La punition -Regarde-moi ce cochon là! dit Julie. Il semble aimer ça!-Enlève ton tee-shirt, Henri, et va nettoyer la maison. Henri obéit et se dirige vers la maison, en portant la poubelle, tout nu. Il est suivi par les deux femmes qui s’embrassent sur la bouche. Il rammase les morceaux du pot et les débris de la plante. -Pour la terre, débrouille-toi avec tes mains. Il enlève tout ce qu’il peut, mais de la terre reste au sol. -Comment dois-je faire?-Tu n’as qu’à mouiller ton corps et te frotter par terre pour enlever le reste de terre. Henri regarde sa tante d’un air suppliant. Il voit les deux femmes s’embrasser sur la bouche. Son sexe se tend malgré lui. Les deux femmes le voient. Qu’est-ce qu’il les trouve belles! Elles sont plus grandes que lui et l’intimident. Angèle semble avoir des seins volumineux, des hanches larges et une belle chevelure rousse. Elle n’est pas maigre comme les adolescentes qu’il cotoie à l’école.Julie ne semble pas très jolie à coté de son amie, car elle porte une blouse de grand-mère qui cache son corps. -Vas te mouiller dans le ruisseau, revient enlever de la terre en te frottant par terre et retourne au ruisseau jusqu’à nettoyage complet.Il doit faire plusieurs allers et retours pour enlever toute la terre. Il reste malgré tout des traces sur le carrelage. Angèle prend alors la parole: -Prend une serpillère dans le placard derrière toi et finit le nettoyage. Fait-le à quatre pattes! Elle embrasse alors à nouveau Julie. Cette vision et sa soumission nouvelle font bander Henri. Lorsqu’il a fini de laver le carrelage, Julie lui demande:
-Raconte-moi comment cela est arrivé. Henri raconte le déroulement des évènements.Julie lui demande où est son ballon. Il lui explique qu’il l’a vu descendre vers la ferme. Angèle dit à Henri qu’ils vont aller le chercher immédiatement. Henri veut protester, mais elle ajoute: -dans cette tenue! Souvient-toi qu’``au bout du monde’’, personne ne peut te voir. Je vais tout de suite fermer la porte de la cour. À son retour, elle ordonne à Julie d’enlever sa blouse. Henri n’en croit pas ses oreilles! Julie semble sous la coupe d’Angèle. — Mais Angèle! Henri est mon neveu. Je ne peux pas me déshabiller devant lui. Elle proteste, mais intérieurement elle admire ce joli garçon avec ce sexe tendu et tentant. Alors elle s’exécute en faisant semblant de trainer. Henri n’en croit pas ses yeux. Elle fait un strip-tease en retirant sa blouse lentement. Elle défait les trois boutons du haut, puis retire ses bras des manches, dévoilant de beaux seins, pas trop gros, mais fermes; ils se tiennent sans besoin de soutien-gorge. Puis elle descend lentement sa blouse et se tortille pour la faire passer ses hanches. Le vêtement finit par tomber au sol. Elle était nue sous la blouse! Qu’est-ce qu’elle est belle. Et ses fesses! Bien rondes! Henri remarque qu’elle est bronzée et sans marque de maillot, ni en haut, ni en bas, seul un triangle brun cache son intimité. Son sexe s’est encore tendu. Il bande comme un fou. Il remarque aussi que l’entre-cuisse de sa tante brille. Les deux femmes se sourient, Henri commence à imaginer qu’ellesentretiennent une relation lesbienne. Le sauvetage -Aller, en route les deux. Cherchons ce ballon. Au pas de course! Ils se mettent à courir. Henri voit les seins de sa tante rebondir. Son sexe tendu lui fait mal. Il entend Angèle derrière lui. Ils parcourent les cents mètres qui séparent la ferme de l’habitation en peu de temps et s’arrêtent. Ils commencent les recherches en longeant le mur de la ferme. Pas de ballon en vue.Arrivés au bou du mur, ils voient le tas de fumier et la mare de purin qui s’en écoule. Et le ballon flotte sur ce purin. Angèle s’exclame: -Eh bien, tu ne fais pas les choses à moitiè! Il va falloir le récupérer vite, sinon le cuir va s’imprénier de purin, il va couler et bouchera le tuyau d’aspiration quand on voudra pomper le purin. Henri se demande comment faire. Il n’a pas longtemps à réfléchir. Angèle trouve la solution: -Julie, grimpe sur le tracteur, tu soulèveras Henri pour lui permettre d’atteindre son ballon. Julie part chercher l’engin. Pendant ce temps, la rousse décroche une corde du mur de la ferme et s’approche du garçon. -Qu’est-ce que vous allez faire? demande Henri.-Je vais t’attacher par les pieds avec la corde Julie te soulèveras avec la fourche à fumier du tracteur. Tu attraperas le ballon et tu sera reposé par terre. Julie arrive avec l’engin. Henri voit ses seins secoués par le tressautement du véhicule. Son sexe n’a pas débandé depuis le strip-tease de sa tante. Angèle lui passe la corde autour des chevilles en le protégeant avec un chiffon pour ne pas le blesser, et l’attache au tracteur. Julie le soulève et l’approche du ballon. Elle commence à le descendre. Ses mains sont encore trop loin du ballon. Angèle demande à Julie de descendre plus. Dès qu’il le peut, il se saisi du ballon. Julie commence alors à le remonter. -Regarde-moi ce cochon Julie! Il faut le laver rapidement avant que l’odeur ne s’installe. Plonge-le dans le ruisseau . Henri est donc transporté dans les airs et trempé dans l’eau. Elle est froide, fait degonler son sexe et le lave du purin qu’il avait sur les mains et les avants-bras. Julie le ramène sur la terre ferme à coté d’Angèle qui libère la corde de la fourche à fumier, mais la laisse sur une cheville du garçon. Il a mal aux chevilles.-Vous ne me détachez pas? demande Henri à Angèle. -Non, un garçon pas sage qui a fait pleurer ma Julie doit être puni.
