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Visite d'un sauna mixte

Chapitre unique

Avec plusieurs hommes
Je ne suis pas très pudique, on peut même me qualifier de totalement impudique voire d’exhibitionniste lorsque l’occasion se présente, je reste consciente que la majorité de la population n’a pas vraiment les mêmes approches sur la nudité, trouvant même qu’une vive aversion pour les parties charnues se développe ; ne parlons même pas de l’organe reproducteur. Je réserve donc mes apparitions dénudées dans des sites officiels dédiés à cela, ou bien des petits coins de nature où je sais pertinemment qu’un public non averti ne fera son apparition.Je ne me considère pas comme naturiste car même si j’aime vivre nue chez moi, le concept du resto, des courses à la supérette, de la partie de pétanque et autres activités de ce style ne m’intéressent pas en version sans textile. Si j’ai bien compris la classification je suis plus nudiste que naturiste.Vous comprenez donc que pour ce qui concerne le préplacement estival, je préfère m’offrir au soleil dans le plus simple appareil et j’avoue même sans aucune honte apprécier exhiber mes gracieuses courbes aux yeux intéressés, des plus sages ou plus salaces. Au détour des dunes ou des buissons de la pinède, me sentir observée lors de mes escapades sexuelles décuple ma jouissance, celle-ci atteignant des sommets lorsque mes voyeurs se masturbent sans aucune retenue.Les coins discrets pour lézarder à poil au soleil ne sont pas ce qu’il manque autour de chez moi, mais malheureusement, je ne connais pas l’existence de sites extérieurs de drague et d’exhibition affirmés proche de mon domicile. Je profite de mes déplacements pour partir à leur découverte, appréciant peu l’ambiance du Cap d’Agde pour préférer les dunes de Biscarrosse, du Bois Plage ou la forêt d’Anglet. Mes expériences dans ces lieux sont toujours merveilleuses mais ne me permettent pas de me lâcher complétement, angoissant de me faire surprendre par les forces de l’ordre, ou pire encore, pour ce qui pourrait arriver à une femme seule dans ces lieux.

Je me suis donc mise en quête d’un lieu où je pourrais exprimer mes désirs en toute liberté et sécurité. N’aimant absolument pas danser et ne me voyant pas faire plante verte les fesses posées sur un fauteuil à attendre, j’ai vite, et à tort, éliminé les boîtes et clubs libertins, pour jeter mon dévolu sur les saunas, pensant ainsi regrouper plusieurs de mes attentes en associant exhibition des corps, sexe et détente. Mon attention s’est portée sur un petit sauna à Paris proche de la gare de Lyon qui a aussi l’avantage d’être facilement accessible lors d’un de mes déplacements en train. Soyons tout à fait honnête, c’est surtout lorsque j’ai lu les commentaires que mon choix s’est définitivement porté sur ce sauna qui a la particularité d’être ouvertement bi. Non, ce n’était pas la perspective d’une relation lesbienne qui a immédiatement illuminé mon esprit, mais plutôt la possibilité de réaliser un de mes fantasmes en assistant à une relation entre hommes, en y prenant pourquoi pas part.

Nous sommes vendredi, mon paquetage est prêt, il n’y plus qu’à attendre le car qui m’emmènera à la gare. Je suis vêtue sagement d’une robe longue bohème et de sandales espadrilles, complétant cette tenue par une lingerie en dentelle vert foncé qui s’accorde parfaitement à ma peau blanche et ma rousseur. Un soutien-gorge pigeonnant et un tanga qui dans l’intimité laisse deviner ma petite bande de poils bien taillée et accordée à ma chevelure.Le TGV s’élance pour cinq heures de voyage. Pour faire monter la pression, je mets à profit ce temps pour rattraper le retard que j’ai dans mes lectures érotiques. Absorbée par les images qui défilent dans ma tête, ma main libre caresse inconsciemment l’intérieur de ma cuisse droite qu’un pan de ma robe a découvert en glissant jusqu’à l’aine, délivrant à mon voisin un spectacle que son attitude me fait comprendre que la manœuvre n’est pas déplaisante à observer. Par jeu et peut être aussi par un peu de sadisme, je tire, à l’aide de mon index, une dernière ligne remontant de mon genou pour aller se perdre sur la dentelle, le gratifiant d’une vue libre sur mon mont de vénus, avant que je ne replace ma robe.Il ne me plaît pas du tout, mais je crois qu’une heure supplémentaire de cette tension et je lui demanderais de me baiser sauvagement dans les toilettes de la voiture.

Le train ralentit au milieu des immenses barres d’immeubles aux façades grises et austères, il ne me reste plus qu’une petite demi-heure de métro pour rejoindre l’hôtel où je prends habituellement mes quartiers. Mes bagages déposés, je me dirige vers le quartier Bastille pour y faire une petite balade jusqu’à Bastille, quartier plutôt sympa dans une ville qui ne m’attire pas beaucoup avec ses nuisances sonores et olfactives qui vous agressent à chaque instant, les visages fermés pour certains hautains, les balades qui se transforment en slalom entre les vélos et les trottinettes, et le très poétique « t’es trop bonne mademoiselle ». Ce n’est pas Paris en elle-même qui me révulse, mais toutes les grandes villes sur le même modèle. J’avoue quand même que l’on y trouve tout ce dont on a besoin, et même plus, et c’est quand même ici que se trouve le lieu qui attise mes fantasmes depuis déjà de nombreuses semaines et que je ne trouve pas dans ma ville moyenne de province.

Il est maintenant l’heure de me préparer, commençant par une complète qui me permettra de me sentir sereine lors des outrages que je compte subir, je repasse ensuite ma petite robe. Seule ma lingerie se mue, car même si je sais que je ne vais pas la conserver bien longtemps, je suis dans le même état d’esprit qu’une écolière qui ne voudrait pas rater son arrivée à la rentrée des classes. Je compte bien faire sensation dès les premiers instants et attirer toute l’attention du public. Soutien-gorge ouvert, porte-jarretelle avec bas fluides, string fendu comportant une petite enfilade de perles autour de laquelle je place chacune de mes deux petites lèvres proéminentes ; si avec ça je n’y arrive pas, je ne comprends plus rienDix-huit heures, un peu tôt pour commencer une soirée de luxure, mais j’ai lu dans les commentaires que la fin de l’après-midi est plus composée de travailleurs qui passent avant de rentrer chez eux, pour laisser un peu plus tard dans la soirée place à une clientèle d’habitués. J’ai envie de profiter de ces deux éventuelles ambiances que j’imagine sauvage au début et plus feutrée dans la soirée.Je franchis la porte de l’établissement pour me retrouver dans un sas dans lequel un homme m’accueille derrière sa vitre.

— Bonjour madame— Bonjour, je souhaite me détendre dans votre sauna— Savez-vous quel type de sauna nous sommes ?
— Oui, c’est bien pour cela que je suis là

J’ouvre ma robe afin de le convaincre que je connais parfaitement le type d’endroit que je visite.

— Pour une première, l’entrée vous est offerte— Merci beaucoup, mais il y a peut-être moyen d’avancer des consommations.— Ce n’est pas que je veux vous faire passer pour une profiteuse, mais quelque chose me dit que vous ne devriez pas avoir à payer vos consos.

Voilà, je rentre enfin dans ce lieu de débauche, avec à ma gauche un coin détente constitué de canapés sur lesquels certains hommes s’arrêtent de discuter pour m’ausculter de la tête à pied dans le plus grand silence. Quelques regards sans équivoque me confirment que je deviens une proie que si c’est de la baise que je suis venue chercher, je suis au bon endroit.On me tend une grande serviette ainsi qu’une paire de tongs que je refuse. J’ai horreur de marcher avec ça aux pieds, ne me voyant pas déambuler à poil avec des claquettes disgracieuses. Adepte des piscines collectives, j’ai adopté des bombes que l’on passe sous les pieds et qui forment une pellicule résistante protectrice et surtout invisible. À défaut d’escarpins, c’est bien plus sexy.Il m’amène aux vestiaires femmes qui sont un peu à part.

— Mettez-vous à l’aise, mon collègue vient pour vous faire visiter les lieux.

J’ai une petite déception, moi qui comptais m’effeuiller sous les regards de mes prédateurs pour en attiser l’appétit, je me retrouve un peu à l’écart. Je trouve tout de même un angle qui leur permet de profiter de ma mise à nu. Je défais lentement le nœud retenant ma robe dans le cou pour la laisser choir pieds, leur permettant de contempler mon dos, ma chute de reins, mes cuisses gainées de bas, et bien sûr, mon cul aux rondeurs appétissantes. Je me penche en avant sans plier les jambes pour la ramasser, les écartant même un peu pour sentir la petite chaînette de perles fendre mon intimité. Placée de profil, je retire mon string le faisant glisser lentement, replace mes seins en tirant sur leur pointe pour les exposer dans leur plus belle forme. Un petit sourire pendant que mes mains passent dans mon dos pour dégrafer la dernière entrave à ma nudité ; mes seins sont maintenant totalement libres. Mes sandales rejoignent le reste de mes vêtements dans le casier dont je confie les clefs à l’accueil.Je ne m’enveloppe pas dans la serviette, décidée à rester nue et disponible toute la soirée. Ça n’étonne pas vraiment mon guide qui vient d’arriver qui doit en voir bien d’autres, comprenant que je n’ai pas de toutes manières les attributs qui le combleraient, je le suis sans attendre dans le dédale de pièces. Le hammam, les douches, le sauna, les cabines, un coin avec des vidéos devant lesquels des mecs se paluchent. Surpris de voir une femme, l’un d’eux se précipite sur sa serviette pour se cacher le sexe. Le ridicule de la situation me fait sourire. Nous descendons maintenant un escalier pour arriver dans un petit espace peu éclairé comportant plusieurs cabines. Une avec des barreaux et un sling, une avec des matelas au sol et des trous dans la cloison, les fameux glory hole, et une avec deux vitres. Je vois bien que la première donne dans le couloir où nous sommes, mais l’autre ?Pour le deuxième, il faut contourner une cloison et passer dans une pièce plongée dans la pénombre dont seule la petite lueur tamisée provenant de la pièce observée ne permet de distinguer des silhouettes. C’est un peu glauque mais m’intriguant, m’attirant comme un papillon est attiré par la lumière, mais la peur de me brûler les ailes m’empêche d’y pénétrer plus en profondeur. Nous remontons, je prends une légère douche pour confirmer mon hygiène à l’assistance et ouvre la porte du hammam.

Une chaleur humide me submerge, alors qu’une légère odeur d’eucalyptus apaisante embaume mon cerveau. Dans le brouillard, je ne vois pas plus loin que mes pieds, me dirigeant à tâtons pour progresser j’effleure des jambes nues en longeant les bancs pour me réfugier dans un coin. J’ai bien senti un petit troupeau qui me suit à la trace, cherchant à m’encercler avant qu’une voix grave prétendant à aucune objection ne calme rapidement leurs ardeurs.Cette brume dense me fait perdre mes repères, me faisant heurter mes fesses sur des jambes derrière moi. Une main vient immédiatement se poser dessus, caresse mes reins et sans plus de présentations, parcourt mon sillon fessier tout en testant la souplesse de mon anus. Ses doigts s’avancent encore mais se retirent subitement quand elle ne trouve pas ce qu’elle est venue chercher. Ne se formalisant pas pour autant, il me pose une petite tape amicale sur les fesses et se réinstalle en toute simplicité.Mes yeux commencent à s’habituer à l’environnement et j’aperçois un emplacement libre sur le gradin supérieur entre deux hommes. Un trentenaire je pense, plutôt menu, barbe de trois jours, Il a la tête en arrière, posée sur le mur les yeux fermés. Ses jambes écartées me font constater que la chaleur ne lui détend pas que les muscles, me révélant un tableau composé d’une longue trompe flasque posée nonchalamment sur ses testicules distendus, me provoquant un petit rictus d’envie. Mon autre voisin m’a bien repérée lui, il est plus grand, charpenté avec un ventre de bon vivant, grisonnant, je pense la soixantaine. Il m’accueille avec son plus beau sourire et se tasse un peu pour que je me mette à l’aise, fesses posées sur ma serviette. J’aime mon petit confort, et j’avoue que je ne sais pas quel cul a traîné là avant.Je pensais être immédiatement assaillie de sollicitations, mais je suis agréablement surprise de constater que pour l’instant seuls des regards se contentent de disséquer visuellement ma petite chatte que mes jambes entrouvertes ne comptent pas masquer. On me laisse prendre le temps de me prélasser dans cette ambiance tropicale, ambiance dans laquelle je perçois de nombreux gémissements à peine couverts par des bruits de succions qui réveillent mon imagination. Je ferme les yeux pour laisser mes mains parcourir mon corps humide, elles glissent pour me caresser les seins et l’intérieur des cuisses, s’attardent quelques instants sur mon bouton ou étirent mes petites lèvres. Je sens la main de mon voisin de droite sorti de sa somnolence, se poser délicatement sur mon genou et entamer une danse qui remonte lentement sur le haut de ma cuisse. Constatant ma passivité, mon second voisin le rejoint dans les palpations, partant tous les deux à la découverte de mon ventre et de ma poitrine. C’est agréable, mais ça manque de quelques pincements légers sur mes tétons ou d’incursion sur ma petite motte. Peut-être n’osent-ils pas, c’est pourquoi je commence à m’emparer de leurs couilles pour entamer un doux massage qui dérape sur leurs manches pour leur prodiguer une branlette en règle. Je crois que c’est le point de départ pour le début des hostilités. Deux mains me saisissent les chevilles pour replier mes jambes sur le banc, faisant glisser ainsi mon cul au bord du vide. Je suis maintenant écartelée, mes deux trous à disposition pour une exploration sans limite.Je ne sais combien de mains sont posées sur moi, certaines commençant à me fourrer un ou plusieurs doigts après les avoir copieusement enduits de lubrifiant, d’autres continuant à me parcourir et à me maltraiter les seins. Mes orifices sont crochetés pour en apprécier l’élasticité et la profondeur, on me broie le clitoris, me claque les cuisses, et alors que je tente maladroitement de continuer de masturber les deux queues que j’ai dans les mains, un premier orgasme me submerge. Je deviens ni plus ni moins qu’une poupée sexuelle que l’on peut utiliser à sa guise et surtout honorer de sa jouissance, dont les premières commencent à me zébrer du ventre aux pieds. La queue que je branle, vite suivie de sa jumelle, crache sa semence dans ma main que je porte à la langue pour en goûter les saveurs dont elle est imprégnée. Plusieurs autres se succèdent pour se déverser sur mes doigts que je nettoie à chaque offrande, mes orifices restent rarement vides et les branleurs me font lécher leurs doigts après m’avoir copieusement aspergée.Le temps passe, je suis couverte de foutre et ne sais dire combien de fois la porte du hammam a pu s’ouvrir. Je commence à fatiguer, la position me peine et devient désagréable, surtout que les prétendants à mon inspection ne tarissent pas. Je souhaite faire une pause mais je ne sais comment me dégager de là, craignant les réactions de mécontentement et de frustration que cela pourrait engendrer. Ma détresse doit se lire dans mes yeux lorsque je regarde un jeune qui assiste à ma débauche assis de l’autre côté du hammam. Il se lève, dépliant une carrure impressionnante, accompagné de son voisin tout aussi imposant, pour me délivrer et mettre fin à la curée. Je suis engourdie, mes jambes tétanisées rendent impossible toute sortie, ce qui m’oblige à faire confiance à mes deux gardes du corps qui me soutiennent et m’allongent la tête sur les jambes de l’un, les jambes en travers de l’autre. Je bascule dans un inconcevable moment de douceur quand je sens leurs mains parcourir sans gêne mon corps poisseux ; ils ont la délicatesse d’éviter les zones encore très sensibles.Je resterais bien encore quelques minutes, mais l’appel de la douche est bien plus fort quittant mes deux anges qui me laissent partir avec un petit sourire quand je leur envoie un clin d’œil ne laissant aucun doute à une invitation future.

Les douches sont désertes, l’affluence s’étant reportée dans les vestiaires dans lesquels s‘agite un véritable chassé-croisé de corps qui se dénudent ou se rhabillent, les couilles vides des occasionnels faisant place aux habitués. Je m’installe dans la banquette du bar et me vois offrir un thé par un homme qui me demande d’écarter mes jambes pour laisser libre la vue de. Prise au jeu, j’écarte doucement les cuisses pour exposer ma vulve luisante à la dizaine de personnes présentes, dont une femme dans la quarantaine qui me regarde avec un air dédaigneux. J’ai l’impression que la présence d’une jeune salope n’est pas pour lui plaire, ne devenant ainsi plus le centre d’intérêt principal. Dommage, elle ne me déplaît pas, nous aurions pu partager un bon moment.Nous discutons de tout et de rien, à vrai dire je ne sais pas trop quoi, étant plus absorbée par le défilé de petits culs et de queues qui se produit devant mes yeux et qui commence sérieusement à me réchauffer.Je quitte l’assistance pour me faufiler de nouveau dans l’antre de la perversion, observant le moindre recoin à la recherche des images que je suis venue chercher. Je suis curieuse de connaître l’esthétique d’un rapport entre hommes. Je regarde du porno sur le sujet mais ne l’apprécie que rarement faute de ressentir le même naturel que l’on retrouve parfois dans des vidéos lesbiennes. Je pense que malheureusement je ne trouverai pas ici ce que je recherche, ça s’embrasse, se caresse mais on sent bien que c’est du sauvage, de la rencontre fortuite uniquement basée sur du vide-couilles ne laissant pas de place aux sentiments. Les trois que j’observe dans la pièce aux vitres, me confirment mon impression. Un d’eux, sodomisé à quatre pattes suçant le troisième ne bande même pas, se contentant de subir de grands coups de reins qui le font s’empaler la gorge sur un monstrueux mandrin, le nez butant contre le pubis devant lui. J’espérais voir des hommes s’enlacer sensuellement, je suis un peu déçue, mais les voir ainsi baiser ne me laisse pas indifférente. Il prend certainement autant de plaisir que moi il y a quelques instants, appréciant juste d’être utilisé. La chaleur et les picotements qui se propagent dans mon entre-cuisses me poussent à satisfaire ma curiosité pour aller voir ce qui se passe derrière cette cloison, lieu obscur théâtre de nombreux va-et-vient. J’y pénètre non sans une certaine appréhension. Seule la vue n’est pas sollicitée car pour les autres sens c’est un festival. La chaleur rend les lieux irrespirables, il s’y dégage avec une forte odeur de transpiration et de cul, le tout dans un ensemble de gémissements et de claquements semblables à ceux d’un pubis venant à la rencontre d’un fessier. Ce cocktail de sensations me rend folle d’autant plus quand je sens toutes ces mains et ces corps se frotter sur moi. Je circule en empoignant les appendices qui se présentent à mes mains, soupesant une paire de couilles, branlant délicatement une queue molle pour y aller franchement sur une plus dure, m’attardant sur des fesses attendant l’estocade. Une paire musclée me fait m’attarder un peu plus dessus et y prêter plus d’attention. J’en écarte les globes et y plonge un doigt pour en faire gémir l’homme contre le mur, le pénétrant sans résistance avec un deuxième pour lui dilater le fondement sans ménagement, sortant mes doigts pour les replonger immédiatement parfois accompagnés d’un troisième.

— Encule-moi maintenant !— Je ne suis pas équipée pour, mais je pense que tu devrais être vite comblé.

C’est la douche froide pour lui, surtout que mes seins posés sur son dos lorsque je lui murmure à l’oreille ne prêtent à aucun espoir. Comme annoncé, il ne reste pas vide longtemps, une ombre investissant la place libérée. Je comprends que je suis dans un marché aveugle, avec ceux voulant sucer, en attente accroupis la bouche à hauteur de queue, et ceux qui veulent se faire prendre debout face au mur croupe disponible, ne restant plus qu’aux clients à faire leur choix et à s’enfoncer dans l’orifice de leur choix. Le mien est fait, je me positionne seins écrasés sur le mur, jambes écartées, cambrée, prête à recevoir une multitude de mains sur ma croupe et mon cul, des doigts dans la chatte. Une tête se glisse sous ma vulve pour s’en emparer et en aspirer tous les sucs pendant que deux mains m’écartent les fesses pour en lécher le trou. Un requiem de sensations qui arrive à son paroxysme quand une énorme tige pointe à l’entrée de mon œillet pour s’enfoncer d’une traite au plus profond de mes entrailles. Elle me découpe en deux, me soulève pour m’empaler au plus profond, j’en ai le souffle coupé alors que seul mon lécheur est encore là pour m’empêcher de m’écrouler au sol, prenant appui sur sa tête je m’enfonce sur sa langue. Mes seins ballottent au rythme du pilonnage intensif que m’administre l’âne derrière moi. Je ne sais pas s’il a compris que j’aime être prise sauvagement par le cul, mais il me comble au plus haut point. Aidée par la préparation que j’ai subie, je profite de cette sodomie sans éprouver de douleur désagréable.Je perds pied avec ces mains qui continuent à me peloter, attrapant les queues qui passent à portée qui expulsent leur semence sur mes cuisses. L’autre en dessous ne lâche plus mon clito pour me l’astiquer sans faiblir jusqu’au moment où, embrochée jusqu’aux couilles, je sens mon enculeur se déverser dans mon cul, me libérant un énième orgasme. Son dernier tressaillement terminé, il sort de mon fondement sans me laisser le temps de récupérer, me laissant avachie sur le mur à la recherche d’un second souffle. Mon cul s’écarte de nouveau pour être fourré après que l’on a craché dessus pour le graisser. Cette queue plus fine me baise comme un lapin, ces couilles claquant sur mon périnée, pas beaucoup de sensations après le calibre qui vient de passer, j’attends qu’il se finisse sur mes reins. Le suivant se fout de lui, prenant rapidement sa place en le bousculant. Voilà la troisième queue que j’enfourne, je ne l’apprécie guère car mon esprit se focalise sur l’attroupement qui se forme, me déclenchant un moment de panique. Je repousse mon lécheur, mes anneaux se contractent et expulse la queue emprisonnée en tirant sur la capote que je lui arrache. A peine retournée à la lumière, je regrette de ne pas avoir saisi l’occasion pour céder à mes pulsions de devenir une vide-couilles le temps d’un moment de dépravation immorale mais je ne me sens pas prête d’y retourner.

Je suis comme une conne à chercher ma serviette qui a disparu, je remonte l’étage pour m’assoir à poil dans l’espace où les vidéos porno défilent. Perdue dans mes pensées, le regard absent je suis captivée par les images de ce porno gay qui défilent au milieu de quelques mecs qui doivent se demander ce que je fous là. Les jambes couvertes de foutre qui sèche par endroit, je colle de partout cependant, je n’ai pas envie de prendre de douche. Je dois puer mais ce n’est pas bien grave. Je remarque à peine mes deux anges gardiens qui m’observent avec un léger sourire. Ils se parlent discrètement, je n’entends pas leurs paroles mais j’ai tout de même une vague idée du fond de leur pensée voyant la bosse qui se dessine sur leur serviette. Je leur fais signe de me rejoindre et que j’apprécierai d’avoir leur compagnie. Ils s’installent comme dans le hammam, chacun d’un côté, entamant sans plus de formalités une salve de caresses, effleurant et couvrant de baisers ma nuque, parcourant de leurs mains mon ventre et mes seins, ils se saisissent de mes cuisses pour les poser sur leurs genoux. Mes bras sont passés derrière leur tête, je me retrouve ainsi compas grand ouvert, position dont ils profitent pour me masser à deux mains la vulve aux yeux de tous. Le moment est agréable, véritable contraste à la séance bestiale qui s’est terminée il y a quelques instants.

— Tu souhaites que l’on poursuive en cabine ?— Je suis bien là dans vos bras.— On pourra continuer si tu veux.— J’aime bien être exposée comme ça aux yeux de tous.— On peut aller dans la cabine exhibe si tu veux.— Faut que je me rince avant, je colle de partout.— Reste comme ça, c’est ton état de souillonne qui nous excite. En revanche, il faudrait que tu retires la capote que tu as de coincée.

Je suis là, les pattes écartées avec un morceau de latex dépassant de mon cul. Il n’y a pas de doute, je suis une véritable salope, et je le confirme en tirant dessus sans aucune honte pour l’extraire.Ils me relèvent, non sans avoir préalablement écarté ma chatte avec leurs doigts comme pour exposer à l’assistance le trophée qu’ils viennent d’acquérir. Une petite claque sur le cul, je me dirige de nouveau au sous-sol.

Le plus grand avec un fessier à croquer passe le premier s’allongeant sur le dos. Je l’enjambe pour poser ma vulve sur sa bouche, la tête sur ses abdos. L’autre, un peu plus rondouillard, s’installe face à ma bouche. Je frotte leurs queues l’une sur l’autre, gobe leurs glands en tentant de les absorber ensemble, avale l’une au plus profond de ma gorge sans pouvoir faire de même avec la deuxième, plus courte mais bien plus épaisse. Il ne s’en offusque pas, écartant mes lèvres pour me bouffer littéralement la chatte. Sa langue au plus profond, il me pénètre parfois de son nez alors que l’autre ouvre ma rosace en me doigtant sans difficulté.Je tarde à comprendre leur petit manège qui consiste à me placer le cul vers la vitre derrière laquelle j’imagine s’attrouper les voyeurs. Exposée, mes trous béants offerts à l’assistance, je ne trouve rien de mieux que de pousser sur mes trous pour les ouvrir encore plus. Affairée à exciter les branleurs, je ne me rends pas compte que la queue sous moi à disparu dans la bouche de son pote. Je contemple enfin, là devant mes yeux, un homme en sucer un autre, qui me regarde avec défiance comme pour dire qu’il fait ça mieux que moi.À pleine main, il l’offre à mes lèvres pour que je le tète pendant que lui s’occupe de gober une belle petite paire de couilles lisses, sa langue s’attardant par moment sur la rondelle qui palpite un peu plus bas. Il en fait le tour tout en essayant de la pénétrer de la pointe. Il me fait signe de me redresser pour m’assoir de tout mon poids sur la bouche qui m’honore, lui relève les jambes en me demandant de le maintenir dans cette position. Il s’empare d’une noisette de lubrifiant qu’il étale sur son manche et la corolle ouverte, récupère une des jambes et place ma main libérée sur sa queue, faisant de moi la maîtresse de cérémonie. Je passe son gland sur l’anneau palpitant, le laisse le pénétrer seulement sur quelques centimètres pour provoquer une frustration ; l’enculé cherche à se projeter en arrière pour s’empaler. Je choisis l’une de ses tentatives pour lancer l’introduction complète qu’il subit dans un long râle à peine étouffé par ma chatte. Il se fait pilonner ainsi, me permettant de reprendre en bouche la colonne de chair qui se tend sous mes yeux.C’est un véritable plaisir de voir ce membre aller et venir dans ce conduit serré, j’en profite au plus près toujours avec cette langue qui me fouille avec délectation, mais je veux maintenant me faire empaler par cette queue qui ne finit pas de grossir dans ma bouche. Je le capote, me sépare de cette bouche ventouse et m’enfile cette colonne de chair brûlante dans ma grotte qui n’a pas connu depuis le début de soirée aucune visite de cette importance. Sa queue est trop longue. Etant très sensible de cette partie de mon anatomie, je ne supporte de le sentir buter au fond de ma matrice. C’est avec quelques regrets que je le laisse s’échapper, pour l’introduire de toute sa longueur dans mes intestins. Pas besoin de faire d’efforts, les ondulations de l’enculeur face à moi suffisent à me fouiller au plus profond, ce qui ouvre mon appétit pour cet autre format qui convient bien mieux à ma grotte laissée libre. Je caresse ma vulve en écartant les grandes lèvres, il ne lui faut pas longtemps pour se couvrir d’un manchon de latex et me pénétrer à son tour. Un dans mon cul, un dans ma chatte avec pour seule séparation à ces deux pieux, une fine paroi.L’un me maintient les hanches pour plus d’aisance dans les mouvements, l’autre me tire par les épaules pour amplifier la force de ses ruades. Transpercée et compétemment passive, je laisse les deux hommes prendre du plaisir dans mes orifices, me contentant d’exprimer bruyamment ma reconnaissance. C’est la première fois que suis doublement pénétrée, je me sens pleine, possédée par deux verges qui me font un bien fou. Une assez longue et épaisse qui me remplit le rectum, comprimant une seconde plus courte et plus épaisse, qui fouille mon vagin.Surfant sur une onde permanente de plaisir, je ne peux dire combien de temps ils m’ont prise en simultané ou en alternance, agrémentant leur pénétration par de franches fessées et de petites claques sur les seins qui me font immédiatement resserrer mes muscles sur leurs membres.J’aimerais les sentir se répandre librement dans mon ventre, mais pour l’heure je ne les laisserai pas se vider dans cette peau de latex. Dès que je sens que les prémices éjaculatoires se font sentir, je lui saisis le manche, lui arrache la capote et le branle avec force jusqu’à le faire gicler sur ma toison et les couilles en butée juste dessous, maintenant la pression de mon pouce sur son frein et massant ses deux petites bourses pour les vider jusqu’à la dernière goutte. Repu, Il s’installe dos à la cloison pour observer la fin des ébats.Il me reste encore une récompense à distribuer pour toute l’attention et les sensations qu’il me procure. Je me place entre ses cuisses, me saisis de son membre et lui lèche les couilles encore recouvertes de sperme, remonte sur son gland que j’aspire avec gourmandise et le branle dans ma bouche pendant un bon moment. Sa gestuelle me confirme qu’il apprécie et pourtant rien ne vient.Aux grands maux les grands remèdes, Je passe mon doigt sur ma fente pour le lubrifier pour l’introduire ensuite sans peine dans son petit cul. Je le recourbe à la recherche de sa prostate que je ne tarde pas à trouver, glisse un deuxième doigt ce qui me permet de lui masser comme je masse mon clito lors de mes plaisirs solitaires. J’obtiens sans mal ma récompense ultime qu’il déverse en grande quantité dans ma bouche. Je déguste ce précieux liquide que je n’ai pas l’intention de gâcher en avalant la plus grande quantité et recrachant une infime partie que l’étale sur mes seins.Cette vision redonne des forces à notre spectateur qui se masturbe lentement, cuisses écartées, son autre main venant glisser deux doigts dans mon cul. Pour moi la partie est finie, n’ayant plus la force d’assurer une nouvelle saillie comme il se doit. Je le repousse gentiment et constate par les regards qu’ils se lancent que la musique va continuer de se jouer en couple. Je n’ai été qu’une parenthèse, voire une expérience comme ils ont pu l’être pour moi. De toutes manières mon cul est devenu bien trop sensible pour le mettre encore à contribution ; je les quitte me doutant qu’ils se passeront de moi pour continuer à surchauffer la pièce.La porte de l’alcôve à peine refermée qu’un gros porc s’empare violemment de ma vulve en y introduisant ses doigts pensant que je suis sa chose. Geste qu’il regrette irrémédiablement quand je lui fourre ma langue dans la bouche pour lui administrer une pelle bien baveuse dont le goût ne peut laisser aucun doute sur son origine. C’est comme un con que je le laisse en plan sans même le regarder pour rejoindre les vestiaires.

J’enfile ma robe à même la peau, glissant mes sous-vêtements dans mon sac ; je prendrai une douche à l’hôtel pour profiter encore quelques instants des souillures qui me recouvrent.Sur le court chemin qui me ramène à l’hôtel, je me remémore cette soirée, réalisant que j’ai pu assouvir deux de mes fantasmes. Être offerte à un groupe d’hommes en étant pelotée sans retenue, aspergée de foutre, et pouvoir prendre part à un rapport entre deux hommes. Je regrette seulement de ne pas avoir pu réellement profiter de ma séance dans le hammam et dans la backroom faute d’avoir une personne de confiance pour surveiller les ébats et être ainsi totalement sereine.J’ai depuis changé d’établissement, privilégiant les clubs libertins où, même arrivant seule, je peux facilement lier connaissances qui me guident dans les lieux. Moi qui aime baiser en lingerie, ces clubs contrairement au sauna, me donnent aussi l’avantage de pouvoir les garder.

La douche a attendu mon réveil le lendemain matin.
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