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Visite en prison de femmes

Chapitre 2

La directrice de la prison

Lesbienne
Ayant imaginé la scène entre Me Langlois et la détenue dans la cellule, la directrice très excitée fait venir la prévenue dans son bureau.
— Mlle Monique Viala, je vous ai fait appeler, car je viens de relire votre dossier et j’ai quelques précisions à vous demander. — Bien Madame, je vous écoute.— Tout d’abord, êtes-vous satisfaite de votre entretien avec Me Chantal Langlois ? — Oui Madame, elle a été charmante et très compréhensive. Merci de me l’avoir adressée.— Je savais que vous lui plairiez physiquement, j’avais pu admirer votre corps lors de la fouille d’entrée et j’en ai gardé un très frais et très bon souvenir.— Pardon, Madame, mais vous vouliez me parler de mon dossier.— J’avoue que c’est un prétexte. Ma position de Directrice me permet de convoquer les pensionnaires à tout moment de leur incarcération. Et j’avais envie de vous revoir hors procédure après ce que m’en a dit Me Langlois. Vous comprenez ? — Non, pas très bien Madame, mais mon dossier ? — Ne faites pas la sotte, approchez-vous.
Comme elle s’était positionnée en face de Chantal Langlois, l’avocate, la directrice retire son fauteuil de la proximité de son bureau et les jambes écartées, la jupe relevée jusqu’à mi-cuisses, commence à dégrafer son corsage sur un soutien-gorge hypertendu par son imposante poitrine.

« Je sais que vous avez été très salope avec Chantal Langlois. Elle m’aide beaucoup à rendre le séjour de mes pensionnaires agréable. Moi aussi j’aime les belles femmes comme vous. J’ai imaginé vos ébats et cela m’a vraiment donné envie de vous voir. J’aimerais voir si vous êtes à la hauteur de mes exigences. Ma chatte est déjà mouillée à l’idée de vous caresser.
Vous comprenez maintenant pourquoi je vous ai fait venir ? »« Je comprends ce que vous me dites Madame, mais vous êtes la directrice et je suis énormément surprise. Je crains que vous me reprochiez une attitude que je ne devrais pas avoir alors que je purge une peine légère et je ne voudrais pas aggraver mon cas ».
« N’ayez pas de crainte. Il vaut mieux que vous ayez affaire à moi qu’aux autres détenues. Si je vous transfère en cellule commune, les filles en manque de sexe sont en général déchaînées sur une petite nouvelle et sont parfois très violentes. Approchez de plus près, mettez-vous à genoux devant moi, commencez à me caresser et embrasser mes pieds. Continuez sur mes jambes jusqu’à ma chatte.

Sans hésiter, lentement avec une allure féline, la désormais soumise s’agenouille, déchausse délicatement la directrice et tout en caressant ses bas, entreprend de doux baisers sur les orteils, le dessus et la plante des pieds.

« C’est bon, continue en remontant sur mes cuisses et bouffe-moi la chatte »« Voulez-vous que j’enlève votre string Madame, il m’a l’air très humide ? »
— Oui, déshabille-toi et enfile-le à la place du tien, je suppose que tu mouilles aussi et ça va m’exciter de savoir que nos jus se mélangent.
Monique se relève et dégrafe lentement sa blouse grise en dévoilant son alléchante poitrine dont les tétons sont déjà dressés d’excitation. Comme demandé par la directrice, elle fait l’échange de string et envoie le sien également très mouillé dans la direction de sa partenaire.
— Tu es belle Mademoiselle Viala, j’ai vraiment envie de me gouiner avec toi.— Moi aussi Madame, je vous trouve très attirante et j’ose vous dire que je partage votre envie.— Caresse-toi, glisse légèrement ton nouveau string à mi-cuisses et approche-toi à nouveau pour continuer à me lécher. Je sens que je mouille de plus en plus abondamment.
La petite salope se présente les jambes écartées, se caressant la chatte à travers son abondante toison brune, écarte bien les lèvres pour découvrir son clito bandé comme une petite bite. S’asseyant à califourchon sur les cuisses de sa partenaire qui est toujours assise sur son fauteuil de bureau, elle lui attrape les cheveux pour lui rejeter la tête en arrière et plaquer sa bouche contre la sienne pour un fougueux échange de salives et de langues fourrées. Les mains de Monique parcourent le corps de Chloé en s’arrêtant sur un sein qu’elle extrait de son soutien-gorge.
— Oui, suce-moi aussi les seins petite salope, aspire mes tétons, suce-moi de partout et viens me faire jouir avec ta langue dans mon con. Je sens tes cuisses mouillées sur les miennes, tu viendras aussi me donner ton jus, je te sucerai à mon tour.
Les lèvres de Monique parcourent le corps de Chloé jusqu’à atteindre le pubis, et, à nouveau agenouillée, enfouit sa bouche dans l’épaisse foufoune ruisselante de mouille. La langue pénètre le plus profond dans la cavité de plus en plus lubrifiée et là, l’orgasme de sa partenaire est tellement puissant que Chloé se raidit en attrapant Monique par les cheveux et en émettant un nouvel impressionnant jet de cyprine accompagné d’un râle de plaisir qu’on aurait pu entendre au-delà des murs du bureau.
— Madame, sauf votre respect, vous m’avez beaucoup excitée, mais je n’ai pas encore joui. Puis-je espérer vos doigts et votre langue ?— Couche-toi par terre petite salope, tu vas avoir ta récompense.
Chloé s’est complètement dénudée et s’allonge sur Monique en 69. Chloé se saisit d’un de ses seins pour frotter le téton sur le clito de Monique comme pour le masturber.
— C’est bon, Madame, j’ai également votre jus sur la figure, continuez. Votre langue, je la veux dans ma chatte. « Oui c’est bon, c’est bon, je sens que je monte, je jouis ! Ahhh...
Après un instant de répit, les deux corps se séparent et chacune se rhabille en silence.Monique a gardé le string mouillé de la Directrice en espérant qu’elle ne le lui réclame pas. En voyant la directrice enfiler le sien, elle en conclut que c’est un « échange de bon procédé ! »

« Voilà Mademoiselle Viala, votre dossier est en bonne voie. Il sera également suivi par Me Chantal Langlois qui y a manifesté beaucoup d’intérêt. Je pense que nous aurons à le compléter ultérieurement. Vous êtes encore dans mon établissement pour quelque temps. N’hésitez pas à me demander un entretien si vous avez quelque problème que ce soit.La surveillante va vous reconduire dans votre cellule. »« Vous êtes bien aimable Madame. Quoiqu’il arrive, je garderai certainement un excellent souvenir de mes premiers jours d’incarcération et j’ai bien compris que j’étais votre soumise. »

La surveillante se présente donc pour raccompagner la détenue dans sa cellule.Arrivée à la porte, avant les tours de clé d’ouverture, la matonne se penche à l’oreille de Monique :
— Elle t’a baisé la salope, je m’en doutais. J’ai mouillé en t’attendant comme quand je vous ai surveillées avec l’avocate. Si un jour tu as envie, fais-moi signe, j’aimerais bien te caresser moi aussi.
Monique ne répond pas et se laisse à nouveau enfermer.
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