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Viva España

Chapitre 1

Gay
Salut chers lecteurs. Moi c’est Thomas et je viens tout juste d’avoir dix-huit ans. Je suis en terminale dans un lycée de Lyon et j’ai choisi la spécialité espagnole car c’est une langue que j’apprécie particulièrement. Ma prof d’espagnol est une adorable femme et s’est démenée pour nous organiser un voyage malgré la crise sanitaire. Nous sommes trop contents, faut dire qu’on est un petit groupe d’une quinzaine et qu’on est ensemble depuis la seconde donc nous sommes tous très soudés. Elle nous a trouvé un échange à Madrid grâce à un de ses contacts qui enseigne le français dans un lycée de là-bas. Nos parents et nous-mêmes sommes ravis car ça va nous permettre de découvrir la culture mais aussi de parfaire notre espagnol. Nous allons à Madrid pour quinze jours dans la famille de nos correspondants et eux viennent ensuite trois semaines dans le lycée.

Aujourd’hui c’est le jour où la prof nous donne les contacts de notre correspondant, on va enfin savoir à quoi il ressemble. Elle va nous donner une fiche avec des infos et les contacts sur les réseaux sociaux, on va pouvoir apprendre à se connaître un peu avant de se rencontrer pour de vrai. J’espère au fond de moi que ça sera un beau garçon, les Espagnols m’ont toujours fait craquer. Ah oui, c’est vrai, j’ai pas encore fait mon coming out auprès de mes lecteurs préférés. D’ailleurs je ne l’ai fait à personne, je suis le seul à savoir. Gay, bi ? Je ne sais pas exactement car je suis aussi attitré par les filles mais dernièrement je passe mon temps à me branler en matant du porno gay donc je me dis que c’est sûrement un signe. J’aime particulièrement la catégorie stepbrother, ça m’a toujours fait bander cette histoire de faux beaux-frères qui sont soi-disant hétéros et qui finissent par se sucer comme des goulus.
Je suis hyper-chaud, je me branle deux trois fois par jours, bref une bonne vie de puceau. Quand je dis puceau, j’exagère puceau car j’ai couché avec une fille de ma classe une fois en soirée, c’était assez chaotique mais pas désagréable. Par contre, avec les mecs (hormis deux trois branlettes avec un pote durant mon adolescence), je n’ai jamais rien fait. J’ai eu quelques sollicitudes au lycée de la part de filles mais aussi d’un mec mais c’est clair pour moi que je ne dois pas gâcher ma couverture, tout le monde me croit hétéro donc j’ai gentiment envoyé chier ce mec. D’après lui je suis beau gosse et très attirant. Je mesure un mètre quatre-vingt-dix et pèse quatre-vingts kilos, j’ai les cheveux bruns bouclés et des yeux verts assez perçants. Je ne suis absolument pas musclé car je suis trop fainéant pour faire du sport, je préfère le mater à la télé. D’ailleurs, je suis fan de l’Atletico et ravi que Griezmann soit retourné au bercail.
Combien de fois j’ai pu me branler en pensant à son petit cul !!
Allez, trêve de plaisanteries, je reçois la fiche de mon correspondant et je ne peux m’empêcher de sourire en voyant sa photo. Juan, mon correspondant, est magnifique. Pile comme j’aime les mecs dans mes petits pornos. Hyper-viril, brun, petite barbe de trois jours, pas très grand comme tout bon Espagnol qui se respecte, très mate de peau et des magnifiques yeux bleus. Par contre, sa présentation dit qu’il a une copine depuis deux ans, en même temps il sent l’hétéro à plein nez. Ceci dit, moi aussi et au final je ne dirais pas non à une bonne queue. Je lui écris direct sur Insta et il me répond très rapidement. Nous échangeons et en espagnol et en français, ça dépend. Lui comme moi avons un très bon niveau dans nos langues respectives du coup la communication se fait aisément. Il me dit qu’il est impatient de me rencontrer et qu’on va s’éclater lui et moi. Je me suis dit "si seulement" avec mon petit regard coquin. Il a tout de même un gros défaut, c’est un fan du Réal.
J’avais une chance sur deux mais bon j’ai vu des photos de lui sur Insta à la place et franchement il a un torse à faire péter des boutons de braguette. Il est légèrement musclé et finalement peu poilu. J’ai essayé de mater la bosse que formait sa queue mais avec un short de bain c’est peu pratique. Avec un peu de chance, je le verrai en boxer à la sortie de la douche. Ça y est je bande, il va être temps que j’aille me taper une queue. Ça ne sera que la deuxième de la journée après tout mais cette fois-ci je ne penserai pas à Griezmann en train de sucer Lemar (ouais l’ambiance vestiaire me rend dingue) mais à Juan et son joli torse.
Nous prenons le bus le lendemain à dix-huit heures pour rouler toute la nuit et arriver au petit matin à Madrid. Le voyage se passe bien, l’ambiance est sympa dans le bus, je suis assis à côté de ma meilleure pote Nina et devant mon pote Nico. Au bout de quelques heures, le bus s’arrête sur une aire d’autoroute pour que nous dînions et j’avais une telle envie de pisser que je me suis rué aux pissotières. En temps normal je n’y vais pas ça me bloque de pisser à côté de quelqu’un mais cette fois-ci il n’y a personne, trop bien ! Je sors ma queue qui pour la peine au repos est plutôt modeste. J’ai comme on appelle un pénis de sang (j’ai appris ça en quatrième, je le ressors à chaque fois), vous savez, les pénis qui sont modestes au repos mais peuvent doubler voire tripler de volume en cas d’érection contrairement au pénis de chair qui est très imposant au repos mais ne change que très peu de volume en érection.
C’est clair que pour se la péter dans les vestiaires vaut mieux le pénis de chair mais bon on fait avec ce qu’on a. Bref, je divague. D’un seul coup entre un mec, je dirais qu’il a plus ou moins mon âge ou une vingtaine d’années et au lieu de se mettre à l’autre bout comme le veut la règle communément acceptée par les mecs, il se met à côté de moi. Il me regarde, me sourit et baisse les yeux vers ma queue. Il m’indique du regard de mater sa queue et je vois qu’il bande, il a une énorme queue je dirais d’une vingtaine de centimètres tandis que la mienne, plus modeste, ne mesure que (ue ah ah) dix-huit centimètres. Il se branle et je me mets à bander dur, très dur, j’avais fini de pisser heureusement. Je reste figé sur sa queue et je ne sais quoi répondre. Il n’attend pas ma réponse et prend ma queue, il a le temps de faire deux trois va-et-vient et je le repousse gentiment de peur que mon pote Nico arrive. Je sais qu’il avait envie de pisser.
Heureusement que je l’ai fait car dix secondes plus tard entre Nico.
— Putain Thomas tu fais quoi ? J’ai cru que tu t’étais évanoui tellement tu es resté longtemps aux chiottes.
Le mec d’à côté rangea son matos complètement débandé à la fois à cause de l’interruption de Nico mais aussi du fait que je l’ai repoussé. Il a compris pourquoi je l’ai fait et m’a dit un petit
— Dommage j’adore ta queue.
C’était les prémices d’une vie sexuelle entre hommes bien remplies (si je puis me permettre) mais ça, je ne le savais pas encore.
— Putain ce mec il voulait voir ta queue ou quoi, me dit Nico toujours aussi élégant. — Ouais je sais pas pourquoi il a fait ça, il était un peu gênant mais bon tu sais que j’ai une magnifique bite alors je le comprends. Dis-je sur le ton de l’humour histoire de noyer le poisson. — T’es con, bon je pisse et on va bientôt partir m’a dit la prof.

Les heures passent, les kilomètres aussi et nous voici arrivés à Madrid, encore quelques minutes et nous arrivons devant El Instituto Velazquez. Nous voyons des familles qui nous attendent et je reconnais tout de suite Juan avec sa mère qui se prénomme Juanita. Ouais c’est très original, je sais. Je sors du bus et Juan m’accueille comme tout bon espagnol qui se respecte il me serre fort dans les bras. Ce moment restera gravé à jamais dans mon esprit. J’étais et heureux et nerveux de peur de me mettre à bander tellement c’était le bonheur de sentir son corps musclé contre moi mais aussi un peu son paquet qui me paraissait bien prometteur. Les présentations avec sa maman se passent merveilleusement bien et me voilà dans leur voiture. Ils me font visiter un peu et nous voici arrivés dans leur appartement. Il est plutôt grand mais ils sont cinq, il y a l’aîné Luis, Juan et sa petite sœur Rocio.
Juan me fait visiter l’appartement et me dit qu’il est vraiment désolé mais qu’il n’y a pas de chambre pour moi et qu’on va devoir partager le lit. Je suis tellement content de savoir ça mais je cache ma joie histoire de ne pas paraitre en chien. Il a une salle de bain intégrée à la chambre donc c’est plutôt cool. Il me dit
— Tu es comme mon frère, tu es ici chez toi.
Bref, la légendaire gentillesse des Espagnols. Mais moi je ne veux pas être son frère, je veux être sa pute ouais. D’accord, je m’emballe un peu. Il me dit que je peux me doucher, j’observe les lieux pour savoir si je pourrais me branler tranquillement car manifestement dans le lit (mon lieu de prédilection), ça va être compliqué. Je prends une douche qui fait du bien et je me rends compte que je n’ai ni serviette ni rien. J’appelle Juan pour lui dire et il me dit
— Pas de chichis entre mecs tu peux sortir à poil j’en ai vu plus d’une des pollas (bites en espagnol) au foot.
Alors moi pas gêné mais un peu excité (ouais mon pénis de sang était plutôt en mode début de demi-molle par rapport à ce qu’il venait de me dire) qu’il a bugué un instant dessus sans faire de commentaire. Il m’a tendu une serviette et j’ai enfilé mon boxer.
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