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Visite imprévue chez mon ex

Chapitre 1

Erotique
Je m’appelle Bruno, j’ai 42 ans et je suis du Québec. Pour moi les mots ont un pouvoir plus excitant que les images. Ce que je vais écrire peut être réalité, fantasme ou un heureux mélange des deux, mais ce sera écrit comme histoires vraies. Les noms seront possiblement fictifs afin de protéger la vie privée de ceux qui pourraient être reconnus. Bonne lecture!
Mon ex-femme et moi sommes séparés depuis 2012. Ma première copine sérieuse par la suite est apparue dans ma vie à l’automne 2013. Quelque huit mois plus tard je l’ai quittée parce qu’elle n’était pas la femme de ma vie, ce fut difficile pour elle, car ça allait plutôt bien. Elle a essayé de m’attirer à nouveau vers elle, mais je n’avais pas envie d’une relation purement sexuelle, bien que le sexe avec elle fût hautement stimulant. Environ un an et demi après notre rupture, elle m’a écrit parce qu’elle voulait tourner la page, elle s’était fait un copain et elle ne m’en voulait plus.
Elizabeth était une jolie femme, mais pas tout à fait mon style. Grande (1m75), un certain surplus de poids (bien qu’elle avait déjà perdu près de 35 kg), cheveux blonds aux épaules, yeux bleus. Je suis plutôt attiré par les petites brunettes.
Je suis avec la même fille depuis plus de quatre ans et j’ai donc rarement pensé à Elizabeth jusqu’à ce que j’aille aider un ami avec des travaux extérieurs. Cet ami reste près de chez elle et ça m’a fait penser à elle. Après notre journée, qui s’est terminée en milieu pm, je me décide à passer devant la maison d’Elizabeth, de toute façon elle ne doit plus demeurer là. Voilà que je reconnais sa voiture, seule, dans le stationnement. Moi qui suis timide, j’hésite à m’arrêter, mais je me dis que j’aimerais bien avoir de ses nouvelles. Je m’arrête donc et frappe à sa porte.
La porte s’ouvre au bout de quelques instants et je la vois. Elle semble estomaquée de me voir là. « Bruno ? » Ses dents blanches régulières et son joli sourire me reviennent en tête rapidement, mais je n’avais pas souvenance que ses yeux bleus étaient si beaux. « Bonjour Eli! Je passais par ici et j’avais envie de prendre de tes nouvelles. » Puis, j’entends dans la maison un pleur de bébé. Elizabeth n’avait jamais voulu d’enfant, c’était parfait pour moi qui en ai trois et qui a subi la vasectomie. Je suis donc surpris d’entendre un bébé pleurer, mais elle garde peut-être un rejeton de son frère.
Elle m’invite à entrer et me présente son fils! Un joli blondinet de quelques mois. Wow! Je suis étonné. « Il doit avoir faim » me dit-elle. Elle ajoute : « Ça te dérange si je l’allaite pendant qu’on jase? ». Je ravale difficilement et lui dit qu’il n’y a pas de problème. Nous nous asseyons sur le divan et commençons la conversation. Nous parlons de nos familles, notre travail, la conversation va bon train et il n’y a pas trop de malaise. Cependant j’ai un peu de difficulté à rester concentré parce que comme je suis à côté d’elle, je vois une bonne partie de son sein qui nourrit le petit. Ce sein est gonflé, plein, on voit bien les veines. Ma queue durcit dans mon pantalon. Bébé s’endort à la tâche, sa bouche laissant à l’air libre le mamelon qui est érigé et qui semble bien dur. Mon sexe n’en devient que plus dur lui-même. Je tente de cacher cette érection de plus en plus gênante.
Eli se replace et va coucher le petit dans son berceau près du divan. Je la vois de dos, penchée et une bouffée de chaleur envahit mon visage. Eli, quatre ans avant, avaient de grosses fesses et cuisses. Ça ne m’a jamais dérangé, bien que ça ne m’attire pas particulièrement. Vaut mieux un peu trop que pas assez. Mais maintenant qu’elle s’est mise à la course à pied, son fessier a pris une jolie forme. De plus il est bien serré dans un jean ajusté. Il est encore voluptueux, mais beaucoup plus harmonisé avec son corps. Une envie d’elle s’empare de mon corps. Je me lève de suite et m’approche d’elle. Mon cœur bat à 100 à l’heure. Elle se relève à peine que je suis collé à elle. Elle sent immédiatement ma bite bien dure entre ses fesses et fait : « Oh! », ses mains agrippant mes hanches pour me garder contre elle. Ma bouche dans son cou, elle sent si bon, ses cheveux sont soyeux. Je lui chuchote : « Eli, j’ai envie de toi! » Elle se tourne vers moi et m’embrasse. Nos langues s’emmêlent et un baiser passionné s’ensuit durant une bonne minute. Puis elle me prend la main, celle qui tâte sa fesse et m’amène dans la chambre à coucher. J’admire son postérieur durant le court trajet et je sens déjà le liquide pré séminal se rendre au bout de mon sexe trop à l’étroit dans mon sous-vêtement.Sitôt dans la chambre elle touche ma queue de sa main, la jauge et me dit que j’ai là un bien gros problème. Un problème qu’elle sait soulager. Elle déboutonne mon pantalon, baisse la fermeture éclair et y entre sa main, par-dessus le tissu. Oh mon Dieu que c’est bon, je râle. Elle m’embrasse, ma caressant la bite, le pouce sur le frein. Je déboutonne sa blouse, mes mains tremblantes. Elle se recule d’un pas et me fait un mini striptease. Elle défait un à un les boutons, fait tomber sa blouse au sol. Elle porte un soutien-gorge d’allaitement banal, elle le retire rapidement. Elle défait son jean et le retire, s’assurant d’en faire autant avec ses chaussettes. Elle se relève, portant une jolie petite culotte rouge, soyeuse. Ma queue sursaute. Elle portait des culottes très communes en coton auparavant. Je me suis défait de mon pantalon et bas aussi. Elle s’approche de moi, me retire mon chandail, puis mon sous-vêtement. Je suis nu, en érection devant elle. Elle me pousse sur le lit, retire sa culotte et grimpe sur moi. Elle se penche et m’embrasse, tenant mon sexe dans sa main, elle le guide vers sa chatte mouillée. Elle se positionne et enfourne ma bite. Elle bouge le bassin sur moi, je sens ma queue glisser délicieusement en elle, au fond, puis tout au bord. Je gémis, je l’embrasse, je deviens fou. Elle se relève pour caresser son clitoris, je vois ses seins. Je râle à nouveau, le sein que le petit a tété est plus petit que l’autre. Celui qui n’a pas nourrit depuis mon arrivée semble bien dur, plein. Ça m’excite comme pas possible. Mes mains sont sur ses cuisses que je masse depuis que je suis en elle. Je les fais glisser sur son ventre, doucement. Eli gémit un peu. Puis mes mains se rendent à ses seins que je touche doucement. En effet, son sein gauche est dur, le droit est un peu mou. Eli bouge lentement sur moi, heureusement, car je ne tiendrai pas longtemps, mais sa main s’agite furieusement sur son clitoris.
Puis, du salon, j’entends bébé qui craque, il se réveille doucement. Eli a les yeux fermés, se mord la lèvre inférieure. Elle est si excitante, je la trouve féminine comme jamais. Un petit pleur de la pièce voisine et je vois perler une humidité au mamelon gauche. Oh! Un autre petit bruit du bébé et une goutte de lait s’agglutine au bout de son sein. Je ne peux y résister, ma main caresse son sein, son mamelon et la goutte coule sur mon doigt. Puis une seconde. Bébé pleure un peu, mais pas en continue, il n’est pas encore tout à fait éveillé. Chaque petit bruit qu’il fait cause une montée de lait. Les gouttes se succèdent sur ma main, coulent le long de mon bras. Je penche Eli vers moi et ma langue lèche son mamelon, goûtant son nectar de mère. Elle halète maintenant que je suce son sein, que je bois son lait. Je la sens tout à coup se raidir, ma queue enserrée par sa chatte et je jouis en elle, en longs jets. Je gémis en jouissant, elle en silence. J’essaie de reprendre mes sens, elle se lève, met une robe de chambre et sort de la chambre. Je peine à m’habiller, étourdi d’un orgasme si intense. J’arrive au salon, son fils dans ses bras, Elizabeth lui donne le sein qui m’abreuvait quelques minutes plus tôt. Elle est si belle. Je l’embrasse sur la tête, me dirige vers la porte et lui dit au revoir.
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