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Violette : de vierge à salope, mon apprentissage

Chapitre 3

Garder le secret ?

SM / Fétichisme
Le lendemain, j’avais prévu de retrouver mes amies dans la soirée autour de quelques bouteilles d’alcool et des ragots que nous ne nous étions pas racontés depuis déjà quelque temps. Depuis le début de mon apprentissage, j’avais il est vrai quelque peu négligé mes amies. Cette année elles étaient toutes à la fac puisque j’avais redoublé et avant ma rencontre avec mon amant j’avais vraiment l’impression d’être une gamine qui ne vivait rien en leur compagnie.
Mais j’avais désormais vécu de nouvelles expériences à même de nous permettre de renouer un dialogue décomplexé.
J’avais également décidé de ne pas prévenir mon maître de cette sortie, je tentais de préserver une part de vie privée à cet homme qui m’avait hier pourtant dépucelé l’anus. Peut-être que j’espérais un peu me faire punir au cas où cela ne plairait pas à mon maître...
Je retrouvais donc mes amies vers 21h, chez Anna, celle qui m’avait envoyé le fameux SMS.
Elle habitait en centre-ville, j’avais donc dit à mes parents que je resterais dormir.
Pour son entrée à la fac, ses parents lui avaient loué cet appart ; un petit studio assez bien aménagé et doté d’une petite mezzanine où se trouvait un grand lit à même le sol.
Devant moi, le coin cuisine-salon, avec un bar américain.
Les deux autres étaient déjà là, c’étaient Lola et Morgane. Nous étions une bande inséparable jusqu’à l’année dernière, mais elles avaient toutes travaillé assez sérieusement pour partir à la fac et se semblaient parfois se demander comment j’avais pu me rater à ce point - où peut-être reportais-je mes propres insécurités sur elles et c’est pour cela que nous nous étions éloignées.
Anna était une brune à la peau mate, elle aimait dire depuis le collège qu’elle avait le sang chaud des Latinas - elle avait de la famille au Mexique - avec un corps qui faisait déjà saliver les mecs en seconde. Elle avait toujours été précoce sexuellement et ses expériences et leurs récits avaient en quelque sorte forgé notre vision du sexe.
De plus, elle était très libérée et aimait dire qu’elle essayait tout au moins une fois. C’est la première personne que j’avais entendu avouer aimer la sodomie.
Lola était blonde comme moi, mais plus petite et pulpeuse ; elle faisait du D depuis plusieurs années déjà et elle adorait montrer sa belle poitrine avec des robes et tee-shirts très décolletés.
Quant à Morgane, elle était métisse, avec des longs et beaux cheveux bouclés bruns - mais ce soir elle avait fait des tresses collées qui mettaient en valeur ses traits fins et sa bouche pulpeuse. Elle avait un corps élancé et e tant que danseuse, elle se déplaçait toujours avec un déhanché à la fois élégant et sensuel.
Mes amies me regardaient comme si j’étais une inconnue, mais deux secondes plus tard nous nous serrions dans les bras les unes des autres comme si rien ne nous avait jamais éloignées.

"Alors, dit Anna en ouvrant une bouteille de vin rouge, Vi ça fait longtemps ! Tu ne réponds plus aux messages... On se demandait si tu ne voyais pas quelqu’un... dit-elle en jetant un coup d’œil aux deux autres.
Je ne pouvais m’empêcher d’esquisser un sourire, et acceptant le verre qu’on m’offrait je me décidais à prendre la parole.
"J’ai rencontré quelqu’un les filles, vous aviez raison."
Leurs yeux ronds et intrigués me firent rire, je devais poursuivre (et j’avais envie de satisfaire leur curiosité, je me sentais captivante avec cette histoire secrète).
"J’en étais sûre !! s’exclama enfin Morgane. Il n’y a que l’appel d’une bonne bite qui ferait oublier ses amies... " mais elle souriait en disant cela.
"Par contre... avouais-je, ce n’est pas vraiment mon mec haha... "
Je buvais pour me donner du courage, car c’était assez inattendu d’avouer à mes, même si plus proches, amies être devenue l’esclave sexuelle consentante d’un jeune homme inconnu un mois auparavant.
"En fait c’est mon prof particulier, pour pas que je recommence mes conneries de l’année dernière - elles rirent un peu - mais ça a dérapé en cours de "sexe" si je peux appeler ça comme ça."
"Mais alors Vi..." dit Anna avec une tête que je ne lui avais jamais vue.
"Tu n’es plus vierge ?..." Mes trois amies semblaient à la fois choquées et heureuses.
Malheureusement j’allais devoir rétablir la vérité, même s’il eut été plus simple de leur dire que oui on couchait ensemble.
"Ben, il m’a dépucelée analement hier." Le vin commençait à faire son effet, j’avais chaud et je commençais à parler sans honte.
Lola parla enfin : "Mais tu en parles comme s’il décidait et toi tu avais juste à accepter, c’est bizarre haha, enfin - elle avait les joues rouges elle devait avoir bu avant de venir - c’est un délire SM ?" Elle semblait vraiment intéressée.
"En gros oui, j’ai accepté de me faire dresser sexuellement..." avouais-je presque en baissant la voix et finissant mon verre.
Mes amies me regardaient encore une fois avec des yeux ronds, mais cette fois mon discours avait réellement fait son petit effet, plus personne ne disait un mot.
"Je vais ouvrir une autre bouteille", dit Anna, se levant.
Le son de sa voix était plutôt neutre, je me demandais ce qu’elle pensait.
"Alors, raconte !!! dit soudain Morgane. J’ai pas vu de mec depuis la rentrée, je pensais que la fac ça serait le paradis du sexe mais en fait c’est l’horreur... Il a pas des potes ton "maître", c’est comme ça que vous devez les appeler non ?" Elle avait un regard presque gourmand, je me sentais mieux tout à coup.
Lola : "On me l’avait proposé une fois, j’avais rencontré un mec plus âgé en boîte mais j’avoue, j’avais eu peur hahaha... Je pensais qu’on allait tout le temps le faire avec des tenues en cuir et des chaînes..."
Moi : "J’avoue sur le coup j’avais pas du tout réfléchi, c’est juste qu’il est super sexy... Il dégage vraiment un truc..."
Morgane : "Mais c’est qui ce mec d’ailleurs ?!"
Anna était revenue et semblait pensive. "Mais c’est qui ce mec ? J’aimerais bien savoir qui fréquente ma meilleure amie..."
"Oui, montre son profil. On va fouiller et trouver si c’est un psychopathe..." dit Morgane en riant.
Nous étions ivres, l’idée avait l’air bonne, vous savez ce que c’est.
Sur un de nos téléphones, nous allions voir son profil : lui sur une île paradisiaque en photo de profil, sinon des études brillantes et régulièrement en vacances et à des soirées pour pouvoir prétendre à une vie plus que normale et bien remplie.
Je commençais à me demander ce qui l’avait poussé à vouloir asservir sexuellement des jeunes femmes, lui qui venait d’une famille apparemment riche et sans histoire.
"Haa... Toujours la même fille sur ses photos à partir de 2016... "dit Morgane avec satisfaction.
"Ça devait être sa copine, il t’en a déjà parlé ? dit Anna, les joues rouges et les yeux brillants.
"Non jamais, enfin on se voit pour les cours en général puis après on passe à l’autre cours haha... Mais j’aurais jamais pensé à lui demander ce genre de choses..." dis-je en riant, pompette.
"Peut-être qu’elle lui a brisé le cœur et qu’il veut se venger sur toutes les autres... " Anna avait toujours aimé élaborer des théories abracadabrantes sur ses divers amants et le mien n’échappait pas à la règle.
"J’ai couché avec un mec comme ça, vous vous rappelez Vadim ? Il venait de se faire larguer pour son meilleur pote et quand on se voyait, c’était toujours... intense si vous voyez ce que je veux dire. Il aimait bien les menottes et sa cravache en cuir... hum... " dit Morgane en se mordant la lèvre inférieure.
Lola reprit : "Franchement je trouve que ce que vous racontez c’est excitant, mais je préfère les ambiances romantiques. Les menottes par contre j’adore, mais mises délicatement et pas pour me faire enculer direct après..."
Anna et moi éclatâmes de rire, en nous regardant presque étonnées de partager cela désormais. Morgane riait aussi, ivre et comme heureuse de découvrir que ses amies étaient de telles perverses.
Nous étions encore remontées jusqu’aux publications de 2014 pour voir qu’il était déjà avec cette fille. "L’amour perdu de sa vie" dit Lola, nous nous moquions d’elle mais au fond de moi je commençais à penser qu’elle avait mis le doigt sur quelque chose.
Mes amies me parlaient en même temps de leurs cours, leurs nouveaux amis - d’ailleurs il y avait une soirée bientôt et je devais venir me dirent les filles - et nous avions bu pendant encore plusieurs heures.
Je m’endormais ivre, à moitié déshabillée mais heureuse après cette soirée passée avec mes amies.
Le lendemain, après les cours je rentrais chez moi.
Je voulais en savoir plus sur l’ancienne copine de mon maître, je l’avouais je brûlais de curiosité depuis hier soir.
Je la trouvais facilement, mais je voyais qu’elle était fiancée depuis quelques mois à un jeune homme qui ne ressemblait pas du tout à mon maître. J’imaginais que celui-ci l’avait vu et me demandait si cela l’avait blessé.
Je n’eus pas vraiment le temps de réfléchir plus à la question car on sonnait. Etrange, me dis-je en fermant la page, je n’attends personne et mes parents ne sont pas encore rentrés.
Je regardais par le judas : surprise, mon professeur particulier.
J’ouvrais, lui décochant mon plus beau sourire.
"Bonjour Maître, que me vaut ce plaisir ?"
Il sourit également, mais me dit d’un ton froid : "Tu as l’air bien enjouée, mais tu me parais insolente. Aurais-tu désobéi à mes ordres ?"
"No-non maître." Tout à coup j’étais inquiète, il n’avait jamais été si froid sans raison.
Il se rapprocha de moi et me prit par la hanche : "Tu gardes bien le secret sur notre arrangement ?"
"Bien sûr maître", dis-je rapidement sans réfléchir car il avait commencé à me malaxer le téton entre ses deux doigts fins et agiles.
"Je ne tolérerai aucune faille à ta loyauté Violette, sache-le..." Il passa une main sur mes fesses pour finalement accéder par-derrière à mon clitoris, qu’il titilla légèrement mais assez pour me faire gémir.
Je ne m’inquiétais même pas de ce qu’il eut pu réellement savoir, je voulais du sexe.
"Allons Violette, un peu de tenue... Ou alors tu pourrais supplier ton maître de te pénétrer comme la chienne que tu es ?"
J’allais franchir une étape importante si je me soumettais ainsi à lui, mais mon corps et mes sens ne m’appartenaient déjà plus.
Je prononçais courageusement ces mots : "Prenez-moi par le cul comme la chienne que je suis, Maître."
Il semblait satisfait.
"Allons dans ta chambre, ma belle esclave."
Nous nous rendîmes dans cette chambre du plaisir, lieux de nos cours et de nos ébats.
Je fermais soigneusement la porte, j’étais surexcitée et je me sentais mouiller.
"Enlève ta culotte."
Je m’exécutais rapidement, mais mon maître put voir amusé que je mouillais en effet abondamment. Il souriait.
"Mets-toi à genoux Violette."
J’obéis à cet ordre direct de mon maître, bien sagement je me mis à quatre pattes mais il me fit me relever en me tirant les cheveux.
"Tiens-toi droite, cambre ton petit cul en relevant ta jupe, dos à moi."
Je tenais alors ma jupe relevée en me cambrant vers l’arrière, baissant légèrement la tête. Qu’allait-il me faire subir que je ne puisse pas voir ?
Je sentis le liquide froid et visqueux tomber sur le haut de mes fesses. Du lubrifiant cette fois, j’appréciais quelque peu l’attention.
Il prit le bout de son gland et chercha à appliquer le lubrifiant sur ma raie en passant lentement de haut en haut, s’arrêtant parfois vers mon anus pour accentuer la pression du gland et me faire gémir (ainsi que mouiller abondamment, je me sentais dégouliner de ce traitement).
Mes genoux commençaient à me faire mal, mais mon maître semblait apprécier cette position, puisqu’il me prit la hanche d’une main et tenant toujours son pénis de l’autre, alla mettre directement son gland dans mon cul.
Je me déchirais lentement de l’intérieur, mais j’avais une sensation de plus en plus profonde de chaleur qui grandissait au creux de mes reins.
Je gémissais en retenant le son au maximum, me mordant la lèvre jusqu’au sang - je sentais cet autre liquide qui coulait de mon corps, celui-là au moins je pouvais encore le contrôler.
Son gland entrait en moi, lentement mais sans discontinuer : j’avais l’impression de le sentir remonter dans mon ventre jusqu’à ma gorge...
J’étais pleine, il me tenait désormais fermement les deux hanches pour s’enfoncer en moi au maximum ; je l’entendis pour la première fois gémir (d’habitude il avait eu une respiration accélérée mais semblait toujours maître de la situation).
Comme s’il m’entendait et voulait reprendre le contrôle, il m’agrippa le clitoris et me masturba tout en me pilonnant le cul pendant de longues minutes.
Mon anus brûlait, mais mon pubis me faisait ressentir un immense plaisir, mes sens étaient perdus. Il continuait à me prendre sans ménagement, par à-coups brusques et violents qui m’arrachaient de petits cris et gémissements (même si j’avais tenté de me contenir, c’était vraiment trop bon... ).
Mon bassin bougeait presque mécaniquement, j’étais une chose faite pour la sodomie semblait-il, pratique que j’appréciais d’ailleurs de plus en plus. Mon cul se faisait toujours défoncer, mais je ressentais alors la même chaleur que lors de mon orgasme d’avec le cunnilingus.
« Haaa Violette... J’adore sentir mon gland au fond de ton petit cul... » gémit mon maître. Cela m’excita tellement que je jouis dans un dernier assaut, je me cambrais alors et je sentais ses pouces appuyer sur ma taille, je le sentis se contracter après quelques va-et-vient profonds, il retira directement son pénis de mon fondement et je sentis son sperme dégouliner de mon cul peu de temps après.
J’eus du mal à me relever et il dut presque me porter jusqu’à mon lit car mes jambes tremblaient, en riant il me fit remarquer que j’avais encore besoin d’entraînement mais que mon cul commençait à s’habituer, il constatait d’un air ravi que j’avais bien mis le plug.
Je devais continuer jusqu’à nouvel ordre, me dit-il, quittant ma chambre.
Je ne savais toujours pas ce qui m’avait valu ce traitement de faveur - le lubrifiant avait vraiment rendu tout cela plus agréable et j’espérais qu’il en utiliserait plus souvent - mais également cette visite impromptue. Je m’endormais épuisée en me demandant ce que mes prochaines leçons me réservaient...
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