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Violette, étudiante débauchée

Chapitre 1

Une bien longue queue

Erotique
#Je tiens à préciser avant de commencer cette histoire que les événements qu’elle relate sont purement fictifs. Si toute ressemblance avec une membre du site n’est évidement pas fortuite, les situations dans lesquelles elle est mise en scène sont uniquement issues de la fertile imagination de l’auteur. Même si mon petit doigt me dit que la vérité est peut-être plus imaginative encore, si ce n’est plus perverse... #
J’attends bêtement dans la file d’attente de la cantine, et qu’est-ce que ça peut m’énerver ! La foule autour de moi ressemble à un animal monstrueux et bruyant, tout à la fois ricanant et caquetant. Une horreur !
Pourtant, je réalise soudain qu’un joli petit couple se tient devant moi.Lui : Léo, un sympathique beau gosse un peu niais, qui ne se rend même pas compte qu’il pourrait obtenir ce qu’il veut des filles. Il s’en fiche, il est "gentil". Quel crétin !Elle : Léa, son pendant féminin, une sympathique gourdasse jolie comme un cœur. Oui : ça veut dire niaise également, sinon j’aurais dit "bonne". Il faut suivre !À ce stade, je sais ce que vous devez vous dire : "ils s’appellent vraiment Léo et Léa ?" Eh bah ouais, franchement ça ne s’invente pas un truc pareil ! Et ce "détail" ne concourt pas moins que leur niaiserie à m’énerver.Ah oui ! Il vous manque un protagoniste essentiel : moi. Je suis Justine, une magnifique jeune femme plutôt gâtée par la nature. Aussi mignonne que bien foutue, il m’arrive souvent de faire tourner les cœurs et dresser les queues. Surtout dresser les queues en fait. Ça me va bien d’ailleurs, moi le cœur j’en ai pas. Alors celui des autres...Allez, ne soupirez pas trop vite, je vous jure que je gagne à être connue !
D’accord, au premier abord je passe pour une pouffiasse égocentrique, libidineuse, dénuée de morale et de scrupules, insouciante du mal que je peux faire à autrui, guidée uniquement par mes plus bas instincts et mes désirs les plus sombres. Une ignoble garce en somme.C’est vrai, il y a un peu de ça.D’ailleurs, c’est également ce qu’on retient de moi au second abord. Et sans doute aussi au troisième. Mais grattez un peu et je vous jure que vous trouverez quelque chose qui ressemble à un cœur. Bon regardez vite, parce que ma carapace de Supergarce est rapide à se refermer.Mais peu importe, je m’égare. Quoi qu’il en soit de la profondeur de ma personnalité, je suppose que présentement elle vous intéresse moins que celle de mon décolleté (bonnet C, voilà l’info est lancée. Et ne jouez pas les vierges effarouchées, bien sûr que vous vouliez le savoir !)D’ailleurs, puisqu’on en est à parler de moi, il me faut préciser quelque chose à propos de mon prénom, dont les plus observateurs auront sans doute remarqué qu’il n’est pas le même que celui du titre de l’histoire. Il s’agit pourtant bien de moi. Violette est juste le surnom que me donne un ami en référence à la couleur de mes cheveux. Or, comme c’est lui qui écrit l’histoire, il fait ce qu’il veut. La preuve : rien ne l’empêche d’écrire qu’il est aussi sympathique que talentueux, aussi séduisant qu’intelligent, aussi gentil que cultivé... et en plaçant ces mots dans ma bouche en plus ! A défaut d’y placer autre chose sans doute ? Toujours est-il qu’une histoire complète ne suffirait pas à égrener ses qualités, alors j’arrête là.
Non en fait, une dernière digression sur mes surnoms avant de reprendre : j’en ai écopé d’un autre sur Xstory, à savoir la StormTroopeuse aux cheveux violets (l’auteur de celui-là se reconnaîtra), puis par contraction Purple Storm (l’auteur de cette contraction se reconnaîtra aussi). Quand je vous dis que je fais parler de moi !Mais revenons donc à nos sympathiques tourtereaux si vous le voulez bien. Ils se bécotent en se murmurant des mots doux, genre guimauve rose fluo. Parfois, la main de Léo s’égare timidement jusqu’à la hanche de Léa, mais elle ne va jamais au-delà. Sérieux, tu vas pas lui ploter le cul ? Puceau !Le sont-ils ? Ça ne m’étonnerait même pas. Je me demande s’ils n’en sont pas encore à croire que les bébés naissent dans les choux. Ou les roses, je sais plus.
Soudain, je suis prise d’une impulsion soudaine, irrépressible : et si je leur montrais un peu comment ça marche ? Le joli petit cul de Léo est là, juste devant moi, n’attendant qu’une main charitable. Vous ai-je dit que j’étais justement une fille charitable ? Si si, je vous jure ! Je me suis simplement arrêtée au dicton "charité bien ordonnée commence par soi-même".
À ma décharge, il faut bien partir de quelque part.Donc me voilà, enfin heureuse de me retrouver parmi cette foule grouillante, ne la voyant même plus d’ailleurs. La seule chose qui attire encore mon regard est ma cible, à savoir le postérieur ferme et rebondi - juste ce qu’il faut - de Léo. Je pose ma main dessus avec vigueur, sans hésitations superflues, puis je caresse un peu la bête avant de la palper fermement. Je tiens à bien lui faire comprendre que je suis là.La première réaction de Léo est un léger sursaut, mais il ne se retourne pas. Je peux presque voir les pièces du puzzle s’assembler lentement dans son esprit. Tellement lentement !Il pense d’abord que ça vient de Léa, bien sûr. C’est inhabituel, sans doute même inédit, mais après tout pas déplaisant. Il songe même peut-être à l’imiter.Pourtant, un détail ne colle pas. Un sacré détail en fait : l’une des mains de sa copine est sur son torse, l’autre dans la sienne. Or, aux dernières nouvelles, elle n’en a que deux. Quelle est donc cette troisième pogne ?
Alors, et alors seulement, il se retourne vers moi. Il regarde un instant mon bras encore tendu vers ses fesses, puis mon visage, sans comprendre.Pour toute réponse, je lui adresse un clin d’œil, bientôt suivi d’un sourire charmeur. Puis, après une dernière pression sur ses jolies petites fesses, je retire ma main.Il m’observe toujours, la bouche ouverte sous le coup de la surprise. Je pose alors mon index sur mes lèvres en un "chut" silencieux, puis je le gratifie d’un nouveau sourire.Sa stupide copine n’a rien remarqué, mais elle ne va pas tarder à le faire s’il continue à me fixer bêtement. J’hésite à lui donner un coup de pied dans le tibia pour lui faire reprendre contenance, mais heureusement il réagit avant que j’en sois réduite à cette extrémité. Il se secoue et reporte son attention sur Léa.Il n’arrête pas ensuite de me jeter des regards pendant les 10 minutes que nous passons encore à faire la queue. Je me lèche sensuellement les lèvres, essayant ainsi de lui faire deviner le délice de la fellation à laquelle il pourrait avoir droit si... pardon : à laquelle il aura droit quand il cédera à mes avances.Pourtant, ses sourires sont crispés, gênés. Il ne flirte pas, il se méfie de moi.
Sa réaction me surprend. En général, les hommes sont très prévisibles : une petite ouverture de ce genre et hop ! ils te rejoignent dans les toilettes pour te prendre dans une cabine en te traitant de salope. Alors qu’ils sont bien contents de la trouver, la salope ! Je vous entends déjà protester : "Nan mais c’est quoi cette vision simpliste ? Y a aussi des mecs bien !"Les mecs bien ? Parlons-en. Ce sont les pires !On parle bien des mêmes : les moralisateurs qui murmurent des mots doux à leurs copines et jurent par tous les saints que jamais, au grand jamais, ils n’envisageraient même de la tromper ? Disons qu’ils se divisent en deux catégories : les hypocrites et les losers.Les hypocrites sont ceux qui couchent à droite à gauche, mais ne se gênent pas pour donner des leçons de morale sous prétexte qu’ils sont innocents... tant qu’ils ne se sont pas fait prendre !
Les losers sont tous ceux qui rêveraient de devenir des hypocrites, mais qui n’ont juste pas assez de couilles ou de charme pour y arriver.Entre les deux ? Le néant. Le désert de Gobi. Et Léo ? Impossible !Il me faut pourtant en avoir le cœur net.Cette vision des hommes peut sembler sinistrement désabusée, à fortiori pour une fille de mon âge. Elle est pourtant strictement empirique. J’en ai aguiché des hommes : des vieux et des jeunes, des intellos et des bad boys, des lycéens et des profs, des gentils et des connards...
Croyez-le ou non, il y a dans cette accumulation éclectique, cet inventaire à la Prévert de la sexualité masculine, autre chose que de la pure et simple perversité. Oh je n’irais pas jusqu’à prétendre qu’il n’y en a pas ; après tout, j’adore faire craquer les hommes, les sucer de manière tout à fait glauque dans les toilettes pendant que leurs copines font le pied de grue, puis les jeter comme de vieilles chaussettes, dégoûtée par la facilité même avec laquelle ils m’ont cédé.Pourtant, je me plais à croire qu’il s’agit d’une forme d’expérience sociologique, un échantillonnage à vocation exhaustive dont la conclusion est sans appel : derrière la diversité de façade, la réponse des hommes à un stimulus sexuel issu d’une jeune femme attirante est toujours la même : queue dressée, volonté annihilée, copine oubliée, promesses évaporées, couilles vidées. Le schéma est immuable, la conclusion inévitable.Alors que se passe-t-il aujourd’hui ? Comment ce bellâtre enniaisé par l’amour - le plus bête des sentiments - ose-t-il me résister ?A moi, Justine ?LA salope de ce lycée ?
Et voilà comment une banale petite main aux fesses - une agression sexuelle paraît-il - s’est transformée pour moi en obsession : il FALLAIT que je prenne cette mouche dans mes filets. Peu importe le temps et les efforts que nécessiterait la construction de cette toile, je jure que moi, Justine, reine des araignées, je la tisserai.Et il s’embourberait dedans. Comme tous les autres.
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