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Vive les porte-jarretelles

Chapitre 1

Erotique
Mariée depuis dix ans, j’en ai 30, je suis fortement sexuée, et je crois devoir faire part aux lecteurs d’Xstory d’une histoire qui devrait les intéresser ainsi que les lectrices !J’ai toujours été très soignée de ma personne. Avant de faire l’amour, je me lave toujours et je me parfume parfois, avec une petite touche à l’endroit du sexe. Je sais que mon mari aime me déshabiller, aussi, après m’être lavée, il m’arrive souvent de remettre mon collant et un slip sous ma chemise de nuit.Pourtant, en dépit de mes avances, qui n’ont pas changé de style, j’ai remarqué il y a environ deux ans que mon mari avait l’air de se désintéresser de l’amour. En un an, le rythme de nos ébats, qui était jusque –là de trois à quatre fois par semaine, est tombé à une fois par semaine, puis à une ou deux fois par mois. Chaque fois que j’ai voulu en parler, mon mari m’a répondu qu’il était fatigué ou préoccupé par ses affaires, etc. En fait, il est un peu prude sur ces questions-là et n’aime pas en parler.Puis j’ai remarquée qu’il s’intéressait, non pas à des magazines pornographiques, mais à des catalogues de lingeries que j’avais, et j’ai aussi découvert qu’il s’attardait sur les réclames de sous-vêtements féminins dans les magazines. Quand je lui en ai fait la remarque, il s’est fâché et a refusé la discussion. Et puis un soir, quand nous étions dans un cabaret, J’ai remarqué qu’il était très émoustillé par une danseuse qui se produisait vêtue d’un long jupon, de bas et d’une culotte à frous-frous.Cette nuit-là, il a fait l’amour avec une ardeur que j’avais depuis longtemps oubliée. Pendant les deux semaines suivantes, il m’a fait réfléchir assez longuement. La première chose que j’ai faite a été d’acheter des sous-vêtements sexys : un soutien-gorge transparent rouge, une culotte à festons de même couleur et une porte jarretelle en velours noir bordé de chantilly. Puis j’ai attendu une occasion. Elle ne devait pas tarder. Quelques jours plus tard, comme mon mari était appelé à Paris pour un congrès professionnel, je lui ai demandé si je pouvais aller avec lui. Il eu l’air assez content, mais il m’a dit que le congrès serait suivi d’une réception où je devrais avoir l’air très chic et bien habillée.Une fois à paris, je me suis préparée à l’hôtel où nous étions descendus. Laissant à regret mon confortable collant, je me suis harnachée, puis j’ai passé ma plus jolie robe de cocktail en tulle, avec une ample jupe en forme. La réception s’est très bien passée et mon mari avait l’air content de me voir si élégante. Mais en rentrant à l’hôtel, comme je me blottissais contre lui dans le taxi, il s’est rencogné comme il fait d’habitude quand il n’a pas envie de faire l’amour. Une fois dans la chambre d’hôtel, il a annoncé que la journée l’avait fatigué, s’est déshabillé et est passé dans la salle de bains. Au lieu d’en faire autant, je me suis assise sur le fauteuil, qui était très bas, en croisant haut les jambes. Quand mon mari est sorti de la salle De bain en pyjama, j’ai relevé ma jambe de façon à faire remonter ma jupe sur mes cuisses. Il s’est arrêté net, la bouche ouverte. Puis il a eu cette question, comme un cri du cœur : « Ce sont de vrais bas ? » Je lui ai dit que oui, et que ce n’était pas tout, qu’il y avait d’autres surprises sous ma robe. Ses yeux se sont allumés, il m’a embrassée avec passion, a fourragé sous ma jupe en s’attardant sur la limite des bas et de la peau ainsi que sur les jarretelles.Puis il m’a retiré ma culotte et m’a fait l’amour sans me déshabiller, au grand dam de ma jolie robe. Il y avait des années que nous n’avions pas fait l’amour avec autant de passion et de plaisir, aussi bien lui que moi. Quand cela a été fini, il a téléphoné qu’on nous monte des whiskies, et nous avons eu une longue conversation à cœur ouvert. Il m’a dit qu’il avait toujours eu horreur des collants et que rien n’était plus excitant que le contraste entre des bas nylons noir et la blancheur de la peau.Enfin, il m’a avoué qu’il aimerait me voir porter des culottes un peu plus longues et fendues au milieu. Pour ma part, m’a –t-il dit, il n’y a pas de différences entre un slip minimum et un slip de bain. Je sais qu’on se sent inconfortable quand on porte des bas et un porte-jarretelles, et je regrette bien mes collants, que je continue à porter de temps en temps, d’ailleurs. Mais les culottes fendues (j’en ai acheté) me donnent l’impression curieuse d’être provocante.C’est un peu comme si je ne portais rien du tout. Et si tout cela me permet de retrouver mon mari complètement différent, qui sait me rendre heureuse, alors j’estime que cela vaut le coup. Si seulement les époux pouvaient discuter entre eux, avec un peu de liberté, de leurs désirs secrets, bien des avocats spécialisés dans le divorce feraient faillite, j’en suis plus que persuadée !
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