux brûlants de désir pour elle, lui dit alors : — Tu as l’air d’être une sacrée suceuse, allons dans ta chambre, et si tu arrives à me refaire bander avec ta bouche, tu auras droit à un deuxième round. Avec une certaine impatience, elle accompagna Vincent dans sa chambre et alors qu’il s’allongeait à la place de son mari, elle ressentit un petit pincement lorsqu’elle s’agenouilla entre ses jambes et commença à lui sucer la bite passionnément. Pourtant elle se mit à le sucer, à le pomper, à le lécher avec une telle ardeur qu’elle sentit sa bite reprendre de la vigueur, et alors qu’elle était maintenant impatiente de sentir à nouveau cette bonne bite en elle, elle oublia totalement son cocu de mari, et lorsque la bite de Vincent fut suffisamment dure, elle n’hésita pas à venir s’empaler la chatte dessus et se mit à la chevaucher et à jouir sur le lit conjugal. Ils baisèrent ainsi toute la matinée, Vincent la défonça dans de nombreuses positions, et en plus de jouir par le cul, elle put même jouir autrement que dans la position du missionnaire, position habituelle de son mari. Mais alors qu’ils étaient, tous les deux, complètement nus sur le lit conjugal, et que Vincent venait de jouir une nouvelle fois au fond de sa chatte, tout en reprenant doucement son souffle et ses esprits de son dernier orgasme, Nathalie entendit la porte d’entrée s’ouvrir. En un millième de seconde, elle réalisa qu’il était déjà midi, qu’elle avait passé sa matinée à baiser, et que son mari devait rentrer pour déjeuner. Rien n’était prêt, elle était toujours à poil, et ça sentait la baise à plein nez dans la chambre, Nathalie paniqua complètement, elle sauta du lit et se dépêcha de se rhabiller, mais alors qu’elle cherchait sa culotte et son soutien-gorge, elle se rappela que Vincent les lui avait retirés dans la cuisine, et qu’ils devaient toujours s’y trouver. Sa panique ne fit que s’accentuer, elle remit un peu d’ordre dans ses cheveux et dit à Vincent : — Surtout, ne bouge pas d’ici, il ne faut surtout pas qu’il te voie. Nathalie se dépêcha de descendre rejoindre son mari et trouva une excuse bidon en lui disant : — Oh mon chéri, je suis désolée, je viens à peine de me réveiller, le déjeuner n’est même pas prêt. Vincent n’aimait pas du tout Benoit, le mari de Nathalie, il était très hautain, et possédait un ego surdimensionné, et c’est un peu pour cette raison qu’il avait pris un savoureux plaisir à baiser sa femme. Il écouta discrètement sa réponse, et alors que n’importe quel mari qui aurait vu sa femme descendre de la chambre juste après son arrivée, aurait rapidement soupçonné qu’elle le trompait, Benoit était tellement égocentrique, qu’il était incapable d’envisager, ne serait-ce qu’un tout petit peu, que sa femme puisse faire cocu un mari aussi parfait que lui, et lui répondit donc : — Ce n’est pas grave, ma chérie, on a qu’à commander chez le traiteur. Vincent ne fut pas surpris de sa réponse, et même si, du haut de l’escalier, il pouvait voir Nathalie se tortiller, pour essayer de dissimuler son sperme qui coulait sur ses cuisses. Il se demanda si Benoit allait s’en apercevoir. Mais encore une fois, ce dernier était tellement loin de pouvoir imaginer que sa femme s’était fait baiser et enculer toute la matinée qu’il ne remarqua rien. Nathalie put même aller récupérer discrètement sa culotte et son soutien-gorge dans la cuisine, pendant que Benoit était au téléphone pour commander au traiteur. Mais alors qu’il était toujours à poil dans la chambre conjugale, qui sentait la baise à plein nez, Vincent se demanda, si Benoit le voyait sortir de sa chambre dans une telle tenue, s’il arriverait enfin à concevoir qu’il était cocu. Néanmoins il ne tenta pas le diable, il aimait bien Nathalie et maintenant qu’il pouvait la baiser et l’enculer, il n’allait lui causer des ennuis. Pourtant, après s’être rhabillé à son tour, il envoya un message à Christine : [SMS]> Rhabillez-vous, mes petites salopes, j’arrive avec des invités. Après la matinée qu’elle avait vécue avec sa sœur, Christine avait bien compris qu’à partir de maintenant, Vincent lui ferait faire les choses les plus obscènes, mais elle avait pris un plaisir incroyable avec les deux bites des amis de Maxime, et sa sœur avait également beaucoup joui avec ce dernier, alors lorsqu’elle reçut le SMS de Vincent, elle ne chercha pas à comprendre ce qu’il désirait, et elle lui obéit.Elle dit simplement à sa sœur : — Rhabille-toi, ma puce, Vincent arrive avec des invités. Laureen était un peu dans le même état que sa sœur, elles avaient été toutes les deux surprises de l’arrivée de Maxime et ses amis. Mais avec la vidéo que Vincent avait fournis à Maxime, et habillées en putes toutes les deux comme elles étaient, elles ne furent pas difficiles à convaincre d’ouvrir leurs cuisses. Elle s’était donc retrouvée avec la bite de Maxime dans la chatte, tandis que sa sœur se faisait défoncer le cul et la chatte par les deux autres. Même si la surprise passée, elles avaient joui comme des folles, Laureen avait encore du mal à réaliser ce qu’elle venait de faire. Elle avait toujours espéré trouver un charmant garçon pour la dépuceler et faire l’amour tendrement avec lui, mais en seulement quelques jours, elle avait couché avec un homme qui avait l’âge de sa grande sœur, elle avait même couché avec elle, et ce matin, elle venait de baiser avec le fils du voisin, alors qu’elle ne ressentait aucun sentiment envers lui. Elle constata alors qu’elle était vraiment devenue une grosse salope, mais loin de la choquer, elle réalisa qu’elle n’avait jamais autant joui depuis que Vincent l’avait dépucelée. Alors, presque impatiente d’accueillir ses nouveaux invités, elle suivit les consignes de sa sœur et récupéra ses affaires pour se rhabiller. Mais même si leurs minijupes couvraient leurs fesses, dès qu’elles se penchaient un peu, on pouvait aisément voir leurs petites chattes et leurs fesses, et pour le haut, elles avaient toutes les deux opté pour un crop top qui laissait leur ventre à l’air et couvrait tout juste leurs superbes poitrines. Mais pendant que Laureen et Christine se préparaient et s’attendaient à recevoir de nouvelles queues pour les baiser, Vincent rappela le traiteur de Benoit, il lui fit rajouter 3 menus en plus, et changer d’adresse pour livrer toute la commande chez Christine. Il profita que Benoit se soit installé sur un transat sur la terrasse, pour sortir discrètement de la maison, et attendre patiemment la livraison. Lorsque le livreur arriva quelques minutes plus tard, il le paya et prit les paquets pour aller sonner à la porte de chez Nathalie, celle-ci, le pensant toujours dans sa chambre, sursauta et poussa un petit cri, lorsqu’elle vint ouvrir la porte.Mais alors que Benoit se leva pour voir ce qui avait effrayé sa femme, Vincent lui chuchota : — Reste naturelle, et si tout se passe bien, on va bien s’amuser. Nathalie avait un mal fou à ne pas paniquer, mais lorsque son mari arriva dans l’entrée, son cœur et le temps semblèrent s’arrêter quelques secondes. Et alors qu’elle pouvait encore sentir le sperme de Vincent qui avait séché sur ses cuisses et sur ses mollets, elle l’entendit dire à son mari : — Salut Benoit, je crois que le livreur s’est encore trompé, on a dû commander en même temps avec Christine et Laureen, je passais dans le coin, et je pensais déjeuner avec elles, mais si vous êtes dispo, on a qu’à tous déjeuner ensemble. Vincent avait souvent vu Benoit loucher sur les fesses ou les seins de ses voisines, alors il ne fut pas du tout surpris de l’entendre lui répondre : — Oui, bonne idée, on fait ça ici ou à côté ?— Oh et bien, les filles attendent déjà, donc suivez-moi. Nathalie fut un peu embarrassée de voir son mari suivre son amant en souriant, mais elle lui emboîta le pas, sans vraiment comprendre ce que désirait Vincent avec ce déjeuner un peu particulier. Mais rien qu’aux yeux brillants d’excitation de Benoit lorsqu’il découvrit Christine et Laureen dans leur tenue de putes en chaleur, elle comprit qu’elle avait d’ores et déjà perdu son mari. Pourtant tandis que Vincent venait se coller à elle et commença à lui peloter les fesses, elle ne fit rien pour empêcher ce dont elle pressentait fortement. Elle laissa Vincent lui pétrir les fesses et regarda son mari suivre, comme un bon petit toutou, les deux salopes que leur fils et ses amis avaient déjà baisées, quelques heures auparavant. Curieusement, alors que Benoit n’avait d’yeux que pour les fesses ou les seins des deux salopes, elle n’eut aucun scrupule à laisser Vincent lui pétrir le cul, et c’est donc la main de son amant aux fesses, qu’elle suivit son mari jusqu’à la salle à manger. Complètement imbu de sa petite personne, ce dernier ne s’aperçut de rien, et même lorsque Vincent réussit à glisser sa main sous la jupe de Nathalie et lui dit : — C’est bien, ma petite salope, tu es resté les fesses à l’air. Elle n’osa lui répondre, et se contenta de le laisser glisser ses doigts entre ses fesses. Mais même si son mari ne se rendait toujours pas compte que sa femme subissait des attouchements intimes de la part de Vincent, Christine et Laureen avaient bien remarqué l’intérêt que portait ce dernier à leur voisine. Elles furent d’abord surprises que Nathalie se laisse faire, mais elles comprirent rapidement que celle-ci avait déjà goûté à la bite de Vincent, et qu’elle faisait désormais partie de son club de salopes. Toutefois, bien que Benoit fût seulement à quelques mètres d’elle, et qu’il pouvait la surprendre avec la main de Vincent au cul à n’importe quel moment, elles connaissaient bien leur voisin et firent la même conclusion que Vincent au sujet de sa capacité à s’intéresser à quelqu’un d’autre qu’à lui-même. Cela les amusa de voir Nathalie se faire peloter le cul, tandis que son mari était complètement hypnotisé par leur poitrine, elles se demandèrent même si elles pouvaient aussi jouer avec lui, et peut-être profiter de sa queue, également. Mais lorsque Christine vint lui demander discrètement : — On peut jouer avec le monsieur, pendant que tu joues avec sa femme ? Nathalie avait maintenant un doigt de Vincent dans le cul, elle se mordait la lèvre inférieure pour se retenir de gémir, elle voyait parfaitement que ces deux salopes mourraient d’envie de se jeter sur son mari, et elle ne leur en voulait pas, elle-même, avait très envie de sentir la bite de Vincent lui remplir le cul.Pourtant, elle fut surprise de la réponse de son amant, qui lui dit : — Il a le droit de regarder, mais pas de toucher. Tout de même un peu frustrée, Christine passa le mot à sa petite sœur, qui comprit ce que voulait faire Vincent. Il allait se servir d’elles pour distraire le mari, tandis qu’il allait baiser Nathalie juste dans son dos. L’idée excita énormément Laureen : tout comme Vincent, elle n’aimait pas Benoit et son nombrilisme aigu. Curieusement, elle avait presque hâte de voir Vincent baiser Nathalie pendant qu’elles le feraient baver d’envie avec leurs seins ou leurs fesses. Elles installèrent donc la table, sous le regard brûlant de Benoit, et Laureen s’amusa même à se baisser suffisamment en avant, pour qu’il ait un petit aperçu de sa petite chatte à l’air. Mais tout en exhibant sa chatte, elle vit Vincent sortir sa bite bien dure, et s’installer sur une chaise, avant de demander à Nathalie de venir s’asseoir sur sa queue. Malgré la présence de son mari, celle-ci n’hésita pas une seule seconde, elle enjamba les cuisses de Vincent et descendit doucement sur sa queue, pour s’empaler la chatte dessus. Un peu jalouse, Laureen la vit se mordre de nouveau la lèvre inférieure, prouvant, s’il le fallait, qu’elle prenait un réel plaisir à se faire fourrer la chatte par Vincent. Elle attendit que la bite de Vincent eût totalement disparu au fond de la chatte de Nathalie, pour se redresser et mettre fin à son exhibition indécente. Mais alors qu’elle s’attendait à ce que Benoit trouve étrange que sa femme soit assise sur Vincent, il ne lui jeta qu’un regard rapide et ne remarqua même pas qu’elle avait les cuisses écartées et que Vincent s’amusait à la faire sautiller sur sa queue. Tout le monde, à part lui, remarqua à quel point elle était au bord de l’orgasme, on pouvait même voir ses tétons pointer à travers son chemisier, elle avait de plus en plus de mal à se retenir de gémir. Alors, la voyant sur le point de craquer, Christine se leva pour mettre un peu de musique, et tout comme Laureen, quelques instants plus tôt, elle exhiba ses fesses et sa chatte, pour captiver l’attention du mari cocu. Au moment où la musique commença, Nathalie poussa un long soupir de plaisir, mais Benoit était tellement envoûté par les fesses de Christine, qu’il ne se préoccupa pas le moins du monde de ce que sa femme pouvait faire pour soupirer ainsi. Et tandis que Laureen ouvrait les paquets et remplissait les assiettes, elle vit que Vincent avait pris un peu trop confiance en son plan, il avait commencé à ouvrir le chemisier de Nathalie et s’apprêtait à lui sortir les seins pour les peloter, tout en continuant de la baiser. Même si elle mourait d’envie d’être à sa place, Laureen se dit qu’elle devait éviter que Benoit ne découvre sa femme, dans une telle tenue, elle se pencha alors sur la table et exhiba sa poitrine, à travers son décolleté. Nathalie avait maintenant les seins à l’air et se les faisait peloter fermement par Vincent. Elle ne put retenir un petit gémissement de plaisir lorsque Vincent se mit à faire rouler ses tétons entre ses doigts, et bien que tout le monde l’entendît parfaitement, son mari était tellement obnubilé par les superbes seins de Laureen, qu’il ne chercha pas du tout à savoir ce que pouvait bien faire sa femme avec Vincent. Si bien que, voyant que son mari ne se préoccupait plus du tout d’elle, Nathalie fut prise d’un furieux désir de jouir encore plus fort avec son amant pendant que les autres commençaient à déjeuner, et que son mari avait toujours les yeux rivés sur les seins de Laureen et de Christine. Nathalie se redressa, se retourna et vint s’empaler de nouveau la chatte sur la bite de son amant, et tandis qu’il reprenait possession de ses seins, elle lui soupira avant de lui rouler une pelle langoureuse : — Baise-moi, défonce-moi, devant mon cocu de mari. Mais Vincent n’eut rien à faire, c’est Nathalie, elle-même, qui se mit à monter et descendre sa chatte sur cette queue qui la faisait tant jouir. C’est dans un orgasme incroyable qu’elle jouit, empalée sur la bite de son amant, tandis que son mari était juste à côté. Et en sentant son vagin se contracter si puissamment, et même s’il avait déjà joui plusieurs fois ce matin, dans son cul et dans sa chatte, Vincent ne put résister à lui remplir, une nouvelle fois, sa chatte brûlante. Ce fut alors une explosion de jouissance pour Nathalie : se faire fourrer la chatte par son amant, tandis que son mari était présent, fut un pur moment d’allégresse. Mais bien qu’elle mourait d’envie de crier son plaisir à toute la tablée, elle se contenta de gémir dans la bouche de son amant, en sentant son sperme lui tapisser encore une fois sa chatte en feu. Tandis que Nathalie jouissait comme une folle sur la bite de Vincent, Laureen et Christine furent particulièrement excitées par la situation, mais bien qu’elles avaient les tétons qui pointaient furieusement, et qu’elles mourraient d’envie qu’on les baise comme Vincent était en train de baiser leur voisine, elles réussirent à se retenir et se contentèrent de se caresser discrètement la chatte sous la table. Mais même s’il ne se préoccupait pas de sa femme, Benoit bavait littéralement sur la table, il était complètement envoûté par les tétons de Laureen et Christine, qui pointaient tellement qu’ils étaient parfaitement visibles au travers de leur petit crop top, et il commençait à se sentir vraiment à l’étroit dans son pantalon. Néanmoins, avant qu’il n’ose tenter quoi que ce soit avec ses deux superbes voisines, sa femme avait libéré la bite de Vincent et même si sa chatte débordait de sperme et que ce dernier coulait de nouveau sur ses cuisses, elle ne fit rien pour l’essuyer, elle roula une dernière pelle à son amant, et en refermant légèrement son chemisier, elle prit sa place et se mit à déjeuner devant son mari. Elle venait de baiser pratiquement devant lui et il n’avait rien vu, alors sans ressentir la moindre honte, elle lui dit : — Eh bien, mon chéri, tu ne devrais pas fixer les seins de nos hôtes comme ça. Alors qu’elle avait la chatte pleine du sperme de son amant, Nathalie s’amusa de la tête d’ahuri de son mari, lorsqu’il se rendit compte qu’il fixait les seins de Christine avec un peu trop d’intensité. Il rougit d’embarras et remarqua à peine que le chemisier de sa femme était largement ouvert. Il s’excusa et plongea le nez dans son assiette. Nathalie jubilait intérieurement, elle sentait le sperme de Vincent suinter doucement de sa chatte, et c’était son mari qui avait honte, alors prise d’une étrange pulsion, elle pivota les jambes vers Laureen, écarta largement les cuisses, pour dévoiler sa chatte souillée, et lui dit : — Vu que tu as fini ton assiette, ma petite Laureen, tu prendras bien un peu de dessert. Nathalie se souvenait parfaitement comment cette petite salope avait bouffé le cul de sa sœur, rempli du sperme de son fils, elle se doutait que cette petite garce adorait le goût du sperme de Vincent, et elle ne se trompait pas, elle la vit se lécher les lèvres en fixant sa chatte. Laureen jeta un œil à Benoit, qui continuait de manger sans se préoccuper du reste, alors ne pouvant résister plus longtemps, elle fit tomber sa fourchette, et s’agenouilla sur le sol pour aller la ramasser. Elle avança ensuite doucement entre les cuisses de Nathalie et se mit aussitôt à lécher le sperme de Vincent qui suintait de sa chatte. Encore une fois, Nathalie dut contenir le plaisir que lui procurait la langue gourmande de Laureen sur sa chatte. Mais voyant que ces deux salopes prenaient leur pied ensemble, Christine fut un peu jalouse d’elles, elle se leva et alors qu’elle voyait que Benoit fixait de nouveau ses fesses, parfaitement moulées dans sa minijupe, elle demanda à Vincent : — Tu peux venir m’aider à sortir un plat en hauteur, s’il te plaît. Comme Vincent venait de finir son assiette, il accompagna Christine dans la cuisine, bien qu’il ait parfaitement remarqué que l’autre cocu suivait ses fesses des yeux, il n’eut aucun scrupule à poser sa main sur son cul, et à lui peloter les fesses sous le regard médusé de Benoit. Bien entendu, celle-ci se laissa faire et vu le peu de tissu dont était composée sa minijupe, Vincent n’eut aucun mal à découvrir complètement son cul. Mais alors que Christine posait sa main sur la braguette de son amant, pour lui caresser la queue, elle lui demanda : — On le fait venir, maintenant que tu m’as fait goûter à deux bites, en même temps, j’ai hâte de pouvoir recommencer. Mais Vincent voulait faire souffrir ce prétentieux de Benoit, alors il répondit : — Pas maintenant, je veux qu’il se contente de regarder pour l’instant. Bien qu’un peu déçue, Christine s’agenouilla et ouvrit la braguette de Vincent, pour libérer sa bite, et comme il avait joui dans la chatte de Nathalie quelques minutes avant, sa queue était encore couverte de leurs sécrétions, cela ne gêna aucunement la belle Christine, qui se mit aussitôt à sucer et à lécher cette bite à moitié molle. Benoit était effaré, jamais il n’aurait imaginé Christine capable de tromper son mari et sucer la bite de Vincent, même s’il se serait bien vu à sa place, contrairement à lui, sa bite était bien dure, et ne demandait qu’à être sucer. Alors négligeant complètement la présence de sa femme, il se leva, et d’un air sûr de lui, il les rejoignit dans la cuisine, en sortant sa queue, pour se faire sucer par Christine. Mais tandis que Christine pompait la queue de Vincent, ce dernier lui dit : — Tu veux te faire sucer par cette salope ?— Bien sûr que oui, je ne la pensais pas aussi douée avec sa langue.— Et si ta femme devenait aussi douée qu’elle, tu dirais quoi ? D’un seul coup, Benoit repensa à sa femme, il se retourna et la vit complètement avachie sur sa chaise, les cuisses grandes ouvertes, avec la tête de Laureen plaquée contre sa chatte. Il n’arrivait pas à croire ce qu’il avait sous les yeux, mais alors que sa femme se faisait littéralement bouffer la chatte par Laureen, il entendit Vincent lui dire : — Apparemment ta femme est aussi une sacrée salope, je lui ai défoncé le cul et la chatte, ce matin, sur votre lit, si tu ne me crois pas, tu n’as qu’à aller voir, ça doit encore sentir le foutre à plein nez. Benoit était complètement perdu, un véritable cauchemar se déroulait sous ses yeux, mais alors qu’il avait la bite à l’air, il sentit la main de Christine se poser dessus et la branler doucement. Il ne fit aucun geste lorsqu’elle commença à la prendre en bouche et à la sucer, il se mit même à grogner de plaisir sous ses coups de langue, tandis qu’il voyait et maintenant entendait sa femme jouir sous ceux de Laureen. Mais lorsqu’il vit Vincent l’abandonner entre les mains et dans la bouche de Christine, pour se rapprocher doucement de sa femme, il crut d’abord qu’elle allait le repousser. Mais Vincent avait laissé sa bite à l’air et tout en la donnant à sucer à Nathalie, il regarda le cocu dans les yeux, et lui fit un de ses sourires moqueurs. En voyant sa femme prendre la bite de Vincent en bouche, avec un furieux appétit, Benoit crut défaillir, et alors qu’il jouissait dans la bouche gourmande de Christine, il s’évanouit sur le sol de la cuisine. Gourmande comme elle était, Christine finit de lui vider les couilles, tandis que Laureen finissait de nettoyer la chatte de Nathalie et que celle-ci nettoyait la bite de Vincent. Lorsqu’elles eurent toutes les trois leur dose de sperme, elles se rhabillèrent et aidèrent Vincent à installer Benoit au volant de sa voiture. Ils le laissèrent ainsi, reprendre ses esprits et ce dernier se réveilla quelques minutes plus tard, pensant avoir rêvé tout ce cauchemar hallucinant. Vincent resta avec ses trois salopes, et après avoir joui autant dans la chatte et le cul de Nathalie, il se dit qu’il allait devoir prendre quelques stimulants, s’il voulait satisfaire à leurs besoins de plus en plus grandissants. Heureusement pour lui, le père de Nathalie travaillait dans une pharmacie, et elle lui fit croire que Benoit avait quelques difficultés, en ce moment.Bien que très gêné de devoir fournir sa fille en viagra pour qu’elle puisse coucher avec son mari, son père lui donna deux boîtes pleines afin qu’elle ne revienne pas de sitôt. Bien entendu, ces deux boîtes se retrouvèrent dans les mains de Vincent qui utilisa la première pilule pour continuer à baiser avec ses trois salopes. A SUIVRE...
