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Vincent et ses salopes

Chapitre 9

Marie et sa soeur

Avec plusieurs femmes
Vincent et ses salopes 9
Marie et Maéva
Vincent venait de baiser avec Nathalie, la voisine de Christine, qui même en présence de son mari, était venue s’empaler la chatte sur sa queue.Laureen était ensuite venue nettoyer sa chatte pleine de sperme, tandis que Christine suçait la bite de Benoit, son mari. , Mais ce dernier, en voyant sa femme sucer la bite de Vincent, s’était évanoui en jouissant dans la bouche de Christine. Vincent, et les filles l’avaient alors installé dans sa voiture, et lorsque Benoit se fut réveillé, il avait simplement cru avoir rêvé tout ça, et était retourné travailler. Après une matinée passée, uniquement à baiser, Vincent commençait à fatiguer, mais Nathalie, dont le père était pharmacien, s’était arrangée pour lui fournir deux boîtes de viagra. Dopé à la pilule bleue, Vincent allait pouvoir satisfaire toutes ses salopes en chaleur.

Avec ses trois salopes à satisfaire, Vincent avait dû avaler une de ces petites pilules bleues, pour arriver à toutes les satisfaire. Quelques minutes plus tard, sa bite avait repris une incroyable vigueur, sans même être spécialement excité, elle était devenue dure comme de la pierre. Il bandait tellement fort, que même debout, sa queue pointait vers le ciel. Il ne se souvenait pas avoir bandé aussi dur. Bien entendu, ses trois superbes salopes en profitèrent à outrance. Il les baisa et les encula l’une après l’autre, et lorsque Laureen voulut se faire dépuceler le cul, à son tour. Il l’installa à 4 pattes sur le canapé, lui badigeonna l’anus avec son lubrifiant, et après une bonne préparation anale, il lui fourra sa bite dans le cul, la faisant crier de plaisir.
Laureen avait vu sa sœur jouir plusieurs fois avec une bite dans le cul, et maintenant qu’elle sentait celle de Vincent s’enfoncer de plus en plus loin dans ses entrailles, elle comprenait pourquoi elle jouissait aussi fort avec un tel engin dans le cul. Même si elle prenait énormément de plaisir à sentir cette queue vibrer dans son vagin, la sentir maintenant palpiter entre ses fesses, la rendait encore plus ivre de plaisir. Lorsque les poils pubiens de Vincent vinrent lui caresser les fesses, elle ressentit alors une intense jubilation d’avoir réussi à se prendre cette bite tout entière, dans le cul.
Vincent resta immobile un petit moment afin de laisser le temps à son anus de s’habituer à ce nouveau visiteur et lui dit :
— C’est toi qui décides quand tu seras prête à la faire coulisser dans ton cul.
Mais Laureen était tellement ivre de plaisir qu’elle n’attendit pas plus longtemps, elle se mit aussitôt à faire avancer et reculer ses fesses le long de cette colonne de chair. Elle poussa de longs gémissements de plaisir, et tandis que Christine et Nathalie s’étaient placées en ciseau pour frotter leurs chattes l’une contre l’autre, sur le canapé. Lorsqu’elles virent la belle Laureen jouir avec la bite de Vincent dans le cul, elles vinrent à côté d’elle, et tout en lui caressant les fesses et les seins, Christine lui dit :
— C’est bon, sa bite dans le cul, hein, petite sœur.
Laureen ne pouvait que gémir de plaisir, mais alors qu’elle savait que sa sœur avait déjà goûté à la bite de Vincent dans son cul, lorsque Nathalie lui dit :

— Il m’a dépucelé le mien aussi ce matin, et j’avoue que j’ai adoré ça aussi.
Elle se sentit devenir leur égale, elle aussi, se prenait la bite de Vincent dans le cul, et étrangement, elle était incroyablement fière d’être devenue aussi salope que sa sœur et la voisine. Toutefois, maintenant que Vincent avait leurs trois superbes culs à portée de main, ou plutôt à portée de bite. Il continua de laisser Laureen diriger sa toute première sodomie, mais glissa chacune de ses mains entre les fesses des deux autres salopes, et tout en fourrant le cul de Laureen avec sa bite, il enfonça deux doigts dans les anus de Christine et Nathalie. Elles se mirent aussitôt à geindre de plaisir et se laissèrent fouiller le cul, comme deux grosses salopes en chaleur. Mais alors que ces trois salopes gémissaient de plaisir, la porte de la maison s’ouvrit. Bien entendu, elles jouissaient tellement fort, que personne n’entendit quoi que ce soit, mais leurs visiteurs surprises ne furent pas très étonnés d’entendre des cris de plaisirs provenir du salon.
Pourtant ils le furent beaucoup plus, en découvrant que Nathalie faisait maintenant partie de la bande de salopes, car les visiteurs n’étaient autres que Maxime et ses potes qui revenaient pour une seconde partie de baise.
Nathalie n’avait pas encore remarqué la présence de son fils et de ses amis, elle continuait à jouir comme une folle avec les doigts de Vincent dans le cul. Mais ce dernier, tout en continuant de fouiller les culs de ses trois salopes, remarqua la présence des trois jeunes. Ceux-ci semblaient déjà bander bien dur, mais la présence de Nathalie paraissait, à la fois les déranger et les exciter. Alors prenant les devants, Vincent libéra le cul de Nathalie et lui donna une petite claque sur les fesses en lui disant :
— Regarde, salope, on a des visiteurs.
Nathalie ouvrit les yeux, et alors qu’elle se trouvait complètement nue devant son fils et ses amis, dans une posture et une situation plus qu’indécente, elle ne sut comment réagir. Mais en voyant les trois jeunes branler leurs queues bien raides par-dessus leurs pantalons, elle se rappela comment Christine avait joui en se faisant prendre la chatte et le cul par Laurent et Franck. Alors, comme elle avait très envie d’essayer à son tour, et malgré la présence de son fils, elle se releva du canapé, et se fit littéralement manger des yeux par les trois jeunes. Elle eut un peu honte de voir son fils continuer de se branler en dévorant ses seins et sa chatte. Mais elle ressentit une étrange satisfaction à plaire à ces trois jeunes, et alors qu’elle allait attirer les deux autres avec elle, Vincent lui dit :
— Non, ton fils a déjà goûté au cul de Christine, et comme celui de Laureen est encore occupé, tu peux peut-être lui faire visiter le tien.
Elle fut de nouveau, un peu troublée, Vincent lui demandait d’avoir une relation incestueuse avec son propre fils. Mais en voyant ce dernier continuer de se branler, en la mangeant des yeux, il lui parut évident qu’il en avait également très envie, lui aussi. Alors que la morale aurait dû lui dicter de refuser une telle relation, elle se rendit compte qu’elle avait totalement abandonné tout sens moral depuis qu’elle avait baisé avec Vincent, et qu’elle s’était même offerte à lui devant son mari.C’est donc dans une étrange quiétude qu’elle prit la main de son fils en lui disant :
— Viens, mon chéri, tu vas pouvoir enculer maman.
Cette phrase hallucinante sembla tout droit, sortie d’un autre monde pour Nathalie et Maxime. Mais sans hésiter, le fils suivit sa mère et Laurent jusqu’à la chambre, elle s’agenouilla devant eux, et libéra leurs bites bien dures, pour commencer à les branler, tous les deux. Elle sentit la bite de son fils frémir sous ses doigts, et comme attirée par un aimant d’une puissante dépravation, elle posa sa langue sur le gland de son fils et se mit à lécher sa bite comme s’il s’agissait de n’importe quelle queue. Elle passa rapidement à celle de Laurent et sentit bientôt leurs mains venir pétrir ses seins, elle se mit alors à geindre en leur suçant la bite, comme la dernière des salopes.Elle fut étrangement ravie d’entendre Laurent dire à son fils :
— Putain, elle suce vachement bien, ta mère.
Elle reprit alors la bite de son fils en bouche, pour qu’il puisse apprécier, à son tour, ses talents de suceuse, et l’entendit alors répondre :
— Ooohhh, putain, Maman, ouiii, tu suces comme une grosse salope, comme une grosse pute.
Ces mots vulgaires dans la bouche de son fils ne firent qu’exciter davantage Nathalie. Alors prise d’un puissant désir de montrer à son fils à quel point, elle pouvait être une grosse salope, elle se mit à enfoncer de plus en plus loin sa queue dans sa bouche. Son gland finit par cogner contre sa luette, mais malgré les haut-le-cœur, elle continua et lorsque le gland réussit enfin à glisser jusque dans sa gorge. Elle eut un puissant orgasme en entendant son fils grogner de plaisir et lui dire :
— OOOOOhhhh Ouiiiii, putain, maman, tu m’as avalé la bite, c’est trop booooonnnnn.
Elle resta un moment le nez dans les poils pubiens de Maxime, mais Laurent semblait désireux de goûter à son tour à cette gorge profonde. Cela faisait des années qu’elle ne l’avait pas pratiquée, cela remontait à son adolescence. Mais aujourd’hui, se découvrant des pulsions d’une lubricité et d’une immoralité extrême, ses anciens réflexes de jeune suceuse de bite étaient revenus presque instinctivement. Alors après avoir bien fait jouir son fils avec sa gorge, elle repassa à la bite de Laurent. Bien entendu, ce dernier fut impatient de sentir sa queue se faire avaler, tout entière, par la bouche de cette salope, et lorsque son gland glissa presque naturellement dans la gorge de Nathalie, il faillit éjaculer, tellement la sensation était jouissive.
Nathalie passa d’une bite à une autre, elle bavait une quantité phénoménale de salive, ça lui coulait sur les seins, sur le ventre. Mais elle s’en moquait complètement, elle était devenue, ou plutôt redevenue une grosse salope au service des hommes qui voulaient abuser d’elle. Le fait, qu’aujourd’hui, l’un de ses hommes était son propre fils ne faisait qu’accentuer le fait qu’elle était la reine de salopes. Alors lorsque Laurent, désirant fourrer sa chatte en feu, s’allongea sur le lit et lui dit :
— Montez sur ma bite, Madame.
Elle se releva et tout en l’enjambant pour amener sa chatte au-dessus de sa queue bien dure, elle lui dit :
— Tu peux m’appeler salope, après ce que tu vas me mettre dans la chatte, il n’y a plus de madame qui tienne.
Laurent sentit sa bite s’enfoncer au fond de la chatte brûlante de la mère de son ami, et tout en posant ses mains sur ses superbes seins, il lui dit :
— Putain, ta chatte est brûlante, grosse salope.
Curieusement, Maxime ne fut pas offusquée que son ami traite sa mère de salope. Parce que cette salope, comme elle aimait être appelée, après s’être empalé la chatte sur la bite de Laurent, vint s’écarter les fesses et lui dit d’un ton presque naturel :
— A ton tour, mon chéri, viens fourrer le cul de ta salope de mère.
Maxime ne put résister à cette invitation incestueuse. Il vint s’agenouiller derrière sa mère, d’où il était, il pouvait voir la bite de Laurent enfoncée complètement dans sa chatte, et son anus semblait palpiter d’impatience. Alors, ne considérant plus cette femelle en chaleur comme sa douce et tendre maman, il posa sa bite contre son rectum, et poussa sa bite à l’intérieur. Nathalie était tellement impatiente de sentir enfin deux bonnes queues lui remplir ses orifices, qu’elle ne ressentit aucune douleur lorsque la bite de son fils s‘enfonça entre ses fesses. Et alors qu’elle s’adonnait sans doute à la pire des dépravations, elle poussa simplement un long râle de plaisir en sentant son cul et sa chatte se faire remplir simultanément.
Maxime s’agrippa alors aux hanches de sa mère et après un petit moment d’adaptation, ils se mirent à lui pilonner la chatte et le cul successivement. Nathalie se mit à crier de plaisir sous leurs puissants coups de queue, et tandis que Laurent pétrissait avec force ses seins, Maxime l’attira en arrière et vint lui rouler une pelle sauvage. Mais alors qu’elle jouissait comme une folle, sous leurs coups de queue, elle eut un orgasme d’une intensité extrême, et lorsque Laurent sentit sa bite se faire compresser par le vagin brûlant de Nathalie. Il ne put résister plus longtemps à l’envie de fourrer la chatte de cette superbe salope.
Il gicla tout son sperme au fond, et sentant les soubresauts de la bite de son pote à travers la fine paroi qui séparait le vagin et les intestins. Maxime sut qu’il était en train de lui gicler dans la chatte, il cessa à son tour de résister. C’est presque simultanément que sa mère se fit remplir le cul et la chatte par du sperme bien chaud. Ils grognèrent alors, tous les trois de plaisir et lorsque ses deux jeunes amants eurent fini de se vider les couilles en elle, Nathalie s’effondra sur le lit et s’assoupit. Maxime et Laurent, avec la bite encore dégoulinante de sperme, regardèrent un moment la superbe salope qu’ils venaient de baiser.
Ce n’est que lorsque Laurent lui dit :
— Putain, elle est vraiment trop bonne ta mère.
Que Maxime réalisât qu’il venait d’enculer et de jouir dans le cul de sa mère, alors d’un ton étrangement détaché, il lui répondit :
— Oui, je n’aurais jamais cru qu’elle soit aussi salope.
Ils se rhabillèrent et la laissèrent se reposer, pour rejoindre les autres qui avaient également baisé comme des bêtes. Franck avait pu fourrer sa bite dans le cul et la chatte de Christine, et après que Vincent eut fini de dépuceler le cul de Laureen, ils l’avaient même prise en double. Elle avait alors joui comme une folle, et était maintenant dans le même état que Nathalie et s’était assoupie sur le canapé.
Il ne restait plus que Christine encore en état de baiser, mais comme les trois jeunes venaient de jouir dans le cul ou la chatte d’une salope, ils n’étaient plus trop en état de bander. Il ne restait que Vincent, qui grâce à la petite pilule bleue, n’avait toujours pas débandé, et pouvait toujours baiser. Alors laissant tous ces dépravés se reposer dans le salon, il emmena Christine dans sa chambre, il la baisa, l’encula dans tous les sens, dans toutes les positions possibles. Ils jouirent de nombreuses fois, avant d’être tous les deux, complètement exténués et finirent par s’assoupir l’un dans le cul de l’autre.
Mais alors que les autres avaient fini par se réveiller et étaient rentrés chez eux, ce fut Laureen qui dut venir réveiller Vincent, Didier allait bientôt rentrer, et elle était certaine qu’il n’apprécierait pas que son collègue ait encore la bite fourrée dans le cul de sa femme. Elle les détacha l’un de l’autre, sans trop de difficulté, et étrangement, cette séparation anale les réveilla tous les deux, Laureen leur dit alors :
— Il est tard, Didier ne devrait plus tarder.
Comprenant qu’il ne devait pas traîner plus longtemps, Vincent se rhabilla rapidement, et tandis que Christine enfilait une tenue plus décente, pour ne pas éveiller les soupçons de son mari, Laureen aérait la chambre qui sentait le sexe à plein nez.Avant de les abandonner, Vincent vint leur rouler une pelle à toutes les deux, et leur dit :
— Merci, mes petites salopes, à demain.
Réalisant que Vincent allait certainement venir les baiser tous les jours, Christine et Laureen ressentirent toutes les deux, un certain enchantement. Christine se rendit compte qu’elle trompait son mari, avec toutes les bites qui passaient. Mais, maintenant qu’elle avait vu Nathalie en faire tout autant, et même devant son mari, elle n’avait plus aucun scrupule à baiser avec tous les hommes qui voudraient lui fourrer la chatte.
Pour Laureen, c’était un peu différent, elle avait été dépucelée par Vincent, il avait été son premier amant. Et aujourd’hui encore, il avait été le premier à l’enculer. Même si elle avait beaucoup joui lorsqu’elle avait baisé avec Maxime. Son premier amant restait pour elle, la référence, et grâce à la pilule bleue, il l’avait fait jouir fabuleusement par le cul. Alors, quand Franck lui avait fourré sa bite dans la chatte en même temps, elle s’était sentie partir dans un monde de pur plaisir. Depuis que Vincent l’avait dépucelé, elle n’avait cessé de vivre des moments d’une incroyable intensité sexuelle. Donc, même si elle devait le partager avec sa sœur, ou encore avec la voisine. Elle s’en moquait, les moments de baise avec Vincent ne cessaient d’être de plus en plus jouissifs.
Lorsque Didier rentra enfin chez lui, rien ne laissait penser que sa maison venait d’accueillir sa première partouze. Mise à part une ambiance un peu amorphe, mais il était lui-même épuisé, par le travail, et surtout par les deux salopes du bureau, qui l’avait attaché et tourmenté pratiquement toute la journée. Camille et Valérie lui avaient même pissé dessus, et étrangement, il avait joui et éjaculé en recevant leur urine sur le corps et dans la bouche. Alors avant que sa femme ou Laureen ne s’aperçoive de l’odeur forte qu’il avait sur lui, il se précipita dans la douche en se disant qu’il allait vraiment falloir installer une douche à l’étage des archives.
De son côté, Vincent avait fini par reprendre la route de sa maison, et même s’il avait baisé toute la journée, la petite pilule bleue faisait encore effet. Alors, malgré le caractère déprimant des embouteillages, il bandait toujours. Il regarda les deux boîtes, sur le siège passager, et se dit qu’elles allaient lui être bien utiles, pour satisfaire toutes ses salopes. Mais alors qu’il arrivait au bout de l’embouteillage, il découvrit ce qui causait un tel ralentissement. C’était simplement, une jeune femme, apparemment black, qui était en panne au bord de la route. Elle semblait désemparée, et bien entendu, comme elle ne portait pas de minijupe au raz des fesses, aucun goujat ne s’était arrêté pour l’aider. Toutefois, alors qu’elle était au téléphone, certainement à batailler avec un dépanneur pour qu’il vienne l’aider, elle se retourna vers la route. Vincent la reconnut aussitôt, c’était la ravissante Marie.
Celle qu’il avait baisée et enculée lors de l’essayage de la robe de mariée de Zhang (chapitre 2). Il ne put faire autrement que de s’arrêter pour lui porter secours. Comme il s’y attendait, elle était en train d’invectiver le dépanneur, qui semblait réticent à venir chercher sa voiture, en pleine heure de pointe.
Elle semblait au bord de la crise de nerfs. Mais lorsqu’elle vit Vincent approcher, et qu’elle le reconnut, celui-ci put aisément lire une lueur d’espoir dans ses yeux. Il lui indiqua de lui donner son téléphone pour qu’il négocie avec le dépanneur. Trop contente de se débarrasser de cet abruti, elle lui passa son téléphone, et en seulement quelques secondes, le problème était résolu, le dépanneur allait venir chercher sa voiture. Vincent lui annonça la bonne nouvelle, mais malgré le soulagement qu’elle pouvait ressentir, Marie était un peu confuse de se retrouver, sur le bord de la route avec lui. Elle se souvenait encore parfaitement de cette séance d’essayage surréaliste, où elle avait baisé avec ses clients, et où elle avait joui comme une folle, avec sa bite dans le cul. Alors, après ce qu’ils avaient vécu ensemble dans le salon privé du magasin, elle ne sut comment réagir, elle lui reprit son téléphone, et lui dit simplement :
— Merci beaucoup, c’était un vrai abruti celui-là.— Oui, apparemment, mais j’ai réussi à le convaincre de venir chercher ta voiture.— Merci, c’est trop gentil, je ne sais pas comment te remercier.
En détaillant les courbes alléchantes de Marie, et en souvenant à quel point son petit cul était accueillant. Vincent avait bien une idée de la façon de le remercier, et comme il bandait toujours, il vint se coller à elle et tout en la prenant par la taille, lui dit :
— J’ai bien une petite idée.
Ne sachant trop comment réagir, Marie le laissa faire, elle sentit alors la bite bien dure de Vincent palpiter contre son ventre, et tandis qu’elle sentait déjà son entrecuisse se mettre à frétiller d’envie. Les souvenirs de leur dernière baise devinrent de plus en plus clairs. Alors comme pour lui montrer qu’elle était ouverte à toutes propositions indécentes, elle passa ses bras autour de son cou et lui dit :
— Je suis prête à payer de mon corps, s’il le faut.
Vincent n’eut pas besoin de se pencher pour embrasser cette superbe Guadeloupéenne, de 26 ans, grande et très fine. Tout en lui roulant une pelle, il glissa une main sous son crop-top, et caressa sa magnifique peau ébène. Il prit rapidement possession de sa petite poitrine de 85B dans sa main, tandis que l’autre partait pétrir son cul de black magnifiquement bombé. Mais alors qu’ils s’embrassaient passionnément sur le bord de la route, ils furent dérangés par l’arrivée du dépanneur. C’est presque à contrecœur qu’ils durent se séparer, Vincent invita Marie à monter dans sa voiture, pendant qu’il gérait le dépanneur. Après avoir noté où celui-ci emmenait la voiture, il rejoignit la belle Marie, et ils reprirent donc la route ensemble. Dans un premier temps, aucun d’eux ne sut par quoi commencer la discussion. Certes, ils avaient déjà baisé ensemble, mais ils n’avaient jamais eu de véritable discussion, et depuis que Marie avait senti sa bite bien dure de Vincent contre son ventre.
Elle n’arrivait pas à quitter des yeux, l’énorme bosse que formait celle-ci dans son pantalon. Elle se souvint alors que leur dernière baise remontait à plusieurs semaines déjà. Elle avait bien reçu la visite de Zhang ce Week-end au magasin. Mais alors qu’elle s’attendait à une nouvelle séance de sexe en la voyant arriver. Elle avait été tout de suite refroidie, lorsqu’elle avait vu que c’était son père qui l’accompagnait, car c’était lui qui devait régler la robe.
Lors de l’essayage, elle avait tout de même pu lui glisser deux mots en privé, et lui avait dit :
— On a apporté les modifications que vous aviez suggérées la dernière fois avec... euh...— Oui avec Vincent, je me souviens, ça a l’air parfait.
Zhang vérifia que sa robe pouvait maintenant s’ouvrir discrètement devant et derrière, afin de lui permettre de se faire baiser et enculer rapidement. Elle testa ensuite son fameux bustier qui pouvait devenir, à souhait, transparent, si elle enlevait l’unique doublure accrochée par-dessus. Après ce qu’elles avaient vécu ensemble, Zhang n’eut aucune honte à retirer la fameuse doublure devant Marie. Et alors qu’elle se retrouvait pratiquement les seins à l’air, devant Marie. Celle-ci, presque contrariée de ne pas pouvoir se faire baiser à nouveau, lui avait demandé :
— Votre... ami ne viendra pas pour vérifier la robe ?
Zhang regarda Marie, et comprenant que celle-ci avait très envie de recommencer leur séance de baise de la dernière fois, lui sourit et lui dit :
— Non, malheureusement, il a d’autres salopes à baiser, mais je suis certaine qu’il sera ravi de la robe, lors de mon mariage.
Marie remarqua les nouveaux piercings sur les tétons de sa cliente et sans pouvoir se retenir d’y toucher, elle vint les caresser et lui demanda :
— C’est nouveau ça ?
Zhang fut à la fois, ravie d’exhiber ses piercings, et très excitée par les douces caresses de Marie. Elle sentit ses tétons durcir sous ses doigts. Alors sans pouvoir se retenir davantage, et même si elles n’étaient pas dans le petit salon privé, elle l’attrapa par le cou et lui roula une pelle en geignant doucement sous ses caresses. Les mains de Marie glissèrent doucement sur son ventre, pour ensuite s’insinuer sous sa jupe et dans son string. Zhang jeta un œil autour d’elles, afin de vérifier que personne ne les regardait se caresser mutuellement. Mais lorsque Marie sentit le dernier piercing de sa cliente sur son clito, elle laissa tomber les vouvoiements et lui dit :
— Petite salope, tu en as même mis un sur ton clito.
Zhang ne put lui répondre, car le doigt de Marie jouait avec le piercing de son clitoris et la faisait jouir intensément. Alors prise d’une irrésistible envie de sexe, Zhang s’agenouilla sur le sol et attira avec elle, la superbe black. Sa robe de mariée fut alors testée sous toutes les coutures, elles se bouffèrent la chatte mutuellement. Après une intense séance de saphisme, elles se relevèrent l’une après l’autre, le visage couvert de la cyprine de l’autre, et lorsque Zhang retrouva son père, celui-ci ne remarqua rien de particulier. Si ce n’est que le maquillage de sa fille avait été saccagé, mais il mit ça sur le fait qu’elle avait dû pleurer lors de l’essayage.
Toutefois, lorsqu’ils reprirent la route, il remarqua tout de même une étrange odeur qui semblait provenir de sa fille. Il était certain de savoir ce que c’était, mais il n’arrivait pas à mettre un nom dessus. Il faut dire que pendant que Zhang était en train de lui bouffer la chatte. Marie avait eu un puissant orgasme et lui avait littéralement giclé dessus. Elle avait eu de la mouille partout sur le visage. Mais même si son père connaissait bien cette odeur, cela faisait bien trop longtemps qu’il n’en avait pas senti, ou peut-être que son esprit refusait simplement d’admettre que sa fille pouvait avoir ce genre de fluide corporel sur elle, et qu’elle était une véritable grosse salope.
C’est ainsi, tout de même un peu frustrée de ne pas avoir revu la belle bite de Vincent, que Marie avait un peu soulagé sa libido avec Zhang. Alors, lorsqu’elle avait vu Vincent venir à son secours sur le bord de la route. Elle avait été, à la fois soulagée d’avoir enfin un peu d’aide, mais également très excitée, espérant pouvoir profiter de nouveau de sa bonne queue, pour elle toute seule.
Donc maintenant qu’elle était seule avec lui dans la voiture. Elle ne perdit pas de temps, à peine avaient-ils repris la route, qu’elle posa sa main sur sa braguette, en lui disant :
— Ça m’a l’air bien tendu, là-dedans.
Vincent lui sourit, et recula légèrement son siège, en lui disant :
— C’est vrai, faudrait peut-être aller voir ce qu’il s’y passe.
Marie lui fit un de ses sourires espiègles, lui ouvrit le pantalon pour libérer cette bite qui lui faisait tellement envie. Sans qu’il n’ait rien besoin de lui demander, elle se pencha dessus et commença aussitôt à sucer sa bite avec un appétit féroce. Vincent eut un mal fou à se concentrer sur la route, pendant que la bouche gourmande de Marie lui avalait complètement la queue. Il sentit même cette superbe salope, lui lécher les couilles, alors que sa bite était plantée au fond de sa gorge. S’il n’avait pas déjà joui un nombre incalculable de fois aujourd’hui, il lui aurait déjà giclé au fond de la gorge. Mais il tint bon et alors qu’il avait retroussé la jupe de son tailleur, il commença à caresser ses superbes fesses à la peau ébène. Il glissa sa main sous son joli petit string blanc, et alors qu’il lui fourrait un doigt dans le cul, en voyant son doigt se faire pratiquement avaler par ce superbe cul, il se souvint à quel point, elle était souple de cet orifice.
Il ne put s’empêcher de lui dire :
— Tu as vraiment un cul à bite, ma salope.
Lorsqu’elle était plus jeune, Marie avait subi un double dépucelage, son premier amant lui avait fait la totale. Mais comme ce dernier n’était pas des plus tendres avec son anus, elle l’avait vite abandonné. Depuis, elle avait vite compris que les hommes étaient dingues de son cul, et après plusieurs tentatives, elle avait fini par apprendre à apprécier la sodomie, et était devenue une véritable adepte du sexe anal. Alors en sentant Vincent lui fourrer un deuxième doigt dans le cul, elle recracha sa bite et lui dit :
— Si tu veux m’enculer, il faut t’arrêter.
Sans hésiter, Vincent lui demanda :
— Chez toi, ou chez moi ?— Il n’y a pas ta femme chez toi ?— Si, et alors ?
Bien qu’un peu surprise que son amant lui propose de l’emmener chez lui, malgré la présence de sa femme, elle se dit qu’ils devaient probablement former un de ces couples libres. Mais Marie avait très envie de garder cette bonne bite pour elle toute seule. Alors oubliant totalement qu’elle hébergeait sa petite sœur chez elle pour la période des examens, elle lui dit :
— Chez moi.
Elle lui donna l’adresse et replongea sur sa queue, telle une affamée, tandis que Vincent continuait de lui fouiller le cul. Presque à contrecœur, elle reprit une attitude plus convenable, lorsqu’elle reconnut les immeubles voisins de son appartement. Mais laissa, tout de même, Vincent continuer de lui caresser la chatte. Marie le fit entrer dans le sous-sol, pour qu’il se gare à sa place de parking, mais alors qu’ils allaient se rouler une pelle avant de prendre le chemin de l’appartement. Ils entendirent une petite voix leur crier dessus, Vincent ouvrit sa porte pour mieux comprendre ce qu’on lui disait. Il découvrit alors une autre charmante black, à la peau plus claire que celle de Marie, mais à la forme de son visage et à ses traits, il ne pouvait pas se tromper, c’était sa petite sœur.
Elle devait avoir la vingtaine, elle était tout aussi attirante que sa grande sœur. Elle devait faire 1,55 pour 43 kilos, et alors qu’il la mangeait des pieds à la tête. Contemplant sa superbe poitrine, qu’il estima à du 85D, qui lui sembla particulièrement ferme, et son ravissant petit cul aussi bombé que celui de sa sœur. Il ne comprit pas ce qu’elle disait, mais sa bouche et ses lèvres pulpeuses lui donnaient envie d’y fourrer sa queue.
D’un ton consterné, Marie lui dit :
— Eh merde, j’ai oublié ma petite sœur, allons ailleurs.
Mais Vincent était sous le charme de la jeune sœur, et après avoir couché avec sa femme et sa sœur, il se dit qu’il se taperait bien les deux belles blacks en même temps, alors il répondit à Marie :
— Pourquoi, on est bien ici, et ta petite sœur est ravissante.
Comprenant le sous-entendu, Marie fut, dans un premier temps, choquée. Il était hors de question de coucher avec sa petite sœur, c’était totalement immoral et incestueux, alors elle répondit :
— Hors de question, pour qui tu me prends, jamais je ne coucherais avec ma petite sœur.— Dommage, et si elle, elle en avait envie, tu dirais quoi ?
Bien que très surprise par cette question, elle ne put lui répondre. Sa sœur, Maéva s’était rapprochée de la porte conducteur, et tandis que les yeux de Vincent plongeaient dans son décolleté, elle vit que ce dernier était accompagné de sa grande sœur, elle lui dit alors :
— Ha, mais tu es là, Marie, tu ramènes un ami ?
Toujours très troublée par la phrase de Vincent, Marie répondit à sa sœur :
— Je suis tombé en panne de voiture, et Vincent m’a gentiment ramenée.
Avant qu’elle ait eu le temps de trouver une bonne excuse pour éloigner Vincent de sa petite sœur, celle-ci lui dit :
— Ah, mais alors, il faut l’inviter à dîner, pour le remercier.
Alors qu’elle voyait déjà Vincent dévorer les seins de sa sœur des yeux. Marie tenta de trouver un moyen d’éviter que ce dernier ne finisse chez elle, et ne tente quoi que ce soit avec sa petite sœur, alors elle dit à Maéva :
— Oh, mais tu sais Vincent est marié, sa femme doit l’attendre pour dîner.
Tout en continuant de dévorer les superbes seins de Maéva, ce dernier répondit :
— Oh, ma femme travaille de nuit en ce moment, elle n’est pas là pour dîner et nos enfants sont partis chez leurs grands-parents. Je serais ravi de dîner en si charmante compagnie, plutôt que tout seul, chez moi.
Même si Marie voulait absolument éviter que Vincent ne s’approche trop de sa petite sœur. Elle eut presque pitié de lui, alors quand Maéva ouvrit la porte de la voiture et leur dit :
— Allez, tout le monde dehors, on ne va tout de même pas laisser ton sauveur dîner tout seul.
Marie ne trouva plus aucun argument pour entraver les plans lubriques qu’elle pouvait déjà lire dans les yeux de Vincent. Mais elle n’était pas la seule à voir cette flamme troublante dans les yeux bleus de leur invité, Maéva avait bien remarqué que ce dernier avait tendance à fixer son décolleté, et même si elle aurait sans doute dû être inquiète, qu’un homme, avec le double de son âge, la regarde avec tant d’insistance. Le fait de sentir le désir de Vincent, pour elle, ne faisait que l’émoustiller légèrement, alors lorsque ce dernier la prit par la taille, elle ne refusa pas ce premier contact et lui fit la bise. Elle fut, un peu surprise de sentir ses lèvres si proches des siennes lorsqu’elle l’embrassa, mais même si leurs lèvres se touchèrent à la dernière bise, elle ne réagit pas et sentit même un léger frisson lui remonter dans le dos.
Comprenant qu’elle n’avait plus beaucoup d’autres choix, Marie était également sortie de la voiture, et le temps qu’elle fasse le tour pour rejoindre sa sœur et Vincent. Elle arriva au moment précis où Vincent embrassait volontairement Maéva sur le coin des lèvres. Elle fut surprise de voir sa petite sœur se laisser faire et le fut encore plus lorsqu’elle put lire sur son visage, qu’elle avait apprécié ce baiser presque volé.
En apercevant Marie dans le coin de ses yeux, Vincent laissa sa main sur les hanches de Maéva, et dit à sa sœur :
— Ta petite sœur est ravissante, je crois que j’ai trouvé mon dîner.
Tandis que l’une se sentait flattée et riait en pensant à une petite plaisanterie, l’autre savait parfaitement que ce n’était pas du second degré, et que Vincent avait bien l’intention de baiser sa petite sœur. Mais, bien que le fait de laisser ce prédateur sexuel abuser de sa petite sœur la dérangeait un peu, elle craignait surtout qu’il ne cherche également à la faire participer à leur ébat. Pourtant lorsque Vincent la prit par les hanches, elle se laissa emporter, et alors qu’il avait deux superbes blacks à chaque bras, il leur dit :
— Regardez-moi, je dois être l’homme le plus chanceux sur Terre, avec deux magnifiques jeunes femmes à chaque bras, si séduisantes et si ensorcelantes.
Vincent savait que les femmes étaient très sensibles aux compliments, et qu’ils avaient tendance à atténuer leurs craintes. Il ne se trompait pas, alors qu’à sa droite, il vit Maéva rougir, il la sentit passer son bras dans son dos, comme pour s’agripper davantage à lui. A sa droite, il sentit Marie se décrisper, et lorsqu’elle passa, à son tour, son bras dans son dos, elle rencontra celui de sa sœur. Elles se regardèrent, et dans un étrange échange de regards, elles se sourirent, comme pour consentir à se partager ce mâle en rut. Maéva dit alors à sa sœur :
— En tout cas, il est très sympa, ton sauveur, tu l’as rencontré comment ?
Marie se souvenait parfaitement de la baise intense dans le salon privé du magasin, mais elle se voyait mal dire à sa sœur qu’il l’avait baisée et enculée avec une de ses clientes, alors elle répondit :
— Oh, il accompagnait une de mes clientes.
Vincent rajouta :
— La cousine de ma femme, elle va bientôt se marier, donc encore un cocu de plus.
Maéva se mit à rire, en pensant à une blague, mais encore une fois, Marie savait que ce n’était pas du second degré et que le mari de Zhang était véritablement cocu. Pourtant elle accompagna sa sœur dans son rire, et en voyant que les deux sœurs semblaient plus détendues et plus délurées, Vincent tenta de descendre ses mains sur leurs fesses. Comme il savait qu’il n’y avait aucun risque du côté de Marie, il continua de raconter des blagues plus ou moins grivoises, et se concentra sur les fesses de Maéva. Celle-ci riait de bon cœur à ses blagues salaces, et alors que l’ascenseur s’ouvrait enfin devant eux, elle sentit la main de Vincent sur ses fesses. Elle allait la retirer lorsqu’elle remarqua dans le miroir de l’ascenseur, que sa sœur avait l’autre main sur ses fesses également. Curieusement, prise d’une étrange jalousie, elle laissa la main de Vincent en place, et alors qu’ils entrèrent tous les trois dans l’ascenseur, elle le sentit commencer à lui peloter les fesses.
Elle imaginait sa sœur subir les mêmes attouchements de son côté, et fut surprise de ressentir une indécente agitation entre ses cuisses. Elles se faisaient maintenant peloter le cul toutes les deux, il s’installa alors un lourd silence dans l’ascenseur, tous concentrés sur les palpations qu’elles subissaient ou qu’il faisait subir, personne ne disait plus rien.
Mais alors que la main de Vincent retroussait doucement la jupe de Marie, son autre main tentait de se glisser dans le petit short de Maéva. Celle-ci avait toujours les yeux rivés au miroir, et tout en sentant la main de Vincent s’insinuer dans son short, vit la jupe de sa sœur remonter sur ses cuisses, elle ne sut comment réagir. Mais Marie n’était guère mieux, elle allait bientôt avoir les fesses à l’air, et alors qu’elle redoutait déjà un acte incestueux avec sa sœur, elle la regardait, dans le miroir, espérant un sursaut de lucidité de sa part. Pourtant, lorsqu’elle vit Vincent se pencher vers sa sœur et lui chuchoter quelque chose à l’oreille, elle la vit déboutonner son short et le retirer sans aucune hésitation. Maèva se retrouva alors en string au milieu de l’ascenseur, et Vincent eut tout le loisir d’aller lui caresser les fesses.
Ça allait trop loin pour Marie, sa sœur était maintenant en string, et se laissait peloter le cul sans honte, par Vincent. Elle craignait de plus en plus qu’il n’arrive à les convaincre de coucher ensemble, alors comme sa sœur semblait être totalement sous son emprise, elle tenta de la faire réagir en lui disant :
— Eh bien, Maéva, tu te retrouves en string, rapidement, dis donc.
Mais elle fut complètement abasourdie par la réponse de sa sœur :
— Et alors, je suis certaine que le tien doit être trempé.
Marie n’avait pas fait attention, mais Vincent avait complètement retroussé sa jupe et elle était effectivement dans le même état que sa sœur, alors quand Vincent dit à Maéva :
— Je suis sûr que cette salope a très envie qu’on lui retire son string, et comme j’ai les mains prises avec vos superbes petits culs, faudrait peut-être me donner un coup de main.
Marie commença aussitôt à paniquer, tandis que Maéva regardait intensément sa grande sœur, et pour la première fois de sa vie, elle semblait avoir le dessus sur elle. Alors ressentant un profond sentiment de supériorité, elle vint s’agenouiller devant elle, et sans que Marie ne trouve la force de la repousser, elle attrapa les bords de son string, et le fit glisser doucement sur ses cuisses. Mais alors qu’il tombait à ses chevilles, Marie se surprit à soulever les pieds pour se débarrasser de ce sous-vêtement gênant. Mais maintenant que Maéva avait la chatte de sa sœur à seulement quelques centimètres de son visage, Vincent lui dit :
— Vérifie donc, si ta salope de grande sœur est bien mouillée.
Encore une fois, Maéva regarda sa sœur dans les yeux, et bien que celle-ci paniquait complètement, elle sentait son corps réclamer les caresses incestueuses de sa petite sœur. Alors sans même que Vincent n’eût besoin de pousser son bassin en avant, elle l’avança elle-même vers le visage de Maéva, et tout en glissant sa main dans ses cheveux, elle plaqua la bouche de sa sœur contre sa chatte et lui dit :
— Vas-y, petite salope, bouffe-moi la chatte.
Curieusement, Maéva ne ressentit aucune honte à lécher la chatte de sa sœur, et même si celle-ci lui avait donné l’ordre de lui bouffer la chatte. Elle la sentait vibrer et l’entendait gémir sous ses coups de langue, alors même si elle était à genoux devant sa grande sœur. C’était elle qui avait le dessus, et maîtrisait son plaisir. Mais, alors que la petite sœur bouffait littéralement la chatte de la grande, la porte de l’ascenseur s’ouvrit sur l’étage de l’appartement de Marie. Celle-ci prenait un tel plaisir à se faire bouffer le clito par sa petite sœur, qu’elle ne trouva pas la force de mettre un terme à cet acte incestueux, ce n’est que lorsque Vincent leur dit :
— Et si on continuait chez vous, mes petites salopes.
Maéva abandonna alors la chatte de sa sœur avant de se relever, et sortit de l’ascenseur avec Vincent, celui-ci se pencha sur elle en lui disant :
— Fais-moi goûter à sa chatte.
C’est presque naturellement que Maéva ouvrit la bouche et laissa Vincent lui rouler une pelle langoureuse. Marie regarda sa sœur embrasser son amant, et tout en abandonnant son string dans l’ascenseur, elle se dirigea vers la porte de son appartement, les fesses à l’air. Elle n’avait plus honte de rien, elle venait de se faire lécher la chatte par sa petite sœur, et y avait pris un plaisir incroyable, alors une fois la porte de l’appartement ouverte, elle leur dit :
— C’est ouvert, allons baiser.
Vincent mit fin au baiser fougueux de Maéva et alors qu’il lui pelotait les seins, il lui dit :
— Allons-y, mais avant, montre-moi tes nichons, ma petite salope.
Sans la moindre honte, Maéva souleva sous petit crop-top et dévoila ses seins nus en dessous, en disant :
— Ils sont tout à toi, mon salaud.
Vincent ne put se retenir d’aller lécher ses tétons bien durs, et alors que Maéva se mettait à soupirer de plaisir, elle entendit sa sœur leur dire :
— Vous venez, ou vous baisez sur le palier.
Mais Maéva avait commencé à branler la bite de Vincent par-dessus son pantalon. Elle mourrait d’envie de sentir cette bite bien dure au fond de sa chatte, alors elle repoussa tendrement le visage de Vincent et lui dit :
— Allons-y, j’ai trop envie de ta bite bien dure.
Vincent accompagna donc Maéva jusqu’à l’appartement et tandis que Marie refermait derrière eux, sa petite sœur s’était déjà agenouillée devant son amant et libérait sa bite de sa prison de tissu. La bite de Vincent, à peine sortie, Maéva plongea dessus et se mit à la pomper et à la lécher avec un appétit sauvage. Tout en grognant de plaisir sous les coups de langue de la jeune salope, Vincent attrapa Marie par la taille et lui dit :
— Je crois que ta sœur est encore plus salope que toi, elle aime autant ma bite que ton petit cul.
Curieusement, Marie ne ressentait plus aucune honte pour ce qu’elle venait de faire avec sa petite sœur dans l’ascenseur. Elle se colla à Vincent et lui roula une pelle, pendant qu’il venait lui fouiller le cul et que Maéva lui pompait la bite.Vincent finit de déshabiller Marie et lui dit :
— Déshabille ta petite sœur, et va l’aider à me sucer, j’ai envie de me faire sucer par deux salopes de frangines.
Vincent revoyait parfaitement la scène où il s’était fait sucer par sa femme et sa sœur et lorsque les deux superbes blacks commencèrent à se partager sa bite, il crut qu’il allait jouir. Mais comme il était debout, et elles, à genoux, il eut une idée vicieuse, il s’avança légèrement et demanda à Marie :
— Passe derrière pour t’occuper de mon cul, ta sœur s’occupera de ma bite, toute seule.
Même si elle n’avait jamais pratiqué l’anulingus, Marie obéit et vint se placer derrière pour écarter les fesses de son amant. Toutefois, en voyant cet anus plein de poils et peu ragoûtant, elle hésita à poser sa langue dessus. Mais alors que Vincent grognait sous la langue gourmande de sa sœur, il vint poser sa main derrière sa tête et plaqua sa bouche contre son cul. Elle ne put faire autrement que de commencer à lécher son anus, espérant que ça se terminerait vite, mais en entendant grogner Vincent, de plus belle, et lui dire :
— Putain, ouiiiii, continuue, salope, bouffe-moi le cul.
Marie sentit un étrange plaisir naître en elle, et tandis que sa petite sœur suçait la bite de Vincent, elle se mit à enfoncer sa langue de plus en plus loin dans son cul. Sous les langues gourmandes de ses deux superbes salopes blacks, Vincent ne put se retenir très longtemps de jouir et dans un profond grognement, il se mit à gicler tout son sperme dans la bouche de Maéva.Même si elle avait déjà sucé des bites, celle-ci avait toujours refusé d’avaler le sperme de ses amants, pourtant, aujourd’hui, alors qu’elle s’apprêtait à recracher tout le sperme que la bite de Vincent giclait, lorsque celui-ci lui dit :
— OOOhhhh OUIIIIII, PUTAIN, VAS-Y, SALOOOOPPPEEEEE, AVALE TOOUUUTTTT.
Elle se mit alors à déglutir et à avaler tout le sperme que Vincent pouvait lui envoyer sur la langue, et alors qu’elle avait toujours trouvé cela écœurant, elle prit vite goût à celui de Vincent. Elle se mit à lécher à et pomper encore plus fort, pour récupérer la moindre goutte de sperme de son amant. Mais les giclées finirent par se tarir, et même s’il bandait toujours, il lui fallait un peu de repos. Il se libéra des bouches et des langues vicieuses de ses deux salopes, et partit s’asseoir dans le canapé.
Les deux frangines se retrouvèrent alors à genoux l’une en face de l’autre, et voyant que Maéva avait encore du sperme au coin des lèvres, Marie n’hésita pas une seule seconde à venir lécher les dernières gouttes. Sans aucun scrupule pour une quelconque moralité, elles se roulèrent une pelle, toutes les deux, afin de se partager les dernières gouttes de sperme. En regardant les deux sœurs salopes se rouler une pelle, Vincent finit de se déshabiller et comme il mourrait d’envie de baiser la ravissante Maéva, il s’adressa à Marie :
— Eh bien dis donc, ma petite salope, tu as l’air beaucoup moins farouche à l’idée de baiser avec ta petite sœur.
Comprenant qu’il s’adressait à elle, Marie abandonna les douces lèvres de sa sœur et lui répondit :
— Disons qu’il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis et apparemment Maéva n’est pas contre non plus.
Elles étaient toutes les deux, à poil, l’une contre l’autre, et alors qu’elles venaient de se rouler une pelle, Maèva lui sourit et lui demanda :
— Pourquoi tu ne voulais pas coucher avec moi ?— Euh, petite sœur, nos parents ont oublié de t’inculquer un minimum de moral ou tu ne sais pas ce qu’est l’inceste ?— Oui, je connais tout ça, mais bon, maintenant je peux te le dire, celui qui m’a dépucelée, c’est tonton.
Choquée, Marie lui dit :
— QUOI !? Non mais, quel gros pervers celui-là, attends que nos parents soient au courant.— Non, non, tu ne dois rien dire, c’est moi qui ai voulu que ce soit lui.
Encore plus confuse, Marie lui demanda :
— Comment ça ?— C’est une longue histoire, mais il n’a pas cherché à me séduire, c’est même plutôt le contraire, j’ai toujours été attirée par les hommes mûrs, et j’aimais beaucoup tonton, alors quand j’ai senti des envies naître en moi, ça m’a paru normal que ce soit lui qui fasse de moi une femme.
Etrangement curieuse, Marie lui demanda :
— Et tu couches encore avec lui ?— De temps en temps, oui, mais il ne veut pas que tata soupçonne quoi que ce soit, alors on fait ça, quand elle est loin.— N’empêche que c’est un sacré salaud.— Je dirais plutôt que je suis une sacrée salope, mais je te raconterais ça plus tard, on a un autre salaud à s’occuper.
Marie sourit et se releva avec sa petite sœur, elles furent toutes les deux, très surprises et très intéressées de voir que malgré sa récente éjaculation, la bite de Vincent était toujours aussi raide. Elles se rapprochèrent de leur amant, et s’agenouillèrent sur le canapé, chacune à côté de lui, et tandis qu’il les attrapait toutes les deux par le cul, elles attrapèrent sa bite, et tout en commençant à la branler doucement, Marie lui demanda :
— Dis-moi mon cochon, combien de salopes tu as baisées aujourd’hui ?— Quelques-unes, pourquoi ?— Parce que tu viens de jouir dans la bouche de ma petite sœur, et malgré cela ta bite reste toujours aussi dure.— Parce que vous êtes trop sexy toutes les deux, et je meurs d’envie de vous baiser toutes les deux.— Ce ne serait pas plutôt parce que tu as pris une petite pilule pour te booster ?— Pourquoi tu dis ça ?— Parce que pendant que tu matais les nichons de ma petite sœur dans le parking, j’ai vu deux boîtes de pilule bleue, dans la boîte à gant.— Ah et bien, peut-être, mais au moins vous pourrez en profiter.— Effectivement, mais laquelle vas-tu choisir pour commencer ?
Vincent avait déjà goûté au cul et à la chatte de Marie, et la ravissante Maéva lui faisait tellement envie, qu’il lui pétrit les fesses et répondit :
— Cette petite salope est vraiment trop bonne.
Sans une certaine impatience, Maéva enjamba Vincent, guida sa bite bien dure à l’entrée de sa chatte, et tout en s’empalant doucement dessus, elle lui dit :
— Eh bien, maintenant voyons combien de temps, tu peux nous baiser.
Tandis que Maéva commençait à chevaucher sa queue, Vincent attrapa ses superbes seins et se mit à lécher ses tétons, qui pointaient fermement. Sa jeune salope se mit rapidement à gémir de plaisir et plus elle accélérait sa folle chevauchée, plus elle jouissait, elle continua jusqu’à ressentir un orgasme la traverser, et alors qu’elle reprenait doucement son souffle sur la bite de Vincent, sa sœur lui dit :
— Laisse-moi la place, petite sœur, à mon tour de jouir.
Maéva libéra alors la bite de leur amant, et laissa sa sœur en prendre possession, Marie prit la même position et après s’être empalée à son tour, sur la bite de Vincent, commença une folle chevauchée. Vincent pétrit ses superbes seins, suça et joua avec ses tétons bien durs, provoquant d’intenses ondes de plaisir chez Marie. Tout comme sa sœur, elle ne tarda pas à avoir un puissant orgasme, et Maéva n’attendit pas qu’elle ait repris son souffle, elle la poussa en lui disant :
— Allez, laisse-moi sa bite, c’est à mon tour.
Mais Vincent avait très envie de fourrer son ravissant petit cul, alors une fois que Marie, complètement essoufflée, eut libéré sa bite, il dit à Maéva :
— Donne-moi ton petit cul, petite salope, j’ai très envie de t’enculer.
Contrairement à sa sœur, Maéva n’avait jamais été prise par-là, alors elle dit à Vincent :
— Je veux bien, mais tu seras le premier, alors faudra y aller doucement.— Ne t’inquiète pas, tu n’es pas la première à qui je dépucèle le cul, je commence à savoir comment m’y prendre.
Tout de même un peu inquiète, Maéva regarda Vincent prendre un tube de lubrifiant dans la poche de son pantalon, et revenir vers elle. Il la fit s’agenouiller au pied de la table basse et se mettre à plat ventre dessus, il s’agenouilla ensuite entre ses jambes, prit une bonne quantité de lubrifiant et tout en lui léchant la chatte, commença à lui badigeonner l’anus avec le lubrifiant. Rien que la langue de Vincent sur sa chatte, la faisait déjà intensément jouir, mais lorsque ses doigts vicieux qui s’attelèrent autour de son cul, cela lui procura un tout nouveau plaisir, à la fois dérangeant et fabuleusement excitant. Alors, lorsqu’il lui enfonça son premier dans son fondement, elle poussa un long râle de jouissance. Elle eut rapidement un deuxième doigt dans le cul et bien que la sensation de se faire ouvrir le cul était plutôt étrange, elle lui procurait également un plaisir prodigieux.
Elle se mit aussitôt à gémir de plaisir lorsque Vincent commença à faire coulisser ses doigts dans son cul, et c’est presque avec une étrange impatience, qu’elle attendit qu’il lui fourre enfin sa bite dans le cul. Mais ce n’est que lorsqu’il estima son anus suffisamment dilaté et lubrifié que Vincent se redressa et plaça sa bite contre son trou de balle. Comme Marie avait eu le temps de reprendre ses esprits, elle était venue caresser les seins de sa sœur, et tandis que Vincent poussait doucement sa bite dans son cul, elle dit à sa sœur :
— Tu vas voir sœurette, c’est presque meilleur qu’une bite dans la chatte.
Maéva sentait la bite de Vincent lui ouvrir de plus en plus l’anus, et s’enfoncer doucement dans ses intestins. Contrairement à tout ce que ses copines lui avaient raconté, elle ne ressentit aucune douleur, et même si cette présence imposante dans son cul était plutôt inhabituelle, elle lui procurait un plaisir incroyable. Elle poussa un long râle tout le long de la pénétration et laissa Vincent lui dépuceler son dernier orifice encore vierge. Une fois qu’il sentit que son gland eut passé les sphincters de Maéva, il resta un moment immobile, mais celle-ci ressentait un tel plaisir monté en elle, qu’elle lui cria presque :
— Continuuuueee, vas-yyyyyy, fourre-moooiiiii toute ta bite dans le cuuuuulllll, encule-moi bien profooonnnnd.
Vincent continua donc, et alors que sa bite disparaissait peu à peu dans le superbe cul de Maéva, il dit à Marie :
— Donne-lui ta chatte à bouffer, j’ai bien vu qu’elle aimait le goût de ta chatte, tout à l’heure dans l’ascenseur.
Se rappelant comment elle avait joui avec la langue de sa petite sœur, Marie n’hésita pas une seconde, elle enjamba la tête de sa sœur et vint placer sa chatte contre sa bouche. Ivre de plaisir, Maéva ne chercha pas à comprendre ce qu’il se passait, et tandis que la bite de Vincent commençait à coulisser dans son cul, elle se mit à lécher la chatte de sa sœur avec un furieux appétit. Vincent accéléra peu à peu les pénétrations et Maéva se mit bientôt à jouir tellement fort, qu’elle ne put continuer à lécher la chatte de sa sœur. Alors, tandis qu’il défonçait le cul de Maéva, Marie s’était légèrement rapprochée de lui et ces deux débauchés se roulèrent une pelle langoureuse, pendant que la plus jeune se mettait à crier de jouissance.
D’un seul coup, Vincent sentit que l’effet de la pilule arrivait à terme, et dans un dernier puissant coup de reins, il s’immobilisa et jouit une dernière fois au fond du cul de la jeune salope, en poussant un interminable grognement de plaisir. Mais il ne fut pas le seul à jouir intensément, lorsque Maéva sentit, pour la première fois de sa vie, du sperme lui remplir les intestins, elle eut un orgasme si fort qu’elle finit par s’évanouir sur la table basse. Après avoir repris son souffle, Vincent finit par libérer son cul débordant de sperme et alla s’asseoir sur le canapé, en sentant enfin sa bite ramollir. Même s’il aurait bien baisé encore ces deux superbes salopes, il commençait à avoir mal à la bite, tellement il avait bandé longtemps.
Lorsque Marie découvrit que sa sœur s’était évanouie de jouissance, elle demanda de l’aide à Vincent pour l’aider à l’emmener dans sa chambre, ils l’installèrent confortablement dans son lit et la laissèrent se reposer.
Marie fut un peu déçue, en découvrant que la bite de Vincent avait fini par débander et lui dit :
— Bon, et bien, je pense que tu as tout donné aujourd’hui.— Oui je pense aussi, je commençais à me demander si ça s’arrêterait un jour.— Pas grave, maintenant que tu as dévergondé ma petite sœur, je pense qu’on va s’amuser toutes les deux.— J’essaierai de vous rendre visite de temps en temps.— Si tu veux, tu n’as qu’à rester avec nous, cette nuit, on dormira tous les trois, ensemble.— Pourquoi pas, l’invitation est très tentante.
Vincent ne se rhabilla pas, il attrapa son téléphone et envoya un texto à sa femme pour la prévenir qu’il ne rentrerait pas ce soir. Ce qui arrangea bien Bao, qui était en train de se faire prendre le cul par Steeve, et la chatte par Nicolas. Elle put donc de son côté, continuer à baiser toute la nuit, avec ses amants, sa cousine et son futur mari.Tandis que Vincent dînait, à poil, avec ses deux superbes blacks, toutes aussi nues que lui, et qui s’occupèrent de sa bite toute la soirée. Il finit par s’endormir entre les deux salopes de frangines.
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