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Vits de chiens

Chapitre 1

Une bienheureuse indiscrétion.

Divers
Il avait fait un temps de chien toute la semaine mais je marchais désormais dans la campagne libérée de la pluie sous le soleil nouveau de mai, riant et chaud. J’avançais sur mon parcours habituel, seule exceptionnellement.
Annie, ma meilleure amie, ma confidente, mon âme sœur, n’était pas venue au village ce week-end, restée près de sa mère souffrante m’avait-elle dit. En temps normal je serais peut-être restée chez moi à faire du step, mais j’avais trop été privée de sortie par les dernières semaines froides et maussades et cela m’avait décidée à aller marcher même non accompagnée, ce que je n’aime guère en général à cause de l’ennui.
J’avais mis un short et un débardeur un peu moulant peut-être, dans le souci d’attirer encore les regards masculins.
Deux jeunes hommes d’une vingtaine d’année peut-être, me dépassèrent en courant, un peu plus de vingt ans peut-être, un grand, blond et un autre plus petit, black. Ils me lancèrent un chaleureux "bonjour Madame" auquel je répondis avec la même vivacité.
Je les regardai s’éloigner, admirant leur plastique parfaite, les jambes musclées, celles couvertes de poils du blond et celles lices de l’autre, leur culs fermes et rebondis, leur dos développés et puissants, dont les T-shirt, déjà trempés soulignaient la perfection des formes…
M’avaient-ils saluée en matant mon cul comme je matais les leurs ? Bah, j’avais deux fois leur âge…. Mais ils étaient beaux ces hommes tout "neufs"…
Un homme, depuis combien de temps déjà ? Une éternité. Et pourtant deux ans seulement me séparaient de mon divorce, après que j’eus trouvé mon mari au lit en 69 avec le jeune employé du couvreur.
Je m’étais effondrée et avais tout confié à Annie.
-      Mais ma chérie, tu as tort de te mettre dans état pareil… profite, fais-en autant prends un amant… non plutôt un plan cul.. Tu es tellement belle et désirable, tu n’as qu’à claquer des doigts.-      Tu es folle, non je t’assure.. avais-je répondu en riant et en essuyant mes larmes.-      Tu en prendrais toi un plan cul ?-      Pourquoi un seul ?
Elle avait éclaté de rire et je mettais demandée, une fois de plus si elle était sérieuse. J’imaginais cependant mal son mari, Marceau, la laisser divaguer avec d’autres hommes.
Plus âgé que nous de quinze ans, il portait beau sa soixantaine naissante. Beau, c’est une façon de dire. Ce géant, fort comme un turc, avait une bouche énorme aux lèvres gigantesques, un gros nez et des yeux globuleux et plus un poil sur la tête. Je n’avais jamais compris qu’elle se mette avec lui que je trouvais froid et distant. Je m’en était ouverte à elle avant leur mariage.
-      Il a son charme… m’avait-elle dit. Et puis il a d’autres… puissants avantages.
Et quand, après leur mariage, il se confirma qu’il ne manifestait pas de sympathie à mon égard, ce qui était réciproque, elle me répondit.
-      Que veux-tu ! il est timide ! les très belles femmes l’impressionnent tellement.-      N’importe quoi !-      Mais si ma chérie, ne fais pas ta modeste !
J’en étais là de mes réflexions depuis une bonne vingtaine de minutes quand j’aperçus à nouveau les jeunes gars qui venaient en sens inverse. Je bombai un peu le torse pour mettre ma poitrine encore plus en valeur.
Arrivée presque à leur hauteur, je leur lançai.
-      Alors fatigués ? On fait demi-tour ?-      Non, mais il y a la course cycliste et la route est coupée !-      Ah c’est vrai, zut !
Je marquai une pause pendant laquelle ils me dépassèrent me souhaitant une bonne route.
De fait, j’étais condamnée à un très long détour, sauf précisément à passer par chez Annie.
Son mari avait racheté le manoir de Grandneux et il me fallait cinq cents mètres à peine pour atteindre la propriété. Je n’aurais ensuite qu’à traverser le bois et retrouver le chemin  du bourg. C’était le plus simple.
Le printemps avait déjà recouvert les arbres de feuilles tendres d’un vert pâle. J’avançais plus lentement au gré des chemins plus ou moins bien tracés par le propriétaire et ses chiens.
Non loin du manoir, j’entendis comme des cris. Surprise car les occupants n’étaient pas sensé être là, je m’avançais en tapinois. Les bruits se firent plus nets et ne me laissèrent aucun doute. Une femme prenait un intense plaisir.
Ce ne pouvait être Annie… alors qui ?
Enfin je parvins à la lisière. La salope !
Au bord de la piscine, à quatre pattes sur un matelas, elle se faisait sauter par un trentenaire brun au cheveux longs ondulés, au poils sombre soulignant le sillon entre se pectoraux et s’épanouissant vers le bas du ventre en devenant de plus en plus dense.
Il était beau, vraiment, et la pinait régulièrement sans trop se presser.
Sa mère malade… tu penses ! Elle s’était bien foutue de ma gueule. Elle profitait de l’absence de son mari pour s’envoyer en l’air avec un jeune mâle… et elle avait raison.
Elle était belle, sa chevelure rousse défaite sur son dos et ses seins lourds ballottant en cadence.
Je n’y tins plus. Les pensées qui m’avaient assaillie depuis ces dernières minutes et cette vision magique m’excitèrent et je mis ma main dans mon short.
Je restai quelques minutes ainsi sous le couvert des arbres, bien dissimulées pensais-je à laisser monter peu à peu la jouissance.
Comme j’étais à peu près à une trentaine de mètres, j’entendais à peu près tout ce qu’ils se disaient d’autant qu’Annie parlait fort. Il n’y a quand le gars se penchait sur elle pour lui souffler quelque chose que je n’entendais pas.
-      Vas-y Simon… ouiIIII… bourre-moi, encore, encore, encore…-      - T’aime grave la queue, hein salope… C’est bien mieux que tes caresses avec des gouines… T’aime la saillie salope ?-      Ouiiiii… -      On va-t’en donner de la saillie, de la bonne grosse saillie comme t’aime…t’aime que je te chauffe… tu la sens bien là dans ta chatte de pute ?-      Ouiii… baise-moi, à fond… plus fort… Ô Simon, mon amour, remplis-moi…
"Simon, mon amour"… c’était plus qu’un plan cul, un amant !  Mazette. C’était de plus en plus excitant ; Je la connais suffisamment pour dire qu’elle ne simulait pas. Elle s’éclatait. L’homme était beau, ce Simon que je ne connaissais pas et qu’elle appelait "mon amour". Mais tant qu’à cocufier son mari, je comprenais qu’elle ait choisi ce bel étalon brun. J’aurais bien aimé y goûter aussi.
J’étais tellement chaude que je baissai complétement short et culotte pour mieux me câliner de la main gauche tandis que de la droite je me titillai les tétons ; entièrement absorbée par cette jouissance de vue et du toucher, je n’entendais rein autour de moi, dans cette forêt bruissant du chant des oiseaux.
Tout à coup, le mari sortit de derrière la maison, du côté des garages et du chenil. Je ne m’y attendais absolument pas. Il était nu et je compris ce qu’elle voulait dire par "puissants avantages". Il était monté comme un âne. Sa queue pendait entre ses jambes, longues et épaisse, comme s’il venait juste de bander. Il était accompagné d’un de ses chiens, des molossoïdes bâtards. Celui-là, c’était le plus grand " Radar".
Ce grand con était donc complice de sa femme ! Comment l’imaginer alors que je le croyais jaloux au-delà de toute mesure.
Le jeune type se dégagea en les voyant arriver. Sa queue tendue était également de belle taille.
Marceau amena le chien derrière Annie et l’espèce de mastiff se mit à lui lécher la vulve! Elle tourna la tête en arrière, de mon côté et je vis son attente;, son désir, son contentement, sa langue qu’elle passait sur ses lèvres avant qu’elle pousse un "Hmmm" sonore.
Stupéfaite, je cessai de me caresser. Cela ne dura que quelques instants. Le chien, de lui-même monta sur ma copine, l’homme le guidant et lui attrapant le sexe, un énorme bâton rouge qu’il guida vers le vagin. Le chien glissa d’un coup.
-      Aaaah… ouiiii…
 L’amant se masturbait lentement, jambes écartées en regardant la scène. Le mari resta un instant accroupi la main toujours prête pour aider l’animal puis, quand ce dernier lui parut suffisamment assuré, il se redressa, la queue tendue et vint se faire sucer.
Je l’entendis insulter sa femme.
-      T’aime ça grosse truie ! Il est bien calé là ! Tu le sens bien dans ta chatte, la boule est gonflée ? il pisse déjà ?
Elle ne répondait que par des gémissements ou petits hochements de tête, sa bouche étant bien pleine.
L’homme se dégagea pour mater, tout en branlant son gros nœud.
Le chien s’agitait rapidement, poussant régulièrement par petits coups frénétiques vers l’avant et je pouvais apercevoir ses couilles osciller, disparaissant et réapparaissant, comme le battant d’une cloche. Elles étaient pendantes et me parurent terriblement lourdes et lisses, presque luisantes. De très belles burnes et je me fis la réflexion que tous les mâles se résumaient à cette paire qui les mettait tout le temps en chasse, hommes comme animaux.
Annie aimait cela. Les gars encourageaient le chien et insultaient la femme qui, proclamait qu’il était aussi raide qu’à son habitude. Elle n’en était pas à son coup d ’essai.
J’étais choquée mais j’aurais dû être écœurée plutôt. Et pourtant la femme qui prenait son pied avec l’animal me fascinait. Ma chatte dégoulinait sur mes doigts fébriles. Il fallait que j’arrête ou j’allais jouir et comme je ne sais pas le faire en silence, on me découvrirait… mais c’était trop bon.
-      Putain, c’est pas croyable !
La voix derrière moi me fit sursauter et je laissai échapper un cri.
C’étaient les deux jeunes gars que j’avais croisés, short au mollet, queue dans la main. Complétement hypnotisée par le spectacle d’amour cynophile, je ne les avais pas entendus s’approcher de moi. Il faut dire qu’ils avaient été discrets.
-      Qu’est-ce que vous faites là ? demandai-je à voix basse très nerveusement.-      La même chose que vous !-      Vous m’avez suivie…-      Oui… quand on vous a vu continuer, on a pensé que vous connaissiez un raccourci.-      Ah… Bon allez-vous en maintenant…-      Ben, non, on reste jusqu’à la fin, ce n’est pas tous les jours qu’on voit ça.
Le blond avait cessé de se branler. Sa queue était tendue à mort et le bout luisait. Le black continuait de se tirer sur la nouille dont la dimension modeste était compensée par une rigidité d’airain. J’étais attirée par ces deux beaux pénis mais je faisais mine de ne pas les voir.
-      Vous pouvez pas rester ici…-      Ben pourquoi ?-      Chut  ! plus bas, on va nous entendre !-      Ah, je crois que c’est déjà fait ! Répondis le petit black en regardant par-dessus mon épaule, tout en continuant de se branler tandis que le blond se baissait pour remonter son short.
Je me retournai. Marceau et Simon arrivaient derrière nous. De fait, nous étions beaucoup trop près pour ne pas avoir été entendus.
-Tiens, tiens mais qui voilà !
Il avança vers moi et me souleva sans ménagement avant que j’ai pu réagir, tellement je me sentais honteuse de me trouver là comme prise la main dans le pot de confiture.
-      C’est qui ? cria la voix inquiète d’Annie.
Nous sortions déjà du bosquet.
-      C’est ta meilleure copine qui se mêle de nos petits secrets… mais elle a aussi les siens, regarde les deux mecs…. Beaux spécimens.
Poussés par Simon les deux jeunes s’avançaient maladroitement, encore entravés par leurs shorts mal remontés et la bite à l’air. Le petit black bandait toujours sa queue tellement raide que le gland touchait son ventre en dessous du nombril.
Impossible d’arrêter le chien qui était étranger à la scène et poussait toujours son pilon rouge.
Annie se cacha la tête dans les mains et se mit presque à hurler.
-      Enlevez le chien, enlevez le chien !-      Ben, qu’est-ce que t’arrive ? demanda le mari pendant que nous restions tous comme des ronds de flanc à regarder ce qu’il se passait.-      Enlève-le, enlève-le ! J’ai trop honte, dit-elle en sanglotant.-      Tu sais bien qu’on peut pas. Il est bloqué pour une bonne quinzaine de minutes encore… t’as honte de quoi ?-      Pas devant Alice… et il est pas bloqué...-      T’as pas à avoir honte… elle était à moitié à poil avec deux jeunes mecs la queue en l’air… elle a pas de leçons à te donner avec ses aires de saunte Nitouche. Elle était en train de se doigter avec deux mecs qui se branlent... Elle a encore les doigts tout mouillés.-      Je ne les connais pas ces deux mecs ! Répondis-je honteuse, ne sachant plus très bien où planquer ma main, bien humide en effet.-      C’est vrai ! confirmèrent-ils en chœur alors qu’Annie demandait qu’on aille au moins lui chercher une couverture pour se cacher.
J’eus pitié de ma copine et m’approchais d’elle. Je me mis à genoux et lui prit la tête pour la serrer contre moi. Le chien la bourrait toujours et je pouvais sentir son haleine chaude et voir la bave filer entre ses bajoues.
-      T’inquiète ma chérie... je ne te juge pas… tu fais ce que tu veux… tu aurais même pu me confier ton petit secret plutôt que de me dire que tu allais chez ta mère… je ne serai pas passée par chez toi.-      Te confier un secret pareil !-      C’est ta vie. Tu fais ce que tu veux… tant mieux pour toi si tu y prends ton pied.-       C’est bien vrai ? Tu ne me méprises pas ?-      Non, pourquoi ?-      C’est… c’est spécial… ce que je fais…-      En effet… mais…-      Si tu savais comme c’est bon ! C’est si bon !Dit-elle pour se justifier.
A suivre
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