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Vive la science

Chapitre unique

Avoir deux mains et dix doigts ne fait pas de vous un pianiste. Mais cela permet de partir en exploration.

Hétéro
Tu sais comme j’aime ton goût.
En matière de fringues, certes : toujours de bon ton, sans tapage, mais mettant astucieusement en valeur ta silhouette de gazelle.
J’aime aussi le goût de tes lèvres, toujours fraîches et douces.
Et bien sûr, le goût de ton minou. Celui-ci est juste salé, un goût de toi, qui te ressemble, discret et profond. Enivrant.
C’est donc à la sortie de la douche que je vais tendre mon embuscade.
Le chuintement de la douche a cessé, je pense donc que n’en auras plus pour très longtemps. Le carrelage presque froid sous mes pieds me rappelle que la belle saison est finie, mais j’aime bien ce rappel à l’ordre gentil de la terre : vous vivez à mon rythme.
Tu ouvres la porte, je suis donc dissimulé par celle-ci, et tu sors de la salle de bains pour faire les quelques pas qui te séparent de notre chambre à coucher d’hôtel. Un cadre d’une neutralité suisse.
Le tackle façon rugby a donc lieu à deux pas exactement du grand lit moelleux. Saisie à la taille, emportée par le mouvement, je ne bénéficie pas de l’effet de surprise escompté - fichue cervelle de course qui est la tienne, toujours aux aguets, que rien ne prend au dépourvu ! Emportée par le mouvement, tu bascules cependant sur la surface de l’immense couette blanche, un nuage à peine solidifié.
Je te gratifie d’un court baiser sur la nuque, mais j’ai un plan d’action à suivre. Je suis en effet fasciné par l’idée de voir comment ta rosée de femme perle de ton sexe. Comment t’humidifies-tu ? Comment la cyprine finit-elle par perler à la surface ? J’ai pu souvent sentir la culotte tout imprégnée de ta mouille, mais je n’ai jamais pu assister de visu à ce délicieux spectacle.
Comme tu le sais bien, si nous jouons trop longtemps au jeu des baisers doux et profonds, il se produira immanquablement deux choses : primo, je vais commencer à bander comme un taureau ayant abusé du Bandorex 500 (une sensation fort plaisante, mais qui n’encourage pas l’investigation scientifique sérieuse) ; deuxio, tu risques de commencer à mouiller séance tenante, ton minou prévoyant pressentant sans doute l’intrusion inopinée d’un hôte de dimensions correctes (cf. Bandorex 500, taureau, etc.).
Je termine donc mon tackle de rugby de façon peu orthodoxe et termine comme de juste avec ma tête glissée entre les pans de ton peignoir. Je suis tout de même obligé de consacrer une seconde à apprécier ce ravissant panorama, pour apprécier ta charmante toison. Celle-ci est quelque part entre le jardin à la française, pour son côté entretenu et maîtrisé, et le jardin à l’anglaise pour son contour naturel. Encore un choix judicieux de la part de ma belle qui aime la netteté, mais refuse le côté convenu du ticket de métro (les Anglais appellent cela un landing strip, dénomination astucieuse, ne trouves-tu pas) ou de la coupe "À zéro Bolsonaro ose raser l’Amazone".
Désolé ma chérie, mais il faut absolument que me soit révélé le miracle excitant de ta lubrification. Commence-t-elle au fond de ton ventre ? Combien de temps faut-il pour que tu sois toute prête, huilée sur toute la profondeur de ton sexe ? Que ressens-tu ? Peux-tu juger, sans t’aider de tes doigts, si tu es humecté, trempée ? La mouille est elle translucide et fluide ou un peu plus consistante ?
J’écarte délicatement les lèvres de ton sexe. Elles sont bien dessinées, d’un rose brun foncé. Elles sont discrètes et, pour le moment, bien sèches.

Je découvre alors l’entrée de ton sexe. Tu sens la douche, le frais. Pour un peu, j’irai imaginer que tu sens les fleurs fraîchement coupées ou la rosée. J’essaie d’introduire un index inquisiteur, mais il a du mal à se frayer un chemin. Pardon, excuse-moi. Si la sensation est désagréable, tu peux aussi grogner ta désapprobation ou avoir un de ces haussements de sourcil que tu as et qui clouent sur place.
Je suis ravi, car je ne suis donc pas arrivé trop tard. Je faufile ce même index entre tes lèvres, dans ta bouche, pour l’humecter – et pour le plaisir de jouisseur de te voir gober mon doigt. Ton regard commencerait-il à chavirer un peu, ma chérie ?
Ah, la chance me sourit cette fois-ci. Mon index fureteur se glisse plus facilement dans ton étui de chair tendre. J’ai du mal à apprécier la chose, mais il me semble que l’entrée de ton sexe est légèrement humide. Pour ne pas t’irriter, je me contente donc de presser mon doigt contre la paroi supérieure, comme si je faisais le geste d’invite de l’index. Et un peu de rotation, toujours en pressant mon doigt. Quelque chose se produit dans ta mécanique intime, car tu as un tressaillement du bassin. Aimerais-tu, par hasard, que l’on te rudoie un peu ? Le plaisir de connaisseur qu’il y a à doigter une femme de grand maintien, on ne le reconnaît pas à sa juste valeur.
Dis-moi, cela fait seulement trente secondes que je suis penché sur toi et déjà, il semble clair que ton ventre s’ouvre et appelle la caresse. Mon index peut désormais coulisser assez librement dans le fourreau soyeux. Je ne suis pas avare de mes phalanges et donc, coulissons gaiement. Mon majeur jaloux de l’aubaine vient rejoindre l’index et je peux du coup te doigter comme un collégien ivre de bonheur, ravi de sa bonne fortune.
J’aime fouailler ton intimité, te sentir t’ouvrir sous la caresse. Tu ne dis rien, mais de petits soupirs discrets m’indiquent que tu es en faveur de l’avancée scientifique. L’extrémité de mes doigts peut aller assez loin dans ton ventre. J’essaie d’imaginer, à la surface de ton ventre, jusqu’où ils pénètrent en toi, à quelle profondeur. Ton bassin pivote vers l’avant, pour s’aligner avec le mouvement. Je suis maintenant baigné par un fluide doux et glissant. Pas une inondation, mais suffisamment pour pouvoir glisser en toi sans le moindre frottement. Désormais, la seule limite à mes mouvements serait un mouvement de recul, une plainte de ta part, un geste maladroit.
J’adore sentir tes chairs s’écarter sous le passage de mes doigts. Je m’en veux un peu de te traiter de la sorte, pas vraiment gentleman, mais tellement bon de ressentir les courbes de ton corps, d’être planté dans ton intimité. Tu t’offres à moi, mes doigts captent la pulsation rapide de ton sang. Je suis toujours subjugué par l’étroitesse de ton minou, j’aime sentir ses replis et la sensation qu’il s’ouvre sous ma caresse rude.
Je ne sais pas si je dois lire quelque chose dans ton regard, si tu apprécies mes manœuvres ou si tu trouves que l’heure serait venue de varier les plaisirs.
Il est temps de goûter à ta mouille merveilleuse. Je ressors donc mes deux doigts du fond de ton ventre et succès ! Ta cyprine nappe mes phalanges et ta liqueur brille comme un vernis. Je les hume puis les goûte. C’est une odeur qui te ressemble : un goût de toi, léger, salé, entêtant. J’aimerais pouvoir la conserver sur une étoffe pour la sentir de temps à autre.
Je ne tiens plus. Mon visage descend vers ton ventre. Court baiser sur le mont de Vénus, puis ma bouche vient se plaquer sur ton clito. Ton corps semble comme électrocuté, tu te tends en arc !
Ma langue glisse entre tes lèvres, je sens ce goût de sel, un peu métallique, je pousse la langue le plus loin possible pour te laper. Festin royal !
Puis ma langue remonte vers ton clito et y joue ce ballet que tu connais. Mes doigts reprennent place dans ton ventre, pressant en direction de ma bouche. Aspirer ton bouton, éviter de trop appuyer, lécher lentement, maîtriser le tempo. J’adore le moment où je dois placer une main sur tes hanches pour te maîtriser, t’empêcher de te soustraire à une caresse dictatoriale.
La houle, la houle longue de ton plaisir qui monte. Je la sens, je m’en délecte. Ma jolie aventurière largue doucement les amarres, elle s’en remet à moi. Elle s’abandonne dans le plaisir.
J’alterne un peu le mouvement roulé de ma langue et des baisers, et sens que la vague monte en toi. J’ai maintenant trois doigts en toi et plonge dans ton antre sans retenue. Je me demande si la sensation est plaisante ou à la limite de l’intrusion. Mes mains sont carrées et viriles, mes doigts sont forts. Des mains d’ouvrier.
Je bande comme un fou, j’ai trop envie de me glisser en toi, mais je sais que je jouirais sur-le-champ. Je persévère donc, ton bassin est maintenant agité d’une houle désordonnée. Et soudain, un soubresaut violent, ton sexe qui se contacte rapidement sur mes doigts, un cri inarticulé... une bête blessée, un râle. Je vois tes yeux partis dans le flou. Ton abandon a raison de moi : je jouis juste après toi, mon sperme brûlant et épais, jaillit sur ta toison, sur ton nombril, macule ton ventre.
Nous sommes sciés par le plaisir. Je recueille un peu de ma semence sur ton ventre, elle va se mêler à ta mouille, et je te fais goûter ce mélange amoureux. Tu sembles aimer. Alors, je t’embrasse à pleine bouche.
Nous nous endormons repus, collés l’un à l’autre.
Il faudra que tu prennes une autre douche, je crois.
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