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vive les fêtes ratées

Chapitre 1

Inceste
Enfin ! Les parents étaient allés se coucher et la demi-heure d’attente de sécurité que je m’étais fixée était sur le point de s’achever. Plus un bruit dans la maison, hormis celui de la télé que j’avais dû feindre de regarder avec intérêt tout au long de la soirée pour pouvoir rester dans le salon. Je la laissai allumée, réglant le volume suffisamment fort pour couvrir le ronronnement du PC paternel, mais suffisamment bas pour pouvoir entendre le grincement de l’escalier en cas d’un réveil et d’une descente inopportune.
Le sang me battait aux tempes et la barre de chargement de Windows me parut d’une extrême lenteur. Anticipant déjà les images et les vidéos cochonnes que j’allais pouvoir mater sur le net, mon sexe se redressa, impatient. Pour être à l’aise, je déboutonnai ma braguette et le laissai à l’air libre, m’assurant, toutefois, que je parviendrais à cacher tout ça sous ma chemise.
Puis le bureau apparut et je pus activer cette fameuse connexion internet ADSL que mon père avait finit par acheter, m’ouvrant grand les portes de la pornographie numérique. Je désactivai le filtre parental en ricanant de la prévisibilité du mot de passe, puis j’arrivai enfin sur l’explorateur et n’attendit même pas que la page d’accueil se charge pour taper l’adresse de mon site gratuit favori. Lesbiennes, éjaculations faciales, sodomies, gang bang, il y avait toutes les catégories à même d’apporter le bonheur à un jeune puceau et je me réjouissais de voir parmi les nouveautés de la semaine la vidéo d’une pornstar qui m’avait offert mes plus belles branlettes. Excité comme je l’étais, il aurait suffit de quelques mouvements pour jouir devant les images de toutes ces salopes aux cuisses grandes ouvertes, mais j’effleurais tout juste mon membre et repris ma recherche, me laissant guider par les liens et les renvois vers d’autres sites, la joie de la découverte d’une adresse intéressante valant presque celle d’une bonne vidéo. Immanquablement, il fallait batailler avec les pop-up ou les sites gays ou de vieilles qui m’attiraient moyennement, mais le jeu en valait la chandelle et je trouvai, pour mon plus grand plaisir, une page avec beaucoup de vidéo de cumswap de bonne qualité. Je les téléchargeai immédiatement dans un répertoire temporaire, soupirant à l’avance que j’allais devoir effacer ces jolies bisexuelles qui, après avoir sucé un ou deux heureux veinards de la plus belle manière, s’embrassaient la bouche pleine de sperme, étalant de la langue ou avalant avec gourmandise ce que moi je répandais sur de pauvres kleenex.
Je cliquai sur l’image d’une brune affriolante, quand j’entendis la porte d’entrée s’ouvrir avec quelques difficultés. Mon cœur se figea et mon sang se congela dans mes veines. Les mains tremblantes, je dissimulai mon sexe dressé sous ma chemise et je fermai les fenêtres aussi vite que possible, insultant ma sœur intérieurement. Pourquoi cette conne rentrait-elle à cette heure-ci ? Hélène était sensée rester toute la nuit chez une amie. Hésitant entre rage et panique, je la vis se retourner vers le salon alors qu’elle passait dans le couloir pour se rendre à sa chambre, sûrement attirée par la lumière et le bruit de la télé et du PC.
« T’es pas encore couché toi ? » Me lança-t-elle avec fatigue.
Rassuré d’avoir pu tout fermer et d’être sur Wikipédia, un favori bien pratique pour se donner une contenance, je pus délaisser la peur et m’agacer de ce ton de grande sœur autoritaire. Cette pimbêche n’avait que deux ans de plus que moi, pour qui se prenait-elle ?
« Tu es observatrice, tu n’es pas resté chez Alice ? »
Hélène grogna et, pour mon plus grand désespoir, se vautra sur le canapé devant la télé, bien trop proche, à mon goût, du bureau de papa. Je remontai un peu les genoux, espérant que mon érection déclinante depuis l’arrivée de ma sœur ne repousse pas les pans de ma chemise.
« Non, dit-elle avec humeur, la fête était nulle…, que des cons… ! »
Je notai la robe sexy, le rouge à lèvre et perçu distinctement la frustration dans sa voix. Je ricanais :
« On s’est pris un gros râteau ? »
Hélène détourna la tête de la télé et me regarda avec fureur, sa bouche s’incurvant avec une moue acide :
« Ça vaut mieux que de passer la soirée à se branler devant un PC… ! »

Frappé de plein fouet, j’avalai ma salive avec peine et cherchai désespérément quelque chose à répliquer, mais aucune parole ne vint et je ne pus qu’observer avec une horreur grandissante ma sœur se lever et venir à mes côtés, puis se pencher pour prendre la souris de ma main tétanisée.
« Mais laisse-moi, j’étais en train de travailler sur…
« C’est ça, tu vas oser me dire que tu prépares un exposé pour le lycée ? Je sais très bien ce que tu fais dès que tu es seul à la maison… ! »
Mon sexe n’était plus qu’un morceau de peau recroquevillé quand elle accéda à un historique que je n’avais pas eu le temps d’effacer. Elle pouffa :
« Whorevideo, cumslutsexpress, queducul… Quels noms évocateurs ! »
Mortifié, je la vis ouvrir quelques pages au hasard. Lorsqu’elle tomba sur un site gay, je me défendis tout de suite devant un regard interloqué de ma sœur :
« Ah non, ça, je ne regarde pas, ça s’est ouvert tout seul… ! »
Elle rit bêtement et resta toujours plantée à côté de moi, à faire défiler les images, exhumant même le répertoire qui abritait mes trouvailles de la soirée. Jamais plus je ne sous-estimerais les compétences informatiques de ma sœur, songeai-je, mort de honte. Profitant totalement de sa victoire, elle tira même une chaise et s’installa à ma gauche, commentant :
« Alors, c’est là-dessus que tu te touches ? Ce genre de trucs, c’est ton fantasme ? »
J’avais beau être abattu, mes yeux ne purent s’empêcher de regarder les seins et les croupes offertes. Fixé sur l’écran, je répondis avec hargne :
« Ben ouais, c’est là-dessus que je me branle… !.. C’est facile pour toi de dire ça, toi, tu as déjà eu des copains, moi, je n’ai que ma main droite… ! »
La garce ricana et ouvrit une vidéo montrant une fille se faire prendre bien profondément. Proche d’elle, je sentis enfin quelques relents d’alcool qui l’imprégnaient : voilà pourquoi Hélène était si en verve ce soir… Hélas, il ne fallait pas espérer qu’elle soit suffisamment saoule pour qu’elle oublie cette soirée. Elle me frappa sur l’épaule et me tança :
« Pas la peine de faire cette tête, c’est si tu ne te branlais pas que je serais inquiète ! »
Elle se leva et se réinstalla dans le canapé, me regardant toujours :
« Et puis, tu sais, je ne monte pas au septième ciel tous les soirs, ce n’est pas facile d’être suffisamment en confiance avec quelqu’un… ! »
Je détaillai ma sœur, suivant ses jambes du regard et les courbes de son corps :
« Tu me permettras de douter, t’es quand même bien foutue… ! »
Elle sourit et minauda en enserrant légèrement sa poitrine avec ses bras, faisant remonter ses seins :
« J’ai de moins gros seins que ta brune sur le PC… ! »
N’ayant jamais parlé de mes goût pour le porno avec mes amis, j’étais finalement assez heureux de pouvoir le faire avec ma sœur, même si j’étais toujours gêné. Son ton de supériorité mis en sourdine, j’avais l’impression que nous pouvions entamer les confidences :
« Bah, elle est hors catégorie : c’est du silicone, tu n’as aucune raison de t’en faire ! »
Son visage se fit plus sombre et elle soupira. Un peu énervé par cette attitude affectée, je continuai :
« Si un con t’a dédaigné à la soirée, il s’en mordra les doigts… !.. Il y a pas deux semaines, tu étais avec cet Antoine, ce grand type aux beaux yeux bleus… !.. Franchement, c’est le monde à l’envers, c’est plutôt toi qui devrais me dire de ne pas m’en faire… ! »
Ses lèvres s’incurvèrent plus joyeusement et ma sœur se détendit :
« Merci frangin, tu as raison, tu connaîtras toi aussi ton jour de gloire, va, je te le promets, tu es plutôt pas mal, toi aussi !« Mouais, fis-je, peu convaincu, ça sent le rattrapage… ! »
Hélène secoua la tête et me fit signe de la rejoindre :
« Mais non, c’est sincère, lève-toi donc et viens donc discuter ici, je te vois à peine, caché que tu es derrière l’écran… ! »
Un peu gauche, je m’apprêtai à lui obéir quand je me souvins de ma braguette ouverte. Je me rassis en catastrophe et reboutonnai mes jeans, m’attirant un autre sourire sardonique, mais plus aimable que le premier.
« C’est vrai que je t’avais interrompu à un moment délicat… !« Pas au moment le plus délicat… ! Réussis-je à plaisanter, imaginant le désastre si ma sœur était arrivée aux derniers moments de l’orgasme, moi les mains pleines de foutre, une vidéo bien hard en train de tourner sur l’écran.« Ne t’inquiète pas, je te laisserai finir ce que tu as commencé… !« Je ne sais pas si je réussirai à m’y remettre tout de suite… ! Avouais-je, le rire de ma sœur résonnant encore à mes oreilles, alors qu’elle découvrait mes goûts en matière de pornographie.«; Excuse-moi, je suis confuse… ! »
Je soutins son regard et haussai les épaules, alors qu’elle me jaugeait. Je la vis se mordre les lèvres, ses joues devenir carmines et elle secoua la tête, comme embarrassée. Puis elle soupira et deux étoiles s’allumèrent dans ses yeux. Se penchant vers moi, Hélène passa sa langue sur ses lèvres et murmura, si bas que je faillis ne pas l’entendre :
« C’est stupide, si on s’écoutait, nous finirions la soirée seuls à nous masturber, chacun dans notre chambre… ! »
Je fronçai les sourcils, prêt à demander des explications quand sa main se posa sans hésitation sur mon entrejambe, commençant à imprimer un mouvement on ne peut plus clair.Le souffle coupé, je restai sans autre réaction que celle, toute naturelle, qui s’emparait de mon sexe, lui faisant retrouver sa raideur si cruellement quittée. Pendant ce temps, la bouche de ma sœur était à mon oreille et me soufflait de me laisser aller, de fermer les yeux.
Trop de choses se bousculaient pour que je puisse répondre. C’est un lieu commun de dire que les hommes ne pensent qu’avec leur bite, mais à ce moment, je réalisais que cela n’expliquait pas tout. Oh oui, mon sexe était divinement caressé, par d’autres mains, enfin, que les miennes, mais la vision du corps de ma sœur pressé contre moi faisait résonner bien autre chose qu’une simple envie charnelle. Il y avait plus qu’un plaisir physique à caresser tout d’abord timidement ses flancs, puis ses cheveux alors qu’elle se penchait pour observer de plus près mon service trois pièces. La seule chaleur de sa respiration sur la peau de mon gland manqua de me faire jouir, alors qu’elle disait :
« Voilà qui est digne d’intérêt… ! »
Je pouvais presque sentir le contact de ses lèvres, mais ce ne fut que la pointe de sa langue qui passa rapidement de la base de mon sexe jusqu’au sommet, provoquant chez moi un gémissement étouffé. Mais Hélène se redressa et abandonna ce début de fellation. Elle remonta le bas de sa robe pour pouvoir s’asseoir à califourchon sur moi, comprimant mon phallus entre nos deux ventres. Ma sœur posa ses mains sur mes épaules et s’immobilisa un moment, m’observant avec un sourire. Je ne sais pas si cela était pour goûter le pouvoir qu’elle avait sur moi ou pour profiter de l’instant, mais je ne pus qu’admirer ses traits réguliers, ses yeux gris et ses longues boucles d’un blond presque châtain. Ce visage si connu, je ne l’avais jamais vu comme cela et jamais je n’aurais pensé que nos deux bouches se rejoignent de cette manière un soir.
Nos langues se mêlèrent avec de plus en plus de fougue et mes mains ne se restreignaient plus : possessives, elles caressaient ses cuisses, ses fesses avec ferveur et commencèrent même à s’immiscer sous la culotte de ma sœur. Mes doigts suivirent la chute de ses reins, effleurèrent son petit trou, puis continuèrent jusqu’à parvenir au saint des saint, un endroit déjà humide qui s’entrouvrit sous la pression de mes doigts.Aussitôt, ses dents se refermèrent avec une feinte férocité sur ma langue et elle s’écarta de moi, empêchant mes doigts de poursuivre leur exploration. J’allais balbutier une supplique désolée, mais elle mit son index sur mes lèvres en souriant :
« Nous allons le faire comme il convient… ! »
Je me contentai de hocher la tête, l’observant ôter sa robe par-dessus ses épaules, puis basculer sur le canapé pour s’allonger et retirer sa culotte. Avec un sourire lascif, ma sœur s’installa plus confortablement et écarta ses jambes, effleurant son petit triangle d’or de ses deux index.
« Mets-toi à genoux, par terre et montre moi comment tu sais te servir de ta langue ! »
Anxieux de bien faire, je m’exécutai et je quittai le canapé pour le sol. Hélène prit mes mains et les disposa sur ses cuisses, puis les remonta à ses hanches, emmenant, dans le même mouvement, ma tête vers son sexe.Enivré par ce contact, l’odeur de sa féminité, je tirai la langue et léchai avidement les replis de cette petite chatte aux poils soigneusement coupés courts. Ma sœur gémit, puis tira mes cheveux vers l’arrière :
« Plus lentement, de bas en haut, la langue large… ! »
Je me faisais un peu l’impression d’être un chien bien dressé, mais cette soumission volontiers subie porta rapidement ses fruits : Hélène se mit à se cambrer et sa main qui me martyrisait le cuir chevelu se crispait au même rythme.
« Plus en haut, avec la pointe de la langue… ! »
Mes souvenirs de lectures sur les forums « chauds » me confirmèrent qu’il fallait que je m’attaque au clitoris de ma sœur et je remontai ma bouche pour pouvoir fouiller du bout de la langue le petit bouton d’Hélène. Mes mains se portèrent également plus haut et passèrent sous son soutien-gorge, dernier vêtement qu’elle portait à cet instant. Malgré ses cuisses plaquées contre mes oreilles, j’entendis son souffle se faire de plus en plus court et je dus faire attention à ce que mes dents ne heurtent pas son sexe, alors qu’elle ne contrôlait plus les soubresauts de son bassin. La bouche pleine de son jus, je sentis qu’elle prit mon poignet droit. Elle suça mon index et mon majeur, puis porta ma main à son entrecuisse. Cette fois-ci, elle n’eut pas besoin de m’expliquer et j’introduisis mes deux doigts dans sa chatte et commençai, doucement, à la pénétrer. La combinaison de ma langue et de mes doigts fit son office et j’eus bien du mal à continuer, alors qu’elle s’agitait en poussant des petits cris. Après un ultime coup de langue, Hélène s’arqua violemment et plaqua mon visage sur son sexe, meurtrissant mon nez contre son mont de Vénus. Puis elle écarta ma tête, comme si elle ne pouvait plus supporter être touchée.
Ma sœur reprit peu à peu sa respiration, tout comme moi qui avais souvent retenu mon souffle pour pouvoir insinuer ma langue au plus profond d’elle et elle m’invita à venir la rejoindre sur le canapé. Elle m’embrassa longuement, semblant goûter son parfum intime, pour finir par me murmurer :
« C’était pas mal du tout, pour une première fois… ! »
Fier de l’avoir fait parvenir jusqu’à l’orgasme, je soupirai d’aise et répondit sur le même ton :
« Je ne demande qu’à progresser… ! »
Hélène eut un rire de gorge à damner un saint et m’embrassa de nouveau, attrapant un malheureux oublié, toujours au garde à vous.
« Occupons-nous un peu de lui… ! »
Elle m’attira sur elle et présenta mon sexe devant le sien. Je crus exploser alors qu’elle frottait mon gland contre sa chatte, puis elle me laissa la pénétrer, me fixant alors que je m’introduisais en elle. Son vagin était plus qu’humide et il me suffit d’un coup de rein pour entrer totalement. J’effectuai quelques va-et-vient, la sentis s’exciter de nouveau, mais quand ses mains descendirent vers mes fesses pour m’attirer plus profondément encore, je fus incapable de résister et je jouis avec un grognement étranglé, enfouissant ma tête au creux de son cou.
J’avais l’impression que mes couilles n’en finissaient plus de se vider et si je bougeais encore en elle, c’était que mon corps était traversé par de mystérieuses décharges électriques. Mes soubresauts tenaient plus du spasme que de l’étreinte amoureuse, cependant, ma sœur sembla apprécier ce moment et bougea sous moi, utilisant mon sexe encore raide en elle pour arriver à un autre orgasme. Moins impressionnant que le premier, il lui fut toutefois fort agréable et elle ferma les yeux de contentement.
J’étais le plus heureux des frères, mais le fameux instant de désarroi post-coït troubla cette bulle dorée de sérénité et je m’agitai à ses côtés avec angoisse :
« Hélène, je…, j’ai joui dans…, enfin…« Chut, reste calme, reste encore en moi, ne t’inquiète pas, je prends la pilule… ! »
Rassuré, je respirai de nouveau et changeai légèrement de position, prenant garde à ne pas retirer à ma sœur ce morceau de chair fatigué qu’elle aimait sentir entre ses cuisses. Plus confortablement installé, je pus la caresser à ma guise et finis de lui enlever totalement son soutien-gorge. Hélène ne fit que sourire et grogna d’un air approbateur alors que mes mains se firent plus insistantes, mais le grincement des lattes de l’escalier anéantit brutalement l’illusion d’un retour au pays des merveilles.
Par bonheur, je ne m’étais pas déshabillé comme ma sœur et je n’eus qu’à remonter mon pantalon et ajuster ma chemise pour présenter une façade un tant soit peu correcte. Mon cœur battant la chamade, je décidais de sortir du salon, afin d’intercepter mon père avant qu’il n’ait une vue des plus compromettante sur sa fille.
« Tu n’es pas couché ?, me jeta-t-il avec un œil noir.« Euh…, non… ! Répondis-je, cette fois-ci, sans ironiser.« Tu utilises l’ordinateur… ! »
C’était plus une affirmation qu’une question et de là où il se trouvait, s’il n’avait pas vue sur le salon, il pouvait très bien percevoir la lueur de l’écran.
« Oui…, je t’ai déjà expliqué que la connexion est plus rapide tard le soir… ! »
Mon père plissa les paupières et grommela :
« Mouais, j’aimerais que tu fasses attention quand même et que tu ne me choppes pas des virus en te baladant sur des sites pas clairs… ! »
Une heure plus tôt, une telle remarque m’aurait refroidi et humilié, mais je ne pus que sourire imbécilement et mon père remonta les escaliers. Cette face trop satisfaite dut l’énerver toutefois car il jeta, s’arrêtant à mi-parcours :
« Je veux que tu ailles au pieu sans attendre, même si demain c’est dimanche, il y a le garage à repeindre et je compte m’y mettre dès neuf heures… ! »
Je regardai les aiguilles de l’horloge et soupirai :
« Très bien, j’éteins l’ordi et je vais dormir… ! »
La menace regagna définitivement l’étage et, alors que je l’entendais refermer la porte de sa chambre, je me demandai quelle aurait été sa réaction s’il nous avait découvert, Hélène et moi, dans les bras l’un de l’autre. Il ne faisait pas l’ombre d’un doute qu’elle n’aurait été guère bonne.
Inceste. C’était le terme officiel, accompagné de son habituel cortège de folie, de honte et de scandale. Pourtant, quand je me retournai et vis ma sœur sur le canapé, qui avait réussi à renfiler à la hâte sa robe, je ne pus que sourire d’un air complice avec elle et sentir le souffle me manquer alors qu’elle me rejoignait, massait mon pauvre sexe devenu sensible à travers mes jeans et me murmurait :
« Bravo frérot, tu as bien joué le coup sur toute la ligne… !.. Je pense que je vais mieux apprécier les longues soirées à la maison… ! »
Tecyde
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