Pour rappel, cette histoire, nous l’avons écrite à deux avec Alexandra, une lectrice du site. Bien que lectrice assidue, elle n’était pas une auteure et n’avait jamais publié d’histoire, mais elle a accepté avec enthousiasme le défi. Pour l’écriture, il n’y avait pas de règles et pas de scénario préétabli, seulement une idée de départ. J’ai écrit l’introduction puis ce fut à chacun d’écrire à tour de rôle, selon ses envies. A son partenaire de poursuivre. Afin de rendre plus aisée la lecture, les passages de ma partenaire sont en italique. Quelques jours après avoir fait l’amour avec mes deux enfants chéris, Lisa et Paul, nous décidons tous les trois de faire tomber mon mari Christian dans le filet de notre perversion incestueuse. Lisa et moi avons tout prévu. En ce début d’après-midi d’avril, le soleil arrose de ses rayons notre maison d’une bien agréable chaleur printanière. Alors que Paul est resté dans sa chambre, ma fille et moi avons décidé de profiter de notre piscine pour nous rafraîchir. J’ai revêtu un joli maillot de bain deux pièces de couleur blanche, le bas étant constitué d’un simple string. Quant à ma charmante Lisa, elle porte un ensemble identique, mais de couleur rose. Sa belle poitrine déborde légèrement de son soutien-gorge et on peut même apercevoir le joli rose de ses aréoles dépasser au-dessus du tissu. Nous savons que Christian ne va pas tarder à rentrer du travail, il est temps de planter le décor de notre piège. Nous voilà donc toutes les deux allongées, sur le dos, sur un transat au bord de la piscine. Cette position permet une bien belle vue sur nos deux charmants fessiers.
- Eh bien les filles ? Je ne vous dérange pas, j’espère ? C’est la voix de Christian qui vient de rentrer et de nous rejoindre dans le jardin, après s’être changé. Je tourne la tête vers ma fille, lui adressant un sourire complice plein de sous-entendus, avant de répondre à mon mari. - Viens t’asseoir avec nous mon chéri, Lisa a préparé de la citronnade. Prends un verre, tu dois être si fatigué mon cœur. - Merci mes chéries. Eh bien, vous voilà bien légèrement vêtues, heureusement que nous n’avons pas de vis-à- vis avec nos voisins ! -, Mais mon chéri, nos tenues sont adaptées à la situation. Tu ne voudrais quand même pas qu’au bord de la piscine nous soyons plus vêtues ! Ah, et puis ce soleil qui tape si fort aujourd’hui, il va transformer ma peau en véritable cuir ! Lisa, tu veux bien prendre la crème solaire et m’en mettre un peu dans le dos, s’il te plaît ? - Bien sûr maman chérie. Attends, je vais te détacher ton haut. Voilà, tu peux te retourner maintenant sur le ventre.
Lisa se place alors sur un côté de mon transat, mais pas n’importe lequel. Elle choisit celui où, lorsqu’elle se penchera en avant, ses jolies fesses, dont seul le sillon qui les sépare est caché à la vue par la ficelle de son string, seront les mieux exposées aux yeux de son père. Elle dépose la crème solaire, d’abord sur le haut de mon dos, avant de débuter son massage sensuel par de délicieux mouvements circulaires de ses mains. Elle s’applique à bien enduire chaque centimètre carré de ma peau. Puis elle descend lentement jusqu’aux reins avant de s’attarder longuement sur chacun de mes fermes et rebondis globes fessiers. Tout en regardant son père d’un sourire amusé et très provocateur, elle pousse même le vice à passer fréquemment quelques doigts sous la ficelle de mon string afin de venir titiller mon petit œillet. Je ne peux me retenir de pousser quelques soupirs sous les caresses expertes de ma fille, elle est si douée cette petite coquine !
Enfin, elle termine par mes jambes qu’elle masse longuement, s’attardant anormalement sur l’intérieur de mes cuisses, ce qui ne fait qu’accroître mes soupirs.
Du coin de l’œil, je regarde Christian qui ne perd rien du spectacle. Je distingue quelques gouttes de sueur sur son front, qui ne doivent pas être seulement dues à la chaleur et la bosse qui se forme au niveau de son entrejambe prouve que notre piège va doucement se refermer sur lui. Je dois avouer que je fais de gros efforts afin de rester de marbre devant le spectacle qui m’est offert. J’ai la nette impression que mes deux femmes cherchent à m’aguicher, ce que je peux comprendre de la part d’Alexandra, mais beaucoup moins en ce qui concerne Lisa. Pourtant, je suis presque sûr que ma fille a fait exprès de s’installer de ce côté du transat pour masser sa mère, avec ses fesses bien orientées dans ma direction. Et difficile de résister à un si joli fessier, à la fois bien musclé par la pratique du sport et bien rebondi comme celui de mon épouse. Ah, si je n’étais pas son père, il est sûr qu’elle ne pourrait pas terminer son massage ! Et que penser de sa manière de masser Alexandra, de ses caresses sur l’intérieur des cuisses maternelles, sur les fesses et pire sur la raie fessière qu’elle a recherchée à plusieurs reprises pour atteindre, même si je refuse d’y croire, le petit trou si intime. Quant à Alexandra, elle a l’air de fort apprécier ce massage plus que sensuel, voire carrément érotique. Je me pose vraiment la question de savoir si tout cela ne serait pas finalement prémédité, mais dans quel but ? — Zut, maman, on m’appelle... ah, c’est ma copine Lydie. Je suis obligée de te laisser, papa terminera le massage. Ne m’attendez pas, j’en ai au moins pour une demi-heure.
En partant, Lisa en profite pour faire un bisou sur chacune des fesses d’Alexandra tout en rajoutant qu’elle les adore. Mais elle ne m’oublie pas... — Toi aussi, je t’aime papa. Et je vois que tu as très apprécié mon petit massage sur maman et cela me fait très plaisir, un plaisir très particulier, très excitant... me dit-elle, les yeux fixés sur mon entrejambe avant de partir en riant.— Alexandra, tu as vu comment Lisa se comporte ? C’est impensable, si ce n’était pas ma fille, je la traiterais de petite allumeuse...— En attendant, mon amour, j’ai trouvé son massage très agréable, vraiment très agréable. Allez, viens ici le poursuivre, j’en ai envie, Lisa m’a trop excitée...
Je ne me le fais pas dire deux fois et je prends le tube de crème solaire afin d’en enduire la poitrine d’Alexandra. Mais ma main s’attarde beaucoup plus que nécessaire sur chaque sein et je joue avec chacun de ses tétons. Rien que ce début de caresse m’excite et je sens mon sexe grossir dans mon short. — Dis-moi Christian, toi aussi tu parais bien excité de la situation ! Ou je me trompe, ou ton anatomie nous indique que tu aimerais bien autre chose que simplement m’enduire de crème protectrice. Pas de problème, on a au moins trente minutes devant nous. Retire-moi ce short totalement inutile et prends ma place, j’ai envie de te faire une petite gâterie.
Je m’allonge nu sur le transat, Alexandra assise sur le côté. Elle se penche en direction de ma verge, sa langue sortit et débute par me lécher tendrement mon gland, tout en me fixant du regard. Elle sait que j’adore la sensation que procure sa langue sur mon bout en début d’une bonne fellation. Puis elle prend mon sexe en bouche et me pompe avec délectation tout en me masturbant d’une main. Je ferme les yeux, me laissant aller. Sa main délaisse ma queue afin de serrer mes testicules à tour de rôle d’une pression croissante, pendant que l’index de son autre main gagne mon petit trou pour doucement s’introduire dans ma gaine anale. — Putain que c’est bon, continue Alexandra, j’adore trop quand tu me fais une bonne pipe. — Tu es gentil mon chéri, mais j’ai aussi envie de toi, de ta langue dans ma chatte. Mais t’inquiète pas, j’ai une idée, je vais m’assoir sur ton visage, comme ça tu pourras bien me lécher et moi je pourrai toujours continuer à te branler d’une main.
Sans me laisser le temps d’émettre le moindre avis, elle s’assoit sur moi, son sexe grand ouvert au-dessus de ma bouche. Je n’ai qu’à tirer ma langue pour lécher ses parois intimes ou l’introduire dans son vagin. Et je ne m’en prive pas, ma langue la lèche, la fouille pendant de longues minutes. Alexandra pousse des gémissements et sa cyprine coule abondamment sur ma bouche et dégouline même sur mon menton. D’une main, elle reprend la masturbation de ma queue. Je sens que dans peu de temps, nous jouirons tous les deux. Mais dans cette position, je ne m’aperçois pas que Lisa est revenue, très discrètement. Tout était prévu et je suis tombé dans le piège tendu par mes deux femmes sans le savoir. Sa main remplace, sans que je m’en rende compte, celle d’Alexandra et me branle avec vigueur. — J’adore comment tu utilises ta langue Christian. Et toi, tu aimes ma main ? me questionne mon épouse.— A ton avis, mon amour, continue comme ça et je vais bientôt exploser.
Les deux mains d’Alexandra entourent alors ma tête et me caressent les cheveux. C’est si merveilleux, si... — Alexandra, tes deux mains, là... mais alors... qui...— Chuuut, ne dis rien, mon tendre amour, je suis là et je t’aime plus que tout au monde. Ferme les yeux et laisse la main de ta fille s’occuper de toi. Oui, tu as bien entendu, c’est Lisa qui est revenue, nous avions tout prévu... Car j’ai couché avec nos deux enfants pendant que tu étais chez ta mère et nous avons vécu des moments prodigieux. Depuis, notre seul souhait à tous les trois est que tu partages avec nous ces moments de plaisir si intenses. Tu verras, cela sera merveilleux, fais-moi confiance...
Alors, ce que jamais je n’aurais pu imaginer se produit, je cède. Beaucoup trop facilement sans doute, mais seule m’importe à cet instant la recherche du plaisir que nous allons nous procurer ensemble, les deux femmes de ma vie et moi. Notre joli piège s’est refermé sur mon époux, et comme je l’avais prévu, il est tombé dedans, sans lutter. Me voilà chevauchant son visage, le sexe trempé et bien ouvert au-dessus de sa bouche. Sa langue fouille chaque recoin de mon cratère en feu, il a toujours été très doué dans la pratique du cunnilingus, un véritable expert ! Je gémis de plaisir et mes mains viennent malaxer mes seins pour accentuer ma jouissance. Mais voilà que notre adorable fille entre en scène. Elle se met accroupie entre les jambes de son papa et lui prodigue la plus belle des masturbations. Debout face à elle, j’ai un point de vue idéal qui me permet d’admirer la parfaite pratique du "hand job" de mon enfant. D’une main experte, elle branle avec douceur et délicatesse le pieu de chair de son papa, décalottant le gland à chaque va-et-vient. De son autre main, elle masse les boules rasées de mon cher époux, en faisant glisser ses doigts sur la peau sensible se trouvant entre les testicules et l’anus. Elle semble heureuse et excitée de pouvoir enfin profiter pleinement de son papa adoré et elle me sourit tout en le branlant. Christian semble apprécier, mais ses gémissements sont étouffés par ma chatte qui vient se frotter sur sa bouche. Sa langue aspire mon clitoris dans un bruit de clapotis humide et délicieux. Les ongles de ses mains qui se plantent dans mes fesses me confirment qu’il adore cette savoureuse branlette familiale.
,Mais je vois bien que Lisa veut franchir un nouveau palier. Sans même me dire le moindre mot, elle me regarde dans les yeux et me fait comprendre ce qu’elle souhaite faire à son papa, là, maintenant. Je la regarde avec provocation et lui fais signe de la tête afin de l’inviter à aller encore plus loin. Dès lors, elle s’incline, penche la tête vers la queue bien raide de son papa et, tout en continuant de lui masser les boules, sa petite bouche vient engloutir le sexe dressé. Je suis au bord de l’extase, ma cyprine inonde le visage de mon mari, alors que notre fille lui fait une magistrale gorge profonde. Les cris de plaisir étouffés de mon homme traduisent la jouissance extrême qu’il ressent de se faire pomper de la sorte. J’appuie bien fort ma chatte sur son visage pour mieux sentir sa langue me dévorer l’intimité.
Je ne peux résister à l’envie de me rapprocher de ma fille et être au plus près pour admirer sa technique buccale et son savoir-faire en matière de fellation. Je me penche donc sur le torse de Christian, tout en maintenant ma vulve béante sur son visage. La position du 69 permet de me rapprocher de Lisa, à quelques centimètres de la queue de mon époux emprisonnée dans la bouche de sa fille. Lisa ressort le pénis paternel de sa gorge, il dégouline encore de sa salive, jamais je n’avais vu le sexe de mon mari aussi enflé et trempé, puis elle prend la bite de son père, la tend vers moi et me dit sur un ton vicieux " On partage, maman ? " Quelle petite salope ! Je l’adore... c’est bien la fille de sa mère ! Nous voilà toutes les deux léchant la queue de notre proie. Nos langues dansent un ballet sensuel sur le gland gonflé de désir de mon homme et nous lui faisons la plus belle des doubles fellations, en parfaite osmose. Alors que ma bouche lui pompe le gland, la langue de Lisa fait de baveuses léchouilles le long de la hampe brûlante. Et lorsque je montre à ma fille que sa mère est elle aussi une experte des gorges profondes, elle en profite pour gober une à une les énormes boules paternelles. Christian trouve la force de retirer son visage de ma vulve dans un soupir de plaisir. - Espèce de petites garces, comme je vous aime ! C’est trop bon, continuez ainsi et je vais pouvoir vous arroser de mon foutre.
Mais même une belle pipe accompagnée de sa mère n’est pas suffisante pour Lisa, elle en veut plus et me le fait savoir. — Allez papa, viens vite, j’ai la chatte en feu ! Elle a un besoin urgent d’être défoncée !— Christian, écoute ta fille, cette petite garce ne demande qu’à être baisée, alors vas-y, surenchérit mon épouse. Je ne peux résister à ces mots si crus dans la bouche de mes deux chéries. Je prends Lisa par la main, la conduis à une extrémité du transat afin qu’elle se mette à genoux, la croupe offerte, et je pénètre sa chatte sans retenue. Je n’éprouve aucune difficulté, son antre est trempé de cyprine. — Ouiiii, papounet, baise ta fille, baise ta grosse salope de fille ! J’entreprends des va-et-vient de plus en plus puissants de son antre vaginal, sous les yeux pleins de perversion d’Alexandra qui ne perd rien du spectacle. — Comme vous êtes beaux, tous les deux... Je vous aime... Ah si Paul était là, cela serait l’apothéose. La sensation est divine, j’ai l’impression que ma queue n’a jamais été aussi dure, aussi grosse tellement j’ai envie de baiser. J’oublie tout, qui je suis, avec qui je baise... seul compte le plaisir et celui-ci s’empare de tout mon être. Mes deux mains tiennent solidement Lisa aux hanches afin de favoriser mes mouvements bestiaux. Et ma fille apprécie, elle gémit de plaisir sans discontinuer. — Baise-moi papa, baise-moi fort, j’aime tant me faire défoncer. Putain que c’est bon d’avoir ta queue dans ma chatte et de la sentir me défoncer si bien. Ahhhh, ahhh, ahhh, continue...— Alors papa, on se lâche, maman ne te suffit plus, il te faut ma sœur maintenant... Cette voix, c’est... C’est celle de Paul. Je me retourne, mon fils est là, debout et nu, le sexe dressé. (A suivre)
