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Vive la liberté

Chapitre 1

Travesti / Trans
Ce soir, c’est ce que j’ai fais, j’ai profité de ma liberté, maman en vacances, un mois en plus, possibilité pour moi d’être Mylene absolument quand je veux et en plus de pouvoir avoir des plans quand je veux, me préparer à la maison ( quel luxe !) , j’adore ces moments là.
Il est 20h30, je me change, je rase les quelques repousses de poils que j’avais et décide donc de contacter plusieurs numéros de téléphone que j’ai dans mon répertoire, je me souviens plus ou moins qui sont les mecs que je contacte à chaque fois, mais je suis des fois agréablement surprise et d’autres fois beaucoup moins lol, mon texto est simple " Salut, Clara, 23ans, travesti, je suis libre ce soir, si ça te dit texto moi vite ;)" , après 1h d’attente, 3 réponses :
— Marc 49ans, rencontré quand j’avais 17ans chez lui, beau mec, pas assez méchant pour moi, trop doux.— Jean-Paul 54ans, rencontré quand j’avais 19ans, dans le bus, très méchant, dominateur, j’adore, en plus c’est un mec poilu, gros, avec une bite normale, j’adore.-Michel, 42ans, qui vit en fait dans mon quartier, ce qui représente un avantage en temps non négligeable.
N’étant pas sure de mon choix j’ai décidé de renvoyer aux 3 : "Je ne reçois pas, si tu peux m’accueillir c’est mieux."
Michel répondit très vite, par la négative, très bien, pas de soucis, c’est celui qui m’intéressait le moins, Jean-Paul aussi répond assez rapidement il est dispo, mais pas seul, son pote est partant pour un plan à 3 si je suis chaude, je signe direct et demande à quelle heure , la réponse a le mérite d’être claire : NOW. "OK" je répond et je passe à la salle de bain, case maquillage, un coup de crayon, un peu de poudre, un rouge à lèvres vif et go.
A peine dans ma voiture, je suis déjà tout excitée par ce qui va m’arriver, je me doute bien que l’avant ne sera surement pas de bon gout connaissant JP et son coté un peu beauf, ils doivent être bourrés, pour me proposer un plan à 3, alors que personne ne sait que monsieur se tape des "travelos" comme il m’appelle. Avec lui je ne suis pas Mylene, Anna, Melody, tous les prénoms que j’aime emprunter à mes amies, non pas parce que je m’imagine être elles, mais pour leur rendre un hommage à leur féminité que j’ai toujours apprécié chez elle, bref, avec lui je suis "Salope" clairement, c’est mon statut, je réfléchis à ça sur le trajet en voiture et rigole seule, je suis encore dans mes pensées quand un coup de klaxonne retentit , le feu est vert, j’avance, et la voiture derrière moi passe à droite et j’y vois un mec qui me fixe et qui crie, je m’affole quand je constate que le feu d’après passe au rouge et que nous allons être côte à côte, une fois au rouge, il ne lâche pas l’affaire et crie à travers la fenêtre, ce que feins d’ignorer mais sans la radio dans la voiture, j’entend tout : "grosse pute" "mal baisée" "regarde moi" . Quand le feu est enfin passé au vert il a démarré en trombe et mon coeur a pu reprendre un rythme normal.
Je roulais jusqu’à un petit parking où j’avais rendez vous , il était déjà là, seul, je me suis garée, et suis sorti, j’ai marché jusqu’à lui, non sans difficultés, foutus cailloux, foutu parking en terre, c’était la première fois qu’on se voyait là, mais après 4ans de relations à peu près suivie, j’avais confiance en mon vieil amant, une fois à lui nous nous sommes embrassés, fougueusement, ça faisait longtemps qu’on ne m’avait pas embrassée comme ça, et j’en suis restée bête, sans un mot je me suis dirigé vers sa voiture, suis montée à l’avant mais il me dit :
— Non, j’ai une surprise pour toi, on va pas rouler longtemps mais, tu vas monter dans le coffre, mon ami, ne tient pas à être vu, en quoique ce soit, la seule chose que tu sauras de lui c’est son prénom, Yves, il a 51ans, voila, seule toi choisis, si tu veux continuer on va chez moi, sinon libre à toi de partir.
— J’accepte, à conditions que tout ce que nous fassions soit sous votre contrôle total.
— OK. Amène toi par là deux secondes.
Je me suis dirigé vers le coffre, il me fit mettre les mains dans le dos, et mis une paire de menottes autour de mes poignets, il serra de manière à me faire mal en plus, je reconnaissais bien là sa perversion, le besoin de faire mal pour faire comprendre que lui avait le pouvoir, et pas moi. il me mit une cagoule sur la tête et me poussa sans ménagement dans le coffre, je tombais et réagit en criant auquel il a répondu :
— Tu veux que je rajoute un bâillon ma salope ? Non hein, tu veux pas que ton maitre te punisse déjà sinon c’est que tu es encore plus une salope que je pensais, répond moi !
— Maitre comme vous voulez maitre, je suis votre salope.
— Tu sais quoi, même si j’aime bien ta voix, je vais écouter ma première envie, et puis, depuis qu’on se connait j’ai compris qu’être attachée et bâillonnée ça t’excitait hein espèce de petite pute, t’aimes ça hein te faire dresser, ma petite lopette, je vais te loper comme jamais !
Il a attrapé un truc dans le coffre et j’ai entendu au bruit en le déroulant que c’était du scotch, il m’a enlevé la cagoule et en un éclair j’étais bâillonnée et il me remit la cagoule sur la tête, je croyais qu’il allait refermer le coffre mais il a pris le temps de me caresser un peu, les fesses et l’anus surtout, ce qui m’excita au possible, je gémissais comme une folle à travers le scotch.
Les caresses s’intensifièrent au point de baisser mes collants et mon string et de m’écarter les fesses, il me mit un liquide frais entre les fesses puis il massa mon anus, du lubrifiant, ce cochon voulait me baiser là, maintenant dans son coffre sur ce parking, pour faciliter le travail j’écartais les jambes au possible.
— Bien ma chienne, tu as compris, mais je vais pas te baiser, j’ai juste envie de m’amuser un peu avec toi...
A la fin de sa phrase il introduit un doigt dans mon anus, puis un deuxième, il tournait, vrillait dans mon trou, et d’un coup je senti comme une bite, mais c’était pas la sienne, il m’avait mit un gode dans le cul, plutôt large d’ailleurs, ce qui eut effet de me faire assez mal, puis je senti ce même gode qui commençait à vibrer, me faisant complètement oublier la douleur pour laisser place au plaisir, et d’un coup, sans crier garde , mon maitre referma le coffre, et pris le volant pour partir...
La soirée commençait sur les chapeaux de roues !
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