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Visite gynéco

Chapitre 1

Divers
Je m’appelle Angélique. Je suis mariée, mère d’une fille de 10 ans laquelle est à l’origine d’une aventure qui m’est arrivée et s’est poursuivie pendant pratiquement toute ma grossesse.J’étais enceinte d’environ 3 mois lorsque ma gynéco a déménagé, me confiant à son successeur, un homme d’une quarantaine d’années, pas très beau avec une bedaine et une calvitie naissantes mais très attentionné, ce qui m’a mis en confiance malgré la réticence que j’avais d’avoir à me laisser examiner intimement par un homme.La 1ère fois que je l’ai vu, ce sont ses mains, ou plutôt ses longs doigts fins qui ont immédiatement capté mon attention et tandis qu’il me posait tout un tas de questions de routine dirais je, je n’ai pu m’empêcher de penser qu’ils allaient forcément me pénétrer lors des futurs examens.Je me mis à rougir lorsque je l’entendis me proposer de procéder à un 1er examen complet pour mieux faire connaissance et, s’assurer que tout allait bien.Je me mis à trembler comme une feuille, frissonnant de tout mon corps tandis que je me déshabillais pour m’allonger sur la table d’examen. Mon ventre était déjà étonnamment bien rebondi ce qui, à mon grand désespoir, avait inexplicablement éteint le désir de mon homme pour moi.Sentant ma gêne, il m’avait suggéré de remettre mon chemisier après avoir enlevé mon soutien-gorge si je le désirais. C’est ce que je fis avant de m’allonger sur sa table, les pieds engagés dans ces affreux étriers.J’avais gardé ma culotte, dernier frêle rempart, défenseur de ma pudeur.X me sourit gentiment en s’approchant de moi, m’assurant que tout allait bien se passer et de ne pas m’inquiéter.Je lui demandais s’il fallait que j’ôte ma culotte tout de suite mais il me rassura en me disant que rien ne pressait et qu’il serait toujours temps de l’enlever le moment venu.Je me détendis aussitôt, prête à lui faire confiance alors que cela faisait à peine quelques minutes que nous conversions.Je lui étais reconnaissante de ne pas me brusquer. De ne pas brusquer les choses, me laisser retarder au maximum le moment où un autre homme que le mien, découvrirait mon intimité. Je crois que son attitude a été déterminante pour la suite de nos relations.Un long moment se passa ainsi tandis qu’il procédait à une palpation de mes seins. Ses mains me réchauffaient et je commençais à me sentir étrangement bien.Je me laissais aller, de plus en plus confiante et détendue, savourant ses mains courant sur ma peau, titillant mes globes et mes tétons sans en avoir l’air, sous le couvert d’une palpation médicale. Sans que je m’en rende vraiment compte, mon intimité s’humidifiait. J’étais trempée mais inexplicablement, çà ne me gênait pas. J’étais bien.C’est quand il changea de position pour se placer entre mes jambes assis sur son fauteuil à roulettes, que je paniquais en réalisant qu’il allait s’apercevoir de mon état. Tétanisée, les yeux fermés, la respiration coupée, je n’osais pas bouger aussi, c’est lui qui écarta ma culotte en me soufflant:
Ne vous en faites pas. On va se débrouiller comme çà.
A ce moment précis, il ne pouvait pas ignorer mon excitation. Je sentais ma mouille sur mes nymphes, collée à ma culotte. Rouge de honte, je m’excusais en balbutiant:
Je suis désolée, c’est la 1ère fois que ça m’arrive. Je suis très gênée.
Sa réponse si naturelle, si inattendue me laissa sans réaction. Sans voix.
Ne soyez pas gênée. Ça peut arriver pendant un examen. Trop rarement d’ailleurs mais croyez moi, c’est plutôt flatteur pour moi.
Je...............Je vais procéder à un examen de votre vulve si vous voulez bien. Vous sentez mon doigt? Je vais le faire glisser en vous aussi doucement que possible.
Tout en l’écoutant parler, je sentis son majeur me pénétrer doucement. Je ne pus réprimer un petit soupir que je m’empressais d’étouffer de ma main.
Je vous ai fais mal?Non, non. Ça va!Je continue alors?Oui docteur. Excusez-moi.
Son pouce s’était négligemment appuyé sur mon bouton tandis que le doigt ganté explorait mes parois intimes de plus en plus profondément.
Je dois vérifier l’état de votre col. Pouvez vous replier vos genoux? Oui, c’est ça, ramenez les vers votre poitrine avec vos mains.
J’avais chaud partout. C’était la première fois qu’on me faisait prendre une telle position. Les cuisses grandes ouvertes, ramenées sur mon gros ventre avec ce doigt qui n’en finissait plus de bouger à l’intérieur de moi. Je sentais un plaisir trouble prendre possession de mon ventre, basculer vers mes reins, pour remonter le long de ma colonne vertébrale en direction de mon cerveau pour en prendre le contrôle.Des gémissements à peine audibles montaient à mes oreilles, me faisant sursauter lorsque je réalisais que c’était de ma bouche qu’ils sortaient. Le cerveau embrumé, je m’abandonnais progressivement à ce doigt qui s’activait sur mon point « G ».
Docteur, docteur.Oui, madame, vous avez mal? Vous voulez que j’arrête l’examen?Non, non, n’arrêtez pas. Continuez, je vous en prie, continuez.
1.A ces mots, un deuxième doigt s’enfonçait dans mes chairs puis, ils se mirent à me pistonner doucement mais profondément. C’était trop bon. Je lâchais.
Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii!!!Vous aimez?Oh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. C’est trop bon. J’ai honte docteur, j’ai honte. Je vais jouir. Ça viiiiiient!Et comme çà, vous aimez aussi?
Mon bon docteur, me branlait maintenant le bouton sans plus aucune retenue avec son autre main. Le contact de son pouce sur mon clito bandé au maximum, me fit exploser en une seconde.
Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis. Aaaaaaaaaaaaah. C’est trop bon docteur, c’est trop bon.
Je me laissais aller sur les doigts de mon docteur, écartant mes jambes au maximum pour mieux sentir ses doigts me fouiller en profondeur. Ce dernier en profitait pour se pencher vers mon entrejambe, et caresse suprême, lécher l’intérieur de mes lèvres jusqu’à mon clitoris d’une langue experte. Je m’abandonnais à sa caresse pour surfer sur la vague du plaisir jusqu’à ce qu’elle faiblisse puis meurt dans les méandres de mon cerveau.Reconnaissante du plaisir qu’il venait de me procurer, je lui caressais les cheveux à pleines mains, savourant la langue occupée à nettoyer mes chairs souillées par ma jouissance.Après avoir joui, je suis toujours euphorique un long moment. J’adore profiter pleinement de ce moment spécial, acceptant seulement de mon partenaire qu’il me caresse tendrement et rien d’autre. C’était justement ce qu’il faisait. J’étais aux anges, ne pensant même pas au fait que je venais de jouir sous les doigts d’un autre homme que le mien.Au bout de quelques secondes qui me parurent une éternité, j’esquissais un léger mouvement pour mieux me caler sur la table d’examen. Le docteur se leva pour m’apparaître de toute sa hauteur entre mes jambes qu’il cala à nouveau dans les étriers. Ses mains me caressaient doucement l’intérieur des cuisses. C’était bon et rassurant. Je ne réalisais qu’il s’était déshabillé qu’en sentant contre ma vulve, son bâton de chair dur comme du bois. C’était chaud et devant mon manque de réaction qu’il prit comme un accord, il le fit glisser entre mes lèvres de haut en bas sans doute pour le lubrifier de mes sécrétions puis, se positionna à l’entrée de ma grotte, le gland à peine engagé dans l’ouverture que je sentais encore ouverte de ses attouchements.Je lui souris, l’esprit encore embrumé mais consentant. Sans hésiter il s’agrippait à mes cuisses et, s’enfonçait dans mon ventre en une seule poussée. J’accusais le coup en sentant mes chairs s’ouvrirent pour l’accueillir. Je ne l’avais pas vu mais il devait être gros, bien plus gros que mon mari. C’était bon cette présence imposante entre mes cuisses.Sans un mot, ses yeux dans les miens, il se mit doucement en mouvement. J’ai tout de suite adoré sentir cette grosse bite me ramoner la chatte.La bouche ouverte je rythmais ses coups de reins puissants par des soupirs qui le faisait sourire. Rapidement, mes yeux commençaient à me lâcher, mon regard se brouillait en même temps que le plaisir se faisait plus intense. J’essayais cependant de les garder ouverts pour suivre la montée de son propre plaisir mais il restait imperturbable, labourant mon ventre tel un métronome de son soc épais.Je n’en pouvais plus, j’allais jouir d’une seconde à l’autre et mon amant le sentait, le voyait dans mes yeux que je n’arrivais plus à maîtriser. Il accélérait la cadence, me faisant perdre tout contrôle. J’entendis une nouvelle fois ma propre voix hurler de plaisir à la plus grande satisfaction de mon nouveau docteur qui me souffla :Vas y ma belle, jouis, jouis. Laisses toi aller.
J’explosais littéralement une nouvelle fois à ces mots, perdant toute retenue en criant ma jouissance:
Je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis. Vous me faites jouir encore. C’est trop bon, trop bon.
Je perdais pied, sombrant dans une semi inconscience comme à chaque fois que la jouissance est trop forte. La voix de mon baiseur me parvenait comme dans un rêve, lointaine mais bien réelle.
C’est bien ma belle. Je vais jouir à mon tour maintenant. Je vais te remplir la chatte de mon jus puisque tu ne risques plus rien maintenant. Ça va être bon! Tiens, prends ça ma belle. Prends tout ce bon jus, rien que pour toi.
Je n’étais pas en état de répondre mais malgré tout, je sentais sa queue se cabrer dans mon ventre, libérant à chaque spasme, ses jets de sperme que j’imaginais bien épais et abondant.Le calme revenait presque aussitôt après qu’il eut joui en moi. Je savourais ses mains aux longs doigts qui me caressaient le ventre et la poitrine tandis qu’il se maintenait bien soudé à mon sexe. Décidément, cet homme savait y faire avec les femmes. J’adorais sa tendresse après la violence de la possession.Quand j’ouvris enfin les yeux pour affronter son regard, il me sourit en me tendant une boîte de kleenex que j’acceptais le rose aux joues.Merci Angélique, je n’ai pas l’habitude de me conduire comme cela avec mes patientes mais vous m’avez comblé. J’espère que vous avez aimé, vous aussi.Je balbutiais un timide et honteux:
Oui, c’était très bon mais j’ai honte. Que pensez vous de moi, maintenant?Que du bien, Angélique, que du bien, croyez moi. Et puis au moins, on est sûr que tout marche bien de ce côté là, non?
J’aurais bien aimé pouvoir prendre ce qui venait de se passer avec autant de décontraction mais c’était loin d’être le cas. J’avais du mal à parler, la gorge nouée par la honte, avec une seule idée en tête, m’enfuir le plus vite possible.Mon nouveau médecin ne pouvait ignorer l’état dans lequel je me trouvais aussi, après m’avoir tendu une ordonnance, il me souffla:
Je pense qu’il serait bien que l’on parle de tout cela le plus vite possible, si vous voulez bien. Ça vous fera du bien, croyez moi. Ma secrétaire n’est plus là, mais elle vous appellera dès demain pour confirmer notre prochain rendez-vous.Je n’sais pas si je reviendrais...Au contraire, revenez vite car ce serait une erreur de ne pas en parler. Je vous revois dans 2 jours à la même heure, d’accord?J’sais pas. J’sais vraiment pas quoi faire. J’suis pas bien là. Il faut que je m’en aille. Excusez moi.
Je m’enfuyais littéralement sur ces mots, oubliant même de lui demander le montant de la consultation, certaine que je ne reviendrais jamais.
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