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Virginie et sa fille Aline

Chapitre 3

Découverte de la Zoophilie

Inceste
A l’appel de sa maitresse qui lui ouvre la porte, Dick se précipite sur sa gamelle et prend lui aussi son repas. Après avoir bien nettoyé le récipient, il se dirige droit vers moi, se frotte contre mes jambes et entreprend de les lécher.
 - « Non Dick, sois sage, elle n’est pas pour toi, elle est notre invitée. » Ces quelques mots « elle n’est pas pour toi » m’intriguent un peu. Je repousse gentiment l’animal.
- « Comme je vous l’ai dit lors de votre promenade, Il est très affectueux avec les femmes. Il a dû sentir les effluves de nos ébats et voudrait gouter notre jus. Avec moi, il vient souvent fouiller sous mes jupes quand je me suis masturbée, je le laisse faire tellement le frottement de sa langue râpeuse est agréable et jouissif.  Je te dégoute ? »- « Non, je suis surprise et curieuse. J’ai quelquefois vu des scènes de zoophilie sur internet, les filles semblaient prendre un plaisir intense mais je pensais qu’il s’agissait de cinéma avec des professionnelles du porno sans réalité vrai. Tu ne vas pas me dire que tu fais l’amour avec ton chien ? »- « Si, j’ai découvert cela un peu après avoir adopté Dick. Un jour, il est venu se faire caresser dans mon lit, je venais de me branler, j’étais nue, il a passé sa langue sur ma fente comme pour boire mon jus, je l’ai laissé faire, il a insisté sur mon clito, c’était si bon que je l’ai encouragé et depuis il s’occupe fréquemment de moi. Tu veux que je te montre ? »- « Oui, je veux bien voir en vrai ce j’ai vu sur internet. »
Assise sur sa chaise les jambes écartées, Amélie tapote sur sa chatte en appelant Dick. J’ai hâte de voir le spectacle. - « Viens mon chien, viens faire plaisir à ta maitresse et monter à Virginie comme tu es mignon. »
Sans se faire prier Dick lèche abondamment les cuisses de sa patronne en remontant jusqu’à sa grotte. - « Oui, oui, mets ta langue dans mon con et fais-moi jouir. » Cette petite séance m’excite énormément. J’ai porté mes doigts sur ma touffe et entreprends un caresse profonde. Lorsque Amélie part en jouissance, je ne peux me retenir et éclate à mon tour. - « Regarde Virginie comme il est excité, regarde sa queue qui est sorti de son fourreau, elle est énorme, il bande à fond. Tu veux le caresser ? »- « Je suis un peu réticente mais aussi partagée avec l’envie »- « Laisse-toi aller. Je t’avais parlé de nouveaux jeux, celui-là en fait partie. Branle-le. »

Avec une légère hésitation, devenue lesbienne je m’achemine vers la zoophilie. J’empoigne la bite de Dick et la branle comme j’en ai un souvenir d’avec mon défunt mari. L’excitation grandissante, j’approche ma bouche et me mets à sucer goulument le membre viril. Je n’ai plus de retenue. « Attention Virginie ! il va éjaculer sur toi. » L’alerte est à peine lancée que l’animal se répand dans ma bouche et sur ma figure. Ce liquide chaud et abondant me fait une sensation que je ne connaissais pas. - « Attends Virginie, je veux participer à la réception de son sperme, j’ai l’habitude et j’adore. »
Cette expérience terminée, nouvellement lesbienne zoophile, j’éponge le reste de semence en regardant fixement Amélie. - « J’ai honte, je suis une dépravée, tu m’as rendue folle. C’est ma fille qui m’a poussée dans tes bras et je n’oserai jamais lui avouer ma conduite. »- « Comment, c’est ta fille qui t’a « poussée dans mes bras » je ne comprends pas. »- « Ma première expérience de lesbienne s’est passée hier à la maison. En visionnant mon système de vidéosurveillance, je suis tombée sur la chambre d’Aline et quelle surprise ! elle se masturbait avec frénésie en réclamant les seins d’une hypothétique participante. Nous en avons parlé ensemble et revoyant les images, nous avons fait l’amour. Elle m’a avouée que les seins qu’elle réclamait étaient les miens car depuis longtemps elle fantasmait sur mon corps. «  - « Tu as baisé avec ta fille ? »« Oui, c’était merveilleux car la première fois avec une femme mais plus tard, j’ai regretté sachant que ma conduite était incestueuse. Je lui ai demandé de ne plus recommencer et c’est elle qui m’a dit « Si tu as aimé te gouiner, trouves toi une copine ou une femme comme la voisine que nous apercevons quelques fois presque nue sur son balcon, elle a l’air drôlement bien foutue » Maintenant, Amélie, tu connais la suite. »- « Eh bien ma petite salope, maintenant tu as la totale ou presque. »- « Mais toi Amélie, tu te laisses bouffer la chatte par Dick mais tu ne vas pas plus loin comme j’ai vu dans les vidéos ? »- « Tu sais, quand on a commencé, c’est tellement bon qu’on ne refuse rien. Oui, je me fais prendre devant, derrière, de vraies parties de baises endiablées. Si tu veux, je te montrerai mais pour aujourd’hui, contentons-nous de ce petit intermède. Tu reviendras. Tu as tort de ne pas vouloir en parler à Aline, je suis certaine qu’elle comprendrait. »- « Non, ce n’est pas possible, j’aurais trop honte, c’est contre nature faire l’amour avec un animal. »« Mais tu l’as presque fait. Enfin, c’est toi qui vois, je te comprends. Nous allons nous quitter, je vais promener Dick, il fait très beau. »
En nous séparant, nous nous embrassons tendrement en même temps que nos mains se promènent sur nos corps. **Sur le chemin du retour, je suis toute sonnée de ce que je viens vient de vivre, je me demande si j’oserai aller plus loin avec Amélie. En entrant dans l’appartement je trouve Aline devant la télé. - « Tu es déjà rentrée ma fille ? »- « Oui, Yolande n’était pas libre, je me suis fait un repas rapide ici en t’attendant. Alors ! Comment ça s’est passé avec la voisine ? »- « Tu as vu qu’elle paraissait assez libre lors de notre rencontre dans le parc, je peux te dire qu’elle est plutôt entreprenante, ce qui n’était pas pour me déplaire. Nous avons passé un excellent moment, assez torride. J’ai retrouvé les sensations que tu m’avais faites découvrir. Pour te résumer, c’est une vrai chienne avec un corps splendide. »- « Tu me donnes envie de la rencontrer. Avec toi si tu es d’accord ? »- « Tu es terrible, je t’ai dit que nous devons nous limiter à quelques caresses toutes les deux. »- « Bon, c’est dit mais je suis certaine que je te ferai craquer petite maman. » La fin de journée se passe calmement et à l’heure du coucher, chacune rejoint tranquillement sa chambre.J’ai une nuit très agitée peuplée de rêves remplis de chiens. Soudain, j’ai dû me mettre à crier dans mon sommeil ce qui a réveillé Aline. Inquiète, elle frappe à ma porte. — « Maman, je t’ai entendue crier, ça ne va pas ? »— « Si, ma chérie, c’est que j’ai fait un rêve bizarre qui a dû me faire crier. »— « C’était quoi ce rêve ? plutôt un cauchemar non ? »— « Un gros chien noir était entré dans ma chambre, il a sauté sur mon lit et comme j’étais nue il est venu mettre sa gueule sur ma chatte. Il avait une énorme bite sortie de son fourreau. J’ai voulu la toucher et c’est quand il a envoyé un puissant jet de sperme que j’ai pris peur et me suis réveillée. »— « Eh bien dit donc ce n’est pas banal comme rêve. Rêve ou cauchemar ? »— « Au début, j’ai aimé sa langue râpeuse sur mon clito mais après j’ai eu peur. »— « C’est peut-être la rencontre du chien d’Amélie lors de notre promenade d’hier quand il fouillait sous nos jupes qui t’a fait naître cette vision. Souviens-toi, elle nous disait : « Excusez le mesdames, il n’est pas méchant, il est très câlin surtout actuellement avec ses congénères femelles. » L’as-tu revu chez elle ? »- « Oui, elle l’a fait venir pour lui donner son repas et comme il était très câlin, elle m’a montré ce qu’elle faisait avec lui. »- « Ce qu’elle faisait avec lui ! C’est-à-dire. »- « Elle l’a caressé sous son ventre et elle l’a branlé jusqu’à ce qu’il éjacule une quantité impressionnante de foutre. »- « Qu’est-ce que ça t’a fait de voir ce spectacle ? »- « J’ai été surprise mais plutôt curieuse et excitée. Ce n’est pas normal. Qu’en penses-tu ? »- « Ma petite mama, tu te bloques sur des principes qualifiés de « moraux » comme l’inceste mais le plaisir fait partie de la nature et c’est bien qu’il soit partagé sans contrainte. La zoophilie fait partie de ces plaisirs chez certains alors qu’elle est réprouvée chez d’autres. »- « Mais toi, tu te vois faire l’amour avec un chien ? jusqu’à te faire baiser ? »- « ça ne m’est jamais venu à l’idée même en voyant quelques scènes sur internet qui pouvaient m’émoustiller. Mais Amélie ne va pas jusque-là, elle se contente de le branler ? »- « Non, elle m’a avoué qu’elle se faisait prendre devant, derrière. Elle m’a même poussée à le masturber. »- « ça t’a excitée ? »- « Oui, je l’ai sucé et comme dans mon rêve, j’ai pris son sperme à pleine bouche. Tu Trouves ça dégueulasse ? »
Pendant ma confession, Aline m’a subrepticement caressé les cuisses jusqu’à atteindre ma toison très mouillée. - « Non, je ne trouve pas ça dégueulasse d’autant que je pense que tu n’as qu’une envie, c’est d’aller plus loin. D’ailleurs en parlant, tu as dû sentir que tu mouillais, ta chatte est trempe. Tu veux que je te caresse ? »- « Oui tant pis pour cette foutue morale, suce-moi, bouffe-moi, mets ta langue dans mon con, embrasse mes seins, fais-moi jouir en te branlant devant moi comme tu le faisais sur la vidéo de surveillance. Lance-moi ton jus sur la figure. »
 Aline se sent enfin autorisée à réaliser à nouveau son fantasme : me baiser, baiser sa mère. S’engage alors un nouvelle partie de plaisir débridée. Après un orgasme simultané nous nous accordons un petit répit chaque main posée sur la chatte de l’autre. - « Est-ce qu’Amélie sait que tu baises avec ta fille ? »- « Oui je le lui ai avoué en lui expliquant que c’était toi qui m’avais poussée dans ses bras. Au point où j’en suis, je devrais dire : dans ses cuisses. »- « Crois-tu qu’elle accepterait une partie à trois voire à quatre ? »« Elle est tellement salope que je pense oui mais toi, tu franchirais le pas si Dick, c’est le nom de son chien, est présent ? »- « Oui et si tu veux, c’est moi qui prendrai rendez-vous. As-tu son téléphone ? »- « Non mais tu peux aller directement chez elle, elle nous avait donné le numéro de sa porte : 35. Attention, tu n’es pas censée savoir que je t’ai dit lui avoir confié nos activités incestueuses. »
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