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visite chez le docteur

Chapitre 1

Hétéro
J’ouvre la porte donnant sur la salle d’attente du cabinet médical où je remplace ce jour-là :
— Mme Duchemin c’est à vous ! — Bonjour Docteur, me répond la patiente suivante en se levant pour rentrer dans mon bureau.
Une patiente d’une soixantaine d’années, brune cheveux mi-long, habillée sobrement, jean, haut noir très simple, foulard autour du cou, de petits escarpins noirs également, rien de particulièrement inhabituel. Comme à mon habitude, j’observe ma patiente de la tête au pied pendant qu’elle vient s’installer dans la chaise en face de mon bureau. On peut en apprendre beaucoup sur les gens, juste en observant leur façon de marcher, de s’habiller, de se présenter. En m’installant en face d’elle, je me fais la réflexion anodine que pour son âge, elle semble bien conservée, elle doit faire du sport et probablement une alimentation équilibrée, sa peau à peine ridée montre une absence de tabagisme (petite habitude professionnelle sans doute).
— Bonjour, je suis le Dr Dujardin, le remplaçant du Dr Duvillage, que puis-je faire pour vous, Mme Duchemin ? — Je m’attendais à mon médecin habituel, vous êtes beaucoup plus jeune que lui ! Mais après tout, un médecin est un médecin.
Effectivement du haut de mes trente ans, je remplace un médecin qui aurait déjà dû partir à la retraite que je remplace pour un problème de santé.
— Ne vous inquiétez pas, je suis médecin tout comme lui. — Je viens pour un problème un peu... gênant à vrai dire, mais bon, c’est tellement difficile d’avoir un rendez-vous avec un médecin ces temps-ci que je ne vais pas faire la difficile.— Ne vous inquiétez pas, je suis soumis au secret professionnel comme n’importe quel médecin, tout ce que vous me direz ne sortira pas d’ici. — Oui je sais, c’est surtout que discuter de ça avec un jeune homme qui pourrait être mon fils est un peu délicat.— Voyez-moi uniquement comme votre médecin, je sais rester professionnel, ne vous en faites pas, j’ai déjà eu affaire à beaucoup de demandes particulières et j’ai déjà examiné bon nombre de patientes, mais si vous préférez attendre votre médecin habituel, je comprendrais, il n’y a aucun problème.— Non, non ça va aller. Bon alors, mon problème, comme vous l’avez compris, est du côté gynécologique. Voyez-vous Docteur, depuis plusieurs mois, je ressens une douleur lors de mes rapports avec mon mari. Cela limite la durée des rapports et mon mari comme moi-même sommes frustrés. — Je vois, tout d’abord avez-vous des antécédents médicaux ou chirurgicaux particuliers ? Notamment gynécologique, mais aussi le reste.— Non Docteur, aucun, je ne prends pas de médicaments, je n’ai jamais été opérée, rien du tout, je fais du sport, je fais attention à ce que je mange, je n’ai aucun autre problème, j’ai été ménopausée à l’âge de 50 ans et depuis tout allait bien.— Très bien, auriez-vous eu des traumatismes récents au niveau gynécologique quelque temps avant que commencent ces douleurs ?— Heu... des traumatismes Docteur ? C’est-à-dire ?— J’entends par là tout évènement qui aurait pu causer des lésions internes, des plaies, des saignements ?
Après un léger temps d’attente où ma patiente semble bien réfléchir aux différents événements antérieurs.

— Non, vraiment rien de particulier docteur, uniquement le sexe de mon mari plusieurs fois par semaine, mais de moins en moins suite à ce problème...— D’accord, alors il faudrait que je vous examine pour vérifier qu’il n’y a aucun problème ni lésion si vous êtes d’accord.— Oui je suis d’accord pour que vous m’examiniez, après tout, je suis venue pour résoudre mon problème !— Bon très bien, venez vous installer sur la table d’examen s’il vous plaît, veuillez enlever votre pantalon et votre culotte et allongez-vous sur le dos.
Pendant qu’elle se déshabille, je récupère des gants, un spéculum et du gel lubrifiant pour faciliter l’examen. Lorsque je me retourne, je la vois enlever une culotte noire en velours très simple. Je me dis qu’elle s’habille bien, mais à ce moment-là, aucune idée « inappropriée « ne m’effleure l’esprit, je reste professionnel, je n’imagine absolument rien de particulier, je pense juste aux différents problèmes que je dois rechercher dans son cas afin de pouvoir l’aider.
— Écartez vos jambes s’il vous plaît.
J’enduis mon index et majeur gantés de lubrifiant et m’approche d’elle pour commencer mon examen.Tout d’abord l’examen extérieur, un petit ticket de métro sur son mont de Vénus, pas d’anomalie cutanée retrouvée, j’examine alors ses grandes lèvres puis j’écarte un peu pour examiner les petites lèvres, l’entrée de son vagin et son clitoris et examine jusqu’à son anus. Jusque-là, rien d’anormal.
Je commence très délicatement à insérer mes doigts préalablement lubrifiés dans son vagin en observant toute réaction qui pourrait trahir une douleur. La sécheresse initiale est vite remplacée par le lubrifiant et facilite mon examen sans douleur pour la patiente. Alors que je poursuis ma palpation interne avec la main droite, mon autre main vient sur son pubis pour dépister une masse déplacée par mes doigts. Je me fais alors la réflexion que je ne pensais pas avoir mis autant de lubrifiant tellement mes doigts glissent sans difficulté dans son antre intime.
Je ressors finalement mes doigts et insère le spéculum sans prendre la peine de l’enduire de lubrifiant. "J’en ai déjà trop mis.", me dis-je intérieurement. J’insère donc mon spéculum et remarque que les organes génitaux de ma patiente ont l’air plus gros que ce que j’avais noté au début.
J’ouvre le spéculum et observe l’intérieur du vagin de ma patiente. Aucune anomalie notable, mais je remarque que mon lubrifiant semble plus liquide que je n’aurais pensé et je vois des filets de liquide le long des parois de mon spéculum. Brutalement, mon esprit additionne tous ces éléments : lubrification intense, organes génitaux externes gonflés, de légers soupirs auxquels je n’avais pas fait attention initialement. Plusieurs signes d’excitation sexuelle...Je me fige à peine un instant puis me ressaisis en espérant que ma patiente n’aura rien remarqué. Je retire mon spéculum puis me retourne pour jeter spéculum puis gants tout en m’adressant à ma patiente de la voix la plus neutre possible :
— J’ai terminé, vous pouvez vous rhabiller.
Par respect pour sa pudeur, je la laisse se rhabiller et pars me rasseoir à mon bureau, dos à elle.
— Je n’ai rien trouvé d’anormal, Mme Duchemin ; votre douleur est probablement liée à un problème de sécheresse vaginale fréquente à votre âge. Je vais simplement vous prescrire une crème qui stimulera vos glandes responsables des sécrétions de lubrifiants naturels.
Elle revient s’installer en face de moi après avoir fini de se rhabiller, et lorsque je la regarde à nouveau j’ai l’impression qu’elle a un teint légèrement plus rosé qu’à son arrivée. Mais peut-être est-ce mon imagination.
— Merci, Docteur, me répond-elle sobrement.
Puis jusqu’à que je lui ouvre la porte à la fin de la consultation, elle répond à peine à mes questions alors que j’essaie de meubler la discussion pour éliminer un quelconque malaise.
La consultation s’arrêta là, et je pensais ne plus la ravoir avant la fin de mon remplacement.
La semaine suivante, je remarque son nom sur mon agenda: elle a réservé le dernier créneau de consultation sur Internet.Avant de la recevoir, je réfléchis aux raisons qui peuvent la faire revenir : mon traitement est inefficace ? Elle a des questions par rapport à la durée du traitement ? Elle a un tout autre problème ?
Lorsque j’ouvre la porte de la salle d’attente, il n’y a plus qu’elle, et comme à mon habitude, je vais fermer la porte d’entrée à clé pour éviter qu’un autre patient entre au dernier moment pour une consultation sans rendez-vous. Le cabinet bénéficiant de deux portes séparées pour entrer ou sortir. Cette fois-ci, Mme Duchemin doit sortir d’une réunion importante : la voilà maquillée, un rouge à lèvres sombre, une robe noire cintrée qui recouvre des collants très simples et des bottes noires.
— Bonjour, Docteur, me dit Mme Duchemin en s’asseyant, d’un air bien plus assuré que la première fois où nous nous étions vus.
Tout en me fixant, elle croise les jambes, faisant remonter légèrement sa robe sur le haut de sa cuisse, laissant deviner le haut des bas que j’avais pris pour tout d’abord pour un collant.
— Que puis-je faire pour vous aujourd’hui, Madame ?— Eh bien, à vrai dire, suis venue pour vous remercier; votre traitement a parfaitement fonctionné, Docteur : dès le soir de ma première consultation, je n’ai eu aucune douleur lors du rapport avec mon mari, et lui aussi vous remercie !
Je m’étonne de son annonce car la crème prescrite ne fonctionne pas aussi vite habituellement, mais je suis content pour elle si son problème est réglé.
— C’est parfait alors, mais vous n’aviez pas besoin de prendre rendez-vous pour m’annoncer ça, vous savez !— Oui, je sais bien, Docteur, mais maintenant j’ai un autre problème : voyez-vous, avec tous les rapports que nous avons eus cette semaine avec mon mari, je pense que j’ai une irritation. Je voudrais que vous vérifiiez que tout va bien.— D’accord. Veuillez vous installer comme la dernière fois, s’il vous plaît.
Je me tourne pour attraper mes gants, et lorsque je me retourne je la vois qui finit de retirer sa robe. Elle porte des bas noirs avec un porte-jarretelles noir ; elle n’a pas mis de culotte cette fois-ci ni de soutien-gorge. Ses seins sont magnifiques, bien arrondis, bien tenus. Elle est parfaitement bien conservée pour son âge. J’essaye de ne pas m’attarder sur sa poitrine et la laisse s’installer sur la table d’examen en me disant qu’elle s’est habillée particulièrement sexy pour son rendez-vous ; je suis curieux de savoir quel type de rendez-vous c’était.
— Je suis prête, Docteur. Vous voyez, pour vous faciliter le travail je n’ai pas mis de culotte aujourd’hui, me dit-elle en écartant largement les jambes tout en me regardant dans les yeux.
Je commence à trouver cette situation étrange, excitante : je suis en train de me faire séduire par une femme qui pourrait être ma mère, lascivement allongée sur une table d’examen, les jambes grandes ouvertes en attendant que j’examine son intimité. Je sens une bosse commencer à se former dans mon pantalon, mais je me ressaisis et commence mon examen. Ses lèvres sont déjà gonflées alors que je ne l’ai pas touchée ; je vois le bout de son clitoris pointer vers moi. Trop excité par la situation, je comprends bien qu’elle est venue me voir ce soir pour autre chose qu’un examen médical...
Je commence délicatement à masser son clitoris et ses grandes lèvres avec mes doigts gantés, puis délicatement insère deux doigts dans son antre tout en continuant à masser son clitoris avec mon pouce. Ma patiente commence à se laisser aller ; elle gémit doucement et gigote son bassin. La limite est dépassée : je suis en train de masturber ma patiente tandis que dans mon pantalon, mon sexe grossit et en devient douloureux tellement il est comprimé.
— Pour tout vous dire, Docteur, je n’ai pas eu besoin de mettre votre crème : dès que j’étais avec mon mari, je pensais à vos doigts dans mon vagin en train de m’examiner et ça me faisait mouiller immédiatement et très abondamment, m’explique Mme Duchemin en reprenant régulièrement son souffle entre deux gémissements tandis que mes doigts continuent leur travail. Soudain, je sens sa main se poser sur mon sexe tendu à travers le tissu de mon pantalon.
— Eh bien, je vois que je ne suis pas la seule à être excitée, Docteur, me dit-elle en massant doucement mon sexe.
Excité au plus haut point, j’accélère mes mouvements qui produisent un bruit obscène, et de la mouille forme une flaque sous les fesses de ma patiente qui, d’une main, sort mon sexe de mon pantalon et me masturbe lentement puis de plus en plus rapidement. Elle passe sa main sous ses cuisses pour récupérer un peu de son liquide intime qui se répand sur le matelas, puis après avoir bien lubrifié sa main, reprend sa masturbation.
— Vous allez vous mettre en position genu-pectorale maintenant, Mme Duchemin, que je puisse poursuivre mon examen s’il vous plaît, dis-je en ressortant mes doigts dégoulinants de son vagin.— Genu-pectorale, Docteur ?— En levrette, si vous préférez.— Ah oui... Bien sûr, Docteur, faites de moi ce que vous voulez ! me répond-elle en s’installant à quatre pattes.
Dans cette position, j’ai une vue magnifique sur sa chatte dégoulinante ainsi que sa petite rondelle rosée.
— Écartez vos fesses avec vos mains que je puisse travailler convenablement, lui dis-je en lui assenant une claque retentissante sur la fesse.
La voilà le visage écrasé sur le matelas, les fesses en l’air bien écartées à ma merci. Je commence à rentrer deux doigts puis trois, et bientôt quatre sans aucun effort. Mme Duchemin crie de plaisir alors que je fouille son intimité qui déborde le long de ses cuisses. Après seulement quelques secondes, son bassin se met à trembler, suivi rapidement du reste de son corps tandis qu’un flot de mouille gicle sur ma main. Elle jouit bruyamment et longuement. Devant ce spectacle, je ne peux empêcher mon autre main de branler mon sexe gonflé d’envie. Il me tarde de la pénétrer.
Je la laisse reprendre son souffle quelques instants puis sors ma main de son antre. Je lèche avec application chaque doigt pour goûter à sa cyprine. Elle tient toujours ses fesses écartées, alors je ne résiste pas à venir lui lécher la rondelle en insérant ma langue dans son trou étroit dont la puissante odeur me rend fou !
— Je vais en profiter pour vous faire un examen proctologique, Mme Duchemin ; je ne voudrais pas être passé à côté de quelque chose de grave, vous comprenez, dis-je en m’enduisant les doigts de lubrifiant.
J’insère mon index dans son anus qui, s’il est tout d’abord bien serré, se dilate rapidement avec mes va-et-vient. Je peux vite en ajouter un deuxième, puis j’insère mon annulaire et mon auriculaire dans son vagin pour lui prodiguer une double pénétration qui lui offre un nouvel orgasme puissant après quelques minutes de ce traitement.
— Oh, putain, je veux votre queue, Docteur ! Baisez-moi comme une salope que je suis, je veux votre BITE ! s’exclame ma patiente qui a finalement perdu toute retenue.
« Ah oui, je vais te la mettre ma bite, ne t’en fais pas, maintenant que tu es bien ouverte, petite chienne ! »
Je rentre dans son jeu, trop excité.Je retire ma main de sa chatte puis je manœuvre la télécommande de la table d’examen pour faire arriver ses orifices juste à la bonne hauteur. J’attrape un préservatif dont je me sers pour montrer aux adolescents comment bien mettre un préservatif, mais cette fois-ci je l’enfile sur mon sexe dressé et non sur un faux de démonstration. Je me positionne à l’entrée de sa grotte humide ; elle maintient toujours ses fesses écartées comme une bonne chienne soumise, me facilitant la pénétration. Je rentre ma bite délicatement, écartant les chairs rosées déjà bien dilatées par mes doigts et commence des va-et-vient jusqu’à m’enfoncer entièrement, mon pubis venant s’écraser sur ses fesses et mes couilles taper contre son clitoris.
Je continue ce traitement pendant quelques minutes, la faisant gémir puis crier de plaisir. Aucun risque que nous soyons dérangés ce soir. A chaque claque sur ce fessier rebondi, elle jouit encore plus. Elle commence à avoir les traces de mes doigts imprimés sur le cul.
Lorsque je retire mon sexe, sa chatte reste bien ouverte et dégoulinante. Je lui ordonne de se relever. Je m’assois sur le bord de la couche, et cette coquine vient s’empaler debout, dos à moi sur mon sexe ; mais cette fois-ci, c’est elle qui donne le rythme des pénétrations. Le claquement de ses fesses contre mes cuisses retentit dans mon bureau.
Je sens la jouissance monter en moi ; je n’ai plus qu’une envie : me lâcher et jouir dans son ventre.Je la positionne allongée sur le dos, les jambes dans le vide, puis en relevant la table et après avoir relevé ses jambes de part et d’autre de mon visage, commence à baiser cette chatte rendue étroite par ses jambes resserrées autour de mon visage. Je pilonne son vagin et en profite pour embrasser puis lécher ses jambes recouvertes de bas noirs. Je me penche en avant, pliant son bassin pour pouvoir venir caresser ses seins qui rebondissent au rythme de mes coups de sexe.
Je sens la jouissance arriver. J’écarte ses jambes, je retire mon sexe. Rapidement j’enlève le préservatif, et de longs filets de sperme viennent s’écraser jusque sur ses seins et dans son cou. Je récupère un peu de mon sperme sur son ventre avec mon doigt et lui donne à lécher. La coquine lèche tout comme une gourmande, puis se passe la langue sur les lèvres en me regardant avec un grand sourire.
— J’ai terminé de vous examiner, Mme Duchemin ; vous pouvez vous rhabiller, dis-je en reprenant mon rôle de médecin après avoir rangé mon sexe dans mon pantalon.
Elle remet sa robe sans prendre la peine d’essuyer le sperme qui la macule, puis vient se rasseoir à mon bureau.
— Je vous prépare une ordonnance pour ce que vous avez, Madame.
Je lui tends l’ordonnance que je viens de lui préparer, où elle peut lire : « Une séance de sexe intense au moins une fois par jour pendant trois mois. Plus bas, je renseigne mon numéro de téléphone personnel en précisant à ma patiente « En cas de questions sur le traitement. » La consultation se finit tout à fait professionnellement comme si rien ne s’était passé entre nous.
Une semaine après, je reçois un texto :
« Mon mari et moi-même aimerions vous poser quelques questions sur votre traitement, Docteur. Pourriez- vous organiser une visite à domicile demain soir au 4, chemin des Lilas ? Mme Duchemin. »Mais ceci est une autre histoire si vous avez aimé celle-là.
Merci.
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