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Vivianne

Chapitre 2

(Une relation sexuelle mûre)

Hétéro
Je dois avouer qu’il y a un sourire qui se dessine automatiquement sur mon visage lorsque je pense à Vivianne. C’est sûrement une histoire de sexe, mais avec un ingrédient mystère que je ne saurais décrire. Si je le faisais, je ne m’y attarderais pas cela dit, je sais que c’est un sentiment bref même si je ne l’oublie pas... Tout comme je n’oublie pas les orgasmes intenses que j’ai eus avec cette nymphe. Elle a manipulé une partie de moi : ma libido. Celle-ci ne répond plus qu’à Vivianne. Elle est mon seul stimulus érotique.
Le plus beau dans notre partie de jambe en l’air de la première fois, c’est qu’il y a eu deux orgasmes ! C’est comme un double premier ! Je suis sur le lit, je regarde cet ange sexagénaire dans les yeux et lui masse les seins. Elle profite sans aucune retenue que je me sois allongé à côté d’elle pour me palper rapidement mes fesses, mais c’est comme si elle voulait suivre ma « danse », car elle vient aussitôt masser ma poitrine à moi. C’est assez rigolo surtout quand elle me parle, amusée, et qu’elle me précise qu’elle caresse ma poitrine parce que j’en fais de même avec la sienne. Egalité hommes-femmes !
Tout n’est pas parfait cela dit et je perds même quelques points sur l’échelle du sex-appeal. Vivianne aime beaucoup les hommes à la pilosité développée. Mon corps ne satisfait pas complètement à cette demande. Elle passe outre. Ma poitrine est peu velue certes, mais assez attirante à ses yeux, il faut le croire. Pendant qu’elle me caresse cette partie du corps, je tiens fermement son sein gauche, puis droit, puis je retrouve à nouveau le premier et c’est comme ça que je me balade d’un sein à l’autre et que j’apprécie chaque seconde avec eux. Il faut dire que je ne sais pas si j’aurai d’autres occasions de revoir ma sulfureuse. Dès que cette crainte me traverse l’esprit, je me rue sur cette poitrine pour la couvrir de baisers. Je ne puis m’empêcher de m’émerveiller devant tant de grâce et de si jolies formes qui se dessinent sur ce corps lorsqu’il s’allonge. Vu leur taille et leur opulence, les seins évoquent également ceux des femmes enceintes.
On ne peut s’empêcher d’imaginer qu’ils contiennent une bonne quantité de lait. Je les palpe encore, les remue un peu, beaucoup... je les presse tel un lactophile qui s’attend à ce que leur nectar en jaillisse.
Mes mains descendent peu à peu et atteignent la région pubienne. Lorsque cette femme écarte les jambes tout en te regardant dans les yeux, elle dit tout. D’un seul geste, elle peut déclarer : « Voici mon antre, jeune aventurier. Viens là où les plaisirs sont offerts à celui qui connaît leur monde. Viens voir comme ma prune est brûlante. Je te souhaite de passer un bon moment avec elle. Chéris-la s’il te plaît. Offre-lui la douceur et la hardiesse de tes lèvres lorsque tu la mets enfin en bouche. Pour que de ton plaisir, je m’imprègne et augmente le mien ». Je m’empresse pour offrir à Vivianne tout ce qu’elle mérite. Un orgasme oral intense. Il m’a excité encore plus que je ne l’étais moi aussi. J’écarte une dernière fois les lèvres de cette chatte d’une couleur rose ... chair ! Ce qui me fait dire que les voyages dans le temps existent. L’inventeur de la couleur chair est venu du passé, a eu la chance de voir le vagin de Vivianne et a inventé cette couleur.
Pour elle, je suis prêt à exagérer à ce point-là, mais je ne vais pas t’imposer autant ! Au-delà de la couleur, j’admire les formes de la rose en face de moi, son caractère précieux et son pouvoir ! En allant plus loin dans la vulve, je vois toutes les autres nuances, dont un rose électrique qui porte bien son nom puisqu’il est ... électrisant !
À un moment... je dois avouer que Vivianne me séduit encore plus quand elle me demande de lui lécher les pieds avant qu’on fasse l’amour et que je ne satisfais pas complètement ce désir. De base, les pieds des femmes ne m’attirent pas vraiment. Globalement, ils n’ont pas d’autres rôles que celui de nous faire marcher pour moi. Enfin si... il y a un sport dont tout le monde parle et où... il m’a semblé avoir vu des gens frapper un ballon avec leur pied. Je crois que ça se joue sur un terrain tout vert... je n’en suis pas sûr.
Vivianne détourne le regard quand je lui avoue ce que tu viens de lire. Elle a l’air fâchée, mais je sens qu’elle peut me pardonner à tout moment. À condition que j’y mette du mien. Je fonds en cet instant. Je la trouve plus sexy que jamais. Je lui demande de me regarder tout en lui massant les pieds. Mais il faut plus que ça pour la convaincre. Je lui dis que je ne déteste pas les pieds, mais que je ne suis pas vraiment intéressé, c’est pour cela qu’elle insiste. Elle sait que ce ne sera pas un acte forcé. Le côté entrepreneuse de ma Vivianne me fait craquer. Je m’exécute donc avec un grand plaisir pour une partie qui ne m’inspire pas plus de plaisir que ça ! L’incroyable soin qu’elle apporte à ses ongles, ses orteils rend les choses encore plus agréables. Elle est parfaite, la créature (âgée) de mes rêves.
Je fais des va-et-vient en léchant tout le pied. Je vais de l’orteil au talon d’Achille dont c’est moi la faiblesse ! Je finis par un baiser de bon soumis sur les pieds. Vivianne me sourit.
Une fois son désir satisfait, je refais un tour en haut, au niveau de la poitrine. Je rejoue mon numéro de masseur de seins à domicile. Je palpe le moindre recoin de ces obus non sans une certaine obsession. D’après mon expérience, les seins sont des accélérateurs d’orgasmes. Même si ceux-ci tardent à venir, de gros obus bien lourds et bien ronds peuvent me rendre fou ! Je lèche les mamelons. Je suis quelqu’un qui aime observer les couleurs et les nuances. La nuance des aréoles de Vivianne se rapproche tellement de celle du sein dont elle fait partie qu’elle fond presque dans le décor. Les mamelons très petits sont la (petite) cerise sur le gâteau nommé « poitrine ». Je presse un peu les mamelons avec mes doigts puis je fais un gros câlin à chaque sein. L’expression de tout l’amour que je leur porte.
D’ailleurs, je lèche ces attributs avec un tel amour que Vivianne est un peu étonnée et même si c’est pour son plus grand plaisir, elle ne peut s’empêcher de me dire : « Ils sont toujours là, hein. Ces seins sont les tiens ». Sur ces mots, je lui décroche un baiser langoureux, mais assez court finalement. Je reviens vers cette poitrine généreuse et lui offre un dernier baiser à elle aussi. L’air confiant en ce que dit Vivianne, mais avec une légère peur. Celle de passer trop d’heures loin de ce corps en face de moi. Je profite sans essayer de trop encombrer ma tête avec ce genre de pensées.
Pendant tout ce temps-là, Vivianne n’a pas manqué de se faire plaisir en me massant un peu le torse, en me caressant les cheveux etc. Ça a accru mes sensations de plaisir, que dis-je ! « Mes sensations » tout court ! Que dire de celles procurées par ses seins ! Mais le meilleur moment c’est sans doute celui où Vivianne voit mon mat de nouveau dressé. Je lui demande « Tu en veux encore ? ». Elle me griffe légèrement mon bras qu’elle est en train de tenir pendant que je caresse son ventre et déclare avec un érotisme incroyable : « Oh oui ! ».
J’amorce la pénétration et mes yeux se dirigent automatiquement vers ceux de Vivianne, toujours avec le même regard empli de désir pour son corps, sa chair, sa peau, sa chatte ! On aime beaucoup cet instant, car on sent tous les deux qu’on aurait de toute façon eu du mal à se quitter avec un seul orgasme. Pour provoquer le deuxième, j’accélère le rythme dès le départ. Ce qui n’était pas le cas pour la première éjaculation puisque celle-ci s’était faite sans même qu’il y ait eu une pénétration !
Peu de temps après que ma verge soit entrée dans le temple de Vivianne, j’adopte une position similaire à celle des pompes. Les bras emprisonnant son corps qui est allongé sur le dos. Elle sent ma queue entrer en elle et exulte en me regardant faire mes va-et-vient pressants durant les premières secondes. Elle reçoit cette queue après de longs préliminaires. Elle était déjà prête et maintenant elle lève les jambes un peu plus pour mon plaisir comme pour le sien. Cela me facilite le travail et ça lui permet d’avoir une vue sur le labeur ! Mais elle ne regarde pas longtemps. Vivianne ferme les yeux pour profiter de cette position, assez reposante pour elle... attendez, ce n’est pas assez intense ? Pas de problème. Les seins de Vivianne commencent à se balancer. Son sexe est en ébullition lorsque je lui fais l’amour si bien qu’à des moments, je le vois trembler ! Rien que ça !
J’ai, une fois de plus, la preuve que Jean-Claude, son mari, a malheureusement négligé celle qui me procure tant de bonheur. Le malheur des uns fait le bonheur des autres ? Sans doute, mais ce n’est pas le moment de vérifier la véracité des proverbes. L’heure est à la fornication !
Je continue l’exercice et mon côté cochon adore ce son que font les chairs qui claquent entre elles. L’ardeur de notre partie de jambes en l’air se décrit par la montée de nos températures corporelles, l’intensité de notre exercice et ses gestes. Parfois, ma partenaire s’agrippe à moi, d’autres fois, elle se relâche et se laisse tomber sur le lit comme si elle n’en pouvait plus, mais quelques secondes après, elle me prend les bras pour me dire « Continue ! Oui ! Comme ça ! ». Je ralentis le rythme pour mieux gérer l’orgasme et je continue sans changer de position.
Ce n’est qu’après un moment que je reviens au niveau de ma douce pour lui faire l’amour de dos cette fois-ci. Elle est allongée, les genoux un peu pliés, pour me faciliter l’opération et une main à elle sur mon visage comme pour donner une touche romantique à tout ce stupre. Nos corps en sueur continuent de bouger, parfois réagissant à de petits stimuli, d’autres fois plus calmes, mais toujours embarqués dans la danse du sexe. J’enlève mon sexe tout mouillé par celui de ma partenaire, je me frotte un peu à son derrière puis je recommence la pénétration. Je fais des allers-retours ponctués par des gémissements assez discrets. La main de Vivianne étant sur mon visage, je m’excite encore plus. Elle se retourne pour me décrocher un baiser pendant que je lui fais l’amour. Elle le reproduit à plusieurs reprises, me confirmant une fois de plus qu’elle a cette maîtrise et cet esprit entreprenant. J’aime cela. Le sexe de Vivianne est désormais plus mouillé que jamais.
C’est un vrai toboggan là-dedans ! À ce stade, je n’ai plus d’inspiration et mes comparaisons sont foireuses. J’accélère le rythme peu à peu et je commence à gémir un peu plus. Je jouis enfin en Vivianne ! L’impression d’avoir réussi une œuvre après un dur labeur !
Peu après ces moments intenses, on prend la douche ensemble. Excitante dans toutes les circonstances, Vivianne se douche en premier avant même que je n’ai eu le temps de me préparer. Elle ne m’oublie pas complètement cela dit, et m’invite à la rejoindre de façon aussi excitante que son invitation à la pénétrer. Les attractions, car elles sont multiples, ont lieu à plusieurs niveaux avec Vivianne, c’est un mélange bizarre. Bien sûr, son corps m’excite énormément, le plaisir sexuel que j’ai eu avec elle est bien identifiable ! Mais parfois, cela va au-delà. Son sourire, son regard... Même quand j’écris sur elle, je capte toute sa beauté. J’ignore si ce regard séduit beaucoup de monde, mais sur moi, il provoque un tas de réactions... Celles-là mêmes qui ont fait de cette journée une des raisons d’écrire ce texte.
Avant que le mari de cette magnifique femme mûre ne revienne, on a justement parlé de lui. Je n’ai pas trop évoqué l’excitation provoquée chez moi par ce type de relation. Le mari cocu a toujours été une source de plaisir. Au lieu de cela, je me suis contenté de rire avec elle de son mari. Ce couple peut être amusant : le côté rigide de Jean-Claude et la légèreté de Vivianne. Quand ils ne sont pas d’accord sur de petites choses sans importance, c’est mignon et c’est encore plus drôle quand ils en font tout un cinéma. Elle en est très consciente ! Et une fois de plus, l’histoire finit par des rires.
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