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Visite surprise au bureau

Chapitre 5

Trash
5) Une chef proche de ses employés
Je refermais la porte derrière moi, Maîtresse Jessica quelques pas plus loin, m’attendait assise avec un sourire goguenard :
— Ça s’est bien passé ? Tu t’es fait niquer comme il faut ?
Comme je gardais le silence, elle fit un signe de la main pour me menacer de me fesser.
— Oui Maîtresse, Monsieur Perteau m’a copieusement fourré, il m’a ramoné de fond en comble et maintenant, j’ai du foutre plein la chatte.
J’étais tellement retournée de ma baise avec le patron, que pendant un instant, j’avais oublié que tous les employés de la boîte étaient toujours présents. Aussi me sentis-je affreusement honteuse après les quelques mots que je venais de prononcer. Je sentais leur regard méprisant, j’imaginais ce qu’ils pouvaient penser de moi et c’était plus que je ne pouvais le supporter pour la journée.
— Est-ce que je peux partir maintenant ? Je voudrais rentrer chez moi... je suis épuisé, demandais-je à Jessica.
— Tu rigoles ! Tu ne viens que de commencer à te comporter correctement en salope. Maintenant, ce que tu vas faire, c’est allé t’excuser auprès de tous tes camarades pour avoir joué à la chef alors que tu n’es qu’une petite pute, compris ?
— Mais…
— Ou sinon panpan culcul.
Elle m’infantilisait encore… Elle savait que me traiter ainsi devant tous mes collaborateurs était une destruction professionnelle plus sûre que toutes les humiliations perverses qu’elle pouvait imaginer. Mais je n’avais pas vraiment le choix. J’avais perdu pied si je voulais que toute cette histoire ne dépasse pas le cadre de l’entreprise, je devais boire le calice de la honte jusqu’à la lie.
— Oui très bien. Cédais-je vaincu.
Jessica se leva alors de son siège, et déclama devant tous les employés du bureau :

— Votre attention, s’il vous plaît ! Ma salope d’esclave que vous connaissez sous le nom d’Isabelle vous a menti toutes ces années. Elle se faisait passer pour votre chef, alors qu’elle n’était qu’une lécheuse de chatte. Oui, elle lèche les chattes, elle aime les godes ; c’est une salope comme vous n’avez pas idée. Si vous fréquentez des putes, elles sont du haut du panier comparées à cette chienne. Et une pute vous donne-t-elle des ordres ? Non ! Une pute vous l’enfilez, vous lui déchargez la purée dedans ! Alors que faut-il faire de cette garce devant moi qui vous a dicté votre conduite ? Qui pense mériter des excuses de sa part ? N’ayez pas peur, levez la main…
Quelques secondes plus tard, je vis Jean tendre le bras. Ce n’était pas étonnant vu la façon dont je l’avais insulté ce matin. Merde, dire qu’il y a encore que quelques heures je les dominais, je parlais à tous ces tocards comme je voulais et ils avaient peur de moi et maintenant… maintenant…
— Et bien, qu’est-ce que tu attends ? me demanda Jessica.
Il fallait que j’aille au bureau de Jean, comme je me traînais, ayant peu d’enthousiasme à accomplir cette corvée, je reçus un coup de pied au cul de la part de ma maîtresse pour me presser un peu. J’arrivais devant Jean, les jambes flageolantes.
Je baisais la tête et murmurai :
— Tu…
Un violent coup de règle me fit gémir.
— À genoux les excuses ! Et parle plus fort, chienne ! Et vouvoie-le ! Traite-le comme si c’était ton putain de dieu.
Je m’agenouillais, la tête basse. J’avais l’air vraiment sotte. Mais je savais que Jean n’était au fond pas méchant, il accepterait vite mes excuses et je pourrais passer au suivant.
— Je m’excuse, maître.
— Et tu t’excuses de quoi salope, répondit-il.
Il avait un ton que je ne lui connaissais pas. Je me doutais qu’il était en colère contre moi, mais il y avait quelque chose d’autre, une rage rentrée.
— Je m’excuse de t’avoir donné des ordres alors que je suis une chienne. De t’avoir donné trop de travail… d’avoir agi comme une sale conne.
— Et encore ?
— Je m’excuse de t’avoir manqué de respect alors que je suis une pétasse sans honneur, une truie à baffer.
— Et qu’est-ce que tu vas faire pour qu’il te pardonne ? demanda Jessica.
— Je peux lui laisser plus de temps pour finir le dossier que je lui ai confié.
— Pour finir le dossier ? Ah ah... Pour… Ah aha ha AHAHAHAHA ! Pour finir le dossier ! Ah ha ha, j’y crois pas ! AHAHAHA ! J’y crois pas ! Elle… AHAHAHA !
Jessica se pliait en deux en proie à un fou rire. Il lui fallut cinq minutes pour qu’elle reprenne son calme.
— Vous avez entendu ça vous autres ? Elle veut lui laisser plus de temps pour finir le dossier ! Pour se faire pardonner !
Les employés imitant poliment Jessica se marraient, sans être bien sûr de ce qu’il y avait de drôle.
— Mais tu n’as rien compris ma grosse vache ? Tu n’es plus la chef ici. Tu n’as pas répondu à mes appels, tu te souviens ? Et tu crois que tu allais continuer à vivre ta vie comme ça ? Mais t’es complètement à côté de tes pompes pupute… Non, ce que tu vas faire maintenant, c’est que tu vas sucer. Oui tu vas sucer jusqu’à ce que ta mâchoire soit si ouverte et si détendue qu’on pourrait y faire entrer une bouteille de Coca. Oui, tu vas vider des couilles, d’abord celle de Jean. Et après tu t’excuseras auprès de chacun de ces braves hommes, et tu avaleras leur sperme sans rechigner. Miam-Miam, tu vas te régaler, de bonnes grosses doses de foutres dans ton estomac ! Tu n’es pas contente ?
— Attendez ! Je suis désolé si j’ai…
— Il est trop tard pour être désolé. Maintenant c’est l’heure de te comporter comme une chienne, et tu vas sucer des os. Alors, ne te fais pas prier ! Et puis, je suis sûr que c’était un de tes fantasmes de salope… Ce matin encore, tu as dû te réveiller en te disant : « Et si je servais de paillasse à foutre à mes collègues ! Ce que j’aimerais qu’ils arrêtent de me respecter et qu’ils me traitent comme la dernière des pouffiasses... » Et voilà que j’arrive pour que tu réalises ton souhait, tu n’es pas heureuse ?
Je me rendis compte que je n’avais plus la force de me rebeller, j’avais peu à peu perdu toute volonté de me battre. Tout ce que je voulais c’était d’en finir le plus vite possible. Jessica insistait cependant pour que je m’abaisse encore plus
— Alors tu le dis que tu veux de la bonne sucette ? Et sois un peu enthousiasmé. Tu ne souris même pas ! Tu ne voudrais quand même pas recevoir une nouvelle leçon de savoir-vivre ?
— Non, c’est bon… je vais me régaler de sperme ! Miam ! J’en salive déjà, du bon sperme tout chaud pour moi !
Comme Jean ne bougeait pas et qu’il ne savait pas trop comment s’adresser à moi. Je dus prendre l’initiative. Je m’approchais de lui et commençais à lui retirer son pantalon. Je sentais Jessica s’impatienter derrière moi, prête à me fesser ou pire, aussi essayais-je de faire preuve d’entrain :
— Ce que j’ai envie de te sucer, bordel ! je suis tellement chaude. Tu veux bien me faire ce plaisir, hein ?
— Euh oui.
— Alors, laisse-moi prendre ta grosse bite dans ma bouche…
Je commençais à le sucer. J’avais dû m’agenouiller sous son bureau, au moins les autres ne pouvaient pas me voir. C’était bien mon seul réconfort dans cette situation, car la queue de Jean m’emplissait tout le gosier, j’avais l’impression qu’il allait élargir ma trachée. J’allais prendre du recul, mais je ne sais pas si c’était l’œuvre Jessica ou Jean, mais ma tête était maintenue fermement. J’avais la gueule empalée sur sa bite. Je sentais les pulsations de sa queue s’accélérer. Finalement son sperme jaillit, me coulant dans l’œsophage. C’était assez dégoûtant, mais coincé comme je l’étais, je ne pouvais rien recracher. Il desserra l’emprise sur ma tête et je pus à nouveau respirer de l’air loin de ses couilles.
Jessica m’apostropha immédiatement :
—Tu as bien avalé, alors remercie-le maintenant »
— Merci de m’avoir donné votre sperme à manger, Jean, je me sens beaucoup mieux maintenant ! Si je pouvais avoir ça tout le temps je ne mangerais jamais de sucreries.
— C’est bien, je suis sûr que tout le monde est ravi de savoir que tu adores le foutre, mais je crois qu’ils le savaient déjà avec ta tête de pétasse. Ce n’est pas comme ça qu’il faut les remercier.
— C’est-à-dire... qu’est-ce que je dois…
Jessica sortit de son sac un chéquier. En fait à y regarder de plus près il s’agissait du mien.
— Maintenant, salope pour te faire pardonner de ta connerie et de ta saloperie. Tu vas faire un chèque après chaque pipe.
— Quoi ? Mais…
— Tu veux que tout le monde soit au courant que tu es une traînée ?
Elle voulait que je paie pour avaler leur sperme ! Putain, quelle salope. Elle me traitait pire qu’une pute, mais si c’était la seule solution je pouvais faire un dernier effort.
— Payer… mais... disons mille euros ?
— Mille euros ! Mais tu as gagné combien ici à faire semblant de travailler, alors que tu ne faisais que tortiller ton cul ? Oh non ! Pas mille euros, tu n’imagines pas à quel point tu es loin du compte… tu as vingt pipes à faire et je sais que tu as un peu plus de 400.000 euros sur ton compte alors disons 20.000 euros par pipe ? Et tu t’en tires bien comme ça, tu auras un joli compte en banque tout propret, sans trace d’argent que tu n’aurais pas mérité. Mais tu ferais bien de te dépêcher, la journée finit à dix-sept heures. Si tu les obliges à faire des heures supplémentaires, ce sera 1000 euros de plus la minute.
Je regardais ma montre, il était quinze heures trente. Ça me laissait une heure de demi pour faire les dix-neuf pipes restante ! Si je comptais une minute pour signer un chèque ça me faisait moins de cinq minutes pour pratiquer une fellation ! Et tout ça pour être ruiné au bout du compte, je ne pus m’empêcher de protester :
— Mais ça va vider mon compte !
Et tu crois qu’une salope comme toit a le droit d’avoir de l’argent en réserve ? Une bonne salope, si elle a des sous, elle le dépense pour sucer des queues !
J’allais perdre quatre cent mille balles. Je me sentis blêmir, incapable de bouger, frappé de stupeur.
— Tu n’as pas l’air bien, t’es toute pâle... Heureusement que de bonnes rasades de foutre font te remettre sur pieds ! Mais, je ne suis pas étonnée que tu le prennes mal, tu sais… Parce que, au fond, t’es une vraie pute. Tu as la chance de te faire pardonner de t’être comporté comme une salope, et ce qui te préoccupe c’est que tu vas perdre un peu de fric ! T’as une mentalité de traînée. Maintenant, signe le chèque, dit-elle en me donnant une tape sur les fesses.
Elle avait déjà inscrit la somme, vingt mille euros, ainsi que le destinataire. Je tremblais affreusement, mais parviens tout de même à signer le chèque.
— Bravo pétasse ! Et comme je ne suis pas vache, je t’ai préparé un cadeau.
J’avais toujours le regard perdu dans le vide, pensant à mon compte en banque qui allait se réduire comme peau de chagrin. Toutes ces années de travail que j’avais accompli, toutes ces années passées à économiser allaient être réduite à néant en même pas deux heures ! Je n’avais qu’à peine conscience de qui se passait autour de moi. Si bien, que ce n’est que lorsque j’entendis le « clac » d’un cadenas que je me rendis compte que Jessica s’activait autour de mon cou. Elle venait de m’accrocher un collier autour du cou. Un gros collier rouge, clouté et fermé par un cadenas. Il y avait une boucle devant, où était attaché mon badge d’entreprise, et derrière je sentais une laisse fixée au collier.
Je remarquais que mon badge avait été modifié. On avait changé mon nom pour « Pupute » et comme attribution « Salope du bureau »
— Alors, Pupute, contente de ton cadeau ?
Avant que j’aie pu répondre, Jacques tenait la laisse et tira dessus. Je m’étranglais, sentis le sperme de Jean remonter. Je m’approchais de la main qui tenait la laisse pour ne pas étouffer. Il s’agissait d’une laisse rétractable, comme Jean la tenait à trente centimètres du sol, je dus baisser la tête au niveau de sa main pour ne pas me faire stranguler. Quand il commença à marcher, incapable de tenir cette position de contorsionniste, je dus me mettre à quatre pattes pour le suivre.
— C’est bien, approuve Jessica, mets-toi à genoux, petite chienne ! Quand quelqu’un tient ta laisse, tu ne dois te déplacer qu’à quatre pattes.
J’avais vraiment l’air ridicule à me presser ainsi à genoux, à me traîner derrière les chaussures de Jacques. Je savais aussi que dans cette position tout le monde pouvait voir ma chatte sous mon tailleur. Le plus gênant étant qu’elle était gorgée du sperme du patron. La seule bonne chose à tirer de cette situation était que mes collaborateurs allaient jouir plus vite en me voyant ainsi dégradée. Je n’aurais peut-être pas à devoir les sucer en heure supplémentaire.
J’arrivais enfin au bureau de Jacques. Pendant qu’il s’y installait, je présentais à nouveau mes excuses. Je sentais que cela devenait plus facile, j’avais tellement été humilié qu’il n’y avait plus grand-chose qui puisse me faire honte.
— Je suis désolé d’avoir agi comme une pute avec vous. J’adorerais sucer votre queue pour me faire pardonner. Sentir votre foutre dans ma gorge, ce serait vraiment un délice, et passer ma langue…
— Ta gueule salope !
Il avait déjà retiré son pantalon et son slip et présentait une érection bien dure. J’ouvris la bouche en grand, et il m’enfonça sa queue dans ma bouche.
— Suce-moi la queue pétasse.
Je suçais comme on me le commandait. Je n’avais pas vraiment le choix, si j’avais perdu espoir que je puisse me présenter à nouveau au bureau le lendemain, je pouvais encore escompter que toutes les humiliations que je subissais resteraient un secret. Peut-être que si je ne faisais pas d’histoire je pourrais partir et recommencer ma vie autre part.
Dans cette pensée, je ne savais pas trop ce qui faisait partie d’un espoir sincère de m’en sortir, et ce qui faisait partie de mon habitude de me soumettre auquel m’avait conditionné Jessica. En tout cas je me retrouvais à sucer la queue de mon collègue, et je me sentais la pire des putes. Heureusement, il était déjà à deux doigts d’éclater et son sexe ne resta pas plus de trois minutes dans ma bouche qu’un jet de sperme chaud m’en aspergea l’intérieur.
Il reboutonna son pantalon, m’ordonna : « Avale, salope ! » J’obéis, le liquide me descendit dans l’estomac. On me tendit un stylo, je me levais et signais un chèque de 20.000 euros.
— Contente salope ? demanda Jacques.
Alors que j’allais lui répondre vertement, mes paroles restèrent inaudibles car l’on tira sur mon cou, me coupant la respiration. Un autre propriétaire avait pris possession de ma laisse. À nouveau j’étais obligée de me déplacer à quatre pattes comme une chienne. À peine arrivé au bureau de mon nouveau maître, ce dernier me demanda :
— Alors suceuse prête pour une grosse queue ?
— Oui monsieur.
— Et pourquoi ?
— Parce que je suis la plus grosse salope du bureau et que c’est tout ce que je mérite
— Bien, vas-y… déguste…
Je ne devais pas perdre de temps, je ne devais pas prendre plus de cinq minutes pour avaler la purée. Aussi suçais-je son chibre avec avidité, lui léchant même les couilles pour assurer qu’il éjacule vite. À partir de ce moment, je perdais un peu la notion du temps. Je passais l’après-midi à sucer, lécher et avaler du sperme. Je me débéquetais à lécher le gland de tous ces mecs, mais il n’y avait pas de temps à perdre. Je crois qu’au bout de la cinquième rasade de foutre, je perdis aussi le compte des employés qui s’étaient déjà servis de moi. J’étais traînée d’un bureau à l’autre, d’une queue à l’autre, avant de recevoir du jus en pleine face. Les hommes étaient pressés de se vider en moi, et je commençais à me sentir nauséeuse. L’odeur du sperme semblait m’imprégner, il faut dire que certains avaient déchargé en dehors de ma bouche me couvrant la figure de liquide séminal. J’en avais même plein les cheveux, l’odeur commençait à me faire tourner la tête.
Certains voulaient encore que je m’excuse, j’avais perdu toute volonté de me défendre. Je disais ce qu’ils voulaient :
« Votre Pupute est désolé de ce qu’elle vous a fait faire. Est-ce que je peux sucer votre bite s’il vous plaît ? Je vais vous sucer comme une vraie salope ! Vous ne le regretterez pas ! » ou « je veux me faire pardonner de vous avoir excitée comme une traînée, sans jamais vous avoir sucée la queue comme il fallait. Je vous en prie, laissez-moi la mettre dans ma bouche ! »
Certains aimaient particulièrement m’humilier, me taraudant de questions telles que : « Alors tu aimes ça paillasse, qu’on te fasse avaler notre jus ?
— Oui monsieur ! Je me régale comme jamais ! » J’essayais d’être enthousiasme pour qu’ils se pressent de me laisser leur sucer la queue.
On me répondait : « Allez, viens goûter ma saucisse » ou « viens prendre ta dragée, salope » j’avais vaguement conscience que quelques heures plus tôt ils me réservaient du "Madame", et avaient la trouille quand j’allais leur parlé. Maintenant je n’étais qu’une pute suçant des queues. Merde !
Quand je n’obéissais pas immédiatement, ou que je voulais reprendre mon souffle, ils tiraient sur ma laisse pour me forcer à me rapprocher de leur bite. Je ne voyais plus que ça, des bites, elles passaient par ma bouche et me crachaient leur jus à la gueule.
Certains qui ne m’avaient pas encore fourré leur queue dans ma bouche demandaient : « Elle suce bien ? » à quoi on répondait « une salope de première ! Tu vas te régaler. » Ou bien ils donnaient des conseils « Ça va, il faut la lui mettre bien en profondeur en fait. N’hésite pas à la lui enfoncer dans la gorge ! Elle adore ça. » Ils discutaient comme si je n’étais pas là. Ou en tout cas pas assez important pour que l’on s’en soucie, une chienne juste bonne à avaler des queues. Et à ce moment, c’était ce que j’étais.
À mesure qu’on m’enfonçait des bites dans la bouche, je bavais. Ma salive et le jus de pine me coulaient le long du visage. Quand je me mis à fatiguer, on commença à me tirer sur les cheveux pour que je m’active un peu plus. Je me mettais alors à sucer les bites plus diligemment, agissant comme un automate pour pervers.
Et le pire était qu’après chaque pipe, je signais des chèques de dizaines de milliers d’euros. Certains me remerciaient en donnant une fessée : « Alors pupute, t’as été si contente que ça de me faire une pipe ? » ou bien « Tu t’es régalée pétasse ? Tu m’as bien vidé les bourses, heureusement que tu vas me les remplir avec tes sous ! » L’un des mecs vidangea sa semence dans mon ventre en telle quantité que je fus pris d’un haut-le-cœur. Je recrachais une bonne partie du foutre sur moi, ma chemise fut trempée de sperme, mon tailleur noir avait pris une teinte blanche, j’étais dans un état pitoyable. Je recrachais du sperme par moment, comme si je n’avais plus que ça dans l’organisme
Je regardais l’heure : il était dix-sept heures ! Aussitôt Jessica déclara :
— Qui ne s’est pas encore fait sucer ?
Deux collègues levèrent la main. Aussitôt je me précipitais sur le plus proche pour lui sucer la bite. Il fit des simagrées, j’insistais : « Donnez-moi votre bonne purée, j’aime tellement le goût, soyez gentil ». Chaque minute qui passait, je devais lui donner mille euros de plus. Il finit par donner son accord d’un : « Allez prend moi ce rabe de bite pour ta sale gueule »
J’ai des frissons, je commence à avoir la nausée rien que lorsque la bite du mec s’approche. Je sens à peine ma langue, mais je suce quand même. Je salive sur sa queue, je fais des bruits de succion sonores « Slurp, mmmmm, shlup »
— Pas mal patronne, pardon, salope. J’ai du mal à croire que celle qui est sous le bureau c’est toi. J’ai toujours su que tu étais une salope de première, mais à ce point…
Je continuais à m’appliquer à sucer.
— Dire que tu étais la pute de cette mademoiselle… Une grande chef comme toi. Et maintenant tu n’es plus qu’une chienne genoux attendant qu’on la nourrisse de foutre, ça fait réfléchir non ? Il tira sur la laisse délogeant son sexe de ma bouche.
– Oui Monsieur, je suis une vraie chienne. Une cochonne qui mange ce qu’on lui donne.
Et il ne fallut pas bien longtemps pour qu’il me donne à manger ce qui sortait de sa bite.
– Il est dix-sept heures dix, tu dois 30.000 euros.
Je commençais à paniquer, encore plus qu’avant, et je ne pensais pas ça possible. Non seulement j’étais traité comme une pute, mais je m’endettais très vite. Aussitôt après avoir signé, je me précipitais sur le dernier homme que j’avais à pomper, le suppliant de me laisser prendre sa bite en bouche.
Il ne fit pas de contrariété, mais je compris vite pourquoi il était le dernier à vouloir se faire sucer. Il bandait mou. Était-ce qu’il était gêné de ma situation, ou qu’il était gay ? Je fis de mon mieux, lui léchant le gland et les couilles, ce qui lui redressa le sexe, mais rien que pour ça je dus y passer cinq minutes. Je mettais toute mon énergie dans cette dernière pipe, salivant, faisant pénétrer sa bite entière dans ma gorge, faisant des va-et-vient éprouvants… Mais il me fallut un temps fou pour qu’il parvienne à jouir. Mais finalement la délivrance arriva, la semence jaillit dans ma gorge, j’avalais le flot de sperme qui déferlait.
Il était dix-sept heures quarante, ça voulait dire 50.000 euros ! J’allais être dans le rouge de soixante mille euros au moins. Et vu que j’avais perdu mon job, je ne voyais pas comment rembourser. J’étais dans la merde noire. Je me demandais un instant si j’avais raison de m’inquiéter de ça. Est-ce que je ne devrais pas plutôt penser au fait que je me retrouvais à avoir englouti une vingtaine de jus de couille en quelques heures… Et pas à des amants, ou même des inconnus, mais à des employés à qui ce matin je donnais des ordres, et qui maintenant ne me considérait plus que comme un trou où se vider les burnes.
Tout ça juste parce que j’avais loupé trois des appels de Jessica. Je me souvenais qu’elle m’avait écrit : « Ta vie est finie. » Je comprenais mieux ce qu’elle voulait dire maintenant.
D’ailleurs Jessica me prit par ma laisse à ce moment-là
— Putain, tu pues de la gueule ! Le sperme tu dois l’avaler, pas te faire des bains de bouche avec... Bon, tu as fini tes excuses ?
— Oui Maîtresse. J’ai sucé les bites de tous mes collaborateurs, et je les ai payés pour qu’ils me pardonnent de les avoir maltraités.
— Eh bien, c’est une bonne journée que tu as eue là. Tu finis ruinée, salope du bureau, et couverte de sperme. Dire qu’il aurait suffi que tu répondes à mes appels pour que ça n’arrive pas. Quoi qu’il en soit ça va être l’heure de rentrer chez nous.
Je ressentis un énorme soulagement, cette journée de cauchemar prenait fin. Je m’inquiétais de ma tenue, on m’avait aspergé de foutre, mon tailleur était déchiré et ne tenait plus que par miracle, ma blouse n’était plus qu’un essuie-tout à sperme.
— Qu’est-ce que je vais mettre pour partir ? Je ne peux pas sortir comme ça.
Jessica me regarda étonnée :
— Sortir ? Mais… Tu n’as rien foutu de la journée ! Tu as passé ton temps à sucer des queues ! Tu crois que c’est pour ça qu’on te paye ? Mais reviens sur terre ! Il va falloir que tu rattrapes ton retard ! Assois-toi à ton bureau déjà.
Comme j’hésitais, elle fit cingler une longue règle sur mon cul déchirant encore plus mon tailleur.
— Tu as encore besoin d’encouragement ? Ça fait trois heures que tu n’as pas reçu de fessées, ça te manque ?
Je m’asseyais à mon bureau. On avait remplacé mon fauteuil par une chaise en bois austère. Quand mon postérieur douloureux s’appuya sur le siège dur, je laissais échapper un gémissement.
« Tu vas travailler cette nuit. Le dossier Kiman, je crois. » Je vis Jean hocher la tête. « Et tu as intérêt à rendre du bon travail. »
Je sentis quelqu’un me tenir dans mon dos. Je me demandais pourquoi, mais je me rendis vite compte que Jessica commençait à me ligoter. Mes jambes furent attachées contre les pieds de la chaise, une corde contre mon torse me rendait immobile. Et finalement mes coudes furent fixés à la table. Il n’y avait que mes avant-bras que je pouvais bouger. De cette manière j’étais incapable de me libérer. Tout ce que je pouvais faire était de pianoter sur le clavier de l’ordinateur. Finalement Jessica posa une webcam en face de moi.
— Comme ça les employés pourront vérifier que tu travailles bien. Et de toute façon il y aura un enregistrement, si tu t’arrêtes de bosser ou que pire, tu t’endors, je te laisse imaginer la punition que tu recevras demain matin.
Je voyais les employés partir, pendant que je restais là, abasourdie. Finalement le patron quitta son bureau en dernier. Il me tapota la tête avant de partir :
« Travail bien Pupute. »
Épilogue
Le lendemain matin.
Trois des employés arrivèrent, et demandèrent pour la forme :
— Prête pour un petit gang-bang pétasse ?
— Pitié ! Je n’ai pas dormi !
En fait pendant la nuit, une équipe de technicien de surface était entrée, ils m’avaient vu attaché à ma chaise, couverte de sperme. Et comme si ce n’était pas suffisant Jessica avait scotché un gros mémo sur ma poitrine avant de partir.
Dessus y était inscrit :
« Salope du bureau !     Pipe gratuite !    Profitez ! »
Les balayeurs tournèrent ma chaise vers eux et sortirent leur bite. L’un commença à la faire pénétrer dans ma gorge. Je n’avais pas vraiment le choix, je suçais sa bite jusqu’à ce qu’il livre la purée. Dès qu’il eut fini, un autre prit sa place. J’avais l’estomac ballonné, et peu après qu’ils furent repartis, je recrachais une bonne dose de semence, passant le reste de la nuit avec du foutre qui me coulait le long du cou.
J’espérais qu’on me libère au matin, qu’on me laisse partir. Mais je ne pouvais pas compter sur la pitié de mes collaborateurs, la seule chose qui les soudait était leur haine envers moi. Et je l’avais fait exprès, pour qu’ils travaillent avec zèle de peur que je les enguirlande. Évidemment maintenant je n’étais vraiment plus en position de les engueuler, juste en position de me faire baiser sans demander mon reste. L’un des employés, Luc, coupa les cordages qui me retenaient immobile. Non pas que je fus bien plus libre des mouvements après... je fus d’abord plaquée contre un bureau. J’entendis un pantalon tomber sur le sol, et tout de suite après quelqu’un me baisait.
Finalement alors qu’un des travailleurs venait de finir de ma péter la chatte, je vis le patron entrer. Sans un mot il prit ma laisse et me mena à son bureau.
— Bien salope, je crois que tu as quelques dettes maintenant. J’ai accepté de me porter garant. Mais il va falloir que tu travailles dur.
— Oui, bien sûr ! Merci monsieur ! Je suis sûr de retrouver un emploi dès que…
— Retrouvé ? Non non, pas question Pupute ! Tu restes ici, tu as bien vu ton badge ? Tu es la salope du bureau... Évidemment ce sera un travail payé au SMIC, et c’est déjà bien payé pour passer ton temps juste à te faire baiser.
— Mais…
— De toute façon, personne ne voudrait d’une salope comme toi. Jessica m’a assuré qu’elle adorerait raconter tes exploits de pute si tu t’amusais à vouloir trouver un travail ailleurs. Mais comme avec un SMIC tu ne pourras jamais me rembourser, en comptant les intérêts. Je t’ai trouvé un job d’appoint. Tu te souviens de la société « Jouissance » ? Tu avais passé des mois à essayer de les convaincre de nous laisser gérer leur campagne de pub. Et bien, figure toi qu’ils ont accepté. Jessica m’a dit qu’elle connaissait un des cadres, elle m’a mis en contact avec lui et… bon je te la fais courte, ils ont accepté !
En fait en parlant avec leur patron, il m’a expliqué qu’ils avaient du mal à trouver des filles pour certains de leurs pornos un peu… comment dire... un peu extrême quoi. Dès qu’une fille est au courant de ce qui lui est demandé, elle se décommande. Si tu veux mon avis, ces actrices pornos ne sont vraiment pas professionnelles. Alors justement j’ai dit à leur patron que j’avais une salope de première chez moi, très pro, et pas question qu’elle se décommande, elle. Donc, voilà, tu as un rendez-vous dans deux heures là-bas. J’ai juste le temps de te baiser vite fait et puisque que tu ne pourras pas y aller couverte de sperme, tu mettras ces vêtements que je t’ai achetés pour y aller. » dit-il en me montrant des vêtements qui aurait fait passer la femme la plus guindée du monde pour une pute en chaleur.
— Mais quels trucs extrêmes ? demandais-je, inquiète.
— D’après ce que j’ai compris, c’est pour te faire enculer par un âne ou un poney, je ne suis pas sûr. Il y aura aussi une meute de chiens à assouvir, tu dois jouer le rôle d’une sauvageonne. Le bon côté, c’est que tu auras le cul bien ouvert pour nous, c’est toujours ça de pris. Et en plus l’argent du contrat viendra couvrir tes dettes, pratique non ?
J’étais blême. Je voyais le reste de ma vie se résumer à me faire sauter par tous les employés de la boîte à leur convenance, et partir à l’occasion me faire trouer par des chiens, des ânes ou pire. Tout ça parce que j’avais loupé trois appels de Jessica… j’étais à deux doigts de m’évanouir... Le patron parut s’inquiéter d’un coup.
— Allons, ne te fais pas de mouron...
— Mais, c’est un cauchemar ! m’écriais-je désemparée.
— Il faut voir le bon côté des choses, tiens, tu pourras mettre le coût du transport pour aller te faire sauter par le bourriquet en note de frais. On n’est pas des monstres, Pupute...
FIN
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