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Visite surprise au bureau

Chapitre 4

Trash
4) Une chef obéissante et son boss
— Alors petite pétasse, tu vas être obéissante maintenant ?
Je ne répondais pas. J’avais du mal à croire ce qui m’arrivait, je me faisais traiter de pétasse, on me frappait les fesses. Mais il était hors de question que je participe de mon plein gré à leur mascarade.
Comme je continuais à me taire, Jessica qui était assise à mon bureau, m’agrippa le bras dans le but de me faire tomber sur ses genoux. Après l’heure que j’avais passé à me cogner contre les murs, recevoir des tapes voir des coups de pieds de fesses, je ne tenais presque plus sur mes deux jambes. Je tombais le ventre sur ses cuisses. C’était ce qu’elle escomptait, car aussitôt elle en profita pour me donner une méchante claque sur le cul. Je me retrouvais dans la position d’une petite fille qui recevrait la correction de ses parents. C’était d’autant plus humiliant que j’étais bien plus âgée que Jessica. Je voulais me relever, mais l’heure passée m’avait épuisé et Jessica me maintenait fermement de son autre bras dans cette position dégradante. Mes fesses étaient déjà rouge sang, je souffrais le martyre, hurlais pour qu’elle me lâche. C’était trop de pression pour moi, entre la douleur et l’humiliation que me faisait subir cette fille à peine majeure devant tous les membres du bureau, je me mis aussi à pleurer.
— La petite coquine est triste ? Tu as un chagrin ? ou tu as mal à ton cucul ? se moqua Jessica
Entre ses claques sur mes fesses, elle m’enjoignait à chaque fois à lui obéir, à me comporter comme une bonne petite soumise :
— Dis que tu seras une bonne fille bien sage, et j’arrête… Tu te rends compte que c’est pour ton bien que je fais ça ? J’essaie de te donner une éducation.
Je me mordais les lèvres pour ne pas la supplier de m’épargner. J’étais aidée par la rage qui montait en moi, une envie de me rebeller de plus en plus dévorante et à la fin, n’y tenant plus, je criais :
— Je vous ferais tous payer !
Jessica arrêta aussitôt de me frapper le cul.
— Tu veux nous faire payer, pétasse ? Mais sombre conne, tu ne réalises donc pas ? Tu es une salope... je crois qu’il va falloir que je te mette les points sur les i.
Avant que j’eusse le temps de réaliser ce qu’elle faisait, elle me menotta à la chaise. Elle avait sans doute rapporté du matériel SM pendant l’heure précédente où je m’étais fait outrager publiquement par mes collègues.
Je pensais qu’elle allait se mettre à me fesser encore plus, mais non… elle cessa de s’intéresser à moi pour se tourner vers mon ordinateur. J’avais laissé mon compte mail ouvert, et elle en profita pour taper un message :

« Bonjour à tous, je suis Maîtresse Jessica, ma petite pute à bien chaud aujourd’hui. Si la température augmente je vous en envoie une autre sans son soutient-gorge :) »
— Arrête, qu’est-ce que tu fais ?
Elle brancha son téléphone, et ajouta une photo qu’elle avait prise de moi chez elle où j’avais un chemisier très ouvert en pièce jointe. De ma position, je ne réussis pas à lire toute la liste des personnes à laquelle elle l’avait envoyé, mais y il avait au moins mes parents.
— Eh bien quoi ? Tu es ma soumise, il est temps de faire ton coming-out. Je vois que tu as laissé ton compte Facebook ouvert aussi tien.
— Arrête !
Elle avait envoyé un mail cochon à mes parents, c’était déjà extrêmement gênant. Mais, je pouvais espérer qu’ils ne propageraient pas ce message. Si par contre, elle commençait à raconter ou peut-être montrer les humiliations qu’elle m’avait fait subir sur Facebook, tous mes amis, mes relations en dehors de l’entreprise seraient au courant de mes vices. Il fallait que je l’arrête à tout prix. Et je devais faire vite, Jessica s’enthousiasmait de plus en plus :
— Je me demande ce que je vais te mettre en photo de profil… Ah celle-là ! Regarde ta tête dit-elle en me montrant une photo sur son téléphone, tu te masturbes avec un plumeau, ce que t’as l’air conne ! Tu fais très naturel.
— Non attends ne fais pas ça ! Je t’en supplie !
— Et pourquoi, j’aimerais bien savoir… qu’est-ce qu’une pute récalcitrante comme toi peut bien faire pour m’en empêcher.
Elle était en train de modifier le profil, et allait appuyer sur valider…
— Parce que je suis votre salope. Je m’excuse pour tout !
— Je dois comprendre que tu vas être obéissante maintenant ? Demanda-t-elle le doigt sur le bouton de la souris.
— Oui ! Je ferais ce que vous voulez. Je serais obéissante !
Elle relâcha la souris en souriant,
— Tu vois même avec ton petit cerveau de greluche tu peux être capable de réfléchir ! J’étais sûr qu’après quelques petites fessées tu te comporterais honorablement. Tu n’es pas d’accord ?
—Oui Maîtresse heureusement que vous êtes là pour me montrer le bon chemin.
Pendant que mes collaborateurs se marraient de ma déchéance, Jessica me retira les menottes, puis parut réfléchir deux minutes à ce qu’elle comptait faire de moi… Elle se décida finalement :
— Alors la première tâche que tu vas accomplir, c’est d’aller dans le bureau de ton patron. Et comme toute bonne salope se doit, tu seras très convaincante pour qu’il ne te fiche pas à la porte. Compris ?
— Oui.
— Attends, tu me parles comment là ? Et tout de suite elle me donna une frappe sur les fesses qui me fit pousser un cri de douleur.
— Votre pouffiasse fera comme vous voulez maîtresse !
Tous me regardaient et riaient à gorge déployée ; j’étais rouge de honte. Une fois remise sur pied je me dirigeais, la mort dans l’âme, vers le bureau du patron. Jessica me suivait pour vérifier que j’obéissais bien, j’arrivais devant la porte et frappais :
— Oui ?
— C’est Isabelle, je… Aie !
Je reçus une frappe sur les fesses.
— D’où tu utilises un nom propre pour te présenter ! Une chienne comme toi ! Tu vas te montrer sous ton vrai jour, comme une pute sans vergogne, ou tu peux être sûr d’en prendre d’autres… Me dit-elle me menaçant de nouvelles fessées.
Je refrappais donc à la porte.
— Oui ? demanda à nouveau le patron.
— C’est la salope de la boîte, je peux entrer ?
— Entrez.
Je pénétrais dans son bureau, affreusement gêné. Je devinais que j’allais passer un mauvais quart d’heure, mais je devais quand même faire bonne figure.
— Euh, voilà, je voudrais m’excuser de m’être conduit indignement.
— C’est-à-dire ?
— Et bien, c’est à dire… ne pas porter de culotte…
— Oui, euh, c’est inconséquent de votre part je dois dire. Vraiment dégoûtant…Est-ce qu’il ignorait volontairement que je venais de me faire fesser par tout le bureau ? Était-ce vraiment ma culotte qui heurtait sa sensibilité ou les bonnes mœurs, dans sa boîte ? Mais je jouais le jeu, n’ayant pas vraiment les moyens de me mutiner contre son hypocrisie…
— Et, je me suis conduite comme une salope.
— Ah…
— Je me masturbe en pensant à vous. Vous êtes vraiment très beau.
— Euh, et bien c’est vrai que… dit-il en se levant
C’était bien sûr aussi faux qu’il était possible de l’être. Il était à moitié chauve avec des épis de cheveux sur le côté, grassouillet, et globalement il avait un air très con.
— Alors je m’excuse, voilà.
Je sentis une main frotter contre mon postérieur, celle de Jessica. Il fallait que je sois plus convaincante pour ne pas être punie de fesser.
— Je suis toute disposée à recevoir la punition que vous voudrez bien me fixer…
— Et qu’est-ce que tu penses que tu mérites, salope.
Le patron était à côté de moi, il me posa la main sur les seins commençant à les tripoter. Je me taisais, gêné, mais je sentis sur mon cul la main de Jessica s’agiter.
— J’aimerais assez que vous me baisiez.
Merde, c’était sorti comme ça… mais je ne voyais pas quoi dire d’autre. Et sa main baladeuse augurait facilement de ce qu’il souhaitait.
— Vraiment ?
De sa main gauche, il me pinçait un téton, pendant que son autre main s’aventurait sous mon tailleur. Je restais stoïque, droite comme un militaire, maintenant que je m’étais déconsidéré, il était vain de revenir en arrière.
— Oui. Aie !
Je venais de me faire frapper encore par Jessica. Il fallait que j’y mette plus de cœur.
— Je voudrais que vous me preniez sur le bureau et que vous me défonciez la chatte !
Merde, j’avais crié vraiment fort sous le coup de la fessée, on avait dû m’entendre à l’extérieur de la pièce.
— Tu veux ma bite salope ? Dit-il en retirant son pantalon
— Oui, prenez-moi comme votre pute. Enfoncez-la-moi, baisez-moi !
J’avais honte comme jamais, il en avait une petite et plutôt moche, avec des couilles super poilues. Il ne prenait aucun soin de sa personne. Et dire que je me retrouvais à devoir coucher avec lui aux sus de tout le monde… Mais au point où j’en étais, c’était sans doute la seule solution pour me sortir de là sans être humilié plus encore. Après tout, je n’étais pas la première à se faire sauter par son patron pour assurer son statut, me disais-je pour me consoler un peu.
Mais pour le moment, j’étais embarrassée. Monsieur Perteau avait la bite à l’air et je n’avais pas la moindre envie d’y toucher aussi restais-je immobile. Je cherchais quelque chose à dire pour retarder l’imminence de l’acte.
— Monsieur Perteau, je n’aurais jamais imaginé que vous ayez une bite aussi grosse ! Je suis épatée !
— Oh oui, et maintenant je vais te l’enfoncer bien au fond ma salope.
Et sans plus attendre, il me propulsa contre son bureau, puis sa main ma plaqua contre la surface de travail, mes seins aplatis. En quelques secondes je le sentis me relever mon tailleur pour commencer à me limer la chatte. Je fus surprise de voir Jessica sortir du bureau. J’aurais pourtant imaginé qu’elle serait ravie de me voir me faire foutre sur ses ordres.
Monsieur Perteau, avait ses mains sur mes épaules pour me pénétrer avec force. Je sentais sa bite me fourailler la chatte. J’attendis sagement qu’il fasse son affaire, mais je reçus une tape sur les fesses :
— Alors cochonne, t’es pas heureuse de te faire défoncer ?
Je retenais une insulte qui faillit me glisser des lèvres, mais ça n’aurait servi à rien. Mieux valait lui faire plaisir.
— Oh oui, Monsieur Perteau ! Je veux votre grosse bite bien profondément ! Oooooohhhh ! Comme ça oui. Huuuuuuuuummmmmm ! Que c’est booooonnn !
Même les prostituées ne devaient pas dire ce genre de chose à leurs clients, j’étais vraiment tombé bien bas.
Il arrêta un moment de me baiser pour que je puisse me retourner.
— Je veux voir ta gueule de pouffiasse hautaine quand je t’enfonce ma queue. Expliqua-t-il.
J’étais contrarié, je souriais hypocritement de ravissement à l’idée de me faire prendre par ce sale mec. Il déboutonna ma chemise pour me prendre les seins.
— Oh oui, tu me fais tellement de bien.
— Vouvoie-moi conasse.
— Vous me comblez. Hummmmm ! Je mouille ! Je mouille !
Il me donna consigne que je lève mes jambes. J’avais donc le cul sur son bureau, les jambes en l’air reposant sur ses épaules pendant qu’il me baisait, augmentant la cadence à mesure que je l’excitais.
— Oui, c’est trop bon, enfoncez-la-moi plus encore Monsieur Perteau !!!
Et c’est ce qu’il faisait, me pénétrant la chatte en éructant de plaisir de pouvoir enfin de défoncer après en avoir tant rêvé. Il me traitait sans égard, comme une poupée, me pelotant les seins comme un gamin. Il chercha à m’embrasser aussi, plus pour marquer sa possession sur moi que pour chercher du plaisir.
Il finit par s’effondrer sur moi quand il jouit. Je sentis son sexe déverser sa semence. Je ne pensais pas pouvoir avoir plus la honte, mais savoir que ce petit con me souillait de son sperme, j’en avais la rage. Et puis, c’est qu’il en avait à revendre, je sentais son sexe m’envoyer décharge de foutre sur décharge de foutre.
— T’es pas contente pétasse ?
Comme je devais grimacer, je me repris souriant de toutes mes dents.
— Oh je suis tellement comblé, je sens votre sperme en moi c’est si puissant. Je suis vraiment tout à vous, c’est un rêve.
— Putain de paillasse à foutre, répondit-il simplement. Sors d’ici.
— Monsieur Perteau, quant à mon avenir, est-ce que vous…
— Je vais y réfléchir salope, maintenant fous le camp.
J’étais mécontente. Comment allait-il me virer ? Allait-il vouloir d’autres faveurs pour qu’il se taise sur ma conduite ? Je n’étais pas plus assuré sur mon sort en sortant que je ne l’étais en entrant. Tout ce que j’avais gagné était une chatte pleine de sperme. Je m’étais fait salement baiser. Mais je n’avais pas le choix, sans me faire prier, j’allais sortir quand je sentis son sperme me couler contre la jambe.
Je préférais qu’on ne me voie pas dégoulinante de sperme au sortir du bureau, aussi sortis-je un mouchoir pour m’essuyer. Immédiatement le patron me cria dessus :
— Qu’est ce que tu fous !
— Euh, j’essuie votre sperme, Monsieur Perteau.
— Et puis quoi encore ! Dégage, et je prends très mal que tu n’aimes pas mon foutre.
— Je suis vraiment désolé…
Je sortais, penaude, je craignais d’avoir compromis mes chances d’une issue favorable, et puis les collègues allaient avoir la preuve gluante de ce qui venait de se passer. Non seulement ils m’avaient déjà humilié, mais maintenant ils savaient que j’étais bonne à baiser. Les choses prenaient un tour de plus en plus funeste.
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