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Violette : de vierge à salope, mon apprentissage

Chapitre 2

Découvertes anales

SM / Fétichisme
Le soir même, je commandais un plug de taille moyenne (je ne savais même pas exactement comment cela se présentait) comme me l’avait ordonné mon maître et professeur particulier. Il était noir et lisse, assez gros mais pas non plus ceux de la catégorie "grande taille".
Je devais avoir l’air un peu différente depuis l’orgasme ravageur de cet après-midi, car au dîner, même ma mère, qui remarque assez peu de choses, me dit que mon nouveau professeur me rendait plus gentille et docile (j’avais failli réagir, elle utilisait exactement le même mot que mon maître, mais dans sa bouche c’était nettement moins excitant).
Il est vrai que j’avais été pendant quelques années assez difficiles comme adolescente, c’était presque ironique que la soumission m’excite autant.
J’allais finalement me coucher, quand j’entendis mon téléphone vibrer. J’avais pourtant dit à mes meilleures amies, à qui je parlais constamment sur plusieurs réseaux sociaux, que j’allais dormir, étrange.
Je vis un numéro inconnu et ces mots "Ouvre le premier tiroir de ta table de nuit."
J’avais presque peur. Qui connaissait ma chambre et avait eu mon numéro ?
J’hésitais, je décidais d’attendre quelques instants quand mon téléphone vibra à nouveau.
"C’est ton maître, n’aie pas peur. J’ai obtenu ton numéro par tes parents, idiote *emoji diable*."
Je respirais un peu mieux mais me demandais qu’avait-il encore inventé pour me soumettre et titiller mes sens, je comprenais également pourquoi tout à l’heure il m’avait laissé quelques minutes (mais encore une fois comment avait-il trouvé ma chambre, que je ne lui avais pas encore montrée avant nos jeux sexuels).
J’ouvrais finalement le fameux tiroir, pour me trouver face à un gode rose et translucide, assez gros mais pas non plus monstrueux, mon maître a dû vouloir me ménager.
Je le pris alors dans ma main, pour évaluer la taille de cette chose ; c’était assez flexible et étrangement doux et lisse.
Nouveau message : "Je veux une photo de ce jouet te caressant le clitoris."
J’enlevais la culotte de coton que j’avais mise pour dormir (je dormais assez peu nue, même si un jour j’espérais le faire avec mes amants), m’asseyais dans mon lit appuyée contre deux coussins relevés. J’écartais mes jambes et pris mon téléphone, activais la caméra frontale et essayais de prendre une image satisfaisante.

C’était vraiment osé pour moi, je n’osais pas encore regarder frontalement mon vagin et là je devais l’envoyer à un presqu’inconnu. Je me rendais compte des limites que j’avais franchies, mais le souvenir de mon orgasme ravageur plus tôt dans la journée fut suffisamment convaincant. J’appuyais le bout du faux gland rose vif sur mon point de plaisir, j’étouffais un gémissement et appuyais sur *photo* et *envoyé*.
En attendant sa réponse, je continuais à caresser l’entrée de mon vagin, faisant surtout quelques allers-retours de bas en haut, me faisant mouiller de plus en plus si j’en croyais le gode luisant de mon excitation.
Nouvelle vibration. "Ouvre-moi ton petit anus avec ta mouille et mon gode, dont je suis sûr qu’il est plein et prends une photo."
Je m’allongeais presque pour lever mon cul et continuais alors de passer le gode de haut en bas, de mon clitoris à ma raie pour appuyer de plus en plus sur ma rosette délicate. J’avais un peu mal et je me contractais, c’était difficile seule de m’enfoncer cela. Finalement, je le sentis rentrer un peu, il était maintenant très lubrifié et j’essayais de l’enfoncer un peu plus puis pris une photo péniblement.
J’avais à peine enfoncé en moi un cinquième de cet engin, mais mon maître parut satisfait et me dit de me faire jouir par où je voulais, sans bien sûr me dépuceler.
Je me finis avec joie, pressant le gode rose contre mon clitoris et une vague de plaisir monta bientôt en moi, comme l’orgasme de tout à l’heure. Je retins mes cris mais bougeais mes hanches en rythme, j’imaginais que mon maître me prenait en levrette comme dans le film que j’avais regardé. Je voulais être sa chose, à qui il procurait un plaisir intense si elle lui obéissait. Je m’endormais, comblée mais épuisée de tout ce plaisir.
Le lendemain, en rentrant des cours, j’avais déjà reçu un petit paquet noir, que la femme de ménage avait mis sur mon lit (il y avait juste mon nom et mon adresse dessus, aucune information heureusement sur la nature du paquet).
Je l’ouvris délicatement et découvrais alors un plug noir comme sur le site, mais au bout brillait un petit diamant, qui se verrait certainement une fois le plug installé dans mon anus.
J’étais également passé au supermarché avant de prendre le bus pour rentrer avec mes meilleures amies, qui m’avaient vue acheter du lubrifiant et m’avaient dit que j’allais bientôt avoir droit à un petit interrogatoire lors d’un prochain apéro, mais qu’elles me laissaient tranquille pour cette fois.
Je sortis le tube de mon sac, m’assis sur mon lit, déposant également le plug non loin de moi. Je l’ouvris et pris un peu de ce liquide visqueux et gras sur ma main pour le tâter - bon au moins cela aidera le plug à rentrer.
Je commençais timidement à en recouvrir le plug, il était bien luisant au bout de quelques applications et je me mis alors près du bord du lit, un pied par terre et le genou en appui, cambrant mon bassin pour faire ressortir mes fesses. J’entrepris de le faire rentrer dans mon anus, toujours récalcitrant malgré l’entraînement d’hier : je le tournais et massais mon anus avec, il commençait à s’introduire en moi et finalement rentra entièrement, presque d’un coup et fut bloqué dans mon fondement.
Je touchais le bout qui sortait, en effet on sentait le petit diamant couronnant l’instrument de ma torture ; le plug me gênait pour l’instant beaucoup, mais bientôt un pénis serait introduit à cet endroit et je devais me préparer, en bonne élève que j’étais.
J’essayais de marcher, c’était désagréable et je grimaçais ; c’était un peu mieux quand je m’asseyais, car je pouvais comme me masser de l’intérieur avec la texture lisse et ronde de l’objet en bougeant le bassin. Je décidais de le garder jusqu’au dîner, puis progressivement de plus en plus longtemps dans la semaine pour habituer mon cul à recevoir son dû journalier.
Quelques jours plus tard, ma leçon arriva et j’avais mis le plug depuis mon réveil : je me sentais bien plus écartée que les jours précédents, je n’enlevais mon plug que pour aller aux toilettes, en prenant bien soin de rincer mon anus élargi à l’eau froide après coup. Mon maître ne devait pas voir la trace de mes excréments pensais-je et d’ailleurs cette partie ne m’excitait pas trop. Je savais également qu’il aimait ma pureté supposée et je m’étais de nouveau épilée intégralement.
J’attendais sagement dans le bureau car la femme de ménage était encore là, je lui avais demandé d’aller ouvrir et d’indiquer à l’arrivant où je me trouvais. J’avais mis une robe noire moulante que j’aimais bien, et qui montrait mon cul musclé, mes longs cheveux blonds détachés sur mes seins, encore une fois sans culotte.
Je l’entendis arriver et mon excitation, qui n’avait pourtant fait que monter ces derniers jours, parut encore monter d’un cran. J’étais bouillante, j’espérais qu’il le sentait. En effet, en arrivant devant moi, il eut comme un mouvement de recul.
"Tu m’as l’air bien excitée. Tu as mis ton plug toute la semaine ?"
"Oui."
"Ha oui Violette, je me rends compte à quel point j’ai été insouciant quant à ton apprentissage, c’est ton corps qui m’a diverti de ma tâche principale... dit-il en souriant d’un air étrange. Lorsque tu t’adresses à moi et que nous sommes seuls, tu dois m’appeler "Maître". Tu as compris ?" dit-il me prenant le menton et me forçant à le regarder.
"Oui, Maître." dis-je, presque intimidée mais brûlante de désir.
"Lève-toi"
"Tourne-toi et appuie-toi sur le bureau en te penchant." Je le fis et sentis directement une main relever ma robe jusqu’à ma taille, me laissant fesses nues face à mon professeur et une autre main titiller le diamant qui sortait de mon cul. Je gémis, j’avais attendu cela toute la semaine (et même des années).
"Chut... Violette, nous ne sommes pas seuls. Tu ne voudrais pas être punie par tes parents si nos petits jeux étaient révélés au grand jour ?" murmura-t-il en me tapotant les fesses. Je le sentis se positionner derrière moi, me caresser les fesses et le bassin avec ses mains tout en se frottant au plug avec son pénis, que je sentais déjà extrêmement gonflé.
"Tu mouilles beaucoup... Dommage que ce ne soit pas la leçon d’aujourd’hui..." dit-il en riant presque et retirant d’un coup le plug, pour le remplacer par son pouce. "Oui, tu es bien écartée, ça va être délicieux de te prendre par là.", en tournant son doigt doucement en moi.
Il me fit me coller au bureau, debout mais légèrement cambrée vers l’arrière ; je l’entendis ouvrir sa braguette et poser une main sur mon cou. Son autre main commença à me presser le clitoris, comme pour faire sortir toute ma cyprine pendant que je sentais son pénis, qui me semblait énorme, entrer en moi. "Je ne mets pas de capote, tu es vierge et je veux sentir ma bite te pénétrer au plus profond de ton fondement..."
Il me pénétra assez aisément, mais me mit une main sur la bouche par précaution ; sa verge allait et venait allègrement dans mon cul, il était le premier à conquérir ce territoire et il aimait cela, entrant presque violemment mais s’arrêtant au fond, pour apprécier le chemin parcouru et me faire ressentir qu’il me possédait au plus profond de mon être. Il me pinçait les tétons de temps à autre, accentuant mon plaisir par à-coups violents et déstabilisants.
Je voulais crier, hurler et même pleurer de plaisir, heureusement sa main sur ma bouche nous préservait de tout scandale, j’aimais ce parfum de mystère dans nos ébats et me réjouissais de parcourir un pas de plus vers mon apprentissage du sexe et de ses plaisirs. Je le sentais, dans cet endroit des plus intimes mais des plus fascinants, je me rappelais certaines rumeurs que j’avais entendues à l’époque avec mes amies - celles qui aimaient la sodomie étaient des putes. J’étais alors en train de devenir la meilleure des putes, me dis-je, et c’est sur ces pensées que je jouis, encouragée par la main de mon professeur qui me malaxait le clitoris rageusement.
J’eus un nouvel orgasme profond, presque venant de mes entrailles, accompagné d’un long râle étouffé de ma part mais je sus que mon maître avait autant apprécié puisqu’il me tira violemment les cheveux à la fin.
J’en tremblais un peu lorsque cela fut fini et que mon maître me fit réciter, avec succès mes cours (après une douche bien nécessaire, mais seule bien que j’aurais espéré qu’il m’accompagne).
Après l’avoir raccompagné à la porte, et un baiser fougueux de sa part ponctué d’un "Merci de m’avoir offert ton cul Violette, c’était délicieux" moqueur, je sentis mon téléphone vibrer. Déjà mon maître ?!
Ha non, une de mes amies : "Alors Vi, on te voit plus trop ? C’est parce que t’as trouvé un mec c’est ça ?? Allez oublie pas tes copines, on fait un apéro demain soir TU VIENS :)."
Je ris presque en imaginant leurs visages quand je leur dirais... D’ailleurs devrais-je leur dire ou garder le secret ? Demander son avis à mon maître ? Je me sentais rebelle et décidais de voir comment ma soirée de demain tournerait...
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