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Visite imprévue de la famille

Chapitre 3

Le jeu continue

Inceste
Résumé

Je passe à la vitesse supérieure et une première proie tombe entre mes griffes.

Bonne lecture, tout commentaire est le bienvenu.


Patricia constituait ma cible la plus facile. Elle avait commencé à se rebeller contre son père et sa mère, voilà pourquoi elle s’habille plus sexy. Bon là, on l’a fait, mais elle sait que ce n’est pas moi qui allais m’en vanter. J’ai trop envie de recommencer.
Émilie et Béatrice sont revenues des courses. Je les aide à transporter les sacs, je ne suis pas macho au point de leur laisser se débrouiller toutes seules, pas mon style.
On range en discutant et j’aperçois des sacs mis de côté, je demande :
— Ho, encore des affaires à ranger, on dirait.— Non, laisse, c’est à moi.
Émilie se précipite sur les immenses sacs et part avec vers sa chambre sans me laisser le temps de regarder à l’intérieur.
C’est le week-end. Je leur propose que l’on aille découvrir les superbes sites de la région. Patricia est partante, impatiente. Béatrice se fait tirer l’oreille, n’ayant pas trop envie de bouger, elle veut rester à lézarder. Émilie décide de rester aussi.
Il est 10 heures et on part tous les deux en voiture. Aussitôt que l’on est hors de vue de la maison, ma délicieuse cochonne tend la main et la pose sur mon short. La réaction est immédiate, je bande dur. Elle a un grand sourire, ravie.

Je lui rends la pareille, plaquant ma main sur sa cuisse que je caresse, allant vers sa jolie chatte, dont j’éprouve une envie dévorante. Elle ouvre ses cuisses merveilleuses. Elle est en jupe, rien ne s’oppose à mon exploration.
Ma main atteint son pubis et je découvre qu’elle ne porte pas de culotte, je la regarde, elle me sourit.
— Pourquoi en enfiler une, tu vas me l’enlever immédiatement.
Je souris et fourre vivement mes doigts agiles dans sa fente juteuse.
— Je me suis caressée trois fois cette nuit, tellement j’avais envie de t’avoir.— Petite question, ma toute belle, tu as déjà couché avec un garçon ?— Oui, un copain, on a fait ça à la hâte dans les toilettes et puis je l’avais déjà sucé plusieurs fois avant. Mais je n’avais jamais ressenti ce que tu m’as fait, ce qui me conforte dans mon idée précise qu’un homme plus âgé est vraiment meilleur.
Elle reprend sa respiration et continue
— J’en avais discuté avec des copines qui avaient déjà eu l’occasion d’expérimenter et j’ai eu envie de le faire avec toi.— Je connais un coin très agréable, on y sera tranquille. J’ai l’intention de te faire connaître des plaisirs et te faire jouir plusieurs fois.
Elle ouvre mon short et sort ma queue raide. Elle entame un va-et-vient langoureux sur ma tige extrêmement contente de ce traitement de faveur.
Je me concentre sur la route et après une vingtaine de minutes, nous sommes arrivés dans une clairière au bout d’un petit chemin en forêt. Le plus proche habitat est à plus de dix bornes, nous sommes en plein cœur d’un parc naturel.
Le moteur arrêté, j’attrape ma jolie salope et lui roule une pelle vorace. Elle me répond de la même manière continuant à me branler la queue en soupirant d’aise. Nos langues n’arrêtent pas. Nous mélangeons nos salives. On bave.
J’empoigne ses superbes nichons que je malaxe. J’attrape ses tétons que je pince à travers son tee-shirt, je les roule, elle râle de plaisir, elle n’a pas lâché ma queue, sa main se resserre dessus.
J’en veux plus à présent, je sors de la voiture, fait le tour, ouvre sa portière et l’arrache de son siège. Je la soulève et la pose sur le capot.
Je retire son tee-shirt et commence à lui bouffer les seins. Elle ronronne. J’attrape ses tétons entre mes dents, les mordille, les étire. Elle gémit en s’offrant encore plus.
Sa main a retrouvé ma queue et elle me branle plus fort, plus vite. Je monte tout doucement. Je lui roule une nouvelle pelle affamée et la pousse en arrière en descendant entre ses cuisses. Je défais sa jupe, elle soulève son bassin pour que je puisse la retirer.
Elle est offerte à mon regard vorace. Elle desserre les cuisses avec impudeur et un regard brûlant me signifiant, "sers-toi", "bouffe-moi".
Je plonge entre ses cuisses. Ma bouche lèche l’intérieur de ses cuisses se régalant de son jus. Elle miaule, je m’approche de sa chatte et ma langue démarre un ballet endiablé, glisse entre ses lèvres trempées.
Sa mouille coule à flots, je la bois. Je ne m’en rassasie pas, elle râle. Ma langue plonge encore plus profondément et s’introduit dans son vagin plus qu’accueillant.
Mes doigts de la main droite vont se poser sur son bouton de plaisir qu’ils dégagent. Son petit bouton est désormais exposé à mon envie. Je bois. Je suce son clitoris, elle ondule. Son jus délicieux me remplit la bouche, je m’en délecte sans retenue.
J’aspire tout, ses grandes lèvres puis les petites, sa mouille qui coule. Son clitoris subit mes assauts gourmands. Elle hurle et se met à jouir comme une folle.
— Ouiiiiiii !!!!!!! Putain, chéri, je deviens folle. AAAAAHHHHHH !!!!!!!! Encore, baise-moi, je t’en supplie !
Je ne lui accorde aucun répit. Je la tire vers moi. Je prends, dans ma main, ma queue raide. Je frotte sa fente, masse son clitoris avec mon gland. Je la regarde intensément. Elle pousse un gémissement, elle me fixe de ses yeux brillants et affamés.
Sans hésitation, j’entre dans son antre brûlant, je gémis. Elle est serrée, trempée et sa chaleur m’envahit la queue. Je frissonne de pur plaisir, je suis aux anges.
J’entame un va-et-vient dans son vagin. Je m’enfonce le plus profondément possible heurtant son utérus. Ses cuisses largement ouvertes pour m’accueillir le plus loin possible en elle.
Mes coups de reins déclenchent chez elle des cris et gémissements me stimulant davantage. Je serre les dents, je veux qu’elle jouisse avant de la remplir de mon foutre brûlant.
Je délire littéralement, j’accélère, mon bassin vient taper son pubis, mes couilles frappent son cul, elle râle, hurle, me dit :
— Plus fort, baise-moi mon mâle, je suis ta femelle. Encore, ouiiiiiii !!!!!!
J’accélère davantage, je transpire. Ma queue plonge et ressort avec un bruit obscène. Je bande encore plus fort. Mon pouce vient agacer son clitoris.
Ma main gauche s’insinue entre ses fesses et comme un sauvage, je lui fourre mon doigt dans le cul. Elle s’accroche à moi pour ne pas tomber du capot. Ses ongles se plantent dans mon dos.
— HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!!!!!!! HAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!!!!!!
Elle me rend fou. Je la défonce devant et derrière, elle me roule une pelle vorace. Son vagin me malaxe la queue augmentant mon plaisir. Elle crie de plus en plus fort. Je continue mon pilonnage de sa grotte bouillante.
Après quelques minutes, elle tremble et part dans un orgasme dévastateur. Je ne résiste plus. Mon foutre jailli, je la remplis, plusieurs jets se succèdent.
— Bordel, chéri, je JOUIS !!!!!!. Ta queue est FANTASTIQUE !!!!! RRRAAAAAHHHHHHH !!!!!!— AAAAHHHH !!!!! OUIIIII, prend tout, ma salope. C’est bonnnnnn !!!!!!
On reste enlacé tous les deux pendant de longues minutes et on redescend peu à peu de notre paradis.
— J’ai aimé ton doigt dans le cul, ma chatte remplie et ta langue dans ma bouche.— J’ai adoré aussi te le faire, j’ai l’intention de te faire découvrir le plaisir de la sodomie. Mon doigt me dit que tu vas grandement aimer.— Quand tu veux et où tu veux.
On boit et se nettoie avec la bouteille d’eau que j’avais dans la voiture. On repart pour une petite balade avant d’aller manger. On meurt de faim. Elle se blottit contre moi, on marche en se tenant la main. Les gens nous regardent d’un drôle d’air, rien à foutre, on flotte au-dessus du sol.
Après le repas, on repart, j’ai à nouveau faim de son corps. Je recommence à lui peloter la cuisse, elle ronronne et s’offre à mes envies.
— Tonton, tu peux me faire ce que tu veux. Je suis à toi.— Ça ne te dérange pas que je sois ton oncle ? Il ne faudra pas en parler sinon on va être rattrapé par les moralistes et les bien-pensants. Ce sera un enfer que je n’ai pas envie de te faire vivre.— Je suis d’accord, c’est notre secret. En revanche, ça m’excite au plus haut point.
Ma main part en direction de sa chatte que je découvre brûlante et gluante de sa mouille. Mes doigts jouent entre ses lèvres, ils se glissent dans son antre et titillent son clitoris déclenchant des ondulations de son bassin. Sa main se crispe sur la mienne et elle roucoule. Moi, je bande, de l’acier trempé.
J’aperçois un petit chemin, je braque et stoppe cent mètres plus loin dans les arbres. J’attrape ma belle, l’embrasse. Je descends de la voiture, ouvre sa portière et l’emmène s’appuyer sur le capot.
Elle est penchée en avant, je retrousse sa jupe, je m’accroupis et commence à lui bouffer la chatte et le cul. Ma langue part de sa chatte dégoulinante et remonte vers son anus, virevolte autour et dedans. Ses soupirs sont plus forts. Je recommence plusieurs fois, emmenant avec ma langue, sa liqueur que j’étale sur sa rondelle.
Elle balance son cul pour m’inviter à explorer plus profondément ses orifices. Elle se cambre, putain, elle est belle. Je l’attire encore plus contre ma bouche. Je suis affamé d’elle. Je glisse mon pouce le long de sa raie, il vient frotter et masser son petit trou.
Elle râle et respire fort, mon pouce doucement force cette entrée, elle gémit et elle envoie son cul à la rencontre de mon doigt qui investit dans son conduit.
Je change de position. Elle est toujours penchée sur le capot. J’enfonce mon index dans son fondement. Je lui caresse la chatte et ramène sa mouille pour la lubrifier. Son cul remue, elle bouge son bassin et gémit de plus en plus fort.
J’extrais mon doigt, un "OH" désappointé résonne. Je plonge deux doigts dans sa chatte que je ressors pour les introduire dans sa rondelle orpheline. Un "HAAAA" satisfait et un mouvement de reins m’indique qu’elle est plus que prête à me recevoir dans son cul.
Je l’allonge sur le capot. Ses jambes superbes remontent sur mes épaules. J’ai son cul rebondi à portée de ma queue qui fait deux, trois allers-retours dans sa chatte brûlante. J’applique mon gland sur son anus et je pousse en douceur. Mon gland, bien lubrifié, s’enfonce et écarte son anus.
— Dis-moi si tu as mal et je m’arrête.— Vas-y, encule-moi. Je veux t’appartenir tout entière.
Je pousse. Mon gland écarte sa rondelle se frayant un passage dans son conduit brulant et étroit. Elle fronce les sourcils, se mord les lèvres. Je pousse davantage, mon gland force son anus qui s’écarte en me laissant entrer. Je m’arrête, elle gémit. Elle grimace, ses traits se crispent.
— Tu veux que j’arrête ?— Non, attends un peu que je m’habitue.
Après un moment, mon gland enserré dans son petit trou qui palpite, je progresse à nouveau dans son cul. Je recule doucement. Je cueille plus de mouille pour lubrifier. Je m’enfonce à nouveau.
Peu à peu, toute ma queue a investi son cul, mes couilles sont contre son cul. Je me retire et entame un doux et lent va-et-vient. Ma queue coulisse de mieux en mieux dans son conduit que j’alèse à chaque passage.
Elle glisse sa main en ses cuisses et caresse son abricot lisse brillant de cyprine. Son index joue avec son bouton, le spectacle est aphrodisiaque. Son jus coule me lubrifiant la queue. Son cul divin enserre ma queue, la malaxe. Je suis dans un autre monde.
Ses gémissements changent de tonalité, elle commence à apprécier mon intrusion. J’accélère, mes mouvements se font plus amples, ses gémissements se transforment en cris. Je lui pistonne le cul et accélère davantage.
— OHHHHHH ouiiiiiiiiii !!!!! C’est trop bon, encore, plus fort !!!!
En bon garçon, j’obéis lui défonçant la rondelle. J’accélère encore, elle hurle, mais de plaisir. Brusquement un jet de mouille jailli. Elle jouit du cul, je n’en reviens pas.
Je pars dans une jouissance incroyable qui me prend dans les reins. Les contractions de son conduit pompent littéralement ma queue, je jouis à long trait de foutre dans ses reins.
— Putain !!! C’est divin. Je te remplis !!! Oh, mon Dieu !!!!! AAAAAHHHHHHHH.
Nous restons imbriqués pendant un long moment. Elle descend du capot, s’empare de ma queue, me suce pour me nettoyer. Je soupire d’aise pendant qu’elle s’active avec gourmandise. Une fois propre, je la relève et l’embrasse langoureusement. Nos goûts se mêlent, je la veux encore.
Nous partons pour rentrer à la maison, rejoindre Émilie et Béatrice, nous restons silencieux un moment puis elle me dit :
— Je veux continuer, je veux t’avoir pour moi, je veux que tu me fasses découvrir d’autres plaisirs. Je ne supporterai pas de ne pas continuer.— Ma chérie, je le ferai, mais il va falloir être prudent. Ta mère et ta sœur pourraient ne pas apprécier du tout et surtout Thomas, ton père. S’il venait à l’apprendre, ce serait une catastrophe et gare à ces réactions. Éprouver du plaisir, éprouver des sensations, des moments exceptionnels comme ceux de cette journée, ne justifient pas de s’exposer à la rage, la colère et aux jugements. Je ne veux pas risquer que tu sois brisée, blessée ou brimée, c’est trop cher payé.— Je m’en fiche des autres !— Mais pas moi, car je souhaite que tu te sentes protégée. Si on doit mettre un frein à ces instants fabuleux, alors je le ferai, je ne veux pas être celui par qui les foudres peuvent survenir.
Après cela, nous restons silencieux, puis elle murmure :
— On verra.
Une fois à la maison, nous entrons, je jette un coup d’œil vers la piscine et je reste bloqué. Le spectacle que j’ai sous les yeux me scotche, Émile et Béatrice sont en train de faire du monokini et se dorent au soleil.
— Ha, elle est pas mal, ma maman !!!
Patricia rigole et moi, je reste là à me rincer l’œil sans vergogne. Patricia m’observe puis tend sa main et palpe la bosse qui commence à déformer mon short.
— Ho, cochon, tu nous veux toutes, on dirait que je ne t’ai pas satisfait aujourd’hui.— Au contraire, mais j’avoue que d’observer un tel spectacle me ravit. Ce soir, viens me rejoindre dans ma chambre en passant par le patio, je te démontrerai que tu me donnes ce qu’il faut. Je suis un mec avec des fantasmes.

Fin du chapitre 3
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