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Vive le triolisme

Chapitre 6

Avec plusieurs hommes
Après un accident grave qui m’a presque couté la vie, j’ai due réorienté ma carrière. En effet, les médecins ne me donnaient pas grand chance de pouvoir marché à nouveau. S’ils parlaient ainsi, c’est qu’ils ne me connaissaient pas. Je leurs ai d’ailleurs dit que rien ne m’empêcherait de marcher à nouveau. Tout ce qu’ils avaient à faire, c’est de bien faire leur travail et je ferai le reste.Cela dit, après maints effort, j’ai réussi à sortir de mon fauteuil roulant mais j’ai toutefois eu à réorienter ma carrière car je ne pouvais plus faire mon travail d’avant cette fameuse journée ou tout a basculé.J’ai donc acheté l’entreprise pour lequel je travaillais. Au début, l’entreprise comptait une vingtaine d’employés mais après environ quatre ans à la barre de l’entreprise, notre chiffre d’affaire avait plus que triplé et nos effectifs sont maintenant de 65 à 70 employés et varie selon les contrats récoltés.Lors de l’achat, il n’y avait qu’une seule femme à mon emploie. Une jeune femme plutôt belle mais très jeune et réservée. Comme l’entreprise grandissait, il me fallait du nouveau personnel et un jour, j’ai eu besoins d’une personne comme chargé de projet. J’ai donc chargé un de mes surintendants de faire passer les entrevus, car l’emploie était à plus de 400 km de notre siège social.J’ai reçu un appel pour me dire qu’une nouvelle personne avait été retenue. Une femme de trente-six ans.À sa deuxième semaine à mon emploi, je rencontre donc cette nouvelle employée et je dois avouer qu’elle ne m’a pas laissé indifférent. Une femme de seulement 1,45 mètre avec un cul du tonnerre et des seins qui retenaient toute l’attention.Quelque mois passèrent et un jour, par pur hasard, alors que je me suis retrouvé seul dans son bureau lors d’une de mes visites dans cette succursale, je cherchais un document dans un tiroir et en refermant ce dernier, quelque chose fit un bruit bizarre. J’ai donc ouvert de nouveau et quelque chose a attiré mon attention. J’ai donc sorti cet instrument pour découvrir que c’était un dildo. Que pouvait-elle donc faire avec un tel instrument au travail ?Je n’ai rien dit et replacé l’instrument en place mais ma curiosité était à son maximum.
Je me suis installé à son ordinateur pour travailler pendant son absence et comme je devais aller sur le web j’ai ouvert une fenêtre qui était déjà ouverte et surprise (décidément cette fille est pleine de surprise), c’était un site de fantasme et comme la fenêtre était déjà ouverte, j’ai eu accès directement à son compte personnel. Décidément, Manon (c’est son nom) avait vraiment de beau fantasme, très beau fantasme. J’ai donc pris le plus d’information possible en me disant qu’elle perdait son temps et je devais avoir le plus d’information possible afin de pouvoir documenté les raisons de son renvois.
De retour à mon bureau, j’ai donc repris mon travail de documentation pour son renvoi. Je suis donc retourné sur ce fameux site pour me documenter mais je devais être membre afin d’avoir accès. J’ai donc lu et j’ai décidé de m’inscrire dans le but d’en savoir plus sur sa perte de temps au travail. Une fois inscrit, j’ai remarqué qu’il était possible de chatter avec les autres membres, j’ai donc envoyé un message à ‘’manoune’’ et sans trop de surprise, elle m’a répondu. Tout cela pendant qu’elle était supposé être au travail.
C’est à partir de ce moment que j’ai commencé à échanger avec elle et c’est devenu très torride comme échange. Nous pouvions échanger en direct et d’un fantasme à l’autre, elle m’a dit qu’un de ses fantasmes était de se faire prendre par son patron, un homme plus âgé qu’elle, environ 50 ans selon elle. Elle dit aussi qu’elle préfère les hommes plus âgés. Il est séduisant avec un sens de l’humour et un corps comme elle les aime. Le seul problème dit-elle, c’est qu’il ne travaille pas au même bureau mais est plutôt situé à plus de 400 km.
Je me suis fait prendre à mon propre jeu et de vouloir la renvoyer, j’en étais désormais à vouloir la baiser cette petite salope.
Comme je suis le grand patron, je peux organiser mes déplacements et mon horaire à ma guise. Je me déplace donc et me rend à son lieu de travail ou je la trouve à son bureau habillé très sexy comme toujours quand j’y vais. Elle porte un chemisier qui ne cache que l’essentiel de ses magnifiques seins. Elle porte une jupe très mini qui laisse voir ses belles jambes. Comme elle est très petite, peut importe que je sois debout ou assis, je peux toujours avoir une vue plongeante sur ses magnifiques seins découvert juste assez pour rendre fou n’importe quel homme, même un moine aurait été incapable de ne pas regarder.
À sa propre suggestion, c’est elle qui joue le rôle de ma secrétaire quand je me rends à cette succursale. Elle est assise devant moi et je peux voir ses magnifiques jambes, courte mais propositionnel à sa taille. Elle a un fauteuil de travail adapté à sa petite taille ce qui, encore une fois me donne une vue imprenable non seulement sur ses seins mais sur ses jambes aussi. Je me surprends souvent avec le regard fixé sur ses jambes et je crois qu’elle s’en rend compte. Ses jambes s’ouvrent parfois et je peux facilement voir son entrejambe et la salope ne porte pas de petite culotte. Elle veut vraiment vivre son fantasme et elle prend tous les moyens pour y arriver.
Comme je ne veux pas qu’elle sache que moi aussi je rêve de la baiser je reste impassible et continu le travail. La journée se termine et prétextant la solitude, je lui demande si elle voudrait bien m’accompagner pour un repas histoire de me tenir compagnie. Elle a facilement accepté. Pendant le repas, elle m’a avoué me trouver très drôle contrairement à mon air dur au travail.
Nous sommes sortie du restaurant et dans le stationnement, je lui ai dit que je devais lui dire quelque chose et qu’elle serait peut-être surprise par mes paroles. Elle m’a dit dite donc et on verra bien. ‘’Je te trouve très séduisante et j’aimerais bien te baiser. Tu m’a l’air d’une sacré salope et à moins que je ne me trompe, tu es une sacré baiseuse qui aime le sperme et pas entre tes deux jambes mais dans le fond de ta gorge’’.
Elle m’a fixé droit dans les yeux et elle m’a dit ‘’ Alors là, c’est bien la première fois qu’un homme voit en moi autant que cela’’ (elle ne savait pas que j’avais un avantage grâce au site de fantasme et nos discussions). Elle est monté dans mon auto sans en dire plus et elle m’a dit allons à ton hôtel ‘’patron’’.
Une fois entré dans ma chambre d’hôtel, elle n’a pas perdu de temps et s’est foutu immédiatement à poil. J’ai fait de même et nous nous sommes rendu sous la douche. Quel corps, quels seins, quel cul. Bien qu’elle soi en format mini, tout était parfait sur elle.
Après avoir fait rapidement notre toilette, nous nous sommes immédiatement rendu sur le lit et là, je lui ai dit ‘’aller suce moi salope, suce la bite pleine de sperme de ton patron’’. Elle me fit le plus beau sourire et elle commença à me sucer. Elle prenait toute ma queue jusqu’au fond de sa gorge. Une suceuse comme j’en ai connu très peu. Elle me suçait et aucun doute possible, elle aimait vraiment la bite. Elle m’a sucé pendant plusieurs minutes et sans vraiment faire d’effort dans ce sens, nous nous sommes retrouvé dans un 69. Elle avait de belle petite lèvre, aucun poil, tout sur elle était de petit format à l’exception de ses seins qui eux était de bonnet C.
C’était vraiment une expérience hors de l’ordinaire, on aurait dit que je baisais une fillette car elle a la taille d’une fillette avec des seins très développés.
J’étais au 7ième ciel avec cette baiseuse, le paradis ne pourrait être mieux. Nous avons baisé ainsi une bonne partie de la nuit. C’était merveilleux.
La satisfaire était chose facile pour moi car je connaissais ses moindres fantasmes, il ne me restait qu’à lui faire réaliser.
Au matin, nous devions nous rendre au travail car j’avais une réunion importante. Je n’ai jamais trouvé une réunion aussi longue et sans but. Normal car j’avais autre chose en tête et une fois terminée, j’ai retrouvé cette mangeuse de bite dans son bureau et je me suis assis à son bureau. Elle changeait la cartouche de son imprimante et elle s’est retournée pour me faire un sourire. Prétextant recherché un dossier, j’ai ouvert le classeur et après quelque seconde de fausse recherche, j’ai sortie le dildo qui avait presque causé son renvois. Ha ! Qu’es-ce que tu fais avec ça au travail salope ? Elle est devenue un peu rouge et je lui ai alors dit, c’est avec ceci que tu perds ton temps. Je ne te pais pas pour t’amuser. Elle ne savait plus comment réagir et je lui ai alors dit tient fourre toi ceci dans le cul espèce de trainé. Elle m’arracha presque l’instrument des mains et sans aucun préambule, elle se l’est entré très profondément. Comme à son habitude elle ne portait pas de petite culotte, ce qui aida beaucoup à la rapidité de l’exploit.
Après quelque minute à se goder devant moi, j’ai sorti mon instrument et sans attendre elle s’est jetée dessus. Elle a engouffré ma queue et elle m’a sucé jusqu’à ce que mon sperme se répande dans sa bouche. Rien ne fut perdu, elle avalait sans jamais perdre une seule goutte. Après avoir terminé, elle s’est mise à jouir avec le dildo bien au fond d’elle. Elle couinait et se tortillait sur le planché devant moi. C’est à ce moment que la porte du bureau s’ouvrit. J’avais donné rendez-vous à un client et ce dernier est arrivé avec plus d’une demi heure d’avance. Il resta là sans rien dire, Manon qui jouissant toujours n’arrêta pas son va et vient. Mon client n’avait toujours pas dit un mot et je lui ai fait signe de s’asseoir. Aussitôt, Manon s’approcha de lui et commença à lui ouvrir son pantalon pour en sortir un pénis déjà en érection. Elle commença alors à le masturber pour ensuite prendre sa queue et lui faire une pipe du tonnerre. Elle pris tout jusqu’au fond de sa gorge. Après quelque minute, je me suis approché d’eux et j’ai commencé à entré un doigt puis 2 dans son petit anus qui devin humide et pleinement lubrifié. Je me suis placé derrière elle et je lui ai enfilé ma bite dans son petit cul très serré malgré qu’il soit lubrifié au maximum. Elle aimait, j’aimais et disons le, mon client aussi. Elle ne perdait pas un coup et sa bouche fut remplie de sperme rapidement. Elle avala tout et se lécha les lèvres pour récupérer les quelques gouttes qui s’étaient échappé. Je continuais à la pilonner et lui bourré le cul quand elle demanda plus de bite. Mon client se positionna par terre sur le dos et l’instant de s’installer sur la queue encore bien raide elle se retrouva avec ses deux trous bien rempli. Nous l’avons martelé ainsi pendant je ne sais combien de minute quand elle me demanda de ne pas jouir en elle car elle voulait mon foutre dans sa bouche. Elle me dit tu sais que j’aime avalé le foutre plus que tout alors promet moi. Une idée me vint et je lui demandai alors de me sucer. Elle ne se laissa pas prier et commença à me sucer tandis que mon client qui s’était retiré d’elle se masturbait en savourant le spectacle. Je lui fis un signe de la main et il s’approcha. Elle commença alors à nous sucer en alternant d’un sexe à l’autre. J’allais jouir, c’est à ce moment que j’ai attrapé sa tasse à café qui se trouvait sur son bureau et je fini en me masturbant pour jouir dans la tasse, le client compris mon manège et il prit la tasse à son tour pour jouir lui aussi dedans. Manon était assise par terre et elle avait compris ce que je voulais. Elle prit la tasse que je lui tendais et elle commença à boire ce nectar jusqu’à la dernière goutte. Elle fini en nous faisant un beau sourire et elle nous dit merci de l’avoir si bien servi et surtout de lui avoir laisser boire notre nectar et comme si elle avait peur que nous ne la croyons pas, elle nous dit à nouveau combien elle aimait boire le foutre. Beaucoup plus que de l’avoir dans ses orifices.
C’était presque le temps de la pause et nous devions nous calmer car pour se rendre à la salle de pause, les employés doivent passer devant le bureau de Manon et ils vont se questionner sur la raison de son absence. Nous nous sommes donc séparé. Elle est allée pour sa pause (très bien mérité) et moi j’ai reçu mon client comme il se devait. Quand il quitta, j’avais un nouveau contrat en main et un client heureux qui ne manqua pas de nous remercier de l’accueil formidable que nous lui avions fait.
Pour la suite, je vous raconterai comment Manon a fait la connaissance de ma femme.
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