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On va voir si je suis trop mignon !

Chapitre 1

Inceste
On va voir si je suis trop mignon !Inspiré d’un film
Qu’est-ce que je pouvais m’ennuyer à l’époque… Comme chaque jour, j’en étais réduit à regarder les « Confessions intimes » et autres reportages débiles des chaînes de la TNT. À 26 ans, après de moyennement bonnes études dans une école de commerce (dont je n’avais toujours pas fini de rembourser les frais d’inscription), je vivais toujours chez mes parents, dans un village paumé qu’on appelle Charanty : les trop rares CDD et intérims ne me permettant pas de trouver mon propre appartement. Je m’y ennuyais terriblement, mes (rares) amis travaillant tous et habitant le plus souvent loin.
Comme chaque jour, l’arrivée d’Olympe, ma sœur, était comme un rayon de soleil, malheureusement bien souvent fugace. Ma sœur et moi étions bien différents. Là où j’étais (ou en tout cas me trouvais) physiquement assez banal, elle était magnifique : d’assez petite taille, elle avait une peau extrêmement claire qu’elle faisait ressortir en se teignant les cheveux en noir (à 24 ans elle avait passé sa période gothique, mais elle en avait gardé quelques traits, dont les cheveux noirs et une garde-robe plutôt sombre), les traits de son visage étaient fins, et il était marqué par des lèvres très pulpeuses toujours rehaussées de rouge carmin. Sa poitrine, qu’elle n’hésitait pas à faire entrer dans des débardeurs bien trop petits ou des robes trop courtes et trop serrées, faisait pâlir de jalousie toutes ses amies et d’envie tous ses amis. Last but not least, son derrière était très rebondi, exactement comme je les aime, même si elle s’attachait moins à le mettre en valeur que sa poitrine ; enfin, son ventre était plat. Là où j’avais fait des études médiocres et inutiles malgré des efforts soutenus, elle faisait sans travailler extraordinairement de brillantes études de droit (après avoir eu avec mention une licence de psychologie), et était très souvent major de promo. Elle était aussi très populaire, et avait un large groupe d’amis, là où les miens étaient rares et finalement peu intéressés par ma personne (le travail et la géographie ne devaient être, au fond, que de minables excuses). Côté cœur enfin, si je n’étais plus puceau depuis longtemps, mes relations amoureuses étaient espacées ; elle, s’il était rare qu’elle conserve un petit ami trois semaines, il était encore plus rare qu’elle ne passe qu’une semaine sans en avoir un. Mais c’était le cas ce jour-là (depuis 4 jours), et moi, je sortais d’une relation de deux ans, qui s’était finie brutalement 3 mois plus tôt, quand ma petite amie m’avait avoué qu’elle me trompait depuis un certain temps. Je n’avais rencontré personne depuis.
Malgré nos différences, nous étions proches, et si j’en savais autant sur elle, c’est que nous parlions ensemble de tout, sans tabou. Comme tous les frères et sœurs, plus jeunes nous nous battions souvent, mais depuis la fin du lycée, notre relation s’était apaisée, et elle était tout ce que j’avais en fait comme amie proche. Elle avait plusieurs fois essayé de m’introduire dans son groupe d’amis, mais je me rendais bien compte que ma place n’était pas là (et si je ne m’en étais pas rendu compte, ses amis me l’auraient fait vite comprendre). Je me contentais donc des moments qu’elle passait à la maison et qui étaient, vous vous en doutez, finalement assez rares.
Je profitais donc chaque jour à fond de ce moment, mon seul moment de relation sociale « entre jeunes » et IRL, celui où arrivant de la fac, quand les parents n’étaient pas encore rentrés, nous pouvions discuter librement avant qu’elle ne se prépare pour sortir dans telle boîte, dans tel café, dans tel cinéma ou pour aller chez tel ami ou telle amie, ou encore pour aller voir son petit ami du moment. Alors nous discutions de tout, librement, devant un café que je préparais (le meilleur du monde, selon elle). Le plus souvent elle me racontait ses fêtes, ses amis, ses amours. J’aimais bien qu’elle me raconte tout ça, c’était comme si je vivais un peu à travers elle, par procuration. Mais j’étais aussi terriblement jaloux, ce dont je ne voulais surtout pas qu’elle se rende compte. Je n’étais pas jaloux d’elle directement, elle était ma sœur pas ma petite amie, et malgré quelques fantasmes vivement combattus je n’avais jamais pensé à plus ni a fortiori tenté plus. Non, j’étais jaloux de sa vie, à elle à qui tout réussissait. Quand elle me racontait ses amours, elle n’hésitait pas à me dire avec qui, combien de fois, comment, mais elle possédait l’art de ne jamais suffisamment entrer dans les détails pour être déplacée. Elle me traitait juste comme l’un de ses amis proches. Et j’en étais très fier… même si j’en souffrais.
Ce jour-là, en rentrant, elle me raconta tout de go sa soirée de la veille, comme d’habitude. J’appréhendais ce moment, me doutant bien qu’elle avait dû en profiter pour trouver un nouveau mec. Je préférais quand elle était seule, mais au moins sa description, à la fois vague et précise, de la relation sexuelle qu’elle avait dû avoir me servirait de carburant pour mes plaisirs solitaires… Après avoir effectivement raconté qu’elle avait trouvé un nouveau mec (un certain Marc si je me souviens bien), elle m’avoua qu’elle avait fait l’amour avec lui dans la chambre des parents de son amie chez qui la fête avait lieu. Puis elle me dit :
« Je n’avais encore jamais fait ça comme ça jusqu’à hier… son trip, tu vois, c’est de me bander les yeux. Tout le temps que ça a duré — et ça a duré — j’étais dans le noir, mais pas lui. C’est un peu comme le SM soft, c’est une relation dominant/dominée, mais l’érotisme et la douceur en plus, et la douleur en moins. Je préfère largement ! Je me suis bien sûr déjà fait bander les yeux, et j’en ai bandé aussi, mais jamais ça n’a été autant chargé d’érotisme, jamais on ne m’a fait languir comme ça, jamais. »
Je savais, de ce qu’elle m’avait raconté jusque-là, qu’elle aimait, dans le sexe, être un peu dominée. Elle aime quand faire l’amour, c’est aussi baiser. Elle n’est pas comme ces filles — ou ces mecs — que je voyais dans certains films ou au sujet desquels je lisais dans les nouvelles érotiques sur le net, style BDSM hard e tutti quanti, elle n’aime pas non plus juste baiser sans faire l’amour. Elle aime vraiment quand les deux se mélangent.
À ce moment-là, vous ne seriez pas surpris d’apprendre que j’avais du mal à respirer, tant j’étais excité. Elle ne remarqua rien, et fit une pause dans son histoire, semblant gênée : je sentais qu’elle avait quelque chose à me demander, et que cette question sentait pas bon. Pour moi je veux dire ; genre gros service bien chiant. Comme c’était son caractère, elle décida d’y aller franco.
« Par contre, j’ai besoin de te demander un gros service… » (Qu’est-ce que je disais ?) « …Je ne t’ai encore jamais demandé ça, mais là c’est spécial. Matthieu… » (Ah non, je me souviens maintenant, il s’appelait Matthieu, pas Marc. C’est pas tellement mieux.) « …Matthieu vit dans un petit appart’ avec sa mère. Je ne peux pas faire comme d’habitude, tous mes ex vivaient chez eux ou avaient des endroits où aller, je me déplaçais moi. Mais avec lui, ça va pas être possible. Les parents sont partis pour le reste de la soirée, tu te souviens ? Pour une fois, je vais pouvoir amener mon copain à la maison. Je sais que tu es seul depuis pas mal de temps, et ça peut te gêner, mais steuplé steuplé steuplé, laisse-moi l’inviter, et va chez un copain jusque vers 22H, ça risque d’être gênant sinon… Je te rendrai la pareille promis ! »
Je n’en avais pas du tout, mais alors pas du tout envie. Déjà parce que je n’avais personne chez qui aller. Ensuite parce que l’idée de ma sœur s’envoyant en l’air à la maison pendant que j’allais m’envoyer deux bières pendant quatre heures (je n’avais pas les moyens de m’en payer plus) seul dans un rade minable ne m’enchantait étrangement pas plus que ça. Mais quand elle me demandait des trucs comme ça en me faisant ces yeux là (et avec ce décolleté-là), je ne pouvais pas dire non. Et elle le savait, la cochonne. Je finis donc par acquiescer.
« Oh merci mon chou, t’es trop mignon ! » Me dit-elle, en me caressant la tête, avant de se lever pour aller se préparer.
En me caressant la tête, oui.
Cette fois-ci, c’était trop. D’accord, je n’avais ni sa beauté, ni son intelligence, ni sa popularité. Mais je restais son GRAND frère. Ce petit geste avait eu le don de me mettre en rage. Pour qui me prenait-elle ? Ce n’était plus possible.
Après quelques secondes d’hébétement, je la suivis, et m’apprêtai à frapper à la porte de sa chambre pour avoir une bonne discussion, lorsque j’entendis sa voix, au téléphone probablement. Je ne sais pas trop pourquoi, je décidai de l’écouter.
« C’est bon Mat ! On aura la maison pour nous tout seuls au moins jusqu’à dix heures. Si si, je t’assure ! Ben écoute, quand tu veux. Ou dès que tu peux plutôt. Tu as cours jusque quelle heure ? 17h30 ? Tu viens direct après alors. Écoute, j’ai une idée. Ma chambre est au premier étage, première porte à gauche. Je laisserai la porte d’entrée ouverte. Oui, je veux dire que je la fermerai pas à clef, mais elle ne sera pas grande ouverte. Et celle de ma chambre aussi, mais pour le coup elle sera grande ouverte. J’aurai les yeux bandés dès six heures, et tu me trouveras sur mon lit en petite tenue, les yeux bandés, en train de languir de ta langue et de ta bite. Hein que c’est une bonne idée ! Si jamais y’a un problème, genre mes parents qui rentrent à l’improviste, je t’envoie un SMS codé. Le code sera « Je crois que j’ai oublié mon livre chez toi ». Si tu reçois ça de moi, ne viens pas, OK ? Mais ça m’étonnerait grave… Chic, j’ai hâte ! À tout’, bisous ! »
Alors que j’écoutais, un plan, probablement dicté par ma queue qui essayait de casser mon jean, s’imposa à mon esprit. Une fois qu’elle eût raccroché, je redescendis aussi vite et silencieusement que je le pus, pour ne pas qu’elle sache que j’écoutais aux portes, en me demandant si oui ou non c’était une bonne idée. Mais je n’eus que quelques secondes pour cela, et c’est à peine arrivé en bas que je l’entendis m’appeler. Je remontais donc la voir, essayant d’avoir l’air le plus naturel possible.« Merci encore de ce que tu fais. Promis, promis, je te renvoie ascenseur dès que je peux. Mat arrive vers six heures, tu pourras partir vers moins le quart ? Ça te laisse encore une heure à la maison.— Ouais. Mais avant que je te laisse te préparer, je peux juste te demander un truc ?— Tout ce que tu voudras. »
Elle disait ça, mais ses yeux ajoutaient silencieusement « mais vite alors ! ».
« Tu me prends pour un looser ou quoi ? »
La question sembla réellement la décontenancer. Elle m’aimait réellement, je le sus par sa réaction : même la venue de son étalon semblait (pour un court instant) oubliée. À partir de ce moment, je dus feindre la colère que je ressentais encore quelques secondes plus tôt, et que l’excitation du plan qui germait avait fait disparaître.
« Pourquoi tu dis ça ?— Tu t’es pas vue tout à l’heure ? Tu me caresses la tête en me disant « t’es trop mignon » ou je sais pas quoi. Je suis ton grand frère pas un gamin, Olympe. »
Elle détestait son prénom (on peut la comprendre) — tout le monde l’appelait « Olie ». Je ne l’utilisais donc jamais sauf quand j’étais très en colère ; ce détail suffit à couper court au fou rire qui s’apprêtait à lui monter aux lèvres. À la place elle me répondit :
« Je suis vraiment désolée. Je ne sais pas ce qui m’a pris de faire ça… Tu n’es pas un looser, ne l’a jamais été et ne le sera jamais, mais… comment dire… c’est vrai que j’ai parfois tendance à oublier que tu es mon grand frère. Tu es un garçon génial, mature et tout mais tu t’attaches toujours trop à suivre les règles. Brise-les une fois de temps en temps ! Fais ce qu’il ne faut pas faire ! Rebelle-toi un peu ! T’es pas obligé d’être tout le temps en mode punk, mais une fois de temps en temps, ça te ferait du bien, crois-moi. Et ça te ferait peut-être un peu sortir du rôle que tu t’infliges, et qui me fait parfois oublier qu’c’est toi l’chef ! »
Cette dernière phrase me fit sourire. Toute la tension s’évanouit d’un coup, et nous partîmes ensemble d’un grand fou rire. Une fois qu’il se fut éteint, je lui dis :
« Oui, tu as probablement raison. Écoute, je te laisse te préparer, je vais regarder encore un peu la télé et puis je vais aller voir un pote ».
Elle n’a probablement pas cru en mon petit mensonge d’aller voir un pote, mais elle se retint de dire quoi que ce soit. Elle avait vraiment envie de le voir venir, son étalon… Je sortis donc de sa chambre, et descendis.
Mais sa petite tirade me fit réfléchir. Oui, ma vie devait changer. Il fallait que je la croque un peu, que je sois plus rock n’roll ! Cette grande décision, couplée à ce que j’avais entendu un peu avant, me fit prendre une décision irrévocable : j’allai appliquer le plan. Sur le moment, il me sembla être la meilleure idée de l’univers… et la suite me prouva que je n’en étais pas loin.
On va voir si je suis « trop mignon » !
J’allumai la télévision, puis, le plus silencieusement possible, je montai les marches pour écouter si la douche était allumée. Lorsque je l’entendis, je sus que j’avais quelques minutes devant moi. Je cherchai son portable, ce qui ne me prit pas autant de temps que ce que j’avais craint, vu qu’il était posé bien en évidence sur son lit, à côté d’une pile de lingerie fine qu’elle avait dû présélectionner avant d’emporter son choix dans la salle de bain. Les voir me rendit tout chose, et augmenta énormément le rythme et la force des battements de mon cœur ; j’eus même peur, un peu bêtement, qu’elle ne l’entendit.
Je fouillai dans son répertoire, et à nouveau j’eus un coup de bol : il n’y avait qu’un « Mat ». Par acquis de conscience, je vérifiai que le nom était le même que celui à qui elle venait d’appeler ; c’était le cas. Je lui envoyai donc le message suivant : « Je crois que j’ai oublié mon livre chez toi. Désolé, ne répond pas à ce message, je t’explique demain. ». J’imitai son style ; je savais qu’elle avait la drôle d’habitude de ne jamais abréger ses messages. Une fois que je fus sûr qu’il était bien envoyé, je le supprimai des messages envoyés, et je reposai le portable plus ou moins là où je l’avais trouvé, avant de redescendre, toujours aussi silencieusement. Le tout n’avait pas duré cinq minutes.
Le risque était grand bien sûr. Moi, à sa place, j’aurais répondu quand même, et alors tout serait tombé à l’eau. Et même si ça réussissait, comment réagirait-elle en comprenant que c’était moi ? Étais-je en train de foutre en l’air la relation si spéciale que j’avais avec ma sœur ? Et si les parents rentraient plus tôt ?
C’était donc ça, être « un peu punk » ? Prendre des risques inconsidérés, faire all-in sur une paire de cinq, tout jouer avec les probabilités contre soi, mais pour un gain extraordinaire ? Mais quel gain ? Qu’est-ce que je cherchais en faisant ça ? Était-ce ma bite, à la diète depuis trop longtemps, mais régulièrement titillée par les histoires que ma sœur me racontait et sa façon parfois un peu flirteuse d’être avec moi, qui avait pris le contrôle de mon esprit ? Je n’étais plus très sûr de moi et de cette idée, qui me semblait alors être la pire de l’univers. Je pouvais encore aller lui dire que j’avais envoyé ce SMS, prétendant que c’était une blague, que je la regrettais. Reprendre ma mise. Dire adieu à tout jamais à ma nouvelle vie.
Je ne sais pas pourquoi, mais alors dans mon esprit c’était l’alternative : ou je suivais mon plan jusqu’au bout, quoi qu’il en coûte, ou j’acceptais d’être un looser. Or, je ne voulais plus être un looser.
Mon cœur battait toujours aussi fort. Rien que ça, c’était nouveau, et pas mal grisant. À 40, je montai les marches à nouveau, allai chercher quelques affaires dans ma chambre, dont mes trois cravates, toutes déjà pré-nouées, et lui criai que j’y allais ; ma voix tremblait. Elle n’entendit pas ce détail, et me répondit « Merci encore ! Tu verras quand je t’aurai renvoyé l’ascenseur, tu n’auras pas perdu au change ! ». Elle ne pensait pas si bien dire.
Dire qu’à ce moment-là, elle était probablement déjà nue, ou presque, derrière la porte, cette si fine porte… je résistai à l’envie de regarder par le trou. De toute façon, je n’allais pas tarder à voir ce qu’il y avait derrière…
Je sortis de la maison, fis un petit tour d’un quart d’heure dans le quartier, en profitant pour dénouer deux de mes cravates laissant la noire, ma préférée, nouée. Puis, un peu après que 18 heures aient sonné, je rentrai chez moi. Comme promis, la porte était ouverte ; je pris la peine de refermer le verrou derrière moi.
Ça y était, tout était en place ; cette fois-ci, plus de possibilité de reprendre sa mise. À partir de ce moment, mon cœur cessa de battre trop vite et trop fort. Mon cerveau ne posait plus de question. L’esprit punk, c’est aussi un peu un esprit limité. Tellement confortable.
M’ayant probablement entendu rentrer, elle appela Matthieu. Jouant mon rôle, et pour être sûr de ne pas me faire repérer, je ne répondis pas. Je montai les marches de l’escalier doucement, une marche à une, les faisant craquer chaque. Je savais qu’elle m’entendait, je savais que son excitation grimpait à chaque marche que moi je montais. Je le savais tout simplement parce que je le ressentais aussi.
Je finis par arriver à l’étage. Comme promis, la porte de sa chambre était grande ouverte, me donnant une vision extatique.
Ma sœur, vêtue uniquement d’un bustier noir en latex qui laissait sortir ses magnifiques seins et ne descendait pas plus bas que le nombril, d’un string, tout aussi noir et d’un bandeau sur les yeux, était couchée sur le lit, faisant jouer sa langue sur ses lèvres, d’un rouge carmin. Sa poitrine se levait et descendait, au rythme d’une respiration accélérée. Son maquillage était légèrement plus prononcé qu’à l’accoutumée. Après être resté quelques temps en admiration devant ce spectacle extraordinaire, la bite douloureuse à force de bander et toujours sans un mot, j’entrai dans la chambre d’Olie.
À nouveau, elle prononça le nom de Matthieu. M’approchant du lit, je lui mis mon index sur la bouche, lui signifiant ainsi de se taire (j’en avais marre d’entendre le nom de l’autre). Elle en profita pour m’embrasser le doigt, et le sucer. Je le retirai de sa bouche, et sortis les cravates de mes poches. Je nouai un bout sur son poignet, l’autre bout sur le côté du lit, et je recommençai avec l’autre main. Elle se laissa faire complètement, sans poser de question. Une fois ses deux mains bien attachées, je lui passai autour du coup la troisième cravate, celle que j’avais laissée nouée, sans la serrer.
Elle me réclama alors de l’embrasser, ce que je refusai de faire, ayant trop peur que ma technique, probablement plus gauche que celle de l’autre, ne me trahisse. C’était un jeu de soumission de toute façon, elle n’avait pas à me demander quoi que ce soit, je me contentai donc de lui repasser le doigt sur la bouche.
Je décidai alors de lui embrasser l’oreille. Je jouai avec son lobe, sachant pertinemment qu’elle aimait ça. Je fis durer ce jeu quelques secondes, avant d’enlever mon t-shirt, et de lui poser le torse sur la bouche, afin qu’elle le lèche et l’embrasse. Là encore je ne fis durer le jeu que quelques secondes. Je n’avais qu’une envie : lui retirer son string et, enfin, la goûter.
Mais il ne fallait pas trop brusquer les choses, je le savais. Jusque-là, contrairement à mes habitudes, j’avais réussi à tout faire durer. N’ayant que sa culotte en tête, je commençai néanmoins par sa gorge, sur laquelle je passais un certain temps — embrassant, léchant, mordillant. Puis je descendis, et m’arrêta à nouveau un long moment, mais sur ses seins. Je dois avouer qu’ils furent longtemps un fantasme absolu. Le réaliser fut en soi une extase… Chaque sein eût droit à son lot de coups de langues. Je pris un malin plaisir à mordiller le bout de ses tétons, arrachant un petit cri de douleur à Olie. Juste assez pour l’exciter un peu plus.
Mais à son tour, je dus quitter son opulente poitrine, à moitié à regret, sachant ce qui m’attendait ensuite. Je ne pus pas m’attarder longtemps sur son ventre, vu qu’il était recouvert de latex ; je me contentais d’y faire glisser mon nez.
Arriva alors la chatte tant attendue. Mais, continuant la commune torture qui consistait à prolonger l’attente, je m’attardai encore un peu sur le bas du ventre, qui lui aussi était découvert. N’y tenant plus, elle secouait le bassin, le montant le plus haut possible pour l’approcher de ma bouche. Je descendis encore un peu, passant à gauche du pubis, embrassant l’endroit où la jambe et le ventre se rejoignent. Puis je fis de même à droite avant d’embrasser le pubis, par-dessus le tissu du string, qui était toujours à sa place. Passant ma main plus bas, je sentis à quel point elle était mouillée, ce qui bêtement me rendit très fier de moi. Qu’importe si elle croyait que c’était quelqu’un d’autre, c’étaient mes caresses qui la rendaient folle ainsi !
Après avoir un peu joué avec le fruit interdit à travers le string, je décidai que le moment était venu de l’enlever. Je mis mes mains des deux côtés, elle comprit tout de suite et leva le bassin, puis les jambes ; après avoir senti l’odor di femina qui s’en exhalait et observé sa chatte parfaitement glabre, je le jetai au loin et d’un coup, pour changer et la surprendre, je suçai son clitoris, ce qui entraîna immédiatement un cri de plaisir.
Laissant, pour l’instant, mes mains inactives, je jouai de la bouche et de la langue, alternativement sur le clitoris et les lèvres, enfonçant même par moment ma langue dans sa grotte. Quand je décidai qu’elle en avait eu assez, et qu’il était temps qu’elle jouisse, je décidai d’aussi brusquement la pénétrer de mes doigts. Ma langue active uniquement sur son clitoris, j’enfonçai mon index et mon majeur dans son vagin, et les recourbai vers le haut ; après quelques va-et-vient accueillis par des cris de plus en plus puissant, j’utilisai l’index de mon autre main pour, après avoir récupéré de la cyprine qui coulait le long de ses lèvres, le mettre sous elle et le faire entrer dans son petit trou.
Doigtée des deux trous, le clitoris toujours agacé de ma langue, l’orgasme ne fut plus très long à venir. Lorsqu’il vint, je senti son vagin se contracter sur mes doigts, et son anus comme aspirer celui qui le visitait. Je cessai de bouger les doigts, tout en laissant ma langue continuer son travail.
La voyant ainsi jouir, une peur paradoxale me prit. Je venais de réaliser ce que je faisais. Je décidai immédiatement d’enlever son bandeau, pour que, si nous devions aller plus loin, nous le fassions en pleine connaissance de cause, tous les deux. Un peu assommée par l’orgasme, elle ne bougeait plus, tentant simplement de reprendre son souffle. Je remontais doucement son corps, laissant mes mains glisser sur son ventre, laissant sur le latex noir des traînées brillantes de cyprine, puis ses seins, sa gorge. Doucement, les mains tout à coup moites, je lui enlevai le bandeau, et elle me regarda, encore à moitié dans son plaisir, restant sans réaction peut-être deux secondes. Puis elle écarquilla les yeux et cria : « OH BORDEL DE MERDE MAIS QU’EST-CE QUE TU FOUS LÀ !?! » en se relevant autant que ses entraves le permettaient.
J’attendis un peu avant de lui répondre : « Je brise les règles ! » effrontément. Il y eût encore un petit moment de silence, pendant lequel je laissais Olie se remettre un peu. Puis je lui dis :
« Oui, je brise les règles. Ça ne te plaît pas ?— Je n’ai pas dit ça…— Ça te plaît alors !— Je n’ai pas dit ça non plus… Tu… Je… Mais je suis ta sœur ! Tu… Tu m’as presque violée !— Non, non ! Je n’ai encore rien fait d’autre que de te lécher.— Dans des conditions normales, ce serait du viol, me répondit la légiste !— Mais ce ne sont pas des conditions normales. Et oui, tu es ma sœur. Nous brisons les règles ! Tu aimes briser les règles, je dois le faire et…— C’est une chose de briser les règles, c’en est une autre de lécher ta sœur…— Oui mais tu as aimé ça, non ? »
Elle commença à sourire. Elle était si belle, si excitante, ses gros seins sortis de son bustier qu’elle portait comme seul vêtement, les mains toujours attachées aux coins du lit…
« Ça, je ne peux pas dire le contraire.— Et ce n’est pas encore mieux, maintenant que tu sais ce que nous faisons ? De l’inceste ?— Je crois que je commence à m’habituer à l’idée… »
Prenant ça comme un acquiescement, j’approchai pour la première fois les yeux dans les yeux mes lèvres des siennes. Un peu paralysée (et toujours attachée), elle ne fit rien pour m’arrêter, puis finit par me rendre mon baiser. Pour la première fois, nos langues se mélangèrent et visitèrent la bouche de l’autre. Ce premier baiser dura, dura… jusqu’à ce que tout à coup, elle tourne la tête et écarquilla grand les yeux. Je cru qu’elle avait changé d’avis, mon cœur se remit à battre la chamade, lorsqu’elle me dit :
« Tu es sûr que Mat ne va pas venir ?— Oui oui, je lui ai envoyé de ton portable votre petit « code secret ». Et de toute façon, la porte est fermée à clef. »
Elle fit un grand sourire, et me dit : « Oooh, t’es bon toi ! » Et nous recommençâmes à nous embrasser.
Au bout d’un moment, elle retira sa langue de ma bouche pour lui faire dire : « Allez, détache-moi que je m’occupe de ta bite, ou je sens qu’elle va exploser ! Un orgasme quand ça se donne, ça se rend. »
Très bonne philosophie, vous ne trouvez pas ? Autant vous dire que je ne me fis pas prier. Je grimpai le long de son corps pour atteindre ses mains ; ce faisant, ma bite s’approcha trop près de son visage et elle le goba, sans même attendre que je la détache. À quatre pattes au-dessus d’elle, je la laissais remonter le long de ma queue. À chaque coup de tête, elle en avalait plus, jusqu’à ce que finalement, ce soit mes couilles qui l’arrêtent. Oh, que c’était bon de sentir mon gland dans sa petite gorge serrée ! Et son regard, son regard de jouissance, de salope, lorsqu’elle sent qu’elle a réussi à tout avaler ! Son maquillage noir tout coulé, sa bave imbibée du liquide pré-éjaculatoire qui entourait sa bouche m’excitait incroyablement.
Assez rapidement, elle recracha ma bite et, avant que je puisse me plaindre, me dit d’un ton et d’un regard provocants : « Allez, t’attends quoi, baise-moi la bouche ! » avant de reprendre ma queue. À nouveau, il ne fallut pas me le dire deux fois… sa tête posée sur les coussins, je sortis ma bite de sa bouche avant de l’y renfourner, de plus en plus vite, de plus en plus fort en criant mon plaisir ; elle, elle pleurait presque, gémissant et, pour la première fois, émettant des bruit qui ne faisaient que m’exciter d’avantage.
Elle ne pouvait plus vraiment respirer mais, évidemment, à ce rythme-là, après l’attente de la journée, le temps de diète avant aujourd’hui et la gorge profonde, il ne me fallut guère de temps pour lâcher une quantité incroyable de sperme, directement dans son œsophage, restant enfoncé profondément, étouffant presque Olie, jusqu’à ce que mon éjaculation soit terminée.
Une fois cela fini, je me retirai vite et je me couchai à côté d’elle, pendant qu’elle reprenait son souffle. Je n’aurais jamais cru faire ça, et encore moins avec Olie. Lorsqu’elle put de nouveau parler, elle me demanda de la détacher. J’avais un peu peur d’avoir été trop loin, mais son sourire supprima mes appréhensions. Je la détachai, puis me recouchai ; elle se coucha à côté de moi, et me pris la main. Aucun de nous deux n’arrivait à parler. Elle finit par y arriver.
« C’était… incroyable. Tu sais, j’aime beaucoup me faire prendre par la bouche comme ça, mais je n’ai que très rarement assez confiance en mon partenaire pour le laisser faire ça… autant dire que ce n’est encore jamais arrivé que ce soit le cas la première fois…— Tu as aimé aussi alors ?— Oui ! À mon avis pas autant que toi, me dit-elle en riant, mais oui.— Et tu… ne m’en veux pas ? Je veux dire, pour avoir remplacé Matthieu ?— Oh non. Tu sais, je crois que ça fait un certain temps que j’attendais ce moment. J’ai toujours plus ou moins fantasmé sur toi, mon grand frère si gentil, si attentionné… le seul homme du monde en qui je sais pouvoir avoir confiance. Ça fait peut-être cliché, mais c’est vrai. Lorsque tu m’as enlevé le bandeau, j’ai été très très surprise, c’est sûr. Choquée même. Mais si une partie de moi criait « QUOI ?!? », une autre partie criait « ENFIN !!! ». Et la surprise passée, il ne restait plus que cette partie.— Olie ?— Oui ?— Je t’aime. »
C’est sorti comme ça. Dans l’ambiance. Mais je crois que c’est la chose la plus sincère que j’aie jamais dite. Elle me regarda droit dans les yeux, comme pour vérifier la sincérité, puis m’embrassa. Au début, ce n’était pas un baiser uniquement chargé sexuellement comme ceux que nous avions déjà échangé ; plutôt un baiser langoureux, amoureux. À la fois fraternel et bien plus que ça. À la fois sexuel et bien plus que ça. À la fois amoureux et bien plus que ça. Tout, dans ce baiser, se mélangeait.
Et puis, petit à petit, peut-être à mesure que ma bite reprenait du service, le côté sexuel reprenait le dessus. Le baiser se faisait plus passionné. Si bien que lorsqu’Olie baissa sa main sur ma bite, elle était déjà redevenue bien dure. Sans parler, elle roula alors sur moi, me regarda droit dans les yeux, sourit un peu sauvagement, puis inséra ma bite dans son vagin. D’un coup, elle s’empala sur toute ma longueur. Nous poussâmes ensemble un cri, comme pour la première fois, nous faisions l’amour. Tout jusque-là, malgré le plaisir intense que cela nous avait apporté, n’était que préliminaires à ce qui se jouait, maintenant.
Elle resta quelques secondes comme ça, assise sur moi. Puis, commença le mouvement de va-et-vient. Tout doucement, sans jamais me quitter des yeux, elle remontait le long de ma hampe, avant de se laisser retomber d’un coup sec lorsqu’elle était presque sortie. Le seul moment ou nos regards se quittaient étaient ceux-là. Si je regardai son beau visage farouche, ça ne m’empêchait pas de voir ses seins qui rebondissaient comme elle bougeait.
Je ne sais pas combien de temps elle continua, accélérant petit à petit son rythme, jusqu’à ce que, sans signe avant-coureur, sur une descente, elle jouisse bruyamment. Elle retomba, se coucha sur moi et continuait à jouir ; je sentais les muscles de son vagin se contracter dans tous les sens. Lorsque finalement, après un temps qui me parut interminable, elle reprit ses esprits, elle me regarda et m’embrassa. Le baiser terminé, elle roula à nouveau, en se mettant sur le ventre, à côté de moi, ronronnant presque. Je me dis alors qu’il était temps de prendre le contrôle de la situation.
Ne lui laissant que quelques petites secondes de repos, je lui grimpai dessus, ma bite, toujours aussi dure, coincée entre ses fesses. Me masturbant un peu entre elles, j’embrassai sensuellement sa nuque, descendant jusque sur ce que je pouvais atteindre de sa gorge. Ses ronronnement se faisait de plus en plus forts, se transformant finalement en soupirs d’excitation.
Revenant de mes lèvres sur sa nuque, je descendis ensuite sur son dos, enlevant ma bite de son cul. Je descendais, toujours en l’embrassant, à travers les lacets de son bustier, jusqu’à atteindre une zone à nouveau plus couverte de tissu : ses fesses. J’en embrassai alors chaque centimètre carré, de haut en bas, de l’extérieur vers l’intérieur, une fesse après l’autre, jusqu’à atteindre la petite zone granuleuse au sommet de la raie. Dès lors, je n’embrassai plus ; je léchai. Je sortis ma langue et la carrai dans la fente de ma sœur, tout aussi glabre que son minou, écartant ses fesses de mes mains, jusqu’à atteindre son anus. Je débutai alors un anulingus. Elle aimait ça, et relevait ses fesses pour les coller plus fort dans mon visage et, en même temps, se masturber de sa main droite. J’enfonçai ma langue, à la manière d’un colibri, entamant des va-et-vient de plus en plus rapide, pendant que, sous l’effet conjoint de ma langue dans son cul et de ses doigts sur son clitoris, elle se mit à crier. Je décidai alors d’arrêter et remontant vers sa tête, j’attrapai la cravate qu’elle portait encore pour, en l’étranglant un peu, la faire se mettre à quatre pattes. Estimant son cul suffisamment lubrifié, et ma bite ayant suffisamment sécrété, je ne pris pas la peine de cracher ou de chercher du lubrifiant, et je présentai mon gland, palpitant comme jamais, devant son anus et d’une poussée, le fit entrer en entier, ce qui fit crier ma sœur d’un cri mélangeant la douleur et l’extase.
Je savais qu’elle était une pratiquante régulière, mais moi, c’était la première fois que je sodomisais. Pour le moment, je n’avais que mon gland enfoncé dans son cul ; j’étais déjà au bord de l’extase. Elle aussi apparemment. Elle continuait à se toucher le clitoris quand je commençai à enfoncer plus avant ma queue dans son cul. Petit à petit, faisant augmenter le volume des cris d’Olie, ma bite disparaissait, avalée par les fesses de ma sœur jusqu’à ce que, triomphe !, je fus arrivé au bout, mes poils pubiens touchant ses délicates fesses, créant un contraste intéressant. À demi conscient, je l’entendis me crier « Allez, ramone-moi le fion ! », ce que je m’empressai de faire, ressortant presque jusqu’au bout ma queue et la renfonçant directement. Immédiatement, ma sœur eût un orgasme, et je dus l’attraper pour ne pas qu’elle s’écroule et que je puisse continuer mon ouvrage. Les va-et-vient se multipliaient, ma sœur criait à réveiller les morts, chaque coup de queue faisant durer son orgasme, et ma jouissance, la plus puissante que j’aie jamais connu, arrivait à grand pas. Finalement, en criant moi aussi, je remplis son rectum de sperme collant, avant de ressortir et de m’écrouler à côté d’elle.
Comme après mon premier orgasme, il nous fallut quelques temps pour pouvoir à nouveau parler. Dès qu’elle le put, elle se mit sur le dos et m’attrapa la main. J’étais heureux, sur un nuage, et je me plais à penser qu’elle l’était aussi.
Nous passâmes ensuite plus d’une heure à parler, de nous, de ce qui s’était passé, de la façon dont nous avions essayé de cacher ce qui semblait à partir de là si évident. Nous parlâmes aussi de l’avenir ; si notre amour était pur, il cassait les conventions sociales, et il n’y avait donc aucune raison de respecter cette autre convention qu’était la monogamie. Et puis, ça aurait semblé suspect si Olie arrêtait du jour au lendemain d’avoir des relations amoureuses (moi, ça n’aurait surpris personne ; mais j’ai étrangement depuis ce jour plus de succès avec les filles, question de confiance en soi, probablement). Il fallut ensuite ranger, car nos parents allaient bien finir par rentrer. Une fois que nous nous fûmes lavés, habillés, que nous ayons redonné une forme honnête à la chambre d’Olie et que nous l’ayons aéré, nous nous couchâmes à nouveau sur son lit, et nous remîmes à parler, à nous embrasser, à nous chatouiller. Juste après avoir entendu la voiture de nos parents dans l’allée du garage, joueuse, Olie me dit : « Mais, tu ne m’as pas rempli le vagin ! Demain, il faudra réparer cette injustice… ».
À partir de ce jour, je peux vous assurer que je ne m’ennuyais plus. Je n’étais pas devenu tellement plus punk. J’étais resté une sorte de looser. Mais un looser qui baise sa sœur régulièrement. Sa magnifique, expérimentée, joueuse, et intelligente petite sœur. Mais surtout, qui l’aime et en est aimé.
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