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Visite en prison

Chapitre 1

Si j'avais su...

Avec plusieurs femmes
Elle aurait vraiment dû ne pas trop boire ce soir-là.
Elle aurait vraiment dû écouter nos conseils et ne pas prendre le volant.
Elle aurait vraiment dû faire profil bas devant le policier qui l’a contrôlé.
Elle aurait vraiment dû ne pas s’emporter lors de son passage au tribunal.
Mais Laurence est comme ça. Une femme entière, une femme qui n’a pas la langue dans sa poche. Le résultat est là: une grosse amende et trois mois de prison avec sursis. Elle aurait pu repartir libre si elle n’avait pas insulté le juge en repartant. Ses trois mois se sont alors transformés en six dont trois directement derrière les barreaux. Et me voilà qui viens la visiter en prison.
C’est un monde que je ne connais pas. Sitôt la porte passée, les murs semblent se refermer sur nous. Le cliquetis des clés, le brouhaha incessant, les cris par moments, rien ne nous donne envie de rester. La gardienne qui nous accompagne jusqu’au parloir ne semble vraiment pas de bonne composition. Elle parle fort, elle a des gestes brusques et tout en elle respire l’agressivité.
La visite au parloir se passe bien. Laurence est dévastée. Elle n’aurait jamais cru finir dans un endroit pareil. J’essaie de la consoler mais je ne peux pas malheureusement faire grand-chose. Elle se plaint de la nourriture, de la saleté et des brimades qu’elle subit. Elle m’a dit s’être fait voler toutes ses affaires et être obligé de se laver avec un pauvre bout de savon trouvé par terre. Je lui promets de revenir la voir dans quelques jours et de lui ramener quelques affaires. Le quart d’heure de parloir autorisé est vite passé. Nous nous quittons et je la vois repartir vers sa cellule. Je rejoins le groupe des autres visiteurs et nous reprenons le chemin de la sortie. J’en profite pour m’adresser à la gardienne qui nous accompagne et lui expliquer les brimades que subit mon amie. Elle me regarde en souriant et m’explique que malheureusement la prison est loin d’être un lieu calme et tranquille. Je lui dis alors que c’est aussi leur travail d’éviter les brimades et les vexations entre détenues. Elle me regarde alors bizarrement et m’explique avec une certaine animosité le manque de moyens et le peu de considération dont elles font preuve. Je la sens sur ses gardes. Elle me demande si je veux vraiment voir à quoi ressemble la prison. Je suis surpris. J’accepte sans trop savoir ce que je risque de découvrir. Je la vois sourire d’un sourire étrange. Je crois comprendre ce qu’elle a derrière la tête, mais je n’ose y croire. Mon fantasme de toujours serait-il sur le point de se réaliser ? Elle lit dans mes yeux que cette idée m’excite terriblement.Elle arrête alors le groupe et indique à sa collègue de l’attendre deux minutes. Elle ouvre une porte latérale et me fait signe de la suivre. Nous marchons une bonne dizaine de mètres le long d’un couloir sans porte, oppressant et sombre. Elle ouvre une porte. Une grande salle de douche au carrelage décrépit et à la peinture écaillée s’offre à mon regard. Elle me dit: — La voilà la réalité ! J’avance de quelques pas. Elle se retourne et crie à la cantonade : — Les filles ! Je vous apporte de la viande fraîche. Ne l’abîmez pas trop ! Vous avez une demi-heure. Et elle referme la porte à clé derrière elle. Je me précipite. La porte est bien fermée. Sans poignée, sans rien pour s’agripper. J’entends des voix derrière moi. Cinq femmes me regardent. — Il n’est plus tout jeune !— Oh ! Il fera bien l’affaire.
— Tu vas bien en profiter mon grand ! Cinq femmes pour toi tout seul ! Tes rêves deviennent réalité. Je ne sais pas quoi dire. La surprise est si grande que je ne sais que faire. Ces cinq femmes ont l’air si différentes. Celle qui s’approche vers moi semble être la chef. Âgée d’une quarantaine d’années, son corps d’ébène a visiblement été sculpté par de longues journées de sport. Elle me regarde avec un air carnassier. D’un geste rapide, elle se précipite sur moi, pose sa main sur ma bouche pour m’empêcher de crier et me dit à l’oreille : — Tu as intérêt à être bien sage ou alors nous allons vraiment nous occuper de toi.
La surprise passée, j’essaie de me débattre mais les autres femmes se ruent vers moi et m’immobilisent. Elles me poussent alors vers le centre de la pièce et me jettent au sol. Les douches sont allumées et l’eau ruisselle sur moi. Leurs serviettes tombent au sol et je me retrouve encerclé par les corps nus de ces femmes. Elles se précipitent vers moi et je sens leurs mains me toucher, me palper et s’attaquer à mes vêtements. Ma veste tombe. Mon pantalon est vite baissé, ma chemise ouverte le rejoint ainsi que le reste de mes vêtements en incluant mon caleçon. Je suis nu sur le sol, ruisselant d’eau et pas du tout à l’aise. Deux femmes me relèvent et viennent me plaquer debout le dos contre le mur. — Et bah alors ! On ne te fait pas d’effet ? C’est vrai que malgré ces corps nus autour de moi, je ne suis pas dans les meilleures dispositions. La femme qui tient mon bras gauche me dit à l’oreille :
— Si tu bouges, je te pète le bras.
C’est une femme d’environ trente ans, le visage grêlé avec un nez qui a dû être cassé plusieurs fois lors de bagarres. De l’autre côté se trouve une femme très enrobée et plutôt petite d’environ cinquante ans d’origine algérienne si j’en crois le tatouage qu’elle a sur l’épaule. Elle glisse mon autre bras contre son torse et pose ma main sur son sexe. Ses gros seins pendent sur son ventre et j’avoue qu’elle ne me fait pas vraiment envie. Mais visiblement c’est le cadet de leurs soucis. Pendant ce temps, la chef regarde mon sexe qui pend lamentablement et ordonne à une des filles : — Viens là ma chiennasse ! Occupe-toi du monsieur ! Une jeune femme se met alors à quatre pattes et s’approche doucement de mon sexe. Elle semble très jeune et complètement soumise. Des cheveux courts teintés en rose encadrent un visage à peine sortie de l’adolescence. Arrivée à bonne distance, elle le prend entre ses mains, le caresse doucement et se met ensuite à me sucer. Sa bouche est chaude, je sens sa langue qui tourne autour de mon sexe qui commence à réagir. Au mouvement de sa bouche, je la sens sourire, contente d’accomplir sa mission. Une autre femme l’a rejointe à quatre pattes entre mes cuisses. D’origine antillaise, une trentaine d’années, elle constate que mon sexe prend de l’ampleur et veut sa part. Je sens alors son souffle chaud au creux de l’aine et la situation commence à m’exciter. De plus, ma voisine serre ma main droite entre ses cuisses et je sens la chaleur de son sexe contre ma paume. Elle écarte légèrement les cuisses, son sexe s’entrouvre, et mes doigts se trouvent plongés dans sa douce chaleur humide. Je ne peux m’empêcher de les agiter et je sens sa main se poser sur la mienne et appuyer fortement pour que mes doigts la pénètrent. La chef a bien vu mon changement de comportement. Elle en a un rire mauvais. — Alors ! Ça y est ! Tu te décides ! Mon sexe devient vraiment dur sous les coups de langue de la jeune détenue. Je la sens commencer à y prendre du plaisir tout comme moi. Mon bassin avance doucement vers son visage pour lui faciliter la tâche. Voyant cela, la chef empoigne ses cheveux et la tire d’un coup sec vers l’arrière. Elle l’envoie valser derrière elle sans aucun ménagement ni aucune douceur. Dans sa course, son bras vient heurter une cloison et j’entends son cri vite étouffé.— Esclave ! C’est pas à toi d’en profiter. Reste dans ton coin, je t’autorise juste à te caresser en regardant. Et en silence ! Profitant du chemin libre, l’Antillaise en a profité pour prendre la place de sa collègue. Elle a pris mon sexe entre ses doigts et me lèche comme on ferait d’une glace. Puis elle le gobe, l’avale entièrement. Je sens sa langue qui tourne et mon gland au fond de sa gorge. J’ai à peine le temps de profiter de la situation que je me prends une magnifique paire de claques. D’une telle force que ma tête a cogné sur la paroi. Je regarde la chef avec incompréhension. — Si tu jouis trop vite et que tu ne t’occupes pas de nous, nous, nous nous occuperons de toi. Et tu ne seras pas beau à voir dans ce cas. Alors calme tes ardeurs et sois endurant ! L’Antillaise se redresse, sourit puis se jette sur ma bouche. Elle me dévore littéralement et je sens sa langue prendre possession de moi d’une manière farouche. Son visage s’écrase contre le mien. Son corps se plaque. Je sens ses petits seins s’écraser sur mon torse, mon sexe se caler entre ses cuisses et ses mains se perdre dans mes cheveux pour que je ne puisse pas lui échapper. Nous échangeons alors un long baiser mais cela n’est pas du goût des autres. Mon sexe a pourtant bien pris de l’ampleur au creux de ses cuisses. Elle ondule légèrement du bassin pour bien ressentir mon membre et je le sens s’humidifier de sa rosée. Ses lèvres s’entrouvrent et je suis très proche de pouvoir la pénétrer. À ce moment, la chef la sépare de moi. Et sur un geste, les deux femmes qui me tenaient me plaquent le dos sur le sol. Allongé, la queue tendue, je sens les regards pleins d’envies. — Allez-y ! Servez-vous !À ces mots, celle qui me tenait fortement le bras vient s’accroupir sur mon sexe. Son visage grêlé me fait face et le sourire qu’elle me fait ressemble presque à une grimace tant son visage est marqué par les coups. Au moment où je sens son fourreau m’engloutir, elle en ferme les yeux de contentement et ne peut s’empêcher un soupir de satisfaction. L’Algérienne, qui sans doute rêvait de prendre sa place, vient s’accroupir sur mon visage et plaquer sa chatte sur ma bouche. Les deux femmes alors se déchaînent. Juste avant de se placer, l’Algérienne avait, dans un geste d’une obscénité trouble, écarté ses lèvres avant de venir plaquer son sexe sur les miennes. Sa mouille inonde mon visage. Je manque presque de m’étouffer tant elle se plaque fortement. Les bourrelets de son ventre recouvrent mon front et je ne peux, pour respirer, qu’ouvrir ma bouche. Ses chairs intimes se frottent sur mes lèvres, sur mon nez, sur tout mon visage dans des gestes à la fois désordonnés et intenses. Elle prend alors ma tête entre ses mains et appuie encore plus fortement pour se servir de moi comme d’un oreiller. L’autre femme ne perd pas son temps également. J’ai l’impression de n’être plus qu’un gode vivant. Elle me chevauche comme une damnée et je sens mon sexe tout à la fois en profiter mais également souffrir d’être tordu en tous sens. Je ne suis pas là pour de la tendresse, je m’en rends bien compte. Je reçois alors un coup de pied de la part de la chef qui m’intime de prendre soin de sa "Team" sans quoi je le payerais chèrement. Je sens que ma main droite est prise sans que je ne puisse voir par qui. Presque simultanément, elle touche un sexe. Je suppose que la chef a autorisé la plus jeune à profiter de ma main à défaut d’autre chose. Mes doigts sont utilisés comme un gode et elle me positionne la paume contre son sexe et mon pouce sur son petit bouton. Vu qu’elle a voulu me donner du plaisir, j’essaie tant bien que mal de lui en fournir également. Je glisse alors mes doigts au creux de son intimité. Mes quatre doigts rentrent aisément et cela me surprend de la part d’une femme si jeune. Je sens le creux de son vagin chaud et humide. Je le sens me masser les doigts et cela m’excite plus que le reste. Je pose alors fortement mon pouce sur son clitoris et, par de nombreuses girations, je sens son bassin qui ondule. Elle semble apprécier mes efforts. Je parle d’efforts. En effet, mon bras me tire, me fait mal car celle qui chevauche mon visage a ses jambes qui écrasent mes bras. Mais elle ne semble pas s’en soucier. Elle s’agite d’autant plus que je sens le plaisir monter en elle et après quelques minutes, elle inonde mon visage d’une éjaculation de femme fontaine plus forte que je n’ai jamais vue. Je suis trempé et elle laisse tout son poids se poser sur mon visage. J’essaie de respirer, je ne peux plus. La chef voit cela et, sans hésitation, lui donne un coup de pied dans le flanc. — Pousse-toi la vieille ! C’est bon, tu as assez profité. Elle se pousse alors, me permettant enfin de respirer.
Pendant ce temps, celle qui me chevauche ne perd pas le sien. Dès le départ de sa codétenue, elle s’allonge sur moi et vient se plaquer sur mon torse. Dans cette position, elle coulisse sur mon sexe et ses seins s’écrasent sur mon torse. Elle glisse ses bras sous les miens et me serre si fort que j’ai l’impression qu’elle veut me broyer. Il s’agite de plus en plus et je sens qu’elle n’est plus très loin du plaisir ultime. La jeune femme continue de profiter de ma main juste à côté de moi. Je tourne la tête et la vois. Assise sur le sol, les cuisses très largement écartées, ma main est engloutie au creux de sa chatte. Son visage si jeune, ses cheveux roses me font sourire devant tant de fragilité malgré la situation. Elle est proche elle aussi du plaisir et pour ne pas que je m’échappe, elle tient fermement mon poignet avec ses deux mains pour se pilonner le sexe. Cette vision, si excitante, manque de provoquer mon propre désir. Je ressens, au creux de mes reins, l’excitation grandir. Je ne vais pas tarder, malgré la cavalcade insensée de ma partenaire du moment, à prendre du plaisir dans cette situation si forte et si intense. À ce moment, ma jeune partenaire hoquette de plaisir et je sens son vagin fortement, puissamment enserrer mes doigts. C’est une vision d’un érotisme si fort que je sens mon sexe tressauter au creux des reins de ma cavalière. D’ailleurs, elle s’en rend bien compte et elle se met à jouir elle aussi à ce moment. Ses bras me griffent les épaules dans les mouvements incontrôlés que son corps fait à ce moment. Je n’en peux plus. Ça y est, le plaisir monte. Je hurle de douleur. L’Antillaise qui me semblait plutôt complice jusqu’à présent, vient d’écraser mon autre main sous son talon, et coupe en un instant toute envie de plaisir. — Pas si vite ! Tu n’as pas fini. Tu es là pour notre plaisir pas le tien. La femme au visage grêlé se redresse, encore toute à son plaisir. L’Antillaise s’allonge alors à côté de moi. Sur le dos, elle écarte largement les cuisses dans une invite absolument pas équivoque. J’ai bien compris ce qu’on attend de moi. Je me redresse, mon dos me fait mal, mes bras me font mal, mais je n’ai pas le choix. Je m’allonge alors sur elle et dès qu’elle sent mon corps contre le sien, elle m’enserre de ses bras. Elle est forte et même si je le voulais, je ne sais pas si je pourrai m’échapper. J’entends alors une réflexion dans mon dos : — Plus tout jeune, mais il a quand même l’air de tenir la cadence ! Ce petit hommage à mon ego me fait du bien malgré la situation où visiblement, je n’ai pas mon mot à dire. Je n’ai pas trop le temps d’y penser car ma nouvelle partenaire a déjà saisi mon sexe et l’a guidé au creux de ses reins. Elle me dit tout doucement qu’elle aime ça et que j’ai intérêt à être à la fois tendre et fort. Malgré tout, cette femme est belle dans son plaisir. J’ai envie de la satisfaire. Tout autant que j’ai également envie de me satisfaire. Alors, j’ondule du bassin et je viens doucement coulisser au creux de sa féminité offerte. Elle réagit et semble autant apprécier que moi. Sans plus me soucier des autres femmes autour de nous, je me surprends à aimer lui faire l’amour. Nos corps s’emboîtent parfaitement, nos mouvements se répondent et je sens son désir et son plaisir réagir au mien. Enfin un peu de tendresse dans ce monde si dur ! Pendant plusieurs minutes, nos désirs montent, les corps se parlent, et nos bouches se rejoignent dans un baiser sans aucune contrainte. J’apprécie ce moment rare au milieu de cette orgie sans nom. Cela ne dure pas. Car je reçois sur les fesses un coup violent qui me fait sursauter. Ma partenaire me serre encore plus entre ses bras autant qu’entre ses cuisses et je ne peux pas me dérober.
La chef tient une ceinture dans ses mains et elle vient de me fouetter l’arrière-train d’un geste sans aucune hésitation. Elle recommence ! Je sens de nouveau la douleur cuisante sur mes cuisses et mes fesses et je cherche à me dégager. Dans mes mouvements, je pilonne de plus en plus ma partenaire qui semble apprécier le traitement. Je me dis qu’il faut que j’en finisse au plus vite sinon mes fesses seront en sang. J’accélère donc le rythme et je la baise littéralement de plus en plus vite, de plus en plus fort. Elle aime cela. Je sens ses ongles longs dans mes flancs qui me griffent. Je me sens piégé par cette femme que je trouvais pourtant si désirable il y a encore quelques instants. Un nouveau coup de lanière zèbre mes fesses. La douleur s’est installée, lancinante et continue. Un nouveau coup. J’ai l’impression que ça ne va jamais finir et que je vais vraiment souffrir. Encore deux puis trois puis quatre coups de ceinture, je n’en peux plus... À chaque coup, je me cambre et ma partenaire apprécie d’autant plus qu’à ce moment je la pénètre encore plus profondément. Elle me crie : — Encore salaud ! Baise-moi ! Va au fond ! J’aime trop ta queue ! Jute en moi ! Je veux sentir ton foutre m’inonder ! Deux mains se posent alors sur mon cul meurtri. J’ai mal. Je sens un liquide froid couler sur mes fesses et ces mains l’étalent sur mes plaies. Ça sent l’huile. Une douce sensation de fraîcheur vient calmer la douleur lancinante des coups reçus. Je sens qu’elle masse l’intégralité de mes fesses, du haut de mes cuisses. Je sens même sa main s’égarer sur mes testicules et les prendre pour les palper avec enfin un peu de douceur. Ses mains se glissent entre mes fesses et je sens son doigt doucement s’aventurer sur ma rondelle. Elle glisse une phalange et je me dis qu’il va falloir que je finisse rapidement avec celle qui me tient si je ne veux pas l’avoir dans le Q si l’on peut dire... Je la pistonne donc de plus en plus rapidement d’autant plus qu’elle semble apprécier ce traitement. Le doigt a quitté mon anus et la main continue de caresser mes fesses. Au moment où enfin je sens ma partenaire proche de l’orgasme, j’accélère le rythme encore une fois. Mais je sens que, d’un coup, on écarte mes fesses et sans que j’aie le temps de me rendre compte, une énorme tige vient se loger dans mes reins. Je crie, tellement la douleur est intense. Je cherche à me dégager mais, combinant leurs efforts, la chef et l’Antillaise ne me laissent aucune échappatoire. Car c’est la chef, qui, munie d’un gode ceinture est venue profiter de mon arrière-train. La douleur est particulièrement forte car j’avoue qu’aucun objet non médical n’a jamais forcé mon anus et je me sens déchiré de l’intérieur. Je rue pour me dégager mais mes mouvements ne semblent avoir comme conséquence que d’exciter plus fortement encore ces femmes déchaînées. Mon Antillaise ayant compris ce qui se passait, profite encore plus de mon corps ballotté à la fois par ses mouvements ainsi que par ceux de ma pourfendeuse. Je n’en peux plus. La douleur, alliée au plaisir, a raison de moi. Dans une jouissance que je ne saurais m’expliquer, j’éjacule fortement au creux des reins de ma partenaire. Je sens les jets de ma semence venir frapper les parois de ma partenaire dans un moment à la fois bestial et torride. Sentant cela, son vagin enserre encore plus fort mon sexe comme pour le traire et sa jouissance rejoint la mienne dans des râles partagés. Ma partenaire dorsale, sentant tout cela, jouit également de me sentir possédé par elle. Nos gémissements, nos halètements, nos souffles se mêlent dans un délire sans nom. Je n’en reviens pas. Nous nous écroulons sur le côté.
Quelques minutes plus tard, la porte s’ouvre. La gardienne est là, les yeux pétillants. Si ça se trouve, elle nous regardait sans que je ne m’en rende compte. — Alors mes salopes ! On a bien profité à ce que je vois. La moitié du bâtiment vous a entendus. C’est malin ! Il va falloir que je gère toutes ces filles excitées dehors. Vous faites chier. Allez toi, rhabille-toi ! Vite ! Et tu as intérêt à fermer ta gueule sinon ta copine va trinquer.
Je me rhabille en silence. J’ai mal partout. Mes vêtements sont encore mouillés. Mais en même temps jamais je n’aurais cru vivre une expérience pareille. Je quitte alors la prison sans esclandre, sans me plaindre. Je sais que je vais devoir revoir Laurence bientôt pour une prochaine visite. Vais-je oser revenir ici ?
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