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Vive l'auto-stop

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Cette aventure m’est arrivée des années après ma « première fois ». L’été dernier exactement. Elle est aussi liée à une aventure en auto-stop, une fois encore. Je crois bien que je vais finir par revendre ma voiture et ne plus me déplacer qu’en stop, nez au vent, prêt à toutes les aventures !Je devais aller à Montpellier. Oui, mais... On nous annonçait l’apocalypse avec les trains. Du coup, j’ai envisagé le stop.
Après tout, ce n’est pas la première fois que j’en fais. Il paraît que dans les années 70, ça se faisait énormément. Depuis que j’ai une voiture, je prends toujours les rares stoppeurs que je rencontre. Ca peut parfois se terminer très très agréablement... D’ailleurs, à chaque fois que j’en fais, j’ai toujours un petit espoir qu’il va m’arriver quelque chose d’agréable... Comme ma voiture était au garage, je me décide à nouveau pour le stop, Foin de bla bla car et autres trucs. Je me place à la sortie de ma ville.Apparemment, je ne suis pas le seul à y avoir pensé. Il y a déjà deux autres stoppeurs devant moi. Bien élevé, je me place à 50 mètres derrière le deuxième. Ca tombe bien, c’est juste après qu’il y a un très grand dégagement pour se garer. Ca m’a toujours surpris ça. Que les stoppeurs ne pensent pas au conducteur qui va les prendre. Comment va-t-il faire pour se garer sans problèmes ? Je me suis fabriqué un petit panneau où j’ai écrit, en grosses lettres : MONTPELLIER.
Une demi-heure passe. Le premier stoppeur est parti assez vite. Ca va bientôt être à mon tour d’être, en tête de gondole ! C’est alors qu’un gros camping-car blanc vient se garer 30 mètres derrière moi. Je ne saisis pas tout de suite si c’est pour prendre un stoppeur ou simplement s’arrêter provisoirement. Je me retourne et c’est alors que, côté passager, quelqu’un descend et me fait signe, à moi. Par gestes, je lui fais comprendre qu’il y a quelqu’un avant moi. Toujours par signes, il me fait signe que c’est à moi qu’il s’adresse. Il ne me reste plus qu’à y aller, en faisant un geste d’excuse à celui qui est devant moi. Il lève le pouce, très sportivement. Merci !En m’approchant du camping-car, je comprends mieux pourquoi. La plaque se finit par un « E », comme Espagne. Montpellier est donc sur leur route. Bingo ! Je risque de faire le trajet, d’une seule traite ! Ca va être l’occasion de réviser mon espagnol !
En m’approchant, je détaille rapidement le passager. Sweat lie de vin, bermuda tabac, tennis marine. Dans les 25 ans, très brun. Mignon. Re bingo !
— Ola ! Montpellier ?— Si ! Gracias !
Je grimpe à sa suite sur le troisième siège, en saluant le chauffeur, copie conforme du passager ! Re re bingo ! Le voyage risque de ne pas être désagréable du tout, en compagnie de ces deux beaux gars... Heureusement pour moi, ils manient très bien l’anglais. Ca sera plus simple. Du coup, on fait vite connaissance. Ils terminent une semaine de périple en France. Ils sont de Barcelone. Ils sont dans la pub. Ils adorent camper dans des coins sauvages, complètement isolés. En riant, ils me disent aussi qu’ils m’ont préféré à l’autre stoppeur, car... ils me trouvaient plus beau que lui... Je dois prendre ça comment ?
Je commence à me douter, à de petits gestes, de petites attentions entre eux que ces deux-là sont homos et s’éclatent dans le grand lit que je vois complètement défait à l’arrière du véhicule. Ce n’est pas pour me déplaire, bien au contraire ! Du coup, j’essaie, par de petites allusions, de leur faire comprendre que, moi aussi...
Au bout d’un moment, le chauffeur, Juan, pose, naturellement, sa main sur la cuisse de Pablo, le passager. Ils me sourient.« -Si, somos homosexuales. Nos amamos.No hay problema. Yo tambien !
— Enfonces, esta bien ! »
Du coup, la conversation s’oriente nettement plus sexe. Ils veulent tout savoir de moi... Eux-mêmes ne sont pas avares de détails sur leur vie amoureuse. Ca devient très très détendu et très joyeux. Très chaud, aussi. Je leur montre une photo d’Abdel, ils poussent des cris d’admiration. Je m’empresse de leur dire qu’on est un couple très libre. Eux aussi... Ils sont pour toutes les expériences possibles. On ne saurait être plus clair.

Du coup, Pablo en vient à poser sa main sur ma cuisse, avec un clin d’œil appuyé à Juan qui rigole. Ne voulant pas être en reste, je glisse ma main sous ses fesses et je lui chatouille la raie de mon index. Si ça continue, le van va avoir du mal à garder une trajectoire bien droite ! Dire qu’il y a une demi- heure, on ne se connaissait pas ! La main de Pablo est venue se glisser jusque sur mon paquet qui enfle rapidement.
Sur le tableau de bord, traîne une tablette. Pablo s’en saisit et commence à pianoter d’une main sur l’écran. Il recherche un site gay et me montre, plein écran, des photos de mecs, tous plus beaux les uns que les autres. Ca enfle encore plus, du coup. Il me caresse doucement. Maintenant, il passe à des vidéos hot. Je n’ai aucun mal à les reconnaître tous les deux en train de se pomper, de se rimmer, de s’enfiler en pleine nature...
— Memories of our holiday week...— I see...
Bien sûr, j’ai bien capté que Pablo est en train de me chauffer un max. Je n’ai rien contre. Cette fois, il a ouvert mon bouton de pantalon, fait glisser mon zip et il me malaxe doucement le slip, bien bien tendu. J’ai moi-même glissé ma main dans l’arrière de son bermuda, sous son slip. Je lui caresse la raie du majeur. Il se soulève légèrement pour que je coulisse d’autant mieux. Juan n’est pas en reste. Il a, lui aussi glissé sa main dans le slip de Pablo, vers sa bite. Malgré tout, il arrive encore à se concentrer sur la conduite du van.
— Wait a minute ! nous souffle Pablo. Il se déleste de son sweat, de son bermuda et de ses shoes. Il nous apparaît ainsi en mini-maillot de bain jaune et vert, bien bien gonflé. Trop beau. Son torse, finement musclé, est recouvert d’une fine toison de poils bruns, avec une belle ligne touffue qui plonge vers le slip. Il va être surpris quand il va me voir complètement rasé ! Sa bite, dressée, sort du devant de son maillot, luisante de mouille. Belle pièce !— You’re not too hot ? me demande-t-il.— Yes, a little bit ...— You can put yourself at ease, you know...— OK !
Donc, je me déleste de mon pull, de mon pantalon, de mes shoes, ne gardant que mon slip.
— Nice underwear ! Do you want something to drink ?— Why not.
Du coup, tout en roulant, on passe à l’arrière du camping-car, dans la partie cuisine.
— Very beautiful installation !— Thanks. We rented this van for a week. We love our comfort !
Nous nous installons à la table pour boire un coke, côte à côte. Cuisses collées l’une contre l’autre.Pablo demande à Juan de nous rejoindre. Il est OK. Il cherche juste un endroit pour se garer. Ca ne devrait pas prendre trop de temps vu qu’on traverse une belle forêt. Ca y est. Il s’est même engagé dans un petit chemin de terre, tout à fait tranquille. Le temps de nous rejoindre, il s’est déjà débarrassé de son sweat et de son pantalon. Par contre, lui est totalement imberbe. Aucun poil sur tout le corps ! Sûr qu’il doit se raser ou s’épiler. Joli slip de bain bleu ciel, belle silhouette. Deux beaux presque trentenaires dans la splendeur de leur jeunesse. Lui aussi a la bite dressée dans son slip, comme un mât de cocagne.
Les choses sérieuses peuvent commencer... Ca commence sous la table, par un jeu de jambes qui se frôlent, se cherchent, se caressent, s’entrecroisent, se serrent... Puis viennent les mains. Qui est qui ? On s’en fout. Ce qui importe, c’est le bien qu’elles font en se promenant sur les maillots, en appuyant leurs caresses, en glissant furtivement quelques doigts sous les tissus. Juan est entièrement rasé. Comme moi. On se sourit, on rit. On aime beaucoup ça. Pablo se glisse carrément sous la table ! Il va sûrement prendre les choses ... en mains, pardon, en bouche.
Je sens son visage venir se nicher contre mon slip. Je sens son souffle chaud sur ma bite. Je baisse légèrement le devant de mon slip pour lui offrir mon gland. Je sens la pointe de sa langue qui vient me titiller. Trop bon ! Juan, qui est venu se placer à côté de moi, entreprend de me titiller les tétons. Il me les pince légèrement. Il cherche ma bouche. Je la lui offre bien volontiers. Je sens sa langue me pénétrer doucement. Je suis aux anges ; je sens que je vais passer un bon moment avec mes deux Ibériques, chauds comme la braise. Je vais être leur sex-toy du moment. Ca me va.
Cette fois, Pablo commence à m’engloutir doucement. Je sens la douceur de ses lèvres aller et venir lentement sur ma tige et s’enfoncer un peu plus à chaque fois. J’ai passé mes mains et empoigné sa tête. Alternativement, sous la table, Pablo passe de l’un à l’autre. Normal. C’est alors que Pablo me propose de changer de position. Il me verrait bien, allongé sur la table et eux s’occupant sérieusement de mon cas. C’est demandé si gentiment...
Me voici donc allongé sur le dos sur la table, les jambes pendantes. Mes deux hôtes, tels deux chirurgiens, penchés sur moi. Apparemment, c’est surtout la « partie basse » qui pose problème ! Je fais celui qui est sous anesthésie, mais mes mains se baladent en toute liberté sur leurs slips, dans leurs slips. J’essaie de deviner qui me fait quoi. Pour l’instant, ils me lutinent tous les deux le slip, cherchant à le faire glisser le plus voluptueusement possible. L’un a passé ses mains sous l’avant, l’autre sous l’arrière. Ca descend lentement. Me voilà nu, offert à leurs regards. J’en profite pour leur baisser, à mon tour, leurs slips de bain. J’ouvre un œil : beaux engins, bien raides.
Je leur tripote gentiment. Visiblement, ils sont tous deux obnubilés par ma bite. L’un me malaxe doucement les couilles pendant que l’autre fait aller le bout de ses doigts sur ma hampe, puis vient titiller mon gland, le frein du prépuce ... Wouuuuh ! Je les branle doucement. Chacun dans une main. Puis je les rapproche, colle leurs bites et les branle ensemble. Qui est en train de commencer à me sucer à nouveau ? Juan ? Pablo ? Peu importe. L’autre a passé son doigt dans ma raie et cherche à m’agacer la rondelle. Ils me font descendre de la table et me mettre en levrette, jambes bien écartées. Juan se glisse entre mes jambes pour me sucer pendant que Pablo entreprend de me rimmer consciencieusement. Trop trop bon !
Je sens sa langue qui pousse de sa pointe, cherchant le passage. J’ondule du bassin, baisant ainsi la bouche de Juan tout en essayant que la langue de Pablo me pénètre plus... Je gémis de plaisir. C’est alors que je sens un doigt qui cherche à me pénétrer. Il est bien froid. Sûrement enduit de gel. Je le sens qui me caresse la prostate. Trop cool ! Bientôt, un deuxième force le passage. Juan en a plein la bouche. Il me fait des gorges profondes, avec beaucoup de savoir-faire. Il a empoigné les globes de mon cul et tire bien dessus pour que Pablo s’amuse encore mieux avec mon trou.
— What if we went to bed ? We would be better, right ?
C’est vrai, ça. On serait peut-être mieux dans le lit qui nous tend les bras. En parlant de bras, c’est dans leurs bras, porté par les deux amants, que je vais faire le trajet jusqu’au lit... Trop rigolo. On reprend donc là où on s’était arrêté. Avec une variante quand même. Si je suis toujours en levrette, si Pablo me dilate toujours le trou, cette fois c’est Juan qui se dresse devant moi, à genoux, pour que je m’occupe de sa bite avec ma bouche.
Pendant ce temps, Pablo, tout en me doigtant, me branle par en dessous de son autre main. J’ai de la chance : je préfère sucer les bites bien rasées, ce qui est le cas de celle de Juan. Très longue, fine, bien lisse. Un sucre d’orge qui dégage une forte odeur de mâle. J’adore. Juan aussi a l’air d’apprécier la façon dont je le pompe. Il gémit. Du coup, ça excite Pablo qui s’approche pour m’enfiler. Je sens son gland qui me titille, cherchant, en douceur, à forcer le passage. Assez vite, il passe. Je le sens en moi.
La bite de Pablo est beaucoup plus épaisse que celle de Juan et légèrement plus courte. Il commence doucement à progresser dans mes entrailles. Je sens parfaitement bien sa tige chaude s’enfoncer en moi. J’adore ces moments-là. Je suce Juan avec d’autant plus d’entrain. Il gémit de plus en plus. Ca y est. Pablo est entièrement en moi. Il ne bouge plus. C’est moi qui, à présent, coulisse sur sa bite. Ca aussi, j’aime beaucoup. Juan me demande alors s’il peut rejoindre son amant pour m’enculer, lui aussi. Si ça lui fait plaisir...
En alternance, ils vont alors me pénétrer chacun leur tour. Pas besoin de me retourner pour deviner qui fait quoi. Les deux bites sont vraiment très différentes et les sensations aussi. Ils ont accéléré la cadence de leurs allers et retours, ainsi que la fréquence des échanges.
Celui qui ne me défonce pas me branle énergiquement la bite par en dessous. On entend le chuintement des bites qui coulissent dans mon trou, ainsi que leur souffle qui commence à se saccader. C’est alors qu’ils me retournent sur le dos pour mieux m’embrocher de face. J’ai posé mes chevilles sur les épaules de celui qui me pistonne. Changement de partenaire, accélération de cadence, à nouveau changement, à nouveau accélération. C’est Pablo qui me trombone à toute vitesse, décidé à exploser en moi. Je le sens se raidir. II vient. Il hurle et m’inonde de sperme chaud.
Aussitôt, il se retire pour permettre à Juan de jouir aussi. Mon trou est en feu. Mais c’est trop trop bon de se faire ainsi défoncer deux fois à la suite. Le sperme de Pablo a complètement lubrifié mon trou. Juan y glisse à toute vitesse. Pablo, un peu remis, se met à branler furieusement ma bite. Juan a encore accéléré ses coups de bite. Ses couilles claquent à chaque fois sur mon cul. Il est en nage, le souffle complètement coupé, mais il ne jouit pas encore. Très très résistant, le gars. Pablo se déchaîne sur ma bite. J’ai empoigné sa main et on la branle à deux. Pablo passe alors brutalement un doigt dans le cul de Juan. Instantanément, ça déclenche de longs jets de sperme de la bite de Juan.
A nouveau, je suis inondé de foutre. Moi aussi, je me sens sur le point de cracher ma semence. Pablo l’a compris, il approche son visage et reçoit tout. Nous redescendons tout doucement tous les trois, dans une odeur de foutre terrible. Wouaah ! Ce fut terriblement sauvage et bon.
On comate un peu tous les trois. Mais il faut bientôt se remettre en route, car la route est encore longue et leurs vacances se terminent demain soir. Mais, justement, il peut encore se passer pas mal de choses, d’ici à Montpellier... Cette fois, c’est Pablo qui s’est collé au volant après un rapide passage par la douche. Il a simplement réenfilé son maillot de bain. Aurait-il des projets derrière la tête ?
Juan me propose de passer à la douche. C’est trop rigolo d’essayer de prendre une douche dans un camion qui roule ! Une fois séché, Juan me prête un de ses slips de bain. Lui aussi en a toute une collection. J’en choisis un bleu et jaune assez slippé. Je regagne la cabine et m’assieds à côté de Pablo. Maintenant qu’on se connaît un peu mieux, la conversation roule sur tout, très joyeusement. Déjà, de temps à autre, Pablo repose sa main sur mon slip... J’en fais autant, de chaque côté pour qu’il n’y ait pas de jaloux !
Ils décident qu’on s’arrêtera vers 13 heures pour déjeuner. Une demi-heure avant, Juan retourne vers l’arrière pour préparer le repas, tout en roulant. Je le rejoins pour l’aider. Il nous prépare des tas de petits encas espagnols, des tapas quoi. A nouveau, les mains se font baladeuses, les frôlements inopinés... Pablo, dans le rétro, suit tout ça en live. Vers 13 heures, on s’arrête à nouveau pour déjeuner. En fait, c’est super cool de pouvoir s’arrêter n’importe où, n’importe quand. Mais bon, il paraît que ça coûte un bras. Tout est très délicieux, arrosé d’un bon petit vin espagnol. Olé ! Du coup, ça nécessite forcément une petite sieste qui devient vite crapuleuse.
Cette fois, c’est moi qui les défonce bien bien profond. En fait, ils m’ont pris en sandwich. Et, pour que je profite bien du cul de chacun, ils ont échangé leurs places. Un super pied là encore. A nouveau comatage. Oupsss ! Il reste 300 bornes pour Montpellier et eux 700 jusqu’à Barcelone... Je sens qu’ils vont me demander de passer la nuit avec eux, vu qu’ils ne rendent le van que demain après-midi. Faut que j’y réfléchisse...
L’après-midi se passa de façon très très joyeuse. Ce sont vraiment de gais lurons. Du coup, plus le temps passait, plus je me disais que j’allais avoir du mal à les quitter... Après tout, ce que j’avais à faire à Perpignan pouvait bien attendre demain. J’aurais qu’à mettre ça sur le compte de la SNCF. Ca n’a pas manqué. Arrivés à Montpellier, ils m’ont proposé de passer la nuit avec eux. Dit comme ça, ça ne se refuse pas ! Ils ont cherché un coin isolé, sur les hauteurs, dans les vignes. Le point de vue était extraordinaire. Le coin super désert. On a allumé un feu. La soirée s’est prolongée... par la nuit qui fut trop caliente. Epuisés, sur le coup de trois heures, on s’est tous écroulés comme des masses jusqu’à ... neuf heures !Ils m’ont même déposé à l’endroit exact où je devais aller. Hasta luego, amigos !!!Vive les grèves perlées de la SNCF !
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