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Le voisin

Chapitre 2

Trash
ATTENTION: CETTE HISTOIRE EST UN FANTASME ET UNE PURE FICTION. JE NE CAUTIONNE AUCUNEMENT LES VIOLENCES FAITES AUX FEMMES. CE RÉCIT EST HARD, SI VOUS N’ÊTES PAS AMATEUR, PASSEZ VOTRE CHEMIN
jdrd@orange.fr
Plusieurs jours s’écoulèrent sans avoir de nouvelles de notre maître chanteur. J’espérais peut-être qu’il allait nous laisser tranquille. De manière étonnante, j’en éprouvais aussi un peu de regret. Je devais me rendre à l’évidence, voir ma femme ainsi humiliée m’avait profondément excité et réveillé mes instincts les plus vils. Je regrettais de ne pas avoir de photos de cette scène surréaliste où mon voisin obèse et vulgaire abusait de ma belle épouse si distinguée. Seul le souvenir de cette soirée hantait mes rêves impurs.
Quant un samedi après midi, alors que mon épouse était partie faire les courses et que je jardinais, je vis le voisin s’approcher de moi. C’est le cœur battant que j’attendais de voir ce qu’il allait me dire.
— Alors toujours disposé à récupérer la dernière photo?— Oui, bien sur.— Alors tu donneras ça à ta salope de femme au petit déjeuner.
En me disant ça il me donna un nouveau flacon du liquide utilisé la dernière fois.
— Il y en a plus, parce que cette fois je vais avoir besoin d’elle plus longtemps. Dès qu’elle est dans les vapes, tu m’appelles.
A ces paroles, je sentais honteusement une prémisse d’érection.
Toute la soirée j’étais partagé entre la culpabilité de ce que j’allais faire le lendemain et l’excitation que cela me procurait. J’étais réveillé très tôt. Ne pouvant plus rester au lit, je me levais et allais préparer le petit déjeuner. Je versais le précieux liquide dans le café au lait de mon épouse et montais le déjeuner au lit. J’observais très attentivement ma femme boire son café à grandes gorgées.Un quart d’heure plus tard, elle était à nouveau dans un état second, ne répondant plus à mes questions, affalée sur le lit. J’enlevais avec précaution le plateau et l’observais dans sa chemise de nuit. Je ne pu m’empêcher de défaire les boutons et de faire sortir ses gros seins, aux aréoles larges et sombres. Je les attrapais à pleine main et les malaxais assez fortement. Mon épouse ne réagissait toujours pas. Je sortis alors mon sexe et, enjambant le corps de ma femme, le frottais contre ses seins, son menton, sa bouche. Lui ouvrant cette dernière, je me masturbais dedans et éjaculais en quelques secondes, excité de pouvoir prendre ce qu’elle m’avait refusé jusqu’à présent. Mon sperme disparu entièrement au fond de sa gorge et elle déglutit par réflexe. C’est un peu honteux et pris de remords que je rattachais les boutons de sa chemise de nuit.Je me dirigeais alors vers la porte d’entrée et dès que je l’ouvris, je vis celle du voisin s’ouvrir. Il devait guetter ma sortie. Je lui fis signe de venir et il se dirigea vers moi.Il était habillé en vêtements kaki, un pantalon de camouflage et une veste avec de nombreuses poches sur le devant. Sa grosse bedaine tendait vers l’avant une chemise vert sombre. Il passa devant moi et en rentrant dans la maison demanda ou était ma petite épouse bandante. Je lui expliquais qu’elle se trouvait à l’étage, dans notre chambre. Sans se faire prier il monta les escaliers et se rendit dans la pièce en question. Mon épouse n’avait pas changé de position, les yeux toujours mi clos.
— Alors petite pute, tu attendais ma grosse bite pas vrai? Tu meurs d’envie de te faire baiser? Il va te falloir être patiente, mais tu vas avoir ta dose de sperme pour plusieurs mois, ne t’inquiètes pas… Pour le moment on va t’enlever cette chemise de nuit.

Comme j’avais pu le faire quelques minutes auparavant, il défit les boutons les uns après les autres, enlevant complètement son vêtement. La tête de mon épouse tomba légèrement sur le côté et un filet de sperme s’échappa de sa bouche.
— Regarde moi ça, cette chienne à déjà goûté à du foutre aujourd’hui…C’était avant ou après le produit?— …— J’ai pas bien entendu?— Après.— Ah on dirait que tu commences à prendre goût à notre histoire. Bon je vais lui choisir des vêtements pour notre petite virée.
Ravalant ma honte, je le regardais ouvrir notre placard pour sortir une robe de soirée noire, très décolletée et fendue sur la jambe droite. Il sortit également les escarpins avec les talons les plus hauts que mon épouse possédait, au moins 10 cm.
— Aides moi à l’habiller, elle n’aura pas besoin de culotte et de soutien gorge, pour ce qui l’attend!
En l’habillant, il en profita pour lui peloter la poitrine violemment et la pénétrer avec un des ses gros doigts. Il me demanda de lui mettre ses chaussures pendant qu’il lui préparait une surprise. Je le vis alors sortir un plug de taille respectable, y cracher dessus, et l’introduire d’un coup dans l’anus de mon épouse, qui résista un peu avant de se détendre et d’accepter l’intrusion. Seul le bout aplatit dépassait. Ma femme ne broncha pas, restant dans son état léthargique. Il ajusta la robe, et mis mon épouse debout. Avec ses hauts talons et le plug, elle avait une silhouette très cambrée, ce qui avec cette robe la rendait très sexy. Mon sexe commençait à me faire mal dans mon pantalon. En la supportant chacun d’un côté, nous amenâmes ma femme jusqu’à ma voiture, où il l’installa à l’arrière à ses côtés, pendant que je prenais le volant. Il me guidait dans ma conduite. Tout en étant attentif à la route et à ses indications, je regardais par le rétroviseur et voyais notre maître chanteur qui avait posé une des jambes de mon épouse sur ses genoux et qui lui enfonçait deux doigts dans le vagin, puis trois. La vue était imprenable et je n’osais imaginer que quelqu’un de nos connaissances ne nous voit. Heureusement en ce dimanche matin, peu de gens étaient sur la route. Le sexe de ma femme était distendu par les gros doigts, mais elle restait toujours aussi impassible. Il ressortit ses doigts pleins de sécrétions intimes et il les lui enfonça dans la bouche pour les nettoyer. Mon excitation était à son paroxysme.Sur ses indications, nous nous engageâmes sur un chemin de terre et après un kilomètre un peu chaotique, le chemin déboucha sur une clairière dans laquelle une cabane était érigée.De nombreuses voitures et fourgonnettes étaient garées là et je reconnaissais un repère de chasseurs.Le voisin ouvrit sa portière, rajusta la tenue de ma femme et la fit se lever. En la tenant par le bras, il l’amena vers la cabane. Je suivais derrière en contemplant mon épouse marcher difficilement sur un chemin caillouteux avec des hauts talons, une robe de soirée, un plug dans l’anus et en étant droguée. Je pensais avec honte et délectation aux humiliations qu’elle allait très certainement subir dans un avenir proche.Lorsqu’il ouvrit la porte, je pus distinguer nettement une douzaine de chasseurs attablés qui tournèrent la tête vers nous. Ils finissaient apparemment de manger un casse croûte fortement arrosé de bière et de vin rouge.
— Salut les gars, comme promis, je vous amène une belle petite pute pour en faire ce qu’on veut toute la matinée.
Les commentaires allèrent bon train, tous plus grossiers les uns que les autres.
— Regardez comme elle est sapée cette salope.— On va la défoncer.— Quand on sera passé sur ton cul tu pourras plus t’asseoir.
Parmi les hommes présents, je reconnu Roger, le cantonnier, une personne très frustre, à la limite de la débilité. La mairie l’employait pour faire preuve de charité.Il ne disait rien mais regardait ma femme intensément se touchant en même temps l’entrejambe.Ma femme fût emmenée au milieu de la pièce, des mains la frôlant mais n’osant pas encore aller plus loin. Le voisin attrapa ses deux seins et les fit jaillir de la robe, tout en tordant les tétons érigés. Cela donna le signal pour tous les autres qui se regroupèrent et tripotèrent mon épouse de partout. La robe fut vite troussée autour de la taille, présentant à tous les fesses et la toison auburn. Le plug, visible, déclencha une salve d’insanités. Des doigts s’insinuèrent dans le vagin, fouillant le plus profond possible. Un des chasseurs retira le plug et le remplaça par deux de ses doigts. Tous voulaient avoir leur part de cette femelle qui leur était offerte.Ma femme fût allongée sur la table et le premier chasseur présenta son sexe, de taille respectable, à l’entrée de ses lèvres intimes. Il frotta doucement, presque délicatement son gland sur le clitoris, avant de s’enfoncer d’un coup de toute sa longueur en jetant un « ah, qu’elle est bonne cette salope », en positionnant ses jambes sur ses épaules. Les autres s’étaient arrêtés pour le regarder quelques secondes, et puis ils reprirent leurs attouchements. Un présenta sa verge érigée à la bouche de ma femme, lui boucha le nez pour qu’elle l’ouvre et l’enfourna immédiatement. Les autres malaxaient ses seins, se caressaient ou prenaient des photos avec leurs portables. Celui qui la besognait lui mettait maintenant de gros coup de boutoir, faisant tressauter ses pieds toujours chaussés d’escarpins à chaque va et vient. Celui qui s’occupait de sa bouche se contracta et lui enfonçant encore un peu plus son membre au fond de la gorge déchargea sa semence. En voyant ça, celui qui la besognait poussa un râle de jouissance et se rependit dans son vagin. De mon côté, j’avais déjà joui en regardant le spectacle.Les deux furent vite remplacés par deux autres et ainsi de suite. Au bout d’une heure de ce traitement, seul le voisin et le cantonnier n’avaient pas pris leur tour. Le voisin avait sorti son sexe avec son gland énorme et le masturbait sur toute sa longueur, attendant son tour. Quand le dernier chasseur eut prit sa part de plaisir, il plaça mon épouse sur le ventre, récupéra sur ses doigts du sperme qui s’écoulait de manière continue de son vagin et les enfonça lentement dans son anus. Son œillet résista un peu, puis s’ouvrit lentement, laissant pénétrer deux doigts, puis trois. Ma femme poussait de petits gémissements, qui auraient pût ressembler à du plaisir Après plusieurs aller retours, il présenta son gland disproportionné et appuya de tout son poids. L’anus s’ouvrit et à mon étonnement absorba l’énorme insertion assez facilement. Une fois le gland passé, l’ensemble du sexe disparût. A la vue de la scène, plusieurs chasseurs se masturbèrent, surtout à l’écoute des mots crus qui suivirent:
— Alors sale petite pute, tu ne pensais pas que j’allais t’enculer comme une chienne quand tu me regardais de haut. Ca te fait quoi d’avoir un gros chibre dans le fion, espèce de salope? T’en redemandes hein?
Et effectivement, pour la première fois, ma femme semblait avoir une réaction, poussant des petits cris qui ne pouvaient être que de plaisir pour finir par un gros râle de jouissance quand le voisin se déversa en elle en proférant des insanités. Les chasseurs qui se masturbaient jouirent sur sa tête, son visage, s’essuyant avec ses longs cheveux. Quand le voisin sortit son sexe du fondement de mon épouse, un bruit se fit entendre et un flot de sperme jaillit.
C’est alors que le cantonnier défit son pantalon et dévoila une anatomie inhumaine. Son sexe arrivait à ses genoux, il devait mesure au moins 35cm, si ce n’est 40…Très gros, il n’était pas dressé, car cela semblait physiquement impossible. Le voisin éclata de rire en voyant ma surprise et me dit:
— On te présente l’Anaconda. La nature lui a mis dans le caleçon ce qu’elle ne lui a pas mis dans la tête!
Etant donné l’engin, j’en concluais qu’il était encore plus attardé que je ne le pensais.
Il s’approcha de ma femme, et sans dire un mot, tenant son membre à deux main, frotta son gland sur les lèvres déjà lubrifiées par les éjaculations précédentes et le fit pénétrer, lentement. Il poussa au maximum, mais seulement la moitié de sa verge avait pénétrée le sexe distendu. Il commença alors des va et vient, poussant chaque fois un peu plus fort, un peu plus loin. Pendant ce temps le voisin prend des photos et des films avec son appareil.Au bout de 10 minutes de ce traitement, les trois quarts de son engin étaient acceptés par la matrice de ma femme. Il saisit alors une canette de bière vide et l’enfonça dans l’anus, déjà bien distendu par l’enculage du voisin. Il alternait ensuite les coups de butoir et l’utilisation de la bouteille comme godemiché. Ma femme poussait des cris de jouissance de plus en plus fort, emplissant la cabane du son de sa voix. Ce traitement dura une vingtaine de minutes et alors que mon épouse poussait alors des râles ininterrompus, un liquide transparent jaillit de son sexe, se répandant sur ses cuisses et par terre. Le voisin me déclara alors:
— Je suis sur que tu ne savais pas que ta salope était une femme fontaine. Rien de tel que de la laisser aux mains de l’Anaconda pour la dévoiler. Son corps est plus réceptif que son cerveau de bourge.
Le cantonnier déchargea peu de temps après, sortant son sexe juste avant et éclaboussant le dos de ma femme de longues traînées blanchâtres.
Ma femme s’écroule par terre, terrassée par la jouissance. Je cherche de quoi essuyer les sécrétions masculines et féminines qui la souillent, mais le voisin intervient:
— Laisse on a un moyen infaillible.
Il ouvre alors la porte et fait rentrer la meute de chiens qui se pressent autour et nettoient de leur langue avide tout le corps de mon épouse, s’insérant dans tous ses orifices. Après quelques minutes de ce traitement, elle est luisante de salive canine mais propre.
Mon voisin m’aide à la remettre dans la voiture enveloppée d’une couverture. Il me tend la dernière photo de mon forfait en me disant que je l’ai bien mérité:
— La prochaine fois que tu essaies d’arnaquer une assurance, fais bien attention de pas te faire choper— …— Mais j’ai pas l’impression que cette aventure ne t’ai trop déplu, alors si t’as envie qu’on essaie de rendre ta femme plus salope, d’un point de vue volontaire cette fois, n’hésite pas à m’appeler, je pense avoir un moyen pour cela!
J’ai ramené mon épouse à la maison, lui ai donné un bain et remise au lit. Quand elle s’est réveillée elle me demanda pourquoi elle était encore au lit en plein après midi. Je lui dis qu’elle avait eu un accès de fièvre et qu’elle avait un peu déliré, puis que je lui avais donné un calmant pour la laisser se reposer. Elle me dit qu’elle avait mal partout et qu’elle allait rester couché, que c’était sûrement une grippe.
Je me dis que la grippe avait bon dos et pensais rêveusement à la dernière proposition de notre voisin…
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