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Voisin dominateur

Chapitre 5

Gay
Voisin dominateur 5Nouvelle expérience
De retour à la maison, j’ai besoin de me laver et constate dans le miroir que les coups de cravache assénés par mon amant m’ont laissé des marques sur les fesses.La douleur est encore présente et paradoxalement, ça m’excite. De plus, j’ai mes testicules qui demandent à être vidés. Je ne peux m’empêcher de m’enfiler mon concombre en repensant à mon voisin, à sa brutalité, à ma soumission désirée, au plaisir d’être sa femme et de ressentir tant de choses quand il me sodomise.
Je me masturbe à tout va tout en agitant la cucurbitacée au plus profond de mon cul encore lubrifié de son sperme. J’ai alors un orgasme extrêmement puissant en propulsant mon jus. Je vois des étoiles pendant un long moment après cette extrême jouissance.
C’est incroyable ce plaisir intense que je peux éprouver ces jours-ci ! M. Paul, notre voisin m’a fait découvrir des sensations si puissantes. Jamais je n’aurais pu croire être attiré par les hommes, mais lui a su m’ouvrir l’esprit et surtout m’ouvrir le cul !...
Le lendemain, je frétille d’impatience. Je veux rejoindre mon amant au plus vite, mais il est préférable que j’attende son invitation. J’essaie de me montrer dans le jardin et c’est vers 13h30 qu’il apparaît. Il me fait un signe du doigt pour me signifier de venir chez lui.
J’ai compris la leçon de la veille et ne cherche pas à me serrer contre lui tant que je ne suis pas métamorphosée en femme. Je choisis dans sa garde-robe une tenue très "petite fille", jupe courte à volants, écossaise, bas blancs, chemisier blanc, je fais même deux nattes à ma perruque, mais par contre, je choisis des escarpins noirs à talons hauts et me fais un maquillage outrancier. Si je choisis cette jupe-ci, c’est pour ne pas avoir de difficultés à la retrousser. Hier, ma robe était trop serrée et je ne souhaite pas perdre du temps quand M. Paul voudra m’enculer.
Je me demande bien pourquoi, et comment, toutes ces panoplies de vêtements sont arrivées dans cette armoire ? Je m’imagine mal que feue Mme Paul ait pu porter ces choses-là !
Quand je le rejoins, M. Paul est en slip et je ne peux m’empêcher de mater son gros paquet.Il sourit, mais me saisit par le poignet, me retourne sur place, soulève ma jupe et constate que j’ai mis un string très sexy. Il me dit alors :
— Quand je vois un cul comme ça, j’ai la main qui me démange, viens par là !— Oui M. Paul.
Il va me donner une fessée, c’est sûr, et j’en ai drôlement envie. Aussi je le suis jusqu’au salon, en frétillant d’impatience.Le vieux s’assied sur une chaise, me bascule sur ses cuisses et retrousse ma jupette avant d’abattre violemment, et à plusieurs reprises, le plat de la main sur chacune de mes fesses. Plus il me frappe, plus j’ai mal, mais plus je bande. Bien entendu, il s’en rend compte rapidement et glisse une main entre nous pour me malaxer le sexe tout en continuant à s’acharner sur mon fessier !
Il fait tout à coup une chose surprenante. Il me remet sur pied, se relève et me demande de monter sur la chaise qu’il vient de quitter. Il se penche alors en avant, passe sa tête sous ma jupe, baisse mon string sous les fesses et ses lèvres se referment sur ma bite pour la sucer avec une frénésie incroyable. Il me fait poser une jambe sur son épaule, glisse une main entre mes cuisses, et rapidement, deux doigts s’activent dans mon derrière. Il me tient en équilibre par son autre main posée sur mes fesses encore brûlantes.
Il me pompe, me tète ou m’avale la bite très admirablement.Ce qu’il me fait est absolument génial ! Mes fesses meurtries suite à la fessée qu’il m’a donnée irradient une douce chaleur. Mon intimité est forcée par ses doigts, mais cette maltraitance m’envoie aux anges et sa fellation est si efficace que je lui éjacule assez rapidement dans la bouche.
Il me fait descendre de la chaise alors que je tremble encore sur les jambes et suis toute flageolante après ce moment d’extase.
Lui se sent revigoré en déglutissant mon jus. Il me tend ses doigts à nettoyer, ceux qu’il m’a mis dans le derrière, puis m’ordonne de m’appliquer au ménage, en particulier de sa chambre où je dois, entre autres choses, changer les draps de son lit, sacrément dégueulasses, ajoute-t-il.
Alors que je m’active dans sa chambre, il m’observe, appuyé contre la grande armoire, avec une badine à la main. Cette baguette qu’il n’hésite pas à utiliser sur mes fesses si je m’y prends mal dans mon travail. Quand je dois me baisser, je ne plie pas les genoux volontairement afin de lui exposer mon postérieur, espérant toujours qu’il sorte son engin du slip et me prenne sur-le-champ.Hélas, rien de tout cela...
Juste une main au cul de temps en temps. Si je m’approche en espérant un baiser, il me frappe sur la cuisse en m’ordonnant de terminer mon travail.
Arrivé au terme de ma tâche. Il me file un billet et me demande de rentrer chez moi. Je me sens frustrée qu’il ne m’ait pas possédée aujourd’hui. Je voulais qu’il me fasse l’amour, je voulais sentir à nouveau sa bite me perforer de part en part. ...
Je rentre à la maison et mets à profit les longues heures qu’il me reste avant le retour de ma mère pour apprendre à me maquiller, mais surtout m’appliquer à le faire avec soin et plus rapidement. En effet, j’ai des progrès à faire dans ce domaine. Je consulte avant cela des magazines de la presse féminine qui traînent au salon pour me donner des idées.
Je repère un style qui me plaît bien et file dans la salle de bain.Je sors le nécessaire à maquillage de maman et m’applique à reproduire la façon dont est maquillé le modèle du magazine. En fait, je m’en sors plutôt très bien pour les yeux, et surtout rapidement, comme je le souhaitais. Je suis contente de maîtriser enfin le fard à paupières et le mascara.Je choisis un rose pâle brillant pour mes lèvres que j’applique presque naturellement.
Satisfaite de l’éclat de mon visage, j’adopte des mimiques toutes féminines devant le grand miroir et suis prête à tomber sous mon propre charme.
J’ai envie d’aller plus loin et de travailler ma posture. Pour cela, je me mets nu (e) et prends des poses devant le miroir. Je me dis toutefois qu’il me manque quelque chose. Il me faut des sous-vêtements, que je vais emprunter de maman, afin de me sentir plus féminine.
Je ne tiens pas trop à retourner les affaires dans la commode de ma mère, car elle pourrait s’en rendre compte. Aussi, je fouille dans le panier de linge sale et y trouve mon bonheur.
Je me saisis d’une culotte roulée en boule, la remets en forme et l’enfile prestement.Immédiatement, je suis troublée de regarder dans la glace mon petit cul gainé par ce nylon noir presque transparent. Je replonge dans le panier pour prendre une paire de collants blancs que j’enfile en tremblant d’émotion. Le soutien-gorge ne me va pas, il faudrait que j’ajuste les bretelles, mais je n’ose pas le faire, car maman pourrait le remarquer.Quoi qu’il en soit, je me trouve très sexy.
Il est sûr que j’aime de plus en plus être en femme. Je me dis même qu’il faudrait que je puisse avoir mes propres dessous féminins, que je pourrais éventuellement porter sous mes habits de garçon.En remettant mon pantalon par-dessus mes collants et après avoir enfilé mon tee-shirt, je reste troublée par mon androgynie. Mon maquillage y fait beaucoup pour ça !Je me trouve adorablement charmant (e)!
Quand je marche dans la maison, je suis tout émoustillée d’entendre crisser mes collants sous mon pantalon. De temps en temps, je me frotte la braguette et ressens le doux contact de la culotte sur ma verge tendue.
C’est en déambulant dans le séjour que j’aperçois, en jetant un œil à la fenêtre, une voiture se garer dans notre impasse. Une silhouette masculine en sort.Cachée derrière le rideau, j’observe un très beau mâle qui doit avoir une petite quarantaine, un brun, bien bâti qui porte un élégant costume. Je remarque qu’il s’engage dans le chemin, vers le lieu de rendez-vous galant que j’ai récemment découvert avant de me faire surprendre par le voisin.
Il me vient alors une idée insensée, mais mon désir est trop fort !
Je veux voir ce mec de plus près et savoir ce qu’il vient chercher par ici. Veut-il retrouver un petit minet comme celui de l’autre jour ?
J’enfile mes chaussures et sors précipitamment pour prendre un raccourci par un autre sentier.Je retrouve aisément le beau mec et avance en silence alors que le gars s’arrête, sort une bite tendue et se met à pisser un jet dru. Ce spectacle me fascine, et c’est en m’approchant un peu trop près qu’il me démasque.
Le gars me fait un petit sourire et continue à pisser malgré ma présence.Il relève à nouveau la tête, et voyant que je l’observe avec intérêt, ouvre sa braguette complètement ne gardant que la ceinture pour tenir son pantalon.
Il se tourne ostensiblement vers moi et sans arrêter de pisser, m’expose son beau paquet. Je dois être en train de baver à le mater, car il m’encourage à m’approcher d’un bref signe de tête. Et moi... Je sors de mon fourré pour m’approcher près de lui... à moins d’un mètre de ce beau mec.
Il expulse un dernier jet d’urine, puis joue avec sa bite qu’il pointe vers moi, avant de me dire :
— Dis-moi ma mignonne, tu m’as l’air très intéressée par ma queue ?
Je hoche la tête positivement et m’approche un peu plus de lui sans quitter des yeux son membre raide. Il tient écartés les pans de sa chemise et fait danser sa bite uniquement par des contractions musculaires saccadées.
— Approche-toi petite et fais-toi plaisir !
Me dit-il en m’appuyant sur la tête pour me forcer à m’accroupir. Sa queue n’est pas comparable à celle de M. Paul.
Elle ressemble plus à la mienne, mais elle me fascine !
Je m’en saisis, la caresse délicatement et l’enfourne dans ma bouche impatiente.Quelques gouttes d’urine me tombent sur la langue, mais je n’y prête pas attention, tant je suis impatiente de téter ce beau gland violacé.
Je suce avec avidité, caresse les couilles, mordille la hampe, engloutis toute la longueur du chibre, tant je suis passionnée par mon ouvrage !
Le type me flatte la tête en bavardant comme une pipelette :
— C’est la première fois que je viens ici, et toi, tu viens souvent ?— Hurmf ! Réponds-je la bouche pleine pour lui répondre négativement.— Je suis content d’avoir trouvé une bonne pipeuse comme toi.— ...— T’es sacrément bandante, tu sais ?— Merchi...— J’ai envie de te niquer tellement tu me plais.— ...— J’ai une capote dans la poche, alors ? Ça te dit ?— Hurmf.— Je prends ça pour un oui, relève-toi ma belle.
Il m’aide à me redresser, défait mon pantalon qui glisse aisément sur mes collants.
— Ouah ! Mais c’est tout mignon ce que tu portes.— Merci !
Il m’enlace, mais c’est pour baisser mon collant et ma culotte sous les fesses avant de me retourner. Je prends appui sur l’arbre qui est face à moi, me penche en avant et attends...Le gars enfile sa capote, pointe mon cul et pousse pour me forcer l’anus.
Il entre en moi sans difficulté, puis m’agrippe par les hanches et se met à me limer tranquillement en me racontant sa vie.Il est de passage dans la ville, il a vu sur le NET que ce coin est sympa pour faire des rencontres, il est marié, à trois gosses dont j’oublie instantanément les prénoms. Il profite de ses déplacements pour se taper des jeunots comme moi de temps en temps...
Il est intarissable et ça finit par m’ennuyer. Aussi, je me décide de le stimuler en parlant à mon tour :
— J’adore ta queue... Elle est bien dure... Défonce-moi mon chéri... Oui comme ça ! Oui plus fort encore !
Mon idée est la bonne, car le gars se tait et se consacre à me niquer avec plus d’entrain. Quelques pressions sur ses couilles finissent de le stimuler et quand il se contracte en m’écrasant contre lui, je sais qu’il a juté.
Il sort de moi, me donne une petite tape sur la fesse, puis se débarrasse de la capote en la jetant au sol. Il se réajuste et tourne les talons et me remercie pour cet agréable moment.Je remonte mon pantalon en soupirant d’aise.
Je ramasse la capote qu’il a jetée, car son contenu m’intéresse. Je suis en train de déguster le bon jus chaud quand j’entends grogner :
— Toi, t’es vraiment la pire des salopes !
M. Paul sort d’un bosquet, pour sûr... il a tout vu.À la tête qu’il fait, ça va être ma fête !
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