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Vive le confinement en famille !

Chapitre 3

Alexandra prise au piège de ses deux enfants

Inceste
Pour rappel, cette histoire nous l’avons écrite à deux avec une lectrice du site, avec laquelle je corresponds très régulièrement. Et bien sûr, nous jouons à des scénarios. La suite logique était d’écrire une histoire ensemble. Bien que lectrice assidue, elle n’était pas une auteure et n’avait jamais publié d’histoire, mais elle a accepté avec enthousiasme.Pour l’écriture, il n’y avait pas de règles et pas de scénario, seulement une idée de départ. J’ai écrit l’introduction puis ce fut à chacun d’écrire à tour de rôle, selon ses envies. A son partenaire de poursuivre. Afin de rendre plus aisée la lecture, les passages de ma partenaire sont en italique.Quant à ma partenaire, je ne peux pas dévoiler son pseudo ici. Il suffira pour l’histoire que vous sachiez qu’elle s’appelle Alexandra. Quant à moi, je me prénomme Christian.

Avant de vous conter la suite de notre histoire incestueuse, je voudrais vous rappeler que je m’appelle Paul, 18 ans, étudiant, et qu’avec ma grande sœur Lisa, 21 ans et infirmière, nous sommes confinés chez nos parents suite à l’épidémie actuelle de Covid-19. De plus, toute la famille vient d’être atteinte par ce virus, mais sans gravité, heureusement. Cet après-midi, alors que nous étions seuls avec Lisa dans notre jardin, l’appel du plaisir a été le plus fort et nous avons fait l’amour, un moment super et inoubliable, jusqu’à ce que notre mère, Alexandra, nous surprenne...

Après un dîner où personne n’a osé parler, nous voilà tous remontés dans nos chambres. Je suis allongé sur mon lit, vêtu uniquement d’un short pour la nuit et en pleine lecture d’une BD. Je me fais la réflexion que je n’ai plus aucun signe de la Covid, plus de céphalées, de courbatures, de fièvre et surtout plus aucune fatigue ; je me sens en pleine forme et tant mieux. J’espère que ce virus ne sera maintenant qu’un mauvais souvenir pour nous. Soudain, on frappe à ma porte. C’est Lisa, elle entre immédiatement sans me laisser le temps de répondre. Ma foi, elle aussi, elle a mis sa tenue pour la nuit, un tee-shirt, certes un peu long, mais qui ne cache pas grand-chose quand même !
— Paul, il faut que nous parlions.— OK, mais de quoi ?— Pendant le repas, tu as bien remarqué, maman n’a rien dit ! Elle aurait dû nous questionner, nous faire des remontrances, nous engueuler... Je ne sais pas moi, mais en tous les cas, son comportement a été anormal, car elle sait très bien que nous avons baisé ensemble ! Réveille-toi un peu, frérot, son fils et sa fille ont baisé ensemble ! Ce n’est pas tout à fait normal, non ?— Oui, c’est sûr, dit comme cela, c’est bien étonnant. Mais elle attend peut-être le retour de papa.— Ou alors, elle n’est pas si en colère que cela. Je suis une femme et il y a certaines choses que nous remarquons et qui chez vous, les hommes, vous passent au-dessus.— Ah, je ne vois pas bien quoi ?— Et bien par exemple, j’ai remarqué que souvent elle te regardait d’une manière particulière pour une mère, fixant notamment avec un peu trop d’insistance ton entrejambe...— Arrête Lisa. Là, tu sous-entends certaines choses, notamment que maman aurait envie de moi. N’importe quoi ! Même si j’aimerais bien...— Oui, je le pense, très fortement, et ce n’est pas tout. Souvent quand je prends ma douche, elle trouve un prétexte pour entrer dans la salle de bain et me complimenter sur la sensualité de mon corps, mes très jolis seins ou mes fesses si rebondies... Même qu’une fois, juste après avoir rasé ma foufoune, elle m’a dit que j’avais un très joli minou qui devait beaucoup plaire aux hommes. J’avoue que ces paroles me font toujours terriblement mouiller, mais quand même, tu trouves cela normal pour une mère de parler ainsi à sa fille ? Finalement, je pense que maman n’a pas été si choquée que cela de nous voir ensemble. Voire même plus, je suis pratiquement sûre qu’elle aimerait bien se joindre à nous. Et je veux en avoir le cœur net... — Attends, sœurette, tu veux faire quoi exactement ? Car là, j’ai du mal à te suivre.— C’est simple, on va tendre un piège à maman. On va tous les deux aller dans sa chambre, prétextant de parler avec elle de ce qui s’est passé pour s’expliquer, se faire pardonner... Et on verra bien sa réaction. Et si elle réagit comme je le prévois, et bien...— Et bien quoi ?— Et bien on baisera tous les trois !— Quoi, moi, faire l’amour avec maman ! Tu n’y penses pas, quand même ! Avec toi, oui, on recommence quand tu veux, mais avec maman...
— Ose me dire droit dans les yeux que tu n’aimerais pas tremper ta grosse queue dans son cratère tout chaud, petit pervers ! Je te connais bien, va ! Et puis, tu viens d’avouer que tu aimerais bien que maman ait envie de toi, alors...— C’est vrai qu’elle est si belle, mamounette, si désirable... Et avec toi en plus, j’avoue que cela serait bien excitant.— Je m’en doute ! Tu as vu ta queue, elle déforme complètement ton short rien que d’en parler ! Moi aussi, j’ai ma petite chatte déjà toute trempée. Alors, on va la voir maintenant et je suis sûre que tout va très bien se passer.
Impossible de résister aux arguments de Lisa. Nous voilà tous les deux frappant à la porte de la chambre parentale, moi simplement vêtu de mon short et Lisa de son tee-shirt. Nous entrons dans la chambre...
— Les enfants, que venez-vous faire ici ?— Maman, on voudrait te parler, tu sais de ce que tu as vu cet après-midi... On voudrait t’expliquer, pour que tu nous comprennes et que tu nous pardonnes.— Ce n’est pas trop tôt, je me demandais si vous oseriez. Mais ne restez pas debout, venez vous allonger à côté de moi.— Voilà, maman, je vais être directe, car je crois que tu as tout compris. Oui, avec Paul, on a baisé, mais on s’aime maman, alors ce n’est pas si mal que ça. Et puis...— Stop, je t’arrête, vous vous aimez, d’accord, mais il y a des tas de frères et de sœurs qui s’aiment et ce n’est pas pour autant qu’ils font l’amour ensemble.— Oui, mais Paul s’est retrouvé tout nu à un moment. Alors, comment voulais-tu que je résiste ? Tu sais, la bite de Paul, elle est si belle, son mât si gros et son gland si appétissant... tu n’as qu’une envie, c’est de la prendre en bouche !— Merci de cette description très... explicite, mais tu parles quand même à ta mère, je te rappelle. Et je ne veux même pas savoir comment Paul s’est retrouvé comme par hasard nu avec toi... Et lui alors, quelle est son excuse ?— Maman, tu sais, Lisa elle a de tellement jolis petits seins, si fermes avec des tétons qui pointent... et son petit minou tout rasé... et ses fesses si rebondies... Moi aussi, j’ai cédé.
Tout en prononçant ces paroles, la main de Lisa s’est délicatement posée sur le haut d’une cuisse de sa mère, juste au contact de son intimité. Et elle remarque qu’Alexandra ne fait pas le moindre geste de désapprobation ou pour enlever cette main anormalement située.
— Mais dis-moi, maman, tout cela ne te laisse pas insensible, j’ai comme l’impression que ton sexe est bien humide...
Et voilà, mes deux enfants sont allongés à côté de moi et je devine que je suis prise dans un piège qui va se refermer sur moi. Lisa est simplement vêtue d’un T-shirt moulant et ses petits seins bien fermes pointent à travers le tissu en coton, laissant deviner ses belles aréoles. Il faut dire que j’ai déjà eu l’occasion de la voir nue sous sa douche. Je profite de ces moments pour la surprendre et lui dire que je ne l’ai pas fait exprès, mais son corps est si beau... que je ne peux pas résister à la tentation de l’admirer à chaque fois. Et Paul, vêtu simplement d’un short dont la bosse laisse deviner un sexe en pleine forme, avec son torse et ses pectoraux si bien dessinés... Comment résister ? Je suis si fière d’avoir des enfants aussi beaux... et si honteuse que ceux-ci m’excitent tant...
La main, si douce, de Lisa posée sur le haut de ma cuisse me fait tressaillir de plaisir. Mon Dieu, j’espère qu’elle n’a pas remarqué ce frisson qui parcourt tout mon corps. Ma respiration s’accélère, je sens déjà mon intimité se mouiller et mes tétons durcissent sous la soie délicate de ma nuisette. Je ne dois pas craquer... je sais ce qu’ils attendent de moi... mais je suis leur mère... et c’est mal de vouloir faire l’amour avec ses propres enfants. Je ne peux pas céder à cette tentation incestueuse qui me dévore... non... surtout pas !
- Et bien maman... tu es toute rouge et tu sembles un peu stressée, ça ne va pas ? me demande Paul, d’un ton moqueur. - Non... ça va, simplement un peu tendue... - Tu veux que Paul te fasse un massage ? Il est très doué, tu sais. Il l’a déjà fait sur moi... surenchérit Lisa en faisant un clin d’œil complice à son frère.
- Non, ça va aller, merci mes chéris. - Allons, laisse-toi faire, cela te fera du bien, tu verras mamounette. Sans attendre ma réponse, Lisa et Paul me retirent ma nuisette. Je n’ai pas la force de résister. Me voilà nue devant mes enfants. Je couvre maladroitement mes seins et ma chatte avec mes mains, le regard bas pour ne pas croiser celui de mes deux bourreaux.
- Allons maman, enlève tes mains, mets-toi à l’aise, allonge-toi confortablement et laisse faire Paul... tu vas adorer, me dit Lisa en fixant, d’un regard vicieux, la pointe de mes seins tendus.
Je m’allonge sur le dos alors que Paul se met accroupi à côté de moi. Lisa reste allongée de l’autre côté et je sens son corps effleurer le mien. Je frissonne de bonheur... Ses yeux balayent l’ensemble de mon corps comme une cible, son regard ressemble à celui d’un enfant gourmand admirant la plus belle des sucreries. Puis, alors que je ferme les yeux, je sens deux mains venir se poser sur mes seins. Paul a commencé son massage pervers ! Il me malaxe les seins avec délicatesse, mais ses doigts viennent aussi me pincer les tétons, m’arrachant des soupirs d’extase. Je sens ma vulve produire sa cyprine visqueuse, synonyme de mon plaisir coupable. « Tu vois maman, il est très doué ton fils » me souffle à l’oreille Lisa, après avoir déposé une bise sur ma joue. Puis les mains de ma fille viennent se mêler au ballet érotique de celles de son frère. Paul continue de me presser les seins l’un contre l’autre alors que les fines mains de Lisa descendent vers le bas de mon ventre...
- Je vous en supplie les enfants, arrêtez ! Ce que nous faisons est mal... je suis votre mère !
,Mais je sais que ces supplications ne servent à rien et j’ai tellement envie de me laisser entraîner dans une débauche incestueuse...Je vis un vrai rêve ! Enfin, nous voilà tous les trois réunis, maman, Lisa et moi. Et, grâce à ma sœur, nous allons pouvoir abuser de notre mère. Autant avec Lisa, je savais qu’un jour nous succomberions à l’appel de la chair, autant pour maman je n’osais y croire. Pourtant ça y est, elle est là, nue et allongée avec ses deux enfants et prête à subir nos assauts et les plaisirs que nous allons lui procurer. Car si ses paroles nous supplient d’arrêter nos caresses, tout son corps exprime l’inverse et son désir d’aller plus loin, beaucoup plus loin.
Mes deux mains englobent les beaux et généreux seins de ma mère puis mes doigts s’occupent de ses bouts qui pointent déjà. Ses petits gémissements, ses légers mouvements de sa tête, ses tressaillements à chaque fois que je titille et pince ses tétons prouvent son désir. C’est si bon, si jouissif de caresser les seins de sa mère que je bande rapidement comme un fou. Je n’en peux plus, ma bouche remplace mes doigts et je tête chaque mamelon, oui ces tétons qui m’ont nourri de leur lait et que maintenant je suce avec une délectation. Et quel plaisir de lécher, sucer et mordiller les mamelons maternels et de les voir grossir et durcir sous mes caresses buccales. Maman me caresse les cheveux comme lorsque j’étais enfant, sa respiration est devenue saccadée, ses muscles se contractent et se relâchent et elle gémit de plus en plus fort. C’est clair, elle apprécie mon traitement !
— Ouiii, ouiii, continue Paul, mon petit chéri, suce-moi les bouts, c’est si bon. Et n’aie pas peur, n’hésite pas à tirer dessus et à les mordiller, j’adore quand cela me procure une légère douleur, si jouissive. Vas-y, ouiiii, ouiii.— Putain, Paul, je ne le crois pas ! La chatte de maman est trempée et son jus dégouline de partout, il y en a même plein le drap. Tu devrais voir, notre mère est une véritable fontaine ! Et plus tu tires sur ces bouts et plus tu les mordilles, plus elle mouille. C’est vraiment une belle cochonne qui cachait bien son jeu ! Je ne pensais pas qu’on pouvait être plus salope que moi, mais là, j’ai peut-être trouvé plus forte que moi.
Lisa s’est redressée pour assister au spectacle de mes baisers fougueux sur les seins de maman. Et cela doit bien l’exciter, car sa main a délaissé le sexe maternel pour gagner sa propre intimité. Ma sœur se caresse frénétiquement la chatte à la recherche de son propre plaisir. Mais elle ne m’oublie pas, ma gentille sœurette, car sa bouche s’empare de ma queue. Sa langue suce mon gland, puis c’est sa bouche qui le prend en entier avant de recommencer à le lécher. Oui, c’est si bon... et maintenant, c’est sa main qui me masturbe en même temps que sa bouche engloutit presque entièrement ma verge. Putain, quel pied ! Sucer les seins de sa mère et, en même temps, se faire tailler une pipe divine par sa grande sœur. Il n’y a rien de plus jouissif, je suis au paradis !
— Eh frérot, je pense que là, maman ne serait pas contre une bonne branlette espagnole. Hein maman, t’es d’accord ?— Oui, oui, ma chérie, maman est d’accord. Viens Paul, viens vite mettre ta grosse queue bien dure entre mes seins...
Je m’assois alors à califourchon sur le ventre de maman, ma queue enserrée entre ses deux seins qu’elle presse fortement. Je débute mes va-et-vient, mon plaisir est extrême, augmenté par le caractère tabou de la scène. Et la sensation est divine, la poitrine de maman est parfaite, à la fois généreuse et ferme. Mais l’excitation est bien trop forte et je sens ma jouissance très vite arriver. J’éjacule toute ma semence par de puissants jets en saccade qui échouent sur le menton, le cou et le haut de la poitrine de maman. Elle me sourit, elle a l’air si heureuse de m’avoir procuré du plaisir.
— Oh merci, maman, merci ! C’est la première fois tu sais que je jouis de cette façon et c’est grâce à toi.— Je suis si heureuse que tu aies aimé, mon petit Paul, et si fière que cela soit avec moi et aussi grâce à ta sœur. Vous êtes deux enfants si adorables et si... pervers. Je vous aime tellement, mes amours.
En même temps que maman prononce ces mots, j’entends Lisa pousser un cri de jouissance alors qu’elle émet un jet de cyprine qui m’arrive sur les cuisses. Profitant du spectacle, elle avait repris sa masturbation solitaire, deux doigts enfoncés dans sa vulve pour fouiller son cratère intime.
— Ah, trop bon ! Vous m’avez trop excitée tous les deux. Impossible de ne pas me faire du bien !
Maman ramasse alors mon sperme avec ses doigts qu’elle met consciencieusement à sa bouche pour les lécher, tout en me fixant droit dans les yeux, un grand sourire aux lèvres. Mais elle nous aime, notre mamounette, et elle n’oublie pas de donner une partie de mon précieux nectar à Lisa. Ma sœur se fait aussitôt un plaisir de mettre un à un les doigts maternels, encore recouverts de ma semence visqueuse, à sa bouche et de les sucer afin qu’ils ressortent parfaitement nettoyés. Et je vois également son visage s’illuminer d’un large sourire. Nous sommes si bien tous les trois...
— Mes chéris, occupez-vous de votre petite maman maintenant. Tout ce sperme m’a ouvert l’appétit ! Ma chatte est en feu et elle réclame vos doigts, vos bouches et ta belle queue, mon Paulo.
Paul se lève, j’écarte mes jambes pour lui faciliter le passage et qu’il se positionne entre mes cuisses. Je devine ma chatte baveuse s’ouvrir également, sans pudeur à la vue de mon fils. Elle est trempée de cyprine et je sens mon liquide vaginal couler sur le lit. Paul me regarde en souriant.
- Prépare-toi à jouir, ma jolie maman. Je frémis de bonheur lorsque je sens son gland se frotter contre mes lèvres, Paul se branle juste à l’entrée de ma chatte. Je le supplie du regard de m’enfoncer son pieu dans mon antre en feu. Lisa n’est pas en reste, elle profite de ma position pour venir me téter les seins, sa petite langue titillant mes tétons. Je la vois glisser l’une de ses mains entre ses cuisses, cette petite cochonne se masturbe pendant qu’elle me lèche avidement chacun de mes nichons.
Puis, sans crier gare, Paul enfonce son mât de chair, si chaud et si raide, dans la gaine humide de mon vagin. Son gland écarte les parois humides et vient buter violemment contre le fond de ma chatte. Je hurle de bonheur sous ce coup de reins paradisiaque. Lisa engouffre sa langue dans ma bouche pour étouffer mes cris de jouissance et sa main vient me pincer les tétons pour accentuer mon plaisir. Paul ne s’arrête plus, il me pilonne de sa queue, sans aucune pitié, telle une machine à piston bien huilée. Je sens ses lourdes boules venir me percuter à chaque va-et-vient du bassin. Mes jambes encerclent mon fils au niveau de sa taille pour mieux le sentir au fond de mon intimité. Je jouis comme une folle. La langue de Paul se mêle à celle de sa sœur et voilà mes deux amours me roulant des pelles bien baveuses, l’un après l’autre. Au bout de quelques minutes, Paul s’écrie :
- J’en peux plus !! Je vais te cracher dessus, maman salope !!
Cette insulte, dans la bouche de mon fils et qui m’est directement adressée, décuple mon plaisir.- Ouuuui mon amour !! Arrose ta chienne de mère !! Mon bel amant sort alors sa queue gluante de ma chatte, encore dégoulinante de mon jus. Il se branle à peine deux fois et voilà que des puissants jets de foutre viennent se rependre sur tout mon corps. La crème onctueuse vient gicler jusque sur mon visage et sur celui de sa sœur qui m’embrassait encore. Lisa et moi sommes recouvertes du foutre de Paul, mais cela ne nous dérange pas, bien au contraire. Nos bouches restent soudées l’une à l’autre et nos langues continuent de s’enlacer dans un baiser passionné, alors que nos visages baignent encore du sperme incestueux de Paul...
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