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Visite en prison de femmes

Chapitre 3

La directrice, la surveillante , la détenue et une visiteuse

Lesbienne
Plusieurs jours se passent. Monique attend son jugement pour trafic et recel de drogue. Elle s’était fait prendre à l’aéroport avec une dizaine d’olives de cocaïne qu’elle s’était introduites dans le vagin.Pas de visite, ni de la visiteuse ni de la directrice qui est en vacances. La solitude de la cellule isolée commence à lui peser. Elle n’a lié aucune relation avec les autres détenues lors des promenades, même si elle s’est rendu compte que deux d’entre elles se caressaient en cachette et s’intéressaient beaucoup à elle. Ces jours derniers, ce n’était pas la même surveillante qui la gardait. Une femme revêche, maigre, assez déplaisante et peu engageante pour essayer de la provoquer.Par chance, aujourd’hui, c’est son ancienne gardienne qui est revenue.En passant devant la cellule, la gardienne apostrophe notre détenue :
— Alors petite salope, tu es en manque, la directrice est absente et tu n’as pas de visite.
Monique se souvient de la proposition de la gardienne à la suite de la partie de gouinage avec la directrice « Elle t’a baisée, la salope; je m’en doutais. J’ai mouillé en t’attendant comme quand je vous ai surveillées avec l’avocate. Si un jour tu as envie, fais-moi signe, j’aimerais bien te caresser moi aussi »
Monique approche et se plante près de la grille. Elle ouvre sa blouse laissant jaillir ses énormes seins avec les tétons tendus de désir. A travers les barreaux, la matonne passe le bout de sa matraque pour caresser la chatte de sa prisonnière qui s’empresse de saisir l’objet pour se caresser le clito. Visiblement, elle mouille, des gouttes suintent sur la hampe du bâton. La gardienne qui se prénomme Lucie retire la matraque pour la sucer et se caresser sous sa jupe.
— Tu m’excites, petite salope, je vais entrer dans la cellule et te baiser comme une chienne. Tu vas voir la différence avec l’avocate et la directrice.
Les clés tournent dans la serrure, la porte grince à l’ouverture. Lucie saisit brutalement sa proie, lui arrache sa blouse, la retourne et la colle, dos à la grille où elle lui attache les poignets avec ses menottes.
— Ecarte les cuisses, petite pute, tu as goûté de ma matraque, mais tu vas la sentir profond dans ton con, et je veux t’entendre gémir, mais pas gueuler. — Je la voudrais aussi dans mon cul.— Tais-toi, c’est moi qui commande et décide, tu vas être servie.
Après avoir introduit lentement, mais profondément l’engin dans la chatte de sa prisonnière, la gardienne relève sa minijupe, elle n’a pas de culotte, et s’introduit l’autre extrémité du bâton dans sa propre chatte, elle, aussi, dégoulinante de cyprine.
— Tu ne t’es sûrement jamais fait baiser par une matraque de flic; est-ce que tu aimes ? — Oui, c’est un peu raide, mais c’est bon quand ça frotte sur mon clito. J’ai aussi envie de voir vos seins, ils m’excitent sous votre corsage.— Nous verrons tout à l’heure sur le lit; pour le moment je veux te voir jouir.
Après quelques coups de boutoir, la surveillante retire le bâton des deux chattes.
— Je veux te voir jouir seule sans te toucher, et sans que je te touche; tu voulais voir mes seins, regarde-les, touche-les avec les yeux, imagine que tu suces les tétons pendant que je me branle devant toi, je veux voir ta cyprine couler et tremper ta touffe.
La situation excite Monique au plus haut point, elle tire sur ses menottes qui la rendent prisonnière à la grille, elle frotte son cul sur la grille, remonte une jambe après l’autre sur son pubis effectivement mouillé de plaisir, elle gémit, fait des mouvements de va-et-vient avec son cul comme si elle baisait »
— C’est trop dur, je n’en peux plus, bouffez-moi.— Non, je t’ai dit que je voulais te voir jouir seule.— Ca y est, je sens que ça monte, oui, oui, je pars. Ahhhhh.
La salope se mord les lèvres pour ne pas crier et un puissant jet de cyprine jaillit d’entre ses poils.
— Vas-y mouille, mouille, je voudrais aussi te voir pisser pour boire ton jus. Oui, pisse sur mes seins.
Le petit jeu uro terminé, la gardienne détache sa prisonnière et la tire vers le lit.
— C’est moi qui vais m’allonger et tu vas jouer avec mon corps; que je vois de quoi tu es capable ! Je veux que tu me fasses jouir deux fois coup sur coup.
Allongée sur la couche spartiate de la cellule, la gardienne a remonté sa jupe au haut de ses bas, la poitrine, hors du corsage et s’offre à sa prisonnière.
— Vas-y, caresse-moi. Suce-moi, baise-moi avec tes mains, fais tout ce que tu veux.
Très excitée, Monique se penche sur sa gardienne et commence à lui rouler une pelle d’enfer en lui tirant les cheveux vers l’arrière, elle lui lèche le visage, lui crache dans sa bouche grande ouverte de désir et la nettoie à grands coups de langue jusque sur la poitrine où elle s’amuse avec ses tétons.
— Suce-moi, suce-moi, j’adore ça, descends sur ma chatte et bouffe-moi, je sens que je mouille, aspire mon clito pour me faire jouir.
Monique enjambe sa partenaire en 69 pour plaquer sa chatte sur la bouche de la gardienne et lui fouiller la chatte. L’orgasme ne tarde pas à venir, il est tellement puissant que la matonne est prise d’un tremblement intense.
— Continue, je t’ai dit que je voulais jouir deux fois de suite, tu es trop bonne.
Malheureusement, au moment du deuxième orgasme, le bip du téléphone de la gardienne retentit.
— Merde, c’est la directrice, elle est rentrée, il faut que j’y aille. Je reviendrai te voir, tu mérites qu’on s’occupe de toi, tu es vraiment bonne.—----------------------------------------------------------------------— Madame la directrice, vous m’avez demandée ? — Oui Lucie. Je vous ai affectée à la surveillance de Mademoiselle Monique Viala. J’aimerais que vous me disiez si elle ne pose pas de problèmes. J’ai vu dans son dossier qu’elle avait un penchant de lesbienne qui n’est pas répréhensible en soi, mais dans une prison de femme, cela peut poser quelques difficultés. Maître Langlois lui a rendu visite la semaine dernière, les avez-vous surveillées ? — Oui Madame, j’ai l’habitude des visites de Maître Langlois, je sais qu’elle apprécie les jeunes détenues et que ses visites sont un peu en marge de ses activités professionnelles. Si je puis me permettre, Mlle Viala semble apprécier ce type de visite. Il faut dire que c’est une femme qui a un corps très sexy.— Elle vous fait de l’effet ? — Je dois avouer que dans un contexte, autre que détenue/surveillante, je la trouverais fort désirable. — Je le pense moi aussi. Et comme je connais votre attirance pour les femmes; c’est pourquoi je vous ai confié sa surveillance.
Tout en discutant, la directrice assise à son bureau avait ostensiblement remonté sa jupe à mi-cuisses découvrant le haut de ses bas et se caressait discrètement la poitrine.
— Je vois que vous regardez mes jambes avec insistance Lucie et j’ai souvent surpris votre regard sur ma poitrine, vous ferais-je également de l’effet ? — Oui, je dois l’avouer, Madame, je fantasme sur votre corps, mais votre position hiérarchique m’impose une réserve. — Approchez, nous allons faire tomber momentanément cette distance hiérarchique.
Tout excitée, la surveillante s’approche de sa directrice, mais elle est stoppée par la sonnerie de l’interphone.
— Madame, nous avons un problème au parloir n°3 avec une visiteuse que nous soupçonnons de cacher de la drogue pour une détenue. Il faudrait une fouille à corps.— J’arrive.— Lucie, venez avec moi, j’aurai peut-être besoin de vous.
Arrivées au parloir, c’est devant une belle métisse plantureuse, dotée d’une poitrine imposante que se trouvent la directrice et Lucie.
— Madame, vous n’êtes pas sans savoir le règlement. Nous avons la possibilité de vous fouiller minutieusement particulièrement dans le cadre actuel de la lutte contre les produits psychotropes. Votre refus vous occasionnerait bien des ennuis. Si vous voulez bien nous accompagner dans le local derrière vous, la surveillante va procéder à la fouille en ma présence.
Arrivées dans le local, la directrice demande à la visiteuse de se déshabiller.Après avoir dégrafé son corsage dilaté par un soutien-gorge laissant apparaître deux tétons, dressés comme de petites bites; c’est au tour de la minijupe qui tombe à terre offrant à la vue un splendide corps avec un dos bien cambré et des fesses qu’on aurait envie de peloter à pleines mains. Un porte-jarretelles brodé soutenant de bas noirs en nylon rend la vue des plus excitantes.
— Nous devons vérifier que vous ne cachez rien dans votre soutien-gorge ni dans votre slip et dans votre vagin, c’est souvent un endroit utilisé par les mules quand elles n’avalent pas carrément des ovules de drogue pour les expulser plus tard.
La surveillante s’approche donc de la visiteuse, et avec un plaisir non dissimulé, passe ses mains sous les bonnets de soutien-gorge, presque comme une caresse un peu appuyée; mais rien de répréhensible dans le sous-vêtement. Maintenant, c’est au tour de l’entrecuisse, et là, Lucie ayant introduit une main dans la culotte de sa vis-à-vis caresse une abondante touffe brune avant d’introduire un doigt puis deux dans une chatte qui semble bien mouillée.
— Ah, Madame, je sens quelque chose d’anormal.
La main pratiquement enfouie dans le vagin, la surveillante en extrait un sachet de plastique contenant deux gélules probablement de drogue.
— Alors Madame, j’attends vos explications.
Sans se démonter, la fautive explique que la détenue qu’elle venait voir supporte mal son sevrage à la prison et qu’elle a eu pitié.
La petite scène de déshabillage et de fouille de ce splendide corps semblait avoir particulièrement excité la directrice qui subrepticement se caressait les seins par-dessus son corsage.
« Vous savez que je devrais appeler nos collègues policiers pour établir un constat et que vous aurez de sérieux ennuis, mais je vous propose un marché :Vous avez un corps admirable et désirable. Nous pourrions, toutes les trois, nous offrir une partie de plaisir sexuel. Je vous laisserais alors rendre visite à votre amie, mais bien sûr, je confisque les gélules de drogue. »« Si je comprends bien, je n’ai pas le choix ? »
— C’est vous qui décidez.
La surveillante reprend la parole :
— De toute façon, cela ne devrait pas vous déplaire, car quand je vous ai palpée, j’ai bien senti vos tétons se durcir et lors de ma fouille, votre chatte émettait de petits jets de cyprine trahissant une certaine excitation. N’est-ce pas ? — Oui, vous étiez tellement douce et insistante que j’y ai pris un plaisir fugace, mais vite dissipé par votre découverte.— Donc, vous êtes notre soumise.— Vous allez vous caresser, vous branler pour nous mettre en appétit, je veux voir vos cuisses trempées de mouille que vous nous ferez lécher.
Cela dit, notre soumise commence à se caresser la figure, entrant et sortant un doigt de sa bouche d’une façon on ne peut plus sensuelle; elle descend ses mains sur sa poitrine en sortant ses seins de leurs bonnets et en les faisant jaillir comme de gros obus. Elle tire sur ses tétons dressés sur de larges aréoles brunes et continue ses caresses le long de son corps jusqu’à atteindre l’abondante toison d’où perlent déjà des traces de cyprine.Puis, prenant à deux mains ses grandes lèvres, ouvre grand sa chatte laissant apparaître un énorme clitoris[JG1] dressé comme une petite bite.
— C’est trop bandant. Approche, que je suce ce petit engin.— Hum ! C’est bon, mordillez-le en aspirant, j’adore ce petit supplice, ça me fait mouiller comme une fontaine et vous êtes sûre de me faire jouir.
Devant le spectacle, Lucie la gardienne, a introduit une main sous sa jupe relevée et se branle ardemment.
— Madame, je voudrais lui bouffer le cul et la fister pendant que vous la faites jouir.— Vas-y, Lucie, elle est à toi aussi, fais ce que tu veux.
Après de bons coups de langue pénétrants, Lucie se lubrifie une main dans sa propre chatte très humide, et lentement pénètre le cul de la visiteuse.
— La salope, elle doit avoir l’habitude, ma main entre comme dans du beurre, j’y suis jusqu’au poignet.— Allez-y toutes les deux, plus fort, branlez-moi, je sens que je monte, oui, oui je jouis ! — Surtout, ne crie pas, on pourrait nous entendre. Vas-y, pisse, pisse-moi sur la gueule, j’en veux dans ma bouche, je me branle en même temps, je vais jouir, c’est bon; continue dans ma bouche.— N’avalez pas, Madame, nous échangerons le jus de cette salope, j’en ai envie moi aussi.
La petite séance terminée, la directrice s’adresse à la visiteuse :
— C’est bien, vous avez mérité d’aller voir votre amie en détention, je passe comme promis, sur notre découverte; mais à la prochaine visite, soyez prudente; je ne serai peut-être pas là vous sauver la mise.— Je vous remercie Madame.
Après avoir quitté le local du parloir, la directrice et Lucie vont se séparer pour reprendre chacune ses occupations.
— Alors Lucie, j’avais deviné que vous étiez probablement une gouine un peu salope, j’en ai eu la confirmation. — Sauf le respect que je vous dois, Madame, je trouve que vous aussi, vous êtes experte dans le déduit. Mlle Viala, notre dernière pensionnaire, m’a semblée affectée par votre absence pendant vos congés, elle n’a lié aucun contact avec les autres détenues qui pourtant tournent autour d’elle pendant la promenade. Il faut dire qu’elle est vraiment excitante. — Vous avez raison, peut-être pourrions-nous lui offrir un petit plaisir partagé ?
Les deux femmes se séparent avec un éclat de rire.[JG1]
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