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Virginie et sa fille Aline

Chapitre 2

Amélie

Inceste
Le lendemain.
Aline, ma fille, m’a donc qualifiée de « terrible salope qui a bien gommé le notion d’inceste ». A vrai dire, c’est l’enchainement des événements qui m’a poussée à ne pas me poser de questions sur mon attitude somme toute répréhensible mais je pense que je ne peux pas continuer même si l’instant était merveilleux de sensations. Redevenue lucide, Ce matin j’en parle à Aline au cours du petit déjeuner. - « Ma petite Line, je crois que ce qui s’est passé hier doit rester une parenthèse aussi agréable fût-elle. Tu dois m’aider à ne plus penser à cet épisode de notre vie et que nous restions dans nos rôles respectifs de mère et fille. Je veux bien accepter de te dire sensuellement « bonsoir » avant de t’endormir comme quand tu étais adolescente mais nous devons en rester là. » Pendant mes explications, je sens sous la table son pied qui me caresse lentement les jambes en faisant crisser mes bas et en remontant le plus haut sur mes cuisses. - « Tu vois, tu continues. N’as-tu pas eu ce que tu souhaitais ? »- « Maman, je pense que tu le souhaitais toi aussi, je t’ai trouvée agréablement déchainée. » - « Je reconnais que l’excitation du visionnage de l’enregistrement webcam et ta demande de caresses m’ont mise dans un état que je n’imaginais pas. »- « De mon côté, je t’ai dit que je fantasmais depuis toujours sur ton corps. Arriver à y avoir accès avec ta complicité sachant que je m’offrais ma mère c’était inespéré et merveilleux. Tu m’as vraiment faite monter au septième ciel »- « Bon, je t’ai dit qu’on n’en parlait plus. Je ne te demande pas d’oublier, c’est impossible pour moi aussi. »- « Je suis sûr que tu mouilles maman. »- « Arrête je te dis. Si non je vais craquer et il ne faut pas. Tu m’as faite découvrir un plaisir saphique que je ne connaissais que virtuellement en regardant des vidéos de gouines, mais je m’interdis de continuer avec ma fille. »- « Alors trouve une copine, une collègue, tu aimes bien t’exhiber prudemment ou tiens, la voisine d’en face, qui promène souvent son chien, vous devez avoir le même âge. Je l’ai aperçue quelques fois en petite tenue sur son balcon, toi qui aimes les belles poitrines et les femmes bien foutues, je l’ai souvent reluquée, elle est toujours habillée très sexy comme toi. Si tu arrivais à la séduire, je pense que vous pourriez bien vous envoyer en l’air et cela sans remords de ta part mais je n’en démords pas, pour moi, c’est toi que je veux, tu as le don de m’émoustiller et si je ne peux plus aller au-delà des caresses, je me branlerai en visionnant tes enregistrements. Tiens, à propos, pourras-tu m’en faire une copie sur ma clé USB, Je pense que ce doit être très excitant ?» Aline se lève abandonnant son jeu de jambes et vient derrière moi me caresser le cou, descendant ses mains sur ma poitrine libre sous mon corsage. Mes tétons son gonflés et durs. - « Tu vois, tu te laisses faire, je suis certaine que tu as encore envie. Dis-moi si tu mouilles. »- « Je ne te répondrai pas. Je t’ai dit d’arrêter de me provoquer. Parlons plutôt de ton idée de rencontrer la voisine. Une deuxième expérience avec une femme me tente vraiment. »- « Moi aussi et si ça pouvait marcher, j’aimerais participer à vos ébats. Te voir te gouiner serait super. »- « Ce n’est pas ce à quoi je pensais. Un duo devrait m’éviter de retomber dans l’inceste. »- « Bon, nous verrons, mais nous pourrions essayer de la rencontrer, je verrais comment tu te débrouilles pour la convaincre. Tu devras faire attention car elle n’est peut-être pas lesbienne ou bi.Elle promène souvent son chien le dimanche matin dans les allées du parc à coté de nos immeubles, je l’ai rencontrée en faisant mon jogging. C’est peut-être le cas ce matin ? »
- « Ok, on s’habille et on y va. C’est ton idée mais c’est mon envie. »- « J’ai hâte que tu te fasses plaisir maman et pour aujourd’hui, je ne vais pas voir si ta chatte est mouillée ! »- « Sois sage, tu auras ta vidéo comme ça tu pourras te contenter. »
Après s’être habillées assez sexy avec entre autres des mini jupes très courtes et des décolletés provoquants, nus partons bien décidées à l’éventuelle rencontre de notre voisine. - « Aline, j’ai l’impression que nous partons en chasse ! »
Après quelques minutes de marche, la voisine convoitée, sort d’un petit fourré précédée de son chien sans sa laisse. L’animal rôde autour nous près de nos jupes ce qui impose à sa maitresse de le rappeler et de s’excuser. - « Excusez le mesdames, il n’est pas méchant, il est très câlin surtout actuellement avec ses congénères femelles. »- « Bonjour madame, il est tout excusé mais nous ne sommes pas ses congénères comme vous avez dit. » Cette réflexion est suivie d’un éclat de rire de nous trois. - « J’entends bien mais vous êtes toutes les deux élégantes et jolies et il a dû flasher sur vous un peu comme moi en vous voyant. » Nouveaux rires. Je me lance et prends la parole. - « Vous aussi vous êtes jolie vous parlez de « flasher sur nous » mais quand nous vous apercevons en petite tenue sur votre Balcon, nous aussi nous « flashons » sur vous. »- « J’aime bien être à l’aise à la maison et me libérer de toute contrainte vestimentaire. Mais dites-moi, vous ne seriez pas un peu voyeuses ? »- « Et vous, ne seriez-vous pas un peu exhibitionnistes ? » La dame ne répond pas à la question mais elle a visiblement envie d’engager une conversation.  - « J’habite depuis peu dans votre ville pour mon travail et je ne connais pratiquement pas mes voisins d’immeuble ou du quartier. Peut-être pourrions-nous faire plus ample connaissance. Si vous êtes libres, je vous invite à l’apéritif je pourrai même l’agrémenter de tapas. Moi c’est Amélie. »
C’est Aline qui répond. - « C’est bien aimable de votre part, moi je ne pourrai pas car j’ai un déjeuner en ville avec une copine Qu’en penses-tu maman. ? »- « C’est donc votre maman ? je pensais que c’était votre grande sœur. »- « Vous êtes gentille Amélie. Moi c’est Virginie et Aline ma fille. Je veux bien accepter votre invitation. »- « Si 12h vous convient, je vous attendrai à la porte 35 au troisième étage de l’immeuble en face du vôtre si j’ai bien compris. Vous composez le 35 sur le digicode et je vous ouvrirai la porte du hall. » - « Bien, à tout à l’heure Amélie. » Sur le chemin du retour, J’interroge Aline sur son déjeuner. - « Tu ne m’avais pas dit que tu sortais Aline. »- « Non, j’ai réfléchi, je vais appeler Yolande qui est souvent libre le dimanche, il vaut mieux que tu ailles seule chez la voisine. Tu me raconteras en détail votre rencontre. »- « OK, j’ai hâte de tenter l’expérience. Amélie m’a l’air très libre dans sa conversation. » 12h, je sonne s’annonce à l’interphone et me dirige vers le 3ème étage. Je suis accueillie par mon hôte qui se présente dans une tenue légère presque transparente. - « Excusez ma tenue Virginie mais comme je vous l’ai dit, j’aime être libre de mes vêtements chez moi et comme vous m’avez avouée que vous preniez plaisir à me regarder sur mon balcon, vous pouvez voir de plus près. Ça ne vous dérange pas ? »- « Non, bien au contraire, vous êtes très jolie et j’admire votre poitrine qui ne semble pas être soutenue. »- « Non, effectivement, j’aime la laisser libre et sentir danser mes seins quand je marche. Vous aimez les femmes ? »- « Je ne suis pas lesbienne mais j’ai eu une première expérience il y a peu de temps et je peux dire que j’ai bien aimé découvrir de nouvelles sensations. »« J’aime notre conversation sans retenue. Moi je suis lesbienne mais rassurez-vous, je ne vais pas vous agresser. » Toutes les deux nous partons dans éclat de rire. - « Me permettez-vous de vous embrasser ? » Sans attendre la réponse, la bouche d’Amélie se pose délicatement sur ma joue et glisse jusqu’à mes lèvres pour continuer dans un baiser fougueux où nos langues se lient, se délient pendant que nos mains caressent mutuellement nos corps. - « Venez sur le canapé, nous serons plus à l’aise. Vous aussi vous semblez avoir une jolie poitrine. Puis-je l’admirer ? »- « Vous pouvez même la caresser. Je sens mes tétons qui durcissent. »- « Eh bien dites-moi, nous sommes parti dans un petit jeu dangereux, je ne réponds pas de la suite. »- « Laissons-nous aller, j’ai envie de vous. »- « Moi aussi et en me disant cela, vous me faites mouiller. Caressez-moi plus bas. Donnez-moi votre chatte. » La jupe relevée, j’écarte les jambes d’Amélie, me couche sur elle chatte contre chatte dans un mouvement qui simule une pénétration. J’ai l’impression que je la baise. - « Virginie, mets-moi un doigt ou plusieurs dans le cul, j’adore. » A force de frotter frénétiquement nos corps l’un contre l’autre, chattes, seins le tout agrémenté de doigtage de cul, nous ne tardons pas à avoir simultanément un puissant orgasme accompagné de jets de cyprine. Me sentant couler, je suis aux anges. - « J’aime sentir tons jus sur mes poils, toi aussi tu as une abondante toison.  C’était bon Amélie, j’ai retrouvé le plaisir que j’avais eu dernièrement. Je rêvais de trouver une nouvelle partenaire depuis que j’ai découvert ce plaisir saphique, tu as été merveilleuse. »- « Je peux te retourner le compliment, j’aime faire l’amour bestialement. Si tues très libérée sur ce plan, nous pourrons nous revoir, je t’apprendrai un jeu passionnant en diversifiant tes partenaires. L’exercice m’a ouvert l’appétit, viens, nous allons déguster ces quelques tapas que j’avais préparés. »
Le frugal « repas » se passe à échanger quelques infos sur la vie professionnelle de chacune. J’apprends qu’Amélie est elle aussi prof de Français, au lycée Sainte Catherine, établissement privé religieux.
- « Mais tu es seule Amélie comment fais-tu avec ton chien, il ne peut pas rester enfermé toute la journée ? »- « Non, je l’amène garder au chenil quand j’ai cours. Je n’ai pas voulu m’en défaire en venant ici, c’est un agréable compagnon. »- « Tu n’as jamais songé à te marier. »- « Non, j’avais un ami prof comme moi mais il n’a pas accepté mon penchant lesbien qu’il a découvert lors d’une sortie en boîte. Ma mutation dans une autre ville, a occasionné notre rupture. Et toi, tu es seule ?- « Oui, je suis veuve, j’ai perdu mon mari il y a deux ans et je vis avec ma fille qui est étudiante à Ronsard dans la même Fac que moi. »- « Tu m’a parlé de mon chien « Dick », il est dans la pièce à coté et j’entends qu’il s’impatiente, c’est aussi l’heure de son repas. » A suivre ……..
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