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La virginité de mon futur neveu par alliance

Chapitre unique

Hétéro
Cela fait des heures, pour ne pas dire la journée, que je voyage en voiture avec mon époux. Nous traversons toute la France pour nous rendre au mariage de mon plus jeune beau-frère. Il était le petit dernier et surtout le célibataire endurci. Alors ce mariage est une fête pour tout le monde.
La future épouse vient d’une famille nombreuse. Elle est la deuxième enfant d’une fratrie de six. Il n’y a que des filles. C’est assez drôle de voir que la génétique n’a donné que des filles à cette famille et que des garçons à celle de mon mari. Je ne l’ai pas rencontrée souvent. Elle est une femme délicate. Physiquement, nous ne nous ressemblons pas. Elle porte ses cheveux longs jusqu’au bas des reins. Elle n’a pas une once de graisse. Ses seins et ses fesses sont plats. Quand elle porte un pantalon, il est possible de voir un espace entre ses jambes. Pour moi, elle est certainement anorexique. Mais bon, tout cela ne me concerne pas. Je ne suis pas celle qui me marie.
Nous arrivons à l’hôtel. C’est la famille de la mariée qui se charge de l’organisation des logements. Il semble que tous les hommes de la famille attendent les invités sur le perron. J’y vois le père de la mariée, ses beaux-frères, le père de mon époux et quelques jeunes hommes que je n’arrive pas à situer.
J’ouvre la portière pour me retrouver face à une main tendue. C’est un beau jeune homme brun aux yeux noirs qui est là. Il se présente comme Romain. Il est en charge de l’attribution des chambres. Il nous montre le chemin, portant ma valise. Il nous explique le programme. Il nous informe que sa chambre est la première au bout du couloir et qu’il sera à la réception pendant encore une heure, s’il y a besoin de lui.
La chambre est bien plus spacieuse et qualitative que ce à quoi je m’attendais. Il y a un grand lit double, mais aussi un coin salon avec des fauteuils et une table basse. La salle de bain est formidable. Il y a une grande douche, une baignoire, des doubles vasques et un grand miroir. Le seul inconvénient est l’absence de porte. Pendant que je fais le tour du propriétaire, j’entends le téléphone de Samir sonner.
Mon époux est chef d’une petite entreprise. Il passe plus de temps au magasin et à la production qu’à la maison. Je me retrouve souvent seule. Le ton monte. Il doit y avoir un problème. A chaque fois que nous prenons des vacances ou une journée de repos, c’est le même cinéma. Il semblerait que les deux employés soient indisponibles, l’un pour blessure, l’autre pour maladie. Je vais donc participer seule au mariage. Lui va faire toute la route inverse pour être présent le plus rapidement possible sur place. J’ai donc la chambre pour moi toute seule.
Pour passer le temps, je décide de descendre au salon. Vu que toutes les chambres ont certainement été réservées pour le mariage, il ne doit y avoir que les invités ici. Je passe donc le temps à discuter avec les femmes des deux familles. Il y a quelques vieillards qui dorment sur leur fauteuil. J’annonce à tous l’absence de mon mari. Pas de cris, juste une grande déception pour ses parents et ses frères.
Toutes les dames montent se préparer pour la cérémonie. Je fais comme tout le monde, je me change. Je mets ma plus belle robe. Un peu de maquillage, mais pas trop. Je ne suis pas la mariée, ni une jeune fille, mais une femme mariée. Mes sandales à petit talon et je suis prête. Je retourne avec les dames à l’entrée de l’hôtel.
Le jeune Romain est là. Il est bien habillé, mais ce n’est clairement pas la tenue pour le mariage. Il a prêté sa chambre à un de ses cousins et il se retrouve sans pouvoir se préparer. Toutes les salles de bain sont utilisées à cet instant. Les dames ont pris plus de temps que les messieurs à se pomponner, donc un embouteillage s’est formé. Il semble bien embarrassé. Je lui propose d’utiliser ma chambre. De toute façon, je vais rester en bas.
Dès le moment où cette proposition a quitté mes lèvres, je n’ai pu m’empêcher de penser à tout ce qu’il peut faire dans la salle de bain. Je suis curieuse. J’imagine son corps tonique sous la douche. Les gouttes d’eau qui coulent sur son torse jusqu’à venir se répandre sur une érection. Dix minutes se sont écoulées. Je décide de faire croire à tout le monde que j’ai oublié quelque chose dans ma chambre. Nous ne serons pas à l’heure pour la cérémonie et cela avait été prévu depuis le début. Il y a un décalage d’une heure entre, ce qui a été annoncé et la réalité. Il semblerait que cela soit normal selon les coutumes de la famille de la mariée.
J’entre doucement. Il ne m’a pas entendue. Il astique son manche comme un fou. Je ne peux détacher mes yeux de son corps. Il a la beauté de la jeunesse. Il gémit. Quand il lève la tête, il me voit. Il se cache avec une serviette. Je m’excuse comme affolée de l’avoir surpris et sors de la chambre.
J’aperçois Romain lors de la cérémonie. Il a une belle prestance dans son costume. L’image de son corps nu se superpose à celle que j’ai devant les yeux. Ce n’est pas la première fois que j’ai envie d’un homme et de tromper mon mari. Mais c’est la première fois que j’y pense aussi sérieusement. Cet étalon est de la famille. Quoi qu’il arrive, il ne parlera pas de peur de détruire un mariage. Je passe donc ma soirée à lui jeter des regards. Il me regarde aussi quand il pense que je ne le vois pas.
Il est l’heure pour la famille éloignée de partir. Je retourne donc dans ma chambre d’hôtel. Je ferme les rideaux, pas besoin de m’exposer à tous les regards. Je me mets à l’aise. J’enlève ma robe, mes chaussures, défais cette fichue coiffure. Lorsque je reviens dans la pièce principale, Romain est là.

Il lève les yeux à mon approche. Je les vois s’écarquiller alors qu’il remarque que je ne porte qu’une fine lingerie. Il baisse de nouveau les yeux. Je vérifie visuellement que la porte est fermée. La situation est étrange, mais elle me réchauffe de l’intérieur. J’ai envie de réaliser les idées qui me trottent en tête depuis tout à l’heure.
— Que fais-tu ici, Romain ? l’interrogé-je, tout en lui tournant le dos pour défaire mon soutien-gorge.— Je suis venu m’excuser pour la scène de tout à l’heure, murmure-t-il avec un quelque chose dans la voix qui me fait savoir qu’il n’est pas indifférent à ce qu’il voit.— Une érection, ça arrive à tous les hommes. Tu n’aurais pas dû entrer dans ma chambre ainsi, expliqué-je.
Il louche sur ma généreuse poitrine. Celle-ci tombe sous l’effet de la gravité. Mes seins sont bien fermes. Ils pointent vers le haut, mais ils sont aussi bien lourds.
— Qu’est-ce que tu regardes ? lui demandé-je. — Rien ! Rien, ma tante, tente-t-il.
Le fait qu’il m’appelle “ma tante” remue mon intérieur. Il est le neveu de la mariée, le fils d’une de ses sœurs. Nous n’avons officiellement pas réellement de lien.
— Tu regardais mes seins, affirmé-je. Je sais qu’ils sont gros.
Il garde le silence. Il semble mal à l’aise. J’en profite.
— Tu as aussi une grosse bite.
Sa tête se relève. Je l’ai choqué. Mes seins ne sont qu’à quelques dizaines de centimètres de son visage. Je pourrais l’étouffer avec. Je décide de m’asseoir à ses côtés pour poser toutes les questions indiscrètes qui me viennent à l’esprit.
— Combien de jeunes minettes ont pu profiter de ce membre ? lui demandé-je sur un ton sensuel.— Je suis célibataire, m’avoue-t-il.
Ce n’est pas la réponse que j’attends. Je pose une main sur sa cuisse. Il réagit immédiatement. La bosse à son entrejambe tressaute.
— Je suis vierge, reprend-il.— Vierge ? À dix-huit ans ?— À vingt ans, me révèle-t-il.
J’ai du mal à y croire. Aujourd’hui, les jeunes expérimentent le sexe entre eux souvent avant leur majorité.
— J’ai mal aux jambes, voudrais-tu bien me les masser, s’il te plaît ?
Il est totalement décontenancé par ce changement brutal de sujet. Le pauvre devait déjà s’imaginer que je lui sauterais dessus comme une affamée. Je suis peut-être en manque de sexe, mais j’ai encore des manières.
Je me lève. Ma culotte, dernier bout de tissu sur ma personne, glisse le long de mes jambes. Je la laisse sur le sol. Elle est humide de mon excitation. Je vais m’allonger sur le lit.
Romain se lève pour ramasser ma culotte. Il la porte à son nez. Il gémit rien qu’à l’odeur. Il s’approche et commence un doux massage. Il commence par mes mollets. Son toucher est doux et hésitant avant d’être plus volontaire. Il monte sur le lit pour avoir un meilleur accès. Sa bite est bien dure dans sa gangue de tissu.
Je garde la tête dans mes bras pour lui laisser toute liberté.
Ses doigts s’approchent dangereusement de mes trous. Il ne s’y aventure pas. Il préfère prendre mes fesses à pleines mains. Mes globes sont trop gros pour tenir dans ses mains. Il passe et repasse ses doigts. Je m’attends presque à ce qu’il me donne une fessée. Il m’écarte pour avoir accès à ma raie. Son visage est proche. Je sens son souffle sur mon trou plissé.
Je crie. Il vient de me mordre la fesse gauche.
Je noue mes jambes autour de son cou. D’une main, je le dirige vers ma raie. Il comprend le message. Il me lèche le sillon, mais il n’approche pas de mon conduit interdit. Il soulève mes globes pour faire ce qu’il souhaite.
Il se redresse. Je le laisse faire. Je l’observe s’éloigner pour se débarrasser de ses vêtements. Je le retrouve comme dans mon souvenir. Sa bite se dresse fièrement entre ses cuisses. Il a un physique sec.
Il revient à mon plus grand plaisir. C’est lui qui prend les commandes. Il me plie les jambes dans une position de grenouille. Son membre vient entre mes pieds. En bougeant les orteils, je peux l’agacer. Il me mange l’œillet. Il me lèche d’une façon délicieuse. Je soulève mon bassin pour lui faciliter l’accès. Il descend vers mes lèvres intimes. Sa langue passe sur l’entrée de mon conduit. Je gémis. Il ne fait que passer. Il n’ose pas faire entrer son appendice.
Je me dégage pour être sur le dos. Il se jette sur ma chatte. Il sépare mes lèvres collées par mon humidité. Il prend une lèvre après l’autre en bouche. Il me suce. Il me lèche.
Il bouge tout en gardant sa bouche connectée à mon intimité. Son sexe se retrouve au-dessus de mon visage. J’attrape ses bourses d’une main avant de le mettre dans ma bouche. Je le titille du bout de ma langue. Je tourne autour de sa raideur. Lorsqu’il entre un doigt en moi, je serre fortement ses couilles. Mon souffle m’échappe pour se poser sur la longueur juste devant. J’enserre sa bite juste sous le gland. Je le gobe. Je mets toute mon ardeur à l’enfoncer au plus profond de ma gorge. J’augmente la vitesse. Il explose en bouche. Son sperme inonde ma cavité. Je n’en perds pas une goutte. En sortant, il me donne un coup avec sa bite sur ma joue.
Il recommence son exploration des joies du sexe oral et de la saveur d’une femme excitée. Je mouille abondamment. Sa langue récupère chaque goutte de mon nectar. Il farfouille à l’entrée de ma chatte. Il passe accidentellement sur mon clitoris. Je me cambre et gémis. Il le taquine avec ses dents. Son doigt s’active à l’intérieur de moi, alors qu’il me mange le bouton. Mes hanches se soulèvent pour qu’il me caresse encore plus de sa langue. Il explore chaque centimètre de mon intimité. Il sait utiliser sa bouche. C’est divin. Je pourrais croire qu’il a léché une femme toute sa vie.
Lui comme moi avons besoin de vider notre vessie. Alors dès qu’il est debout, je l’embrasse. Ma langue va à la rencontre de sa collègue. Nos saveurs se mélangent. Nous cherchons l’un comme l’autre à aller au plus profond et à cartographier tout ce qui nous est offert.
Cet aparté a légèrement fait redescendre la fougue qui nous animait. Je profite de ce temps calme, avant de me faire démonter. Nous reposons poitrine contre poitrine sur le lit. Mes mains parcourent son torse. Il embrasse et mordille mon cou. Je crois que je vais avoir des marques de sa première nuit à cet endroit.
Des doigts parcourent mon dos. Ce sont de délicieux frissons qui m’électrisent, presque des chatouilles. Ils atteignent mes fesses. Je le sens s’approcher de mon œillet. Son index ou son majeur, je ne saurais vraiment le dire, tourne autour de cette petite porte. Il avance pour s’appuyer dessus. Il ne s’attendait pas à une telle résistance de ce muscle, à voir la tête qu’il fait. Quand il entre, je me contracte. Ce n’est pas une sensation agréable, ce n’est pas assez lubrifié. Je bouge pour qu’il se retire.
Je décide de le chevaucher. Je pose ma poitrine opulente et pleine de sueur contre la sienne. Par de petits mouvements de hanches, je viens agacer sa semi-érection pour qu’elle reprenne de la vigueur. Il avance son bassin pour tenter de prendre le contrôle et me pénétrer. Je suis aux commandes et je n’ai pas envie de les lui donner, peut-être les aura-t-il plus tard.
J’attrape la base de l’objet qui va me donner du plaisir. Je le guide jusqu’à l’entrée de ma fente. Il entre facilement. Je sens chaque centimètre de progression. Je soupire. J’ai l’impression que ma température monte de plus en plus. Il est au fond. Tout au fond. Je goûte au plaisir d’être complètement habitée par ce membre. Lui goûte au plaisir d’être au fond de la cavité d’une femme pour la première fois.
Lentement, je monte à l’aide de mes cuisses. Je me laisse descendre en posant une main sur son torse. Je chevauche l’étalon qui m’a fait fantasmer. Ma poitrine suit le mouvement. Elle claque à chaque tressautement. Romain est captivé par cela et le bruit qu’elle produit.
Il se redresse pour venir la prendre en bouche. Son mouvement me permet de l’avoir vraiment au plus profond de moi. Un petit coup de hanche et je crie mon plaisir. Il me mord. Je ne sais plus où donner de la tête. Cela fait tellement longtemps que je n’ai pas été comblée ainsi.
Mon dos se retrouve contre le matelas. Il me tient les jambes bien droites vers le plafond. Il passe et repasse son sexe dans mon sillon. Je le sens presser contre mon anus comme ma fente. Je ne sais pas quel trou il va choisir. Ce doute me fait fantasmer et gémir encore une fois. Ce son semble l’avoir fait lâcher prise. Il entre d’une seule poussée dans mon con. Il exécute des mouvements de va-et-vient de plus en plus rapide. Il me semble plus dur que jamais. Je l’encourage.
Ainsi encouragé, il grogne comme un bœuf en me labourant avec son gros outillage. Je le sens creuser de plus en plus profond. Je hurle de joie. Je suis comme une chienne qui a toujours besoin de plus. Je masse son pieu avec mes muscles internes. Plus vite. Plus fort. Plus loin. Nous grognons. Nous gémissons. Nous faisons des bruits obscènes avec la rencontre de nos deux corps en sueur.
Son dard est pris de frissons. Il m’annonce la fin de nos petits jeux. Romain continue de me pilonner sans s’arrêter. Il ne se fige que pour me remplir de son doux élixir, en gémissant dans mon épaule. Il reprend plus lentement ses mouvements, comme s’il ne voulait pas quitter cet endroit délicieux qu’il vient de découvrir.
Il finit par s’écrouler à mes côtés quand son membre devient trop mou pour continuer. J’ai du sperme qui recouvre tout mon bas-ventre. Il m’en a mis partout. Je le sens couler de mon intimité. Mes muscles se contractent par mouvements convulsifs. Je vais devoir me rendre à la salle de bain pour nettoyer un peu tout ça.
Pour l’instant, je me tourne vers ce garçon devenu homme. Ce vierge transformé en bon baiseur. Il n’a peut-être pas d’expérience, mais il a de bons instincts et de l’endurance. Dommage de devoir s’en séparer après ce mariage. Je passe ma main dans ses cheveux en le regardant. Il est beau. Il va faire craquer plus d’une femme.
Il se redresse légèrement pour venir faire coulisser sa chose à demi-molle entre mes cuisses. Je le laisse faire. Mes lèvres intimes sont rouges. La chaleur n’est toujours pas partie. S’il le peut, je suis prête pour remettre le couvert. Il s’agite un peu, mais il n’y aura rien de plus. Il retombe sur moi. Je continue de le caresser.
— Il va falloir se doucher. As-tu la force de te lever ? l’interrogé-je.
Il me grogne dessus et enfouit sa tête dans mon cou. Il ne semble pas vouloir bouger.
— Une femme a besoin de se laver et d’expulser le trop plein de sperme après l’acte pour éviter les cystites. Alors reste dormir, mais je vais t’abandonner quelques minutes, lui expliqué-je patiemment en le caressant avant de me dégager.
Je n’ai pas fait cinq pas, qu’il est sorti du lit pour me suivre. Nous entrons sous la douche. Je le savonne. Je m’occupe de lui comme s’il était un enfant plus qu’un amant, car c’est ce qu’il semble avoir besoin en ce moment. Mes mains parcourent tout son corps avec tendresse.
— Ma vie sexuelle me manquait. Merci d’avoir rendu ce moment possible, lui murmuré-je.
Il me regarde sans vraiment comprendre.
— Samir n’a pas vraiment le temps de s’occuper de moi. Il y a bien longtemps qu’il ne m’a pas touchée. Jusqu’à maintenant, je lui avais toujours été fidèle. Tu es arrivé et tu as tout changé, m’expliqué-je.— Tout pour toi, ma tante, me répond-il de façon taquine en me prenant dans ses bras.
Je le frappe sans véritable violence pour m’avoir appelée “tante”. Je n’aime pas penser que je viens de commettre un inceste. Il est pour moi, mon seul amant.
— Suis-je vraiment une vieille tante ? lui demandé-je.— Non, mais les cheveux gris arrivent et cela te rend plus belle à mes yeux, me séduit-il.
Il commence à me manger le cou. Il me mordille le lobe d’une de mes oreilles. Il pose des baisers sur mon menton et mes épaules. Je continue de lui caresser les cheveux. Son sexe a repris de la vigueur. C’est beau d’être jeune. Il le place entre mes cuisses et coulisse. C’est agréable de l’avoir qui se frotte.
— Je vais te faire l’amour encore une fois, m’annonce-t-il.
Ses mains parcourent mes fesses. Il soulève une de mes jambes pour venir poser mon pied sur son épaule. De peur de tomber vu que je n’ai jamais eu un bon équilibre, je lui enserre le cou de mes bras. Il pousse fort et entre complètement dans mon antre tout humide. Tout de suite, il s’active. Il me baise avec ardeur. Je ferme les yeux pour me régaler. Mes seins montent et descendent en fonction de ses mouvements. Il s’extrait rapidement. Ma jambe tombe. Il me maintient contre lui d’une main et de l’autre, il s’astique pour lâcher une petite giclée entre nous.
Je suis épuisée. Il est épuisé. Alors nous reprenons une douche avant de nous coucher dans ce lit si accueillant.
Je ne l’ai pas entendu partir. Lorsque je me lève, on m’apprend que Romain, comme toute la famille de la mariée, sont déjà partis dans la matinée. Je remonte dans ma chambre. En me mettant à la fenêtre, je peux observer la route menant à l’hôtel. Il va me manquer. Il y a peu de chance que je le revois. Je vais donc retourner à ma vie solitaire.
— Allez, Sylvie ! Un peu de courage ! m’encouragé-je à voix haute.
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