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Visio conférence érotique

Chapitre 1

Erotique
François venait juste de rentrer à l’hôtel quand sa femme l’appela en vidéo sur son ordinateur. Le visage de Léa apparut sur l’écran de son laptop encadré par sa longue chevelure rousse. Un sourire ravageur accompagna le baiser qu’elle adressait à son mari du bout du monde. François était en Asie pour affaire et avec le décalage horaire, il était parfois difficile de joindre son épouse en Europe. Ce soir, il avait terminé ses rendez-vous de bonne heure et avait pu appeler sa femme alors qu’elle était encore en train de se faire bronzer près de la piscine. François imaginait qu’à son habitude, Léa ne s’était pas embarrassée de maillot pour s’adonner à la caresse du soleil provençal. De fait, il espérait bien entrevoir quelques parties intimes de ce corps qu’il adorait tant faire vibrer, mais Léa semblait ne pas vouloir se prêter au jeu ce coup-ci, et elle gardait le cadrage de l’écran en gros plan sur son visage.
Tout en échangeant quelques banalités, François observait le visage de sa femme, ses lèvres pulpeuses tant embrassées, ses sourcils fins et arqués, ses yeux rieurs dont les pupilles étaient rétrécies quand elle était envahie par le désir.
Depuis le début de la conversation, elle n’arrêtait pas de replacer la tablette afin de recentrer son visage à tel point que François en eut le tournis et lui fit la remarque. L’image se stabilisa pendant quelques instants et François, prétextant un reflet de soleil sur l’image, essaya habillement de lui faire positionner la camera de façon à se qu’il puisse se rincer l’œil sur ses courbes. Léa éclata de rire et recadra l’angle afin qu’il puisse entrevoir la naissance de ses seins. La conversation prit immédiatement une tournure plus badine et échauffée par la vision, François déboutonna le col de sa chemise, l’atmosphère devenant soudain plus lourde. Léa, tout en parlant, imprimait à son corps un lent mouvement de va-et-vient amplifié par la lourdeur de ses seins. Bien qu’à demi cachés, François les imaginait ballotant, la pointe rose turgescente érigée par le soleil.
Il adorait lui lécher les pointes tout en malaxant les globes généreux, elle aimait cette caresse et ne se privait pas de lui procurer l’occasion de la lui prodiguer.
Très souvent, elle ne s’embarrassait point de soutien-gorge et portait des tee-shirts au décolleté très généreux ou très échancrés sur le côté. Elle ne comptait plus le nombre de fois où il l’avait littéralement empoignée dans un coin de la maison ou du jardin pour lui caresser avec fougue la poitrine à demi dénudée, puis il la laissait brusquement là ou il l’avait surprise, pantelante et sur sa faim pendant quelques heures. Le désir inassouvi lui devenant insupportable, elle développait alors des trésors de provocation toutes plus indécentes les unes que les autres jusqu’à ce qu’enfin, n’y tenant plus, il la ceinture et l’empale sur son sexe durci par l’excitation pour la chevaucher jusqu’à ce qu’il se répande en jets saccadés dans son ventre. Leurs jeux érotiques étaient nombreux et les années passant, ils étaient devenus vraiment très complices dans ce domaine.
Chacun avait su étonner et surprendre l’autre par la hardiesse de ses désirs et leurs joutes amoureuses ne s’en étaient que plus enrichies.
Léa oscillait toujours d’avant en arrière et François commençait à sentir un picotement au bout de la verge, elle commençait sérieusement à l’exciter avec ses airs de sainte-nitouche et son corps appelant au viol. N’y tenant plus, il retira son pantalon et, se reculant de la table afin d’élargir le champ de la caméra, fit constater à sa femme les effets qu’elle lui produisait. Léa pouffa et compatit avec son pauvre mari qui ne pourrait pas se rassasier du corps de sa tendre et chère épouse. Elle joua pendant quelques minutes avec lui à lui prodiguer des conseils pour refroidir ses ardeurs, peut-être qu’une douche froide saurait calmer cette érection et si cela ne suffisait pas alors il faudrait traiter le mal par le mal et elle lui prodiguerait des conseils pour se satisfaire en solitaire. Il buvait ses paroles et la conversation prenant une tournure très érotique, il opta pour la seconde solution en entourant son membre de ses longs doigts.
Tout en imprimant un lent mouvement de va-et-vient à sa verge tendue, il demanda à Léa de se caresser aussi à l’écran.
Elle fit la moue et lui déclara qu’elle se limitait aux plaisirs solitaires que quand cela était vraiment nécessaire et aujourd’hui, cela n’était nécessaire que pour lui ! François crut avoir mal compris et lui demanda de répéter ce qu’elle venait de dire. Pour toute réponse, elle recula la tablette et François put alors comprendre la raison des gesticulations de Léa ; un jeune homme torse nu et en maillot moulant, se tenant au bord de la piscine, écumait la surface avec une épuisette. A chaque mouvement de son corps bronzé, ses muscles saillaient et lui donnaient l’allure d’une statue grecque. François chancela et comprit immédiatement que ce jeune étalon n’avait pas été engagé par sa femme uniquement pour faire l’entretien de sa piscine, la bosse de son mini-slip de bain laissait présager d’autres usages beaucoup moins avouables. Je te présente Nicolas, homme à tout faire, il m’a été recommandé par Evelyne, et elle ne tarit pas d’éloges à son égard.
Il parait qu’il est très méticuleux et doué pour tout ce qu’il fait, alors comme le jardin et la piscine avaient besoin d’entretien, je l’ai pris à l’essai depuis hier, qu’en penses-tu ? François se mit à bafouiller, ne sachant quoi répondre, il connaissait bien Evelyne et celle-ci n’avait pas la réputation d’être une sainte.
Blonde aux yeux verts, grande aux formes sculpturales, elle se servait de ses amants comme bon lui semblait et ne s’embarrassait d’aucun préjugé avec eux. Nicolas avait certainement dû assouvir ses envies dévorantes tout en assurant l’entretien du jardin, un vrai homme à tout faire ! Ils avaient bien parlé d’embaucher quelqu’un pour l’entretien de la maison, mais rien n’avait vraiment été défini, et le fait que ce soit un apollon n’avait jamais été abordé bien que François parfois dans ses délires sexuels imaginait sa femme en train de s’ébattre avec un étranger pendant qu’il les matait, caché derrière une haie du jardin. Fréquemment le fantasme resurgissait pendant leurs joutes sexuelles et exacerbait leur désir. Avalant sa salive à plusieurs fois, il parvint enfin à répondre d’une manière cohérente ; tu ne trouves pas qu’il est un peu trop bien gaulé pour un jardinier ? Evelyne te l’a pas recommandé que pour le jardinage ou elle a aussi mentionné les mini-slips qu’il portait ?
Ce mec ressemble plus à un boy toy qu’à une manoeuvre, tu ne m’enlèveras pas de l’idée que tu as d’autres projets pour lui, n’est-ce pas ? Mais pas du tout, je n’y avais même pas pensé avant que tu y fasses allusion dit-elle avec sa moue de petite fille coquine.
Depuis hier, je l’observe dans ses tâches manuelles et je dois avouer qu’il s’applique ; il a passé des heures à nettoyer la piscine, et je peux en témoigner, car j’y suis resté un bon moment à m’y faire bronzer hier après-midi. Il faisait très chaud et il ruisselait de sueur, aussi lui ai-je offert un peu de citronnade qu’il a accepté avec plaisir. C’est vrai que j’ai remarqué que son maillot était bien rempli et lorsqu’il a vu mon regard se porter sur lui, il a tourné le bassin de façon à ce que je ne voie pas trop en détail la bosse qu’il avait au bas-ventre ; j’ai quand même remarqué que le tissu avait été marqué par le suintement de son sexe. Ca m’a ému et beaucoup excitée, il a dû s’en apercevoir, car le bout de mes seins s’est durci et il a eu du mal à en détacher son regard.

Il sentait bon le mâle et quand j’ai voulu ranger les bouteilles dans le placard, par inadvertance j’ai frôlé son ventre avec ma croupe, alors j’ai senti son manche durci rouler entre mes fesses et il s’en ai fallu de peu que je succombe à l’envie de m’y empaler d’un coup de reins.
J’en suis resté toute mouillée pendant l’après-midi entière, mais j’ai tenu bon, je ne me suis pas laissée aller, tu me connais, je peux être forte quand je veux. L’excitation de François allait croissante au fur et à mesure que Léa lui contait ses badinages, oui elle pouvait être forte, mais à condition qu’elle le veuille, hors là, rien n’est moins sûr qu’elle veuille encore faire abstinence jusqu’à ce qu’il rentre de voyage avec ce sucre d’orge à portée de la main, il en avait encore pour une semaine et ça risquait d’être très dur pour tous les deux, voire tous les trois ! L’excitation de son mari n’avait pas échappé à Léa, et elle pouvait apprécier sur son écran l’intense émoi dans lequel il était plongé.
Profitant de la situation, elle baissa le ton de sa voix pour lui dire qu’il faudrait peut être qu’elle envisage de faire quelque chose pour libérer son pauvre jardinier de cette bosse qui devait l’empêcher de faire son travail correctement, tu imagines travailler avec une gaule pareille, ça doit finir par lui faire mal, tu ne crois pas ? Et tout en lui demandant conseil sur la méthode à employer, elle surveillait du coin de l’œil l’érection de son mari qui semblait ne pas vouloir s’arrêter de grandir.
François astiquait sa colonne de chair dont le gland turgescent semblait prêt à exploser à tout moment. Le liquide séminal produit à profusion luisait sur la pointe de son sexe, et elle apercevait les battements de son cœur le long de sa colonne de chair. Elle décida de prolonger l’agonie de François en changeant de sujet pour lui parler de choses anodines qui devaient faire retomber un peu la pression. Léa maîtrisait parfaitement l’art de la provocation, elle savait amener François au bord de l’extase pour l’y maintenir pendant des heures, lui faire perdre la tête au point qu’il n’avait plus qu’une seule priorité, assouvir son plaisir. De temps à autre, elle jetait un œil sur le pool boy et passait sa langue sur ses lèvres en soupirant d’envie, ce sucre d’orge elle allait certainement y goûter d’une manière ou d’une autre, il était trop appétissant pour qu’elle n’en profite pas un peu.
François lut dans ses pensées quand il vit le regard lubrique avec lequel sa femme avait maté le jeune apollon.
Elle avait les pupilles rétrécies par le désir, le vert de ses yeux prenait des reflets jaunes, ce regard, tel celui d’un fauve observant sa proie, préludait toujours à des initiatives très inattendues et très érotiques. Elle posa la tablette de telle sorte que la vue englobe le bord de la piscine, puis chaussant ses mules, elle s’éloigna pour aller converser avec le garçon qui écrémait consienscieument la surface de l’eau. François put l’entendre demander au jeune homme si cela le dérangeait de lui passer de la crème à bronzer dans le dos. Ayant obtenu son accord enthousiaste, elle s’allongea sur l’un des transats du bord de la piscine bien en face de la tablette afin que son époux puisse bénéficier de toute la vue. Sur le ventre, elle défit avec malice les bretelles de son maillot et retira le haut qu’elle laissa tomber bien en vue de son mari tout en tournant la tête vers lui.
François, le souffle court, regardait, les yeux exorbités, sa femme en train visiblement de le provoquer ainsi que le jeune qui s’empressait d’enduire ses mains de crème solaire.
Il commença très sagement par le haut des épaules et descendit lentement le long du dos. Il hésita un peu lorsqu’il approcha du haut des reins puis glissa rapidement le long des cuisses et des molets. Elle avait gardé ses mules aux pieds ce qui cambrait ses molets et il prit un malin plaisir à s’attarder sur les muscles saillants, les pétrissant avec ses deux pouces. Léa appréciait ses longs doigts nerveux qui lui palpaient le corps, avec douceur, mais aussi avec fermeté, elle aimait ça, pour elle c’était un signe de virilité qui ne trompait pas. Les doigts remontaient à l’intérieur des cuisses et s’arrêtaient à la lisière du slip de bain. La chaleur au ventre, elle observait du coin de l’œil la forme qui déformait le short de son masseur improvisé. La tâche humide qui suitait à la pointe de la déformation du short ne faisait que s’élargir, signe d’une excitation intense.
Perverse jusqu’au bout, elle décida de voir jusqu’où il serait capable de résister avant de succomber à ses charmes.
D’une main, elle défit les lacets qui tenaient son slip en place et laissa celui-ci glisser entre ses fesses. Les yeux du jeune s’écarquillèrent, mais il se reprit très vite et d’un air professionnel, il continua son massage d’un air qui se voulait détaché. François suivait la progression des événements sur son écran et sentait la suite des événements comme inéluctable ; sa femme allait lui faire partager une expérience inoubliable et très érotique pour ne pas dire très pornographique. La gorge sèche, il suivait les mains du mâle qui s’égaraient sur le haut des cuisses de sa femme, il lui semblait bien que les doigts s’attardaient un peu de trop à la commissure des cuisses pour un crémage honnête. Léa, la tête toujours tournée vers l’écran, souriait d’un air très coquin, elle s’amusait bien à exciter les deux hommes en même temps.
De plus, le contact des doigts sur sa peau en haut des cuisses se faisait plus insistant et parfois même elle ressentait l’effleurement très léger des pouces avec les lèvres de son sexe.
L’apollon ne pouvait ne pas deviner l’effet qu’il lui faisait, elle sentait son sexe s’humidifier de plus en plus et il devait bien voir les lèvres suinter de désir. Elle lui demanda de mettre de la crème sur ses fesses également, car la peau était très sensible à cet endroit. Il ne se fit pas prier pour s’exécuter, et elle put ressentir ses doigts lui malaxer les globes charnus. Un doigt glissa entre les fesses et descendit jusqu’aux lèvres qu’il écarta et pénétra. Léa laissa échapper un gémissement lorsque le majeur fit plusieurs allers et retours dans son intimité. Puis le pouce le remplaça et les deux doigts prirent en tenaille le bourgeon turgescent du clitoris pour le masser doucement, en alternant les mouvements circulaires.
Le garçon savait s’y prendre avec les femmes, Lèa eut du mal à contrôler la situation à partir de ce moment, une boule de désir grossissait dans son ventre et il fallait qu’elle reprenne très vite la main sinon elle allait succomber au plaisir sans pouvoir pleinement satisfaire les fantasmes de voyeur de son mari.
Se relevant, elle s’assit sur le transat et invita le jeune homme à se mettre à l’aise ; il enleva le maillot qui lui entravait cette bosse. Et lorsqu’il baissa son short, son sexe jaillit comme un diable de sa boîte lorsque la ceinture du maillot descendit à mi-cuisse. Il était très en forme et le claquement mat du sexe sur son ventre démontrait qu’il bandait fort depuis un bon moment. Lèa attrapa avec délicatesse l’objet du désir et se mettant de profil, embrassa la pointe de la verge suintante, immédiatement, l’étalon se cambra. Elle l’avait chauffé à mort et ce contact buccal ne faisait rien pour apaiser ses sens. Cette femme superbe était en train de lui prodiguer une caresse intime qu’il affectionnait particulièrement. Debout devant elle, il admirait ses lèvres charnues rouges carminées coulissant le long de sa colonne de chair.
Lorsqu’elle atteignait le gland, elle retroussait ses lèvres et mordillait le bout avec ses dents, les doigts aux ongles vernis du même rouge entourant son membre allaient et venaient en rythme avec sa bouche.
François en eut pour ses frais, plusieurs bouffées de désir lui empourprèrent les joues lorsqu’il vit les doigts du garçon s’attarder sur le haut des cuisses de sa femme. Le geste saccadé du poignet ne lui laissa aucun doute quant au traitement qu’il lui faisait subir. La vision de profil de Lèa, glissant le short et empoignant la virilité du pool boy ne fit qu’augmenter la boule de désir qui lui entravait le ventre. Ses doigts accentuèrent le va-et-vient qu’il imprimait à son sexe, il sentait la sève monter le long de son membre et devait ralentir le mouvement pour ne pas s’épancher avant qu’elle ne prenne son plaisir, il voulait jouir en même temps qu’elle, mais cela sera difficile vu l’état d’excitation dans lequel il se trouvait. Assise face à son amant, elle aspirait goulûment ce vit dont les épanchements salés de plus en plus prodigues annonçaient la montée de semence qu’elle ressentait bouillonner en lui malaxant les bourses.
Voulant profiter de ce vit autrement que dans sa bouche, elle ralentit le rythme et écartant les cuisses, elle insérant un doigt dans son intimité pour entretenir le feu qui lui dévorait le bas-ventre.
S’agenouillant sur le sol de la piscine, le jeune étalon se glissa entre les cuisses écartées de Lèa, puis approchant le bout de sa verge, il se mit en devoir de frotter son gland entre les lèvres de son pubis. Le contact chaud et humide électrisa Lèa, elle adorait cette caresse ; le contact soyeux et humide de ce sexe avec son intimité lui faisait perdre très souvent la tête. A demie courbée, elle épiait cette dague nervurée dont la pointe gorgée de sang disparaît entre les ourlets de sa fente, la vision et les sensations étaient délicieusement insupportables. François devinait plus qu’il ne voyait ce qui se passait entre sa femme et son amant, l’une des ses jambes masquait la vue de leurs attouchements et il pestait de ne rien voir.
Lèa lui décrivit ce qu’elle voyait, la verge entre ses cuisses, le gland gluant de désir allant et venant dans la fente de son intimité, le contact soyeux du gland sur son clitoris, la verge gonflée de sang dont les veinules saillaient sous la peau tendue, les doigts crispés de son amant entourant la hampe fermement pour frotter le gland contre son bourgeon, les bourses gonflées de sève qui ballotaient au rythme des mouvements du poignet, les pointes de ses seins qui durcissaient au gré de son désir, sa vulve gonflée qui n’aspirait qu’à engloutir ce vit jusqu’à la garde.
Elle ne lui épargna aucun détail et ce faisant, elle ne fit qu’augmenter son excitation, n’y tenant plus soudainement, d’un coup de bassin elle engloutit la verge de son amant avec un râle de soulagement. Cette queue qui lui distendait la chatte venait enfin de la libérer de cette attente insupportable. Le répit ne fut que de courte durée, le jeunot commençait à osciller du bassin et le pilon de chair qu’elle avait dans son ventre commençait à coulisser dans son fourreau humide. A chaque coup de reins, le bruit mat de la rencontre du sexe avec son ventre lui arrachait un râle. François suivit la montée du désir dans la voix de sa femme et sut exactement le moment où elle allait s’empaler sur le sexe de son amant. Il faillit jouir au moment où il imagina le gland luisant de plaisir se frayer un chemin dans la toison rousse de son épouse, cette vision le hantait depuis longtemps.
De son écran, il vit Lèa s’allonger sur le dos, elle subissait les assauts du jeune mâle en se pétrissant les seins, et alors qu’il la besognait, il pouvait apercevoir la verge entrer et sortir de son ventre.
Le jeune s’appliquait à bien retirer son sexe jusqu’au bout du gland pour le réenfourner d’un coup de reins magistral jusqu’à la racine. Dans un état second, Lèa se rappela que son mari aimait voir son sexe aller et venir dans son ventre, et donc à plus forte raison celui d’un autre, vicieux comme il était, il ne voudrait pas louper cette vision d’enfer. Se dégageant de son amant, elle étala sa serviette à même le sol au plus près de la tablette et se mettant sur le côté invita son amant à prendre place derrière elle, puis levant une cuisse, elle agrippa son sexe et, s’assurant que son mari avait une vue parfaite de la scène, elle promena le gland écarlate le long de son sexe en faisant crisser sa toison.
Elle ne lui avait pas menti lorsqu’elle lui avait promis une vision d’enfer, prenant un air très salope, elle feulait sous les caresses du garçon qui lui malaxait les seins alors que chaussée de ses mules, une jambe relevée sur la cuisse de son amant, elle jouait avec la queue du mâle dans sa toison rousse.
Inquiète de savoir si son époux avait une vue parfaite sur leurs ébats, elle pivotait légèrement afin qu’il puisse mieux voir son entrecuisse. François écoutait les paroles crues que Lèa murmurait à son encontre, elle avait perdu tout sens de la retenue et laissait libre cours à son instinct animal qui lui plaisait tant. Il put assister en direct à l’estocade lorsqu’elle mit le sexe à l’aplomb de sa vulve et qu’elle se l’enfonça très lentement entre les lèvres. A chaque avancée de la colonne de chair de son amant dans le ventre de sa femme, François ressentait son plaisir décupler, le sang battait dans ses tempes, il lui semblait que ses yeux allaient sortir de leurs orbites et son sexe tellement gonflé de sang lui faisait mal. Pour se libérer, il hurla, et frénétiquement astiqua sa hampe.
Pendant un certain temps, seul le chuintement humide du sexe allant et venant dans le fourreau de Lèa se fit entendre, chacun à l’écoute du plaisir de l’autre. Ce fut François qui fut fauché par le plaisir en premier ; le sperme jaillit de son méat et recouvrit sa main de longues coulées blanchâtre.
Oscillant du bassin, Lèa prenait son temps pour amener son amant à la jouissance. Voulant que son mari profite pleinement du spectacle, elle s’appliquait à bien dégager la verge pour l’engloutir jusqu’à la garde la seconde suivante. Ces allers et retours dans la toison rousse étaient une vision insupportable pour François qui à peine épanché, recommençait à bander. Lèa sentant la verge de son amant raidir encore plus, accéléra le mouvement et ressentit rapidement les premières giclées de foutre dans son ventre. Son amant mit un certain temps à se vider complètement, et ce fut le moment que choisit le plaisir pour faucher Lèa qui hurla tout le temps où celui-ci s’épanchait. Ils restèrent collés l’un à l’autre un bon moment, le temps de récupérer, et François de nouveau en forme, se masturbait en regardant la chatte de sa femme, où la queue de son amant était encore plantée, suinter le sperme chaud qu’elle avait reçu au plus profond d’elle même quelques instants auparavant.
Emergant, elle adressa un sourire à son mari et tout en l’encourageant à se caresser lui dit qu’elle recommencerait bien dès qu’elle en aurait l’occasion.
Elle se retira de son amant et suivant le regard de son mari, elle glissa son majeur dans sa fente puis retirant son doigt gluant, elle le porta à la bouche et le suça d’un air gourmand, c’en fut de trop pour François qui jouit pour la seconde fois. Voyant ses doigts maculés de sperme, elle lui demanda de faire comme elle et de sucer ses doigts ; il s’exécuta sans hésitation à sa grande surprise, décidément il n’avait pas fini de l’étonner !
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