Résumé Mon frère, sa femme et ses filles débarquent sans me laisser la possibilité de dire non, j’entreprends de séduire les filles. Bonne lecture, tout commentaire est le bienvenu.
Chapitre 2 - Le jeu continue
Cela fait maintenant trois jours qu’ils sont à la maison, on commence tous à trouver nos marques et à prendre nos habitudes. Thomas passe son temps au téléphone, je m’abstiens d’espionner pour savoir ce qu’il manigance, je ne veux pas être impliqué, car s’il découvre que je m’y intéresse, il va vouloir m’embringuer dans ses magouilles.Béatrice et Patricia ont décidé de profiter, elles se lèvent tard, il faut souvent que leur mère aille les sortir du lit pour prendre leur petit-déjeuner avec nous et participer aux activités de la maison, je ne suis pas la bonne, j’ai été très clair sur ce point.Moi, je profite de ces beautés, je me rince l’œil en attendant mieux. Je commence à positionner mes pions en prévision du prochain voyage de mon frère. J’ai toujours la ferme intention de m’offrir mes nièces en paiement de ma liberté et tranquillité sacrifiées à la famille d’autant que j’ai dû réduire mes contacts avec la gent féminine en particulier des femmes mariées que je courtise, butine et consomme sans trop de modération.Mon travail m’occupe quatre à cinq heures par jour, le reste du temps, je fais des balades, randonnées ou du sport dans la salle aménagée. Je m’occupe de la maison et autres activités hors de mon libertinage. Bon avec leur venue, j’ai changé mes occupations, mon boulot pas de problème, toujours là, j’ai remplacé les balades par du voyeurisme, mon attention étant focalisée sur mes nièces.Aujourd’hui, elles ont décidé que ce sera piscine, je bave de plaisir anticipé de pouvoir me repaître de la vue de leur corps et je me prépare à une longue journée sous tension. Elles apparaissent comme deux déesses vêtues d’un sarrau transparent pour Patricia avec en dessous un maillot de bain une pièce rouge qui dégage ses jambes interminables, enveloppe son superbe cul. Ses seins et surtout ses tétons ont tendance à marquer son maillot.Béatrice a opté pour une serviette nouée autour de la taille, un maillot de bain une pièce de la couleur de ses yeux, les seins conquérants. Elles me laissent la langue pendante et la queue raide dans mon boxer.Elles s’installent sur les transats, commencent à se mettre de la crème solaire mutuellement sur le corps, jambes, bras. Je trouve leurs gestes très érotiques et je m’imagine en train de m’occuper d’elles, nous sommes allongés sur le sol, je déguste leurs lèvres, je descends sur leurs seins et je continue vers leurs pubis emportant au passage ces maillots qui me gênent pour accéder à leurs féminités que je sens bouillonnantes.C’en est trop, je file vers les toilettes pour me branler comme un ado, les hormones en folies.Fin du premier round, elles ont gagné, je suis totalement accro à leurs corps. J’ai également été très agréablement surpris, elles n’ont plus cet esprit chipie, petite garce gâtée et nous avons des discussions très sympas ensemble quand je ne reluque pas leurs charmes, je deviens bon pour dissimuler mon voyeurisme.Émilie m’aide pour la maison, elle trouve naturel de le faire, je ne me dispute pas avec elle, mais j’en profite pour aller à la pêche aux infos concernant les projets de Thomas. Elle me raconte que ce n’est pas rose tous les jours, car Thomas trafique tellement qu’elle était très inquiète pour elle et les filles.Thomas recevait des coups de fil le jour et tard la nuit. Il partait le soir et rentrait sentant la fumée et l’alcool. Un jour, elle lui en avait fait la remarque, il était devenu furieux lui disant qu’elle n’avait rien à dire du moment qu’elle avait tout ce qu’elle voulait ainsi que pour ces filles, l’argent ne poussait pas, qu’il faisait comme bon lui semble. Je découvre ma belle-sœur sous un autre jour, j’aime bien et j’adapte le scénario que je m’étais fixé avec ces nouvelles informations.On est mercredi, Thomas vient me voir et me dit : — Philippe, il faut que l’on parle tous les deux.— OK, on va dans mon bureau.
— Voilà, je vais partir en voyage vendredi et je veux que tu surveilles Émilie et les filles, pas de sorties, elles restent à la maison, point.— Heu, tu peux être plus clair, là, parce que je ne vois pas où est le problème si elles sortent s’amuser un peu ou se faire des amies, elles ont l’âge de pouvoir s’éclater.— L’affaire sur laquelle je suis est sensible, je ne veux pas qu’un problème vienne entraver ou qu’il puisse y avoir un scandale. Je serai absent 15 jours, je t’appellerai si je dois prolonger mon voyage. Vendredi arrive, Thomas s’en va, il n’a pas donné plus de détails sur ce qu’il va faire, et je m’en fiche. Une seule idée est dans ma tête, je vais pouvoir en profiter pour mettre la pression, j’ai une cible, la jeune et jolie Patricia, j’en salive d’avance. Mais en même temps, je travaille sur mes autres proies, j’ai la ferme intention de m’offrir toutes les friandises à ma disposition.Il fait un grand soleil, il faut chaud, j’ai opté pour un short sans rien d’autre et je commence mon approche. — Émilie, il faudrait faire des courses pour ce week-end et la semaine prochaine, tu pourrais y aller avec Béatrice ?— Bien sûr, que faut-il prendre ?— Je te fais entièrement confiance, prends ma carte de crédit. Par la même occasion, vu qu’il va faire très chaud les prochains jours, change tes tenues, franchement, est-ce que tu supportes ces robes qui te couvrent presque de la tête aux pieds ? Ici, ce n’est pas un centre de torture, regarde Patricia, elle profite, je trouve cela très plaisant. Émilie ne dit rien, mais me regarde avec insistance, je lui fais mon plus beau et innocent sourire du genre grand méchant loup en mère-grand. — Voilà les clés de la voiture, bonnes courses et shopping Aussitôt parties, je me dirige vers la piscine où se prélasse Patricia, vision sublime. Elle est couchée sur le dos dans son maillot rouge, une jambe repliée. En marchant vers elle, j’ai une vue directe sur son entrejambe et en remontant un peu, je vois ses seins orgueilleux qui se dressent, ses tétons qui pointent, ces lèvres finement ourlées qui semblent attendre d’être embrassées. Je ne vois pas ses yeux cachés derrière des lunettes de soleil.Je suis un peu à l’étroit dans mon short, je fais comme si tout allait bien, je m’assois sur le bord du transat en agitant la crème solaire et lui disant avec un grand sourire : — Tu vas devenir écrevisse si tu continues, je vais te mettre de la crème, je m’en voudrais de laisser une si belle demoiselle en détresse à la merci du méchant soleil.— Oh merci tonton, j’avais la flemme d’aller la chercher.— Tourne-toi, je vais commencer par ton dos. Après s’être tournée, j’avais une vue directe sur son superbe cul que j’ai envie d’explorer à fond, mais bon, un pas après l’autre.Elle relève ses cheveux pour dégager sa nuque et je commence doucement à lui étaler la crème, mes mains se posent sur ses épaules que je frôle, je m’occupe de son bras, très caressant puis je passe au bras gauche, sa peau frisonne.Je vais maintenant passer la vitesse supérieure, car il semble que cela lui fasse un certain effet et je lui dis très tranquillement : — Tu vas avoir des marques partout si tu gardes ce maillot et franchement cela sera vraiment dommage. Je commence à faire glisser les bretelles de son maillot une pièce le long des bras que j’accompagne de caresses. Elle se laisse faire. Je tire maintenant le maillot vers le bas pour dégager le haut du corps, elle se soulève un peu pour me faciliter la tâche. Sa peau est d’une douceur qui me rend dingue, je bande comme un malade, mon short est déformé par mon érection.Je reprends de la crème. Commence à l’étaler sur son dos et j’en profite pour déposer des petits et légers baisers le long de sa colonne vertébrale. Elle est parcourue de frissons, je lèche doucement sa peau en remontant vers sa nuque puis je dépose d’autres baisers un peu partout. — Ho tonton, qu’est-ce que tu me fais ?— J’honore la beauté et la perfection qui sont sous mes yeux. Je redescends toujours en léchant son dos puis je tire doucement son maillot vers le bas pour dégager ce cul que me fait tant envie. Je me réfrène pour ne pas aller trop vite et l’effrayer.Elle ne m’oppose pas de résistance et maintenant, l’objet de ma convoitise est exposé sous mes yeux. Ce cul magnifique à portée de mes mains et de ma bouche, je recommence à déposer des baisers légers dans le creux de ses reins, ma langue participe au festival des caresses, elle frisonne de plus en plus, son cul magnifique monte vers ma bouche et je m’empresse de continuer sur ces globes parfaits, mes mains entrent dans le festival et commencent à caresser, malaxer ses fesses.Des soupirs d’aise se font entendre, je glisse ma langue dans sa raie, mes mains écartent ses fesses et mon visage, ma langue s’enfonce dans ce lieu partant à la découverte de mon futur terrain de jeu. Je dégage de ses jambes de son maillot et doucement, je les écarte pour avoir accès à sa féminité, ma langue continue à parcourir sa peau, ma main gauche se glisse le long de sa raie culière, ma main droite s’égare vers sa vulve, et mes doigts parcourent sa fente déjà humide.Un doigt fureteur s’insère entre ses grandes lèvres et un soupir de contentement suivi de gémissements me confirme que je suis sur la bonne voie. Il continue son exploration et caresse avec ardeur ses petites lèvres. Son odeur de femme m’emplit les narines, une odeur sucrée, un parfum d’ivresse.Ma bouche veut partir dans une exploration profonde, mais je ne suis pas bien placé, patience. Les gémissements sont plus profonds, plus fréquents, mes doigts poursuivent leurs explorations et remontent vers le haut de sa vulve à la rencontre de son bouton d’amour, sa liqueur coule abondamment, trouvent son clitoris, le caressent et exécutent des cercles autour. Patricia crie, son cul se lève, ses jambes s’écartent pour me permettre une meilleure possession.Ma main gauche cajolant, sa raie, se lance dans une approche de son petit trou si privé, mon majeur vient explorer sa rondelle et la masse en cercle. — HAAAAA !!!! Cet encouragement me pousse toujours plus loin, deux doigts caressent son clitoris, deux doigts caressent sa rondelle qui palpite. — OHHHHHHHHHHH OUIIIIIIIIIIII !!!!!!! Ma main droite est inondée de sa cyprine, le majeur de ma main gauche vient d’être avalé par sa rondelle vorace. Elle jouit et moi, je bande, mais je veux la faire grimper encore, je n’ai exploré que le côté pile.Je la fais se tourner vers moi et je me penche pour l’embrasser, sa bouche m’hypnotise, m’attire, je prends le temps. Mes lèvres caressent les siennes, elles s’entrouvrent, ma langue s’insère, va à la rencontre de la sienne, notre baiser s’approfondit, nos salives se mélangent, nos langues entament un ballet effréné.Mes mains ne sont pas inactives et partent à la conquête de ses seins orgueilleux, elles massent ces globes fermes et doux, mes doigts capturent ses tétons, les roulent, les pincent.Contre ma bouche, ces gémissements recommencent, ma bouche quitte la sienne et part à l’aventure, ma langue caresse, lèche sa peau. Ma bouche embrasse son sein droit, ma main gauche cajole son sein gauche, je torture avec délice son téton droit, l’aspire, le mordille. — HAAAAAAA !!!!!!! Ouiiiiiiiiiiiiiiii M’encourageant à poursuivre, ma bouche quitte ses seins, continue sa descente, mes mains restent et jouent avec ses tétons durs comme de la pierre, ses soupirs augmentent d’intensité. Je me glisse entre ses jambes, ma bouche atteint son mont de vénus, ma langue goûte son jus d’amour, c’est trop bon, je me régale, je pars en exploration de sa chatte totalement trempée, je lape, aspire, bois sa liqueur. Ma langue parcourt sa fente, écarte ses grandes lèvres, s’insère entre ses petites lèvres, remonte vers son clitoris gonflé, le cajole, l’aspire, le suce. — Ouiiiiiiiiiiiiiiiiii, continue, ne t’arrête pas ! Ma main droite descend, mes doigts s’insèrent doucement dans son vagin, mon majeur fureteur, explore l’entrée rejoint par son copain l’index et entame un doux va-et-vient. Patricia se tend, son corps s’arque, ses cris montent pendant que je lui branle la chatte de plus en plus vite. J’accélère la cadence, ma bouche sur son clitoris. Mon pouce parcourt son périnée. Elle explose, je reçois un jet de cyprine, je suis inondé, Patricia jouit dans un râle profond qui vibre dans l’air. Je la caresse doucement admirant ce corps superbe qui se détend dans mes bras, on est en sueur, rouge mais, tellement bien.Elle pose la main sur mon short puis prise d’une frénésie, elle l’agrippe, le baisse, mon sexe se tend à l’horizontale, ma hampe aux veines saillantes pointe vers elle, mon gland rouge et luisant réclame à grand cri que l’on s’en occupe de toute urgence.Elle se penche, sa bouche pulpeuse s’ouvre et ses lèvres, gonflées de nos baisers, s’arrondissent, sa langue darde, elle enveloppe mon gland pendant que sa main saisit mon sexe et entame un va-et-vient, son autre main s’empare de mes couilles et les caresse avec douceur. Sa langue joue avec mon gland enfoncé dans sa bouche, elle me tète avec ardeur.J’ai failli jouir instantanément, me retenant de justesse pour savourer la douceur de sa bouche, l’agilité de sa langue. — HAAAAAA, chérie, je vais jouir. Je ne peux plus tenir, elle accélère sa succion, sa langue titille mon méat, je pose les mains sur sa tête. La digue rompt, mon foutre monte, j’éclate dans cette bouche vorace, un premier jet de sperme jailli suivi d’un autre, encore et encore.La diablesse continue à me pomper tant que ma queue tressaute puis elle recule la tête, ouvrit sa bouche remplie de mon foutre, me regarde et avale tout. Elle se lèche les lèvres et me fait un immense sourire.Nous nous embrassons langoureusement, je ne suis pas rassasié, mais le temps passe à une vitesse folle. — Patricia, file sous la douche, ta mère et Béatrice vont arriver. Cette superbe créature fait la moue, se lève, part en roulant des hanches. Je bave d’envie de lui sauter dessus pour un autre round. Fin du chapitre 2
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