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Le voisin bricoleur a des mains en or et un sacré outil

Chapitre 2

l'outil a un beau manche

Erotique
Le voisin bricoleur a des mains en or et un sacré outil.
Chapitre deux.
 
  Je ne sais pas s’il a pris un coup de chaud dans les combles, mais il s’assoupit presque aussitôt. Sa poitrine se gonfle régulièrement. Sa verge est si longue qu’elle arrive à toucher la serviette posée sur le transat. Je ne sais pas s’il revit en rêve son aventure avec la locataire du gîte mais au bout de vingt minutes je vois avec ravissement cette chose flasque se gorger de sang. Il doit rêver et rêver à des choses coquines.

 (Suite) Je suis avec beaucoup d’attention le processus. Quand les corps caverneux commencent à se gorger de sang, le gland frotte sur le tissu-éponge par à-coups avant de décoller dans les airs. La hampe grossit et s’allonge, encore courbée comme un pénitent. Avec difficulté, elle arrive à vaincre la pesanteur et les cuisses qui la retiennent pour venir se poser sur sa cuisse droite. J’ai de la chance car c’est de mon coté. Je ne me prive pas de regarder. La nature est bien faite, quand même…

 Les pulsations continuent d’abreuver de sang son vit qui prend des dimensions que je n’ai pas connues dans ma vie de femme. J’entraperçois le bout du gland rosé qui n’arrive pas à s’affranchir du prépuce. La progression de cette flamberge magnifique suit son bonhomme de chemin. Elle décolle régulièrement de la cuisse, gagnant un centimètre à chaque fois pour amener son engin par étapes sur son ventre. Sa tige est si longue que quand elle passe l’étape intermédiaire, elle couvre entièrement la largeur de sa cuisse. A partir de ce moment là, le mouvement s’accélère. Les derniers degrés pour amener ce jonc vigoureux au centre de ses tablettes de chocolat sont effectués le temps de trois inspirations. Cette barre de chair que j’ai déjà admirée à plus de trois mètres est maintenant à portée de mains.  Je voudrais résister à cette attirance subite mais ma volonté abdique au bout de quinze minutes devant la lubricité qui me domine. Ma main, tel un morceau de fer, est attirée comme un aimant par le chibre de Marc.  Doucement, je pose ma main sur sa cuisse, remonte au creux de l’aine, caresse ses abdominaux avant de couvrir sa verge. Enfin couvrir, c’est un bien grand mot, car mes deux mains ne suffiraient pas pour la cacher.  Et bien sûr tout mon corps prouve l’excitation que j’ai en moi. Mes seins ont gonflés, les aréoles se sont tendues et les tétons ont durci.Je suis aux anges et ne bouge plus, je sens la chaleur que dégage cette partie de son corps. Il me faut de nombreuses minutes avant que je m’enhardisse et referme ma main sur cette formidable trique. Je suis ébahie quand je réalise que l’extrémité de mon pouce touche à peine mon majeur. Quel pieu !   Avec une infinie délicatesse, je serre mes doigts sur la tête de ce gourdin et baisse ma main. Soudain la peau fine du prépuce cède et une grosse prune violette me nargue. Je m’amuse avec mon jouet quand soudain il commence à réagir à mes sollicitations secrètes. J’interromps rapidement mon petit jeu et fais semblant de dormir. Je me demande s’il ne faisait pas semblant d’être assoupi depuis quelques temps car à peine cinq minutes après que j’ai lâché avec regret l’axe de son corps, je sens sa main se poser sur ma cuisse. Mes mamelles sont encore toutes excitées et maintenant la chair de poule me saisit sur les cuisses, remontant sur le ventre et la poitrine. Je ferme bien les yeux, attendant la suite.Il attend un moment pour voir ma réaction. Comme je ne bouge pas, ses doigts partent en exploration. Avec légèreté, sa main remonte sur ma peau, elle effleure un sein, glisse sur mon cou et ses doigts passent sur mes lèvres. J’ai envie de sortir ma langue mais  je n’ose pas.

 Puis la main suit le sens inverse pour finir entre mes cuisses. Ses doigts recommencent leur manège, mais cette fois les lèvres ne sont plus les mêmes. Comme je soupire, ne pouvant me retenir, Marc retire sa main et (reprend son somme). Quel dommage. Cet instant de béatitude est fini. Quelques minutes après, ayant attendu que sa verge reprenne une position plus soft, il se relève. Marc me remercie pour cet instant de repos et m’embrasse avant de regagner sa maison.
 Il ne prend même pas la peine de se rhabiller, me laissant admirer le jeu de ses fesses à chacun de ses pas. Il a de superbes fesses  bien fermes. Je suis heureuse car il ne m’a pas rejetée, Je suis sûre qu’il a apprécié mes caresses. Autrement, pourquoi me les aurait-il rendues ? Mais est-ce que ça va s’arrêter là ou me permettra-t-il de pousser un peu plus loin ?   J’ai tout avoué à Paul le soir même car il me posait des questions sur le bon samaritain qui réparait la maison en son absence et je ne veux pas lui mentir plus longtemps sur l’attirance sexuelle que je ne peux réfréner dès que je voie Marc. Contrairement à ce que je croyais, il le prend assez bien. Il faut dire aussi qu’il est plus âgé que moi. Il sait que je l’aime mais que j’ai connu des hommes avant lui (dont le père de mes enfants). Comme il ne voudrait pas que l’on se quitte, il préfère que je papillonne à droite, à gauche et que je lui revienne une fois ma fringale assouvie. Depuis quelques temps, un rituel s’est installé. Je trouve toujours une bricole à soumettre à Marc en l’absence de Paul. Et ça finit immanquablement au bord de la piscine. Nager nus devient une habitude.  Aujourd’hui, il a décalé les transats ce qui fait que j’ai son bassin à la hauteur de mes épaules. Il s’est étendu sur le coté et semble dormir. Moi aussi suis allongée mais ai gardée mes yeux bien ouverts et quand vient la séance érectile, son mandrin vient percuter mon épaule, comme une invite silencieuse à aller un peu plus loin que d’habitude.  Je me tourne de son coté et me retrouve la bouche à moins de cinq centimètres de son mat de misaine. Je le prends en main et dirige pour la première fois ce boutefeu si convoité vers ma bouche entrouverte. Mais je dois écarter mes mâchoires largement pour pouvoir introduire  entre mes lèvres la grosse prune violacée. Je progresse avec douceur et appréhension en introduisant ce phallus car si la longueur ne m’inquiète pas, le diamètre exceptionnel de ce fût de canon me fait un peu peur. Il se laisse faire comme si vraiment il dormait, mais je sais qu’il n’en est rien. Un frisson (de froid ou de plaisir) secoue son corps.   Je n’ai jamais fais une fellation aussi longue. Sa queue a une odeur de chlore au début mais les phéromones mâles prennent le dessus. Je voudrais mettre mon nez dans ses poils pubiens mais je dois abdiquer devant la grandeur de la tâche, (ou plutôt de la queue). Toute ma science y passe, coups de langue sur le frein, mordillement du gland, pétrissage des bourses, et j’en passe, mais rien y fait. Ce n’est qu’après une quinzaine de minutes à me décrocher les mandibules qu’il commence à geindre. Un gonflement supplémentaire de la verge et ses bourses qui viennent se coller sur la hampe annoncent le feu d’artifice tant attendu. Je ne veux plus bouger. Il agrippe soudain ma tête à deux mains à l’instant fatidique. Je n’aime pas qu’un homme jouisse dans ma bouche mais là, c’est trop tard pour le lui dire. Je me rappelle avec horreur les flots de foutre qu’il a éjaculés sur cette pimbêche de vacancière la semaine dernière (voir épisode 1). Vais-je subir le même sort ?

 Son gland est en butée sur ma luette, je reprends ma respiration pour lui dire de me lâcher au moment ou son premier éjacula digne d’un étalon saillant une jument se déverse au fond de ma gorge suivit de deux autres tout aussi fournis. Je m’étouffe, mes poumons essaient de recracher par tous les moyens possibles ces corps étrangers. Le sperme âcre et épais se fraie un chemin dans mes bronches et trouvant le passage pratiquement obturé par une énorme banane fait comme tout liquide, il cherche une autre issue. A chaque convulsion, des filets de sperme sortent de mes narines. Quand il redescend sur terre et aperçoit enfin ce qu’il a fait, il se répand en excuses : -OH ! Pardon Béatrice ! C’était si bon ! Si planant que je ne sais pas ce qui m’a pris ! Je n’ai pas réalisé que j’avais poussé mon sexe aussi loin ! Pardon ! Pardon ! Je ne dis rien, mon sourire parle pour moi mais Il m’a fallu un long moment pour reprendre ma respiration et vider mes voies supérieures de sa lave blanche. J’ai dû remplir de nombreux mouchoirs en papier pour me dégager le nez et les bronches.   Cette journée s’est terminée ainsi. Un peu honteux de ce qu’il m’avait fait subir, il c’est éloigné comme à son habitude, nu comme un vers, la queue entre les jambes. Moi je suis partie vers ma maison, heureuse et comblée. Ça fait quelques temps qu’il joue avec ma patience, me mettant sur les charbons ardents mais se dérobant au dernier moment, j’en deviens folle, attendant de ses nouvelles.   Hier, Paul m’a demandé d’inviter Marc. Il me taquine en me parlant de ce voisin, qu’il ne connaît pas encore, disant que je ne devrais pas trop l’épuiser avec les tâches que je lui demande. Je ne sais pas comment interpréter ses allusions !  -Je voudrais quand même faire la connaissance du "plombier polonais’’. Me dit-il en éclatant de rire, ajoutant : - Depuis le temps que tu m’en parles, je voudrais connaître aussi bien ce super bricoleur que l’homme dont tu me rebats les oreilles depuis quelques temps. Invite-le à manger dimanche !    (A suivre)
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