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Virginie et Maxime, étudiant en art

Chapitre unique

Hétéro
VIRGINIE ET MAXIME, ÉTUDIANT EN ART   Virginie est une femme que l’on pourrait qualifier de bcbg dans son apparence. Elle a une classe indéniable et la prestance d’une femme d’une cinquantaine d’années qui a encore beaucoup de charme et pas mal d’arguments physiques à mettre en avant. Très sportive son corps est parfaitement entretenu. Ses seins assez volumineux naturels associés à de longues jambes complètent un tableau déjà flatteur. Son doux visage accroche immédiatement le regard des hommes et parfois des femmes.  Aujourd’hui comme à son habitude elle se promène dans la galerie commerciale après son travail. C’est mercredi et elle finit un peu plus tôt. Elle a une bonne heure et demie de libre avant de retrouver son mari à la maison. Elle marche d’un pas assuré. Le galbe de ses jambes est souligné par des bottes cavalières en cuir qui remontent jusqu’en dessous des genoux. Des bas en ressortent et vont se perdre sous une jupe assez courte. Le tailleur blanc, la veste de marque et les cheveux ramenés en arrière lui donnent un côté sexy indéniable. Celle-ci a l’habitude de se faire aborder régulièrement par des jeunes étudiants. La proximité d’une faculté universitaire favorise ce type de rencontre. Cela la flatte bien entendu. Et c’est encore le cas aujourd’hui. Elle décline à chaque fois. Son fils et et sa fille sont eux-mêmes étudiants à université alors de là à imaginer une aventure avec des gamins de vingt ans.  Ce jour-là, c’est à nouveau un jeune homme qui l’accoste. Sa grande taille et peut-être aussi une lueur dans le regard lui rappelle son mari plus jeune. Il a une vingtaine d’années sans plus et s’appelle Maxime. Sans aucune timidité apparente, il se présente à elle. Il est étudiant en art plastique option dessin d’art. Il la trouve ravissante. Il veut l’inviter à prendre un verre. Juste un verre rien de plus. La ressemblance avec son mari et le fait qu’elle a du temps à perdre emporte sa décision. C’est d’accord. Maxime l’amène donc dans un café situé dans la galerie. Il la remercie d’avoir répondu favorablement à sa requête.   Ils discutent un peu et il lui montre quelques exemples de dessins qu’il a avec lui. Elle voit des représentations de corps de femmes nues. Cela ne la choque pas car elle-même a déjà posé pour son mari photographe amateur. Virginie le félicite. C’est vraiment très réussi. Maxime saute sur l’occasion. Peut-être sera-t-elle intéressée pour poser ? Cela prendrait pas plus d’une heure. Il habite juste à côté. Elle se laisse convaincre.   Moins de 5 minutes de marche les séparent du petit deux-pièces où loge Maxime. Dans la pièce principale est dressé un chevalet avec une feuille de dessin accrochée dessus. Maxime l’invite à se dévêtir dans sa chambre ce qu’elle fait sans trop se poser de question. Elle l’a fait maintes fois devant son mari photographe et d’autres photographes pour qui elle pose de temps à autres. A sa demande elle conserve ses bas et ses bottes en cuir. La voilà maintenant debout face à Maxime qui s’installe derrière son chevalet. Suivant ses consignes elle met les mains derrière la nuque et se déhanche un peu pendant que Maxime débute son œuvre. Pendant quelques secondes, le trouble envahit Virginie à l’idée de se retrouver ainsi devant un jeune homme qui pourrait être son fils. Mais celui-ci est très prévenant. Il la regarde tel un artiste regarde son modèle. Rien de pervers. Cela la rassure un peu.  Le temps passe rapidement. Maxime termine son dessin. Il détache la feuille du chevalet et se rapproche d’elle pour lui montrer. Le résultat est à la hauteur des attentes. Le dessin est d’un réalisme impressionnant tout en soulignant la personnalité intérieure de Virginie, une femme gracieuse et dynamique. Le dessin est pour elle. Il lui donne. Celle-ci le remercie et insiste pour le payer a minima. Il refuse. Elle insiste à nouveau. Elle trouve normal de le remercier pour son travail d’une façon ou d’une autre. Maxime est à moins d’un mètre d’elle. Elle lui fit signe de se rapprocher ce qu’il fait. Sans trop réfléchir elle sait ce qu’il lui reste à faire.  Elle le prend d’une main par son ceinturon pour l’attirer à elle. Elle se met à genoux et commence à lui faire des petits bisous tout autour de cette protubérance qu’elle avait vu se former au fur et à mesure de la séance de pose. Elle peut sentir ce membre comprimé dans le jean serré. Avec beaucoup de tact, elle descend la fermeture éclair. Le boxer est littéralement déformé par ce membre en érection qui semble vouloir se frayer un chemin vers l’extérieur.   Il ne faut que quelques secondes à Virginie pour le constater de ses propres yeux : le sexe de ce jeune homme est bien plus imposant que tous ceux qu’elle a pu voir. Pantalon et boxer baissés la tentation est trop grande. Elle commence à le masturber tout en admirant cet engin fièrement dressé. Elle procède avec délicatesse car elle ne veut surtout pas que Maxime qui semble soudainement surexcité lâche prise trop vite. Cependant il la laisse faire et la regarde jouer de ses mains avec attention. Quel spectacle de voir cette femme si élégante en action sur lui !   Il est temps de passer aux choses sérieuses. Elle commence par placer son visage sous le sexe de Maxime puis remonte tout du long en le léchant avec sa langue. Elle renouvelle l’opération à plusieurs reprises. Elle prend ensuite un peu de recul et empoigne le sexe à la base. Elle le masturbe à nouveau tout en regardant alternativement le gland et le visage de Maxime qui a fermé les yeux. Celui-ci est manifestement envahi par le plaisir. Sans plus attendre, elle ouvre la bouche et enveloppe le sexe de ses lèvres. S’en suit une progression minutieuse. Elle n’est pas sûre d’y arriver, car jamais elle n’a eu à faire à un membre aussi imposant. Il lui faut plusieurs minutes pour atteindre le bas-ventre. Elle est très concentrée. Elle reste quelques secondes en apnée avant de se retirer et de recommencer. Elle le suce avec avec avidité. Elle prend le temps également de jouer avec les autres parties de son sexe.  Il émane de la bouche de Maxime des petits râles ponctués de « Oh oui ! », « C’est génial ! », « Tu es divine ! ». De la bouche de Virginie, ce sont plus des petits gargouillements liés au déplacement de cet imposant engin dans sa gorge.  Virginie se surpasse. Elle prodigue une fellation de haut vol. Elle constate avec fierté qu’elle est toujours aussi douée. Cependant quand elle remarque son portable resté en mode silencieux s’activer, elle se doute qu’il commence à être tard. Cela doit être son mari. Il faut désormais fermer cette délicieuse parenthèse. Elle passe donc à l’étape ultime.   Elle accompagne ses va-et-vient de coups de langue plus puissants. Elle sent rapidement la différence. Le sexe de Maxime est pris de soubresauts de plus en plus incontrôlables. Celui-ci place ses deux mains sur la tête de Virginie. Elle sent ses doigts se crisper sur elle. D’un seul coup, elle se retire. Maxime est un peu surpris. Son sexe est dressé devant elle. Légèrement tremblotant il défie les lois de l’apesanteur.  Il est temps de porter le coup de grâce. Elle le reprend en bouche, juste le gland, et le suce à un rythme très rapide tout en donnant des coups de langues appuyés.   Au bout de quelques secondes elle devine l’arrivée massive du jet de semence qui cherche à se libérer. Elle a à peine le temps de s’y préparer. Maxime hurle. Plusieurs saccades viennent se déposer au fond de sa gorge. Elle avale du mieux qu’elle peut la substance de Maxime. Elle ne peut empêcher un filet blanc sortir de sa bouche et venir s’accrocher sur le bas de son visage. Virginie le conserve en bouche jusqu’à la dernière goutte. Elle entreprend alors de lécher à nouveau ce sexe encore raide pour avaler consciencieusement les quelques gouttes qui arrivent encore.  Le reste va très vite. Elle doit partir. Elle se rhabille. Échanges de numéros de téléphone. Elle se retrouve dans la galerie. Elle reçoit un SMS « Merci pour ces instants. A bientôt ?». Elle répond « Merci à toi et pour le dessin. Je t’embrasse. J’ai aimé te sucer. On se revoit la semaine prochaine. ». Elle se retrouve une demi-heure plus tard chez elle. Très excitée, son mari étant en déplacement, elle se caresse jusqu’à l’orgasme en se remémorant ces instants passés avec son étudiant.
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