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Voisin dominateur

Chapitre 4

Gay
Voisin dominateur 4Petite femme
M. Paul notre voisin sexagénaire m’a enculé vigoureusement ! Pour mon dépucelage, j’ai été gâté ! J’ai atrocement mal pour marcher. Je me dandine pour rentrer chez moi, mais heureusement personne ne m’a vu (e).
J’ai besoin d’une douche pour me remettre les idées en place. Je trouve dans l’armoire à pharmacie une crème qui soulage la brulure de mon anus, mais ressens encore dans mes tripes le bonheur d’avoir été défoncé par la grosse bite de M. Paul.Même si, au début, j’ai trouvé curieux qu’il me demande de m’habiller en femme et d’adopter un rôle de bonniche, j’ai apprécié de le faire. C’est dans cet accoutrement qu’il a troussé ma jupe et m’a prise de force.
Je rêvasse devant la télévision quand maman rentre du boulot. Elle me demande :
— Ça va ? Tu as l’air rêveur ?— Euh oui, oui, ça va et toi ? Tu as des nouvelles de papa ?— Oui, il m’a téléphoné, il va devoir rester plus longtemps en déplacement, il m’a dit qu’il pensait à nous, mais qu’il était obligé de rester sur place encore deux à trois semaines au moins !— Il passe sa vie au boulot ! On ne le voit jamais à la maison !— Il aime son travail, que veux-tu... Et puis, ce n’est pas plus mal comme ça...— Que veux-tu dire ?— Je me sens plus libre quand il n’est pas là, je peux sortir avec des amies et m’amuser..., tu comprends ?— Je ... Je crois.
Quand maman s’éloigne, je ne peux m’empêcher de détailler sa démarche, ainsi que tous ses gestes et mimiques. J’ai bien l’intention de m’en inspirer pour aguicher mon amant de voisin.
En trois ou quatre jours, ma douleur anale disparaît, faisant place à un grand besoin de me faire enfiler à nouveau. M. Paul s’occupe quotidiennement de son jardin qui est mitoyen au nôtre, mais il ne prête aucune attention à moi, même quand je tente de converser avec lui de l’autre côté du grillage qui sépare nos maisons.
Pour me satisfaire en attendant son bon vouloir, je dois me contenter d’un concombre et fantasmer que c’est sa grosse bite qui me démonte le derrière.
Le lundi, en début d’après-midi, il me parle enfin :
— Alors, comme tu es en vacances et que tes parents ne sont pas chez toi, tu es disponible pour moi !— Oh oui, M. Paul ! Voulez-vous que je vienne ?— Ouais ! Viens tout de suite !— J’arrive.
Je m’empresse de refermer notre maison et de rejoindre la sienne.
Il est toujours vêtu de ses cottes pour m’accueillir. Dès qu’il a refermé la porte, je cherche ses bras, mais il me repousse et me dit :
— Va te changer d’abord. Fouille dans l’armoire de la chambre, tu y trouveras ce qu’il te faut !— Oui... D’accord M. Paul.
J’éprouve un plaisir nouveau en explorant l’armoire garnie de tous ces effets féminins. J’essaie plusieurs robes, différents dessous et, en conséquence, prend un peu trop de temps pour m’apprêter.Ce qui fait rugir M. Paul :
— Alors tu ne vas pas y passer 2 heures ! Dépêche-toi poufiasse !
Je me dis que ce ne devait pas être commode à vivre pour son épouse que d’avoir un tel butor comme mari. Toutefois, moi ça me plaît qu’il soit comme ça avec moi, car j’ai l’impression qu’il me considère comme sa femme et que je vais pouvoir en profiter pour qu’il me baise. Je dois être masochiste de venir ici pour me faire insulter, mais si je suis là, c’est surtout pour me faire ramoner le cul par sa grosse bite !
J’ai trouvé des escarpins tout mignons, de jolis bas finement décorés, des dessous très sexys et une robe fourreau qui m’arrive aux genoux. Je me dis que sa femme avait bon goût, mais je doute que ce soit elle qui portait ces vêtements. Je finis d’ajuster la perruque et suis obligée de bâcler un peu mon maquillage, car je ne souhaite pas avoir d’autres remontrances du vieux que j’entends ronchonner derrière la porte.
Quand je lui apparais, il est furibond et je me sens coupable de l’avoir trop fait attendre.
— Toi, ma petite salope, il va falloir te dépêcher à l’avenir ! C’est le genre de choses qui mérite une punition !— Mais... M. Paul ...— Ta gueule ! Tu vas me lécher le cul pour t’apprendre à me respecter !— Oh non M. Paul ! S’il vous plaît, pas ça !— Tu vas voir que si !
Il m’attrape d’un bras autour de la taille, me retourne sur les talons et me bascule en me maintenant fermement, puis m’applique une série de grosses claques sur les fesses avant de me relâcher.
Je me sens toute petite, humiliée, vaincue. Mes fesses me brulent, mais ce n’est pas si désagréable que ça, au contraire même, ça a tendance à m’exciter !Le rustre se débarrasse de sa tenue de travail, enlève son slip, se retourne et se penche en avant en posant les mains sur les genoux.
— Alors, ça vient ?— Oui, M. Paul, tout de suite...
Je m’agenouille et me maintiens à ses cuisses pour assurer ma stabilité. C’est avec écœurement que je vais m’acquitter de ma punition. J’ai devant le nez un gros cul poilu dont le sillon n’est pas propre du tout !
Je me résigne à faire ce qu’il demande, en évitant d’avoir à sentir les effluves nauséabonds et fais coulisser timidement ma langue humide dans la raie. Je déglutis ma salive au goût musqué et renouvelle l’opération. Lui semble apprécier ce que je lui fais, car je remarque que sa queue grossit à chaque passage de ma langue sur son petit trou.
Comme il se calme et moi aussi, je m’applique davantage à lui lécher l’anus. Et j’y trouve plaisir désormais. Si j’avais la nausée au début, là, je me régale de le voir se tortiller au gré de ce que lui fait ma langue.Je glisse une main entre ses cuisses pour me saisir de son gros braquemart qui balance, mais il se redresse et s’éloigne de moi soudainement.
— C’est bien ! Maintenant, ça suffit ! Relève-toi !— Oui Monsieur...
Je me redresse péniblement et il ne fait rien pour m’aider à tenir en équilibre sur mes talons hauts. M. Paul me regarde sans complaisance et un sourire narquois se dessine sur ses lèvres.
Il me crache :
— Il va falloir que je t’éduque ma petite !— Pourquoi Monsieur ?— D’abord pour que tu saches te tenir comme il faut ! Ensuite que tu sois entièrement à mon service... si tu veux être récompensée.— Que... que dois-je faire ?— Pour commencer, tu vas apprendre à marcher avec tes talons, à être une vraie femme, à savoir te tenir à ma disposition et à m’obéir en toutes circonstances.— D’accord M. Paul, je ferai tout mon possible pour vous satisfaire.— On va voir ça ! Allez, va par là!
Je m’efforce d’avoir une démarche assurée pour arpenter le couloir, mais ainsi perchée sur mes talons, j’ai tendance à me tordre les chevilles.
M. Paul rugit :
— Putain ! Mais c’est pas possible ! Tu le fais exprès ma parole !— Je... Je suis désolée, ce n’est pas facile de marcher avec ça...— Tu vas voir ça, petite pute ! Je vais te dresser !
Il est cramoisi de colère et je prends peur qu’il devienne violent. Ce qui ne manque pas d’arriver, car soudainement, il se dirige vers sa chambre en grognant et revient avec une cravache, avant de me dire :
— Avance pour voir !— Je dois aller où ?— Au boulot, pardi ! Allez ! Hue ! Espèce de bourrique.
Je respire un grand coup et m’applique à rester stable, mais pas suffisamment pour mon maître. Un violent coup de cravache cingle ma cuisse droite et je ne peux m’empêcher de hurler de douleur. Il m’ordonne d’avancer en me donnant d’autres violents coups sur les fesses.
Il est temps pour moi de me concentrer à être parfaite à ses yeux et je me remémore les images des défilés de mode. Ces mannequins qui exagèrent leur démarche en croisant les pieds à chaque pas. Je tâche de reproduire au mieux cette attitude, ce qui semble plaire à mon bourreau, qui me lance toutefois :
— N’en fais pas trop quand même !— Et comme ça ?— C’est mieux, mais roule un peu plus des fesses.
Je cesse d’arpenter le salon et me dirige vers lui dans une attitude aguichante. Alors que je suis à moins de vingt centimètres de lui. Il se débarrasse de sa cravache et me saisit par la taille pour me rouler une pelle passionnée. Être dans ses bras puissants me ravit et m’excite terriblement.Je sens que ça lui fait de l’effet à lui aussi, car son sexe et redevenu dur et frotte agréablement sur mon bas-ventre. Il me pétrit les fesses, ce qui me fait minauder comme une chatte en chaleur. Je sens son doigt glisser dans ma raie et je ne peux me retenir d’ahaner tant je suis chaude de désir.
J’attrape sa matraque et lui souffle à l’oreille :" J’ai envie que tu me baises ! Prends-moi tout de suite !"En réponse à ma requête, il m’administre une grosse claque sur la fesse et me dit sur un ton autoritaire :
— Qui t’a permis de me tutoyer, petite chienne !— Pardon M. Paul.— Dis que tu es une chienne !— Je suis une chienne, je suis votre chienne, M. Paul.
Il est soudainement calmé. Il m’embrasse à nouveau, puis lors de notre baiser, il me fait basculer en arrière pour que je m’allonge sur le sol. Il prend du recul pour admirer ma tenue puis glisse sa main entre mes cuisses pour malaxer mon sexe tendu au maximum.
Il me fait écarter les jambes et retrousser ma robe, ce qui n’est pas chose aisée avec celle que j’ai choisie. Le vieux écarte ma culotte, mouille de salive ma corole très sommairement, avant de s’allonger sur moi pour me prendre en missionnaire. Je souffre d’être perforée quasiment à sec, mais la douleur est vite remplacée par le bonheur d’être possédée par ce mâle, enfin !
Il se révèle d’une incroyable douceur pour me faire l’amour et j’éprouve un bonheur absolu de le sentir coulisser en moi. Il m’attrape le visage pour coller sa bouche sur la mienne et quand nos langues se mêlent, il se saisit brusquement de mes poignets pour les plaquer au sol.
Il change alors du tout au tout et devient bestial pour me prendre violemment. Je crois que c’est ce que je désirais au fond de moi, car cette saillie m’envoie au septième ciel. Il grogne maintenant à mon oreille :
— Tu es une sacrée salope, toi !— O... Oui !!— Dis-moi que t’aimes être une salope !— Ouiiii !
J’ai réussi à exprimer mon extase en hurlant ce "oui"!Je ne pensais pas pouvoir le faire tant j’étais dans les limbes. Au bord de la pâmoison !Il relâche mes poignets et prend appui sur le sol pour avoir plus d’amplitude dans ses mouvements. Je m’empresse d’enserrer le torse de ce gros nounours, alors qu’il coulisse de plus en plus vite et finit par se contracter pour jouir en moi.
Je reste dans un état second un long moment écartelée sur le sol alors que son jus sort de mon derrière en trempant ma culotte, qu’il a sommairement réajustée en sortant de moi.
Quand je me redresse en reprenant conscience progressivement. Mon maître tient son chibre encore baveux à quelques centimètres de ma bouche. Vite remise de mes émotions, c’est avec passion que je le nettoie soigneusement.
Après quoi, il m’abandonne pour que je me consacre aux tâches ménagères, alors que lui va prendre une douche. Il revient vêtu de son peignoir et s’affale dans un fauteuil avec une revue.Je tente bien de lui faire une pipe un peu plus tard, mais il m’enjoint de retourner chez moi, ce que je fais après avoir remis mes habits de garçon. J’ai hâte de revenir !!
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