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Visite imprévue de la famille

Chapitre 5

Reprise du jeu

Inceste
Résumé
J’ai séduit une de mes nièces, nous couchons ensemble, mais je continue, l’évolution de mon plan doit être adaptée, de nouveaux éléments sont à prendre en compte.
Je suis engagé dans une partie contre mon frère que je ne suis pas sûr de gagner, qui vivra verra !
Note sur ce chapitre
Il va vous paraître un peu long et sans scène de sexe véritable, il est important, car c’est un tournant de l’histoire.

N’hésitez pas. tous les commentaires sont bienvenus.
Bonne lecture.
Chapitre 5 – Reprise du jeu
Mon frère est revenu, Émilie remet ses robes austères, les filles se tiennent à carreau et moi, j’évite tout geste envers Patricia que je regarde avec amour et plaisir quand elle passe près de moi, elle me frôle, voire me caresse la main et plus si possible sans risque.
Thomas est de bonne humeur aujourd’hui, Émilie, elle n’est pas vraiment gaie, il faut dire qu’hier soir, j’ai eu le son et les paroles, je dois dire que les mots, « sale pute », « je vais te démonter la gueule », « t’es ma chienne obéissante » ne m’ont pas vraiment excité. Je ne peux rien faire, je suis de mauvais poil.
— Philippe, j’ai deux mots à te dire.— OK, dans mon bureau.
Je croise le regard inquiet de Patricia, celui d’Émilie qui semble me dire « bonne chance ». Je vais me la jouer calme et tranquille même si j’ai plus envie de lui en coller une qu’autre chose, mais bizarrement, je tiens à ces trois femmes.
Patricia, c’est sûr, je suis amoureux, mais j’ai aussi des sentiments, pour Émilie et Béatrice que pour l’instant, que je ne sais pas trop qualifier. Mon côté protecteur s’est réveillé.
Je n’ai jamais ressenti cela pour mes autres conquêtes féminines, je leur faisais l’amour, voire une baise bien hard, mais après, tchao, à une prochaine.
On s’installe lui et moi, on se regarde, je prends la parole :
— De quoi veux-tu parler ?— J’ai trouvé des habits indécents dans l’armoire d’Émilie !— Et alors, quel est le problème ? Il fait chaud, il me paraît courant de s’habiller légèrement, je le fais bien puisque je suis constamment en short avec ou sans tee-shirt.— Je veux savoir si tu l’as poussé à le faire, je t’ai dit que je ne voulais pas avoir de problèmes pendant la transaction que je suis en train de faire.— J’avais vu qu’elle souffrait de la chaleur et qu’elle restait à l’intérieur tout le temps alors je lui ai suggéré d’acheter des vêtements plus légers et je ne vois pas en quoi cela va entraîner des problèmes pour toi, puisque c’est du shopping, pas une exhibition. Et soit dit en passant, j’ai couvert les frais jusqu’à maintenant, mais il va falloir participer puisqu’il semble que tu n’as rien laissé.— Tu as transgressé mes ordres.— D’une part, je ne suis pas à tes ordres, d’autre part, vous êtes chez moi donc elle peut faire ce qu’elle veut, ce n’est pas une prison ici ! Elle n’a aucunement transgressé quoi que ce soit et franchement, là, tout de suite, tu me gonfles.
Il commence gravement à me courir sur le haricot, le frangin, je veux bien la faire cool, mais il y a des limites qu’il ne faut pas dépasser.
— D’autre part, ta fameuse transaction, j’espère que ce n’est pas une embrouille à la con qui va mettre tout le monde dans la merde, car si mes souvenirs sont exacts, tu es un champion dans le domaine. Par conséquent, j’aimerais beaucoup en savoir un peu plus pour éviter les surprises pénibles.— Tu n’as pas à t’inquiéter, c’est une transaction immobilière pour un complexe dans un pays étranger. Pour le moment, je te demande de continuer à avancer les frais de notre hébergement, car j’ai mis tout mon argent dans l’affaire, qui va me rendre extrêmement riche et tu auras un large remboursement.— Ton argent, il n’y en a pas qui revient à Émilie et aux filles ? — Elles auront ce que je voudrais bien leur donner, je suis celui qui décide pour elles et elles n’ont pas leur mot à dire.— Je te rappelle que tes filles sont majeures. Elles pourraient décider de leur vie par elles-mêmes et si elles ne sont pas d’accord avec toi, tu ne peux rien y faire.
Il faut que je connaisse quelle sera ma marge de manœuvre, je dois préserver Patricia en premier, si je peux inclure Béatrice et Émilie. Eh bien, c’est tout bénéfice. Il se met à rire et me dit :
— Je possède des moyens de pression, elles le savent et filent doux.— Dans le genre ?— Je fréquente des gens qui connaissent des gens qui parlent aux personnes peu coopératives. Du reste, j’ai auparavant utilisé leurs services par le passé et je suis en affaire avec eux pour la transaction dont nous avons parlé.
Je le regarde pendant un long moment puis je dis :
— OK, on continue comme défini au départ. Elles sont sous mon toit, donc évite de brandir des menaces ni envers moi ni envers elles tant qu’elles sont ici. Je pourrais très sérieusement me mettre en colère.— Toi, tu ne peux rien faire, tu n’es qu’un type qui m’est utile actuellement, ne te berce pas trop d’illusion sur ton importance.
Je n’en pense pas moins. Il ne me connaît pas si bien que ça. J’ai des amis et contacts dans pas mal d’endroits, il pourrait avoir des surprises, le biquet, je commence à y voir plus clair. Je vais devoir adopter quelques mesures assez rapidement.
Il enchaîne sûr de lui et de sa suffisance. Il est certain que l’appât du gain qu’il m’a suggéré me fera tenir tranquille. Il est persuadé que tout le monde est comme lui, toujours l’argent, encore l’argent.
— Ce n’est pas tout. Je repars dans deux jours pour un mois minimum. Tu fais comme je t’ai dit à mon premier voyage et tout ira pour le mieux et pour tout le monde, tu ne seras pas perdant.
Je vais faire en sorte d’avoir des atouts dans ma manche pour plus tard. On verra qui va être le plus malin. Je ne montre pas, non plus, mon envie de l’exploser, là tout de suite.
Thomas est parti, la voiture est désormais hors de vue de la maison, je sens Patricia venir se coller à moi en poussant un soupir de plaisir. J’étends mon bras autour de ses épaules, elle pose sa tête sur la mienne quand je réalise qu’Émilie et Béatrice sont à côté.
Aïe, j’ai agi automatiquement tant Patricia m’a manqué. Émilie me regarde, Béatrice ouvre de grands yeux, Patricia sourit jusqu’aux oreilles et me fait un bisou sur la bouche. Ma chérie, très décontractée, lance à la cantonade :
— Allez, tout le monde à la piscine, on est libre, il faut en profiter. À tout de suite.
Elle part vers sa chambre, me fixe et balance ses fesses d’une manière très hot, je me sens à l’étroit tout d’un coup même si sa mère et sa sœur sont là. Je file vers ma chambre pour me changer, en temps ordinaire, je serais allé directement à la piscine à poil. Il faut tenir compte de la sensibilité des autres habitants de la maison, pour l’instant.
Ma chérie a réussi à leur faire savoir que nous sommes ensemble et que nous couchons ensemble, bien que je sois sûr qu’Émilie était déjà au courant vu le bruit qu’avait fait Patricia lors de sa dernière visite, c’est en effet une coquine doublée d’une cochonne sans aucune morale dixit ses propres paroles. Bon, je vais laisser venir, qui vivra verra.
J’arrive à la piscine, elles sont déjà installées et en topless, s’il vous plaît. C’est un spectacle dont je ne me lasse pas, avoir trois superbes créatures avec des seins superbes, orgueilleux, un corps à faire bander un mort, je vais immédiatement à l’eau sans passer par la case transat pour ne pas choquer au moins deux de ces dames.
L’eau fraîche me fait du bien et calme mes ardeurs jusqu’à ce que Patricia décide de me rejoindre puisque je ne suis pas venu à elle. Non, mais je suis un mâle ou pas, je ne suis pas un mec facile, il faut me courtiser. Elle me saute dessus. Ses jambes s’enroulent autour de ma taille, ses bras se nouent derrière ma tête, ses lèvres viennent directement sur ma bouche. Je me laisse envahir par sa langue qui cherche la mienne avec une ardeur digne d’une affamée, je lui réponds et une danse effrénée s’engage.
Elle exhale des soupirs, mes mains la soutiennent sous ses fesses et elle colle son pubis contre ma queue très en forme, on n’arrive pas à se détacher, elle ondule, se frotte, je lui pelote son cul superbe. Sa bouche se détache de la mienne pour reprendre son souffle, je dépose des petits baisers sur son front, ses yeux, ses joues et dans son cou. Je lui souffle :
— On a un public, si on ralentissait un peu, je crois qu’il faut qu’on parle avec ta mère et ta sœur.
Elle m’embrasse encore et repart vers le bord de la piscine, se hisse, va vers sa mère qu’elle embrasse sur le coin des lèvres, puis fait la même chose à sa sœur. Je m’approche du bord et reste là, je ne suis pas encore assez décent pour les rejoindre, mais je participe à la discussion. Patricia démarre :
— Voilà, j’aime Philippe, c’est mon oncle, mais je m’en fous, il m’a réveillé et je l’aime. Si cela vous pose un problème, on en discute maintenant parce que ce soir, je vais dans son lit et je m’installe jusqu’à ce que le salaud qui me sert de père revienne.
Je rajoute :
— Je chéris Patricia et tant qu’elle voudra de moi, je demeurerai son homme, son soutien. Je n’y peux rien, elle m’a ensorcelé.
Émilie nous regarde alternativement, Béatrice tape des mains en disant :
— Trop bien, je t’aime, mon tonton, j’espère que tu seras à la hauteur.
Je me demande ce qu’elle veut dire par là, Patricia sourit à sa sœur et lui fait un clin d’œil. Je n’ai pas le temps de réfléchir à ce que j’ai vu, Émilie se dresse, observe Patricia intensément, se dirige vers moi, s’agenouille, se penche et m’embrasse sur les lèvres et dit :
— Je suis heureuse, tu ne peux pas t’imaginer.
Je jouis d’une vue directe sur ses seins nus qui se tiennent fièrement dressés, ses tétons pointent vers moi, ils sont magnifiques, je sais de qui tient Patricia, ils sont moins gros, mais rempliraient parfaitement la main, j’ai un flash, me voyant en train de les lui palper, malaxer, jouer avec ses tétons pendant que Patricia s’active sur ma queue. Bon, on se calme, OK, je fantasme sur les seins des femmes, mais là, on discute gravement. Émilie enchaîne :
— Pour Béatrice et moi, pas de problème, Patricia est majeure et si c’est toi, son oncle qu’elle aime, ça ne me dérange pas, mais Thomas ne doit en aucun cas s’en apercevoir, tu sais qu’il nous soumet à un certain chantage et nous tient sous sa coupe, je ne veux pas que Patricia ou Béatrice soient en danger. Moi, j’en ai pris mon parti, je ferai tout ce qui est possible pour éviter une situation dangereuse pour elle, quitte à subir sa colère, j’ai l’habitude.
Je réagis à ses propos :
— Émilie, durant la dernière discussion avec ton mari, j’ai entrevu ce qu’il pourrait faire, mais je t’assure qu’il ne sait réellement pas qui je suis. En ce qui concerne l’aspect financier, il ne faut pas vous en faire, j’ai suffisamment pour nous faire vivre sans soucis. Pour l’autre aspect, j’ai décidé de voir comment nous en débarrasser et remettre les pendules à l’heure. Je ne sais pas encore comment, mais j’effectuerai tout pour vous protéger.
Béatrice, que l’on n’a pas fréquemment entendue, prend la parole :
— Je suis heureuse pour Patricia. Philippe, je sais que tu es une personne qui respecte ses engagements. Je suis jeune, mais je t’observe depuis le début, tu respectes les gens, tu les écoutes. Patricia jouit de beaucoup de chance d’avoir été la première, mais je sais que tu nous apporteras à toutes les trois ce dont nous avons besoin, je m’en réjouis d’avance.
Émilie n’avait pas bougé, toujours accroupie sur le bord de la piscine en face de moi, je lui fis un tendre sourire, je scrute son visage, elle possède un charme incroyable, ses yeux me scrutent également et il me semble y lire une envie, un désir qu’elle contient, mais très perceptible.
— Je vous propose les filles d’aller au restaurant, ce soir. J’ai envie de vous emmener dans un endroit chaleureux et la cuisine est une tuerie. Hop, hop, on va se préparer.
Émilie se relève en prenant son temps. Je peux admirer ses jambes fines, mais musclées au galbe parfait, son ventre plat, le renflement de son pubis caché par son maillot de bain, ses seins qui dardent, défient la gravité. Patricia remarque le manège de sa mère et dit en me regardant :
— Maman, on va se nourrir après on se nourrira d’autre chose.
C’est quoi le piège, Béatrice affiche un grand sourire également, elle me regarde avec un air gourmand.
— Tout le monde va se changer, on part à 19 heures, les filles.
On arrive au restaurant que je connais bien puisque Laurent, le chef, propriétaire, est un ami depuis pas mal d’années, j’ai financé son restaurant quand il s’est lancé, j’ai gardé des parts, il a obtenu deux étoiles d’un guide célèbre. Toutes mes nanas sont excitées comme de puces, Patricia se love contre moi et me roule une pelle langoureuse à laquelle je réponds. Elle se fait déloger par Émilie et Béatrice qui m’embrassent sur la bouche l’une après l’autre, je suis sur un petit nuage d’être au centre de l’attention de ces superbes créatures.
Laurent nous accueille avec sa femme, May, une superbe Eurasienne, on se fait la bise et je lui présente mes trois compagnes. Il éclate de rire et me dit :
— Sacré Philippe, toujours bien entouré, tu ne changeras jamais.— Erreur, je suis en train de faire une fin, Patricia est ma compagne pour longtemps.— Félicitations, mec, je suis trop content pour toi, il était temps.
Il faut dire que l’on a eu pas mal d’aventure lui et moi, je lui ai présenté sa femme en fait. May sourit, nous embrasse et me souffle :
— Enfin, je ne supportais plus de te voir errer et lutiner sans te fixer.
On nous installe à une table un peu en retrait, la décoration est superbe, Patricia est à ma droite, en face, se trouve Émilie, Béatrice est à ma gauche. Laurent vient avec un serveur pour nous servir leur apéritif maison accompagné de mignardises. Mes compagnes se font chattes et dégustent tout en consultant la carte et je leur dis :
— Pas de restriction, profitez, je vous adore.
On passe la commande, je sens une main se poser sur ma cuisse, Patricia me regarde et sourit tout en poursuivant son exploration de mon entrejambe. Je souris en retour, me penche et l’embrasse dans le cou, ma main va également caresser sa cuisse et remonte doucement vers le haut.
L’entrée est servie avec un excellent vin choisi par Laurent et la sommelière. La main de Patricia revient, je me laisse faire tout en profitant pour faire de même quand je sens un pied remonter le long de ma jambe, je regarde Émilie qui me fait un sourire innocent, il remonte et rejoint la main de sa fille qui ne se démonte pas, elle prend le pied pour le presser contre mon sexe.
Ma main continue, repousse de plus en plus sa robe vers le haut, j’arrive en haut de ses bas, j’atteins sa peau nue, déclenchant un frisson de ma chérie qui utilise le pied de sa maman pour me mettre dans tous mes états. Tout à coup, une autre main rentre dans la danse, elle vient de la gauche, s’empresse d’aller vers le point stratégique. Quand elle découvre le pied de sa mère qui me masse ma barre ultra-dure, manœuvré par la main de sa sœur, elle se penche et me dit :
— Prends des forces, je ne pense pas que tu vas dormir beaucoup ce soir.
Et elle joint sa main aux autres, je vais exploser si ça continue.
— Mes chéries, on se calme sinon je vais faire la grève par manque de ressources et je vous promets si vous ralentissez, de me rattraper tout à l’heure.
Le repas se poursuit, mais Patricia n’est pas décidée à s’arrêter, elle poursuit son massage, en retour, ma main plonge dans son intimité, putain, elle n’a pas mis de culotte, mes doigts insinuent dans sa chatte trempée et j’entame un doigtage en règle, elle me regarde, ouvre le compas de ses cuisses. Sa langue lèche ses lèvres dans un érotisme torride.
Mes doigts plongent plus profondément, elle serre ses lèvres, elle prend une grande inspiration, je continue. Brusquement, elle referme ses cuisses sur ma main, elle expire en miaulant, je lui souris innocemment en récupérant ma main et je me lèche les doigts. Immanquablement, ce manège n’a échappé à aucune de mes nanas qui sourient par anticipation, bon, il faut que je fasse le plein d’énergie.
Le repas continue, il est excellent, on félicite Laurent très chaudement pour son accueil, son talent. Vers 22 heures, nous quittons le restaurant pour rentrer à la maison. J’enlace Patricia qui ronronne. Mes deux autres nanas me frôlent, se lovent contre moi. Je suis chaud bouillant en train de mouiller mon caleçon. Ma queue ne veut qu’une chose, sortir de sa prison pour être dorlotée et partir en exploration de puits brûlants et humides.
Nous arrivons à la maison, le retour a représenté un supplice pour moi avec ces trois coquines qui font le nécessaire pour que je ne les ignore pas. Avant que l’on ne passe aux choses sérieuses, je veux avoir une discussion avec Émilie et Béatrice. Pour m’assurer que tout est clair dans leurs têtes. Cela va conditionner l’avenir de nous quatre.
Fin du chapitre 5
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