Après ce rapport sexuel particulièrement intense, Tom et Léna restèrent allongés l’un à côté de l’autre pendant près d’une heure. Tous deux savaient que tout cela n’avait été qu’un moment d’égarement, une pulsion sexuelle mutuelle à satisfaire, mais rien de plus. Ils ne voulaient pas que tout ceci débouche sur quelque chose de plus sérieux qui aurait pu compliquer leur relation et leur éloignement programmé. Ainsi, la jeune femme laissa son ex-beau-père embrasser son corps une dernière fois, avant de regagner sa propre chambre tandis que le soleil se levait. Quelques jours plus tard, Tom trouva un appartement et quitta le domicile.Malgré les gémissements ouvertement poussés par Léna, sa mère Noémie ne sembla pas les avoir entendus puisque jamais elle n’en fit mention. Les deux femmes traversèrent ensemble l’épreuve du départ de Thomas qui vit couler beaucoup de larmes. De son côté, celui-ci coupa les ponts avec tout son entourage le temps de digérer ce retour au célibat. Il repensait parfois à sa belle-fille et se demandait si un jour, elle parlerait de cette fameuse nuit à sa génitrice. Lui, en tout cas, n’en avait pas le projet. — --------------------------------------- Une année entière s’écoula avant qu’une perspective de retrouvailles ne se présente à eux. Jane, une amie de la famille, venait d’annoncer une fête à l’occasion de la Première communion de son fils. Évidemment, ils y étaient conviés. Léna attendait cet événement avec un mélange d’impatience et de peur. Quelques semaines plus tôt, pour son anniversaire, elle avait reçu une carte de Tom. Rien d’exceptionnel, juste une poignée de mots mais qui, visiblement, l’avaient beaucoup touché. Elle en avait été bouleversée, au point d’en rêver la nuit suivante. De toute évidence, son ex-beau-père comptait encore beaucoup pour elle.Le Jour J, Léna se vêtit d’une robe noire mi-longue à manches courtes qui laissait voir ses fines jambes. Elle n’avait en revanche pas opté pour un décolleté, par crainte de voir pulluler les remarques indiscrètes sur sa tenue. Elle était encore jeune et dans un environnement aussi religieux que celui de cette communion, cela aurait pu être mal perçu. La fête débuta aux alentours de 19 heures dans une salle louée pour l’occasion. Une centaine de personnes était présente et elles se sustentaient d’un repas préparé par un traiteur local. L’alcool ne manquait pas non plus à l’appel, les fidèles semblant prendre l’expression du Christ "Buvez ce vin, c’est mon sang" au pied de la lettre !Vers 20h, Léna sortit prendre l’air à l’extérieur quand une main agrippa son épaule droite. Elle tourna la tête et tomba nez à nez avec Tom, élégamment vêtu d’un costume trois-pièces noir. La jeune femme ne put retenir sa joie et le prit dans ses bras. — Tom ! Comment vas-tu ?! demanda-t-elle, ravie.— Bien bien. Je suis arrivé un peu en retard parce que mon train était en retard. Léna le relâcha. — Et toi, qu’est-ce que tu deviens ? poursuivit-il, le sourire aux lèvres. On m’a dit que tu avais décroché un stage en entreprise !— Ouais, c’est dingue non ? Je suis super contente. Maman est à l’intérieur si tu veux la voir !— Je le sais, je l’ai croisé il n’y a pas 5 minutes elle est venue fumer une clope. Un court silence s’installa au cours duquel Léna remarqua que Tom admirait ses formes. Elle s’en trouva un tant soit peu gênée, car la dernière fois qu’elle avait croisé ce regard, ils s’étaient sautés dessus comme des animaux. À quoi était-il en train de penser ? — Sinon, tu as retrouvé quelqu’un ? dit-elle pour briser ce silence.— Euh... non. Tu sais quand tu as vécu avec la même femme pendant 7 ans, c’est dur d’envisager autre chose. Et de ton côté ?— J’ai fréquenté quelques garçons mais rien de sérieux. Léna comprit vite qu’elle n’aurait pas du poser cette question tant le sous-entendu était appuyé. — J’ai froid, je vais retourner à l’intérieur. Sur ces mots, elle laissa Tom dehors et partit rejoindre les autres convives. Cette courte conversation n’avait en revanche pas déplu à Tom. Il se disait que sa belle-fille n’avait pas changé, et qu’elle était toujours aussi belle. Inconsciemment, il la désirait toujours et leur séparation n’avait en rien diminué ce désir. Elle était toujours à ses yeux la jeune femme qu’il avait vue nue sous la douche. De son côté, Léna essayait, malgré le brouhaha ambiant, de réfléchir à la situation. Elle n’avait pas rêvé, Tom matait son corps ! Ce n’était pas un problème de pudeur puisqu’ils avaient couché ensemble mais plus d’honnêteté. Ce qu’il s’était passé cette nuit-là ne devait en aucun cas se reproduire. Pourtant, lui semblait bien décidé à réitérer l’expérience. Son regard n’était pas innocent. Alors que la soirée battait son plein et que la plupart des invités était occupée à danser, Tom vint accoster Léna et lui indiqua par un signe de tête de le suivre. Elle se leva et suivit celui qui autrefois avait été son beau-père jusqu’à une sorte de petit cagibi. Ils s’enfermèrent à l’intérieur de cette pièce aux murs très étroits. Il entama la conversation, l’air nerveux.— Écoute Léna... j’ai envie de toi. Je sais qu’on s’était promis de ne pas aller plus loin mais quand je t’ai vu ce soir...Elle comprenait très bien où il voulait en venir, ce qui signifiait qu’elle avait eu raison. Leur proximité dans ce lieu si restreint rendait la scène plus ambiguë encore. Quelques frissons parcoururent son corps de jeune femme quand elle remarqua une bosse significative à travers le pantalon de Tom. Ce pervers bandait ! Elle ne put s’empêcher d’imaginer ce pénis vigoureux qui l’avait pénétré un an auparavant avec tant d’amour. Alors, emportée par une sorte d’ivresse érotique, elle s’agenouilla devant Tom et commença à lui déboutonner le pantalon. En dessous se trouvait un caleçon qu’elle ne mit pas longtemps à baisser. Déjà humide, la bite était dressée vers l’avant, prête à servir. Léna échangea un bref regard avec son beau-père avant de s’engager.— Fais-le... Le supplia Tom qui n’en croyait pas ses yeux.Léna enfonça alors ce chibre dans sa bouche d’une seule traite. Surpris, Tom ne put retenir un gémissement. Elle le pompait avec férocité telle une actrice de films pornographiques. Elle n’en était pas à sa première fellation et savait stimuler la bite de son partenaire. Elle l’embrassait et le léchait aléatoirement. Parfois, le gland arrivait jusque dans sa gorge.— Oh oui... vas-y salope ! s’exclamait Tom, les yeux fermés.Léna relâcha la bite quelques instants afin de reprendre sa respiration. Celle-ci était couverte de salive.— Tu aimes quand je te suce hein ? dit-elle d’une voix sensuelle, un filet de bave coulant le long de son menton.— Oh ouiii continue !Elle reprit cette bite entre ses mains et la masturba quelques instants avant de la sucer de nouveau. Elle aimait ça. Pour rien au monde elle n’aurait voulu interrompre cette pipe phénoménale ! Elle sentait chaque veine gonflée de ce pénis se heurter contre sa langue ou ses dents et cela l’excitait encore plus. Elle malaxait les couilles de Tom pour augmenter le plaisir. Elle donnait des coups de langue à répétition, comme si ce n’était qu’une sucette. Tom prit alors l’initiative de saisir le crâne de la jeune femme afin d’enfoncer son sexe encore plus profondément dans la bouche de celle-ci. Léna manquait de s’étouffer et elle mordilla très légèrement la colonne de chair de son partenaire pour le lui signaler. Il relâcha son emprise tandis que sa bite se contractait, indiquant qu’il allait jouir.— Léna, il faut que je jouisse !— Pas sur ma robe ! Sinon tout le monde va savoir ce qu’on a fait !— Et bien alors avale mon sperme !À peine avait-il prononcé ces mots que Léna enroula ses lèvres autour de son pénis. Soudain, d’immenses giclées de sperme déferlèrent dans la petite bouche de cette salope. Certaines coulèrent directement le long de sa gorge mais une grosse partie resta dans sa bouche. En se retirant, Tom remarqua que la bouche de sa belle-fille débordait de sa semence. Elle pencha alors la tête en arrière et avala en quelques secondes tout le foutre visqueux.
